Mis En Scène À L'Etoile

A l'Etoile, il y a parfois des bagarres, surtout la nuit. Le seul moyen que j'ai trouvé pour être tranquille, c'est d'avoir un complice. Celui que j'ai trouvé m'est précieux.
Avec lui, je monte des scénarios, pour me donner en spectacle, je suis exhibitionniste, et pour exciter la convoitise des autres.
Je vais vous reconter ma plus belle réussite.
C'est l'été, je revêt un short bleu-ciel, ultra-court. Avec ma peau très blanche, mon miroir me renvoie l'image d'un adolescent.
Je rentre à l'Etoile, environ une heure avant Rachid. Je vais prendre ma place. Je remonte jusqu'au fond de la salle, et me colle debout, le dos au mur et les mains dans le dos. Plusieurs gars, plutôt vieux que jeunes, viennent tenter leur chance. Invariablement, leurs mains tâtent mes fesses. Ca commence par un léger frôlement qu'on pourrait prendre pour un contact involontaire, en cas de refus. Sans réaction, le contact se précise, puis se transforme en attouchement. Le postulant glisse alors sa main vers mon entre-jambe, et caresse mon sexe. Tout à coup, il sent mon érection. Alors, il s'attaque à ma braguette. Moi, taquin, je le repousse. J'ai aimé, mais j'attends Rachid.
Soudain, le voilà qui se campe devant moi. C'eût été un autre, je l'aurai repoussé ou changé de place. Rachid me regarde, semblant qu'on ne se connaisse pas. Il s'approche encore plus prêt. Il agrippe le bas de mon t-shirt et me l'enlève. Il me caresse le torse, et j'écarte légèrement les bras. Rachid s'attaque à ma braguette. Mon short tombe sur mes chaussures. Il se penche et baisse mon slip. Les curieux commencent à nous entourer. Rachid ouvre sa braguette, et sort sa bite. Il met ses mains sur mes épaules me fait mettre à genoux. Docile, j'ouvre la bouche et j'avale le gland. Les mains sur ma tête, Rachid fait glisser mes lèvres le long de sa queue. Un murmure monte du groupe de spectateurs. Après avoir joui dans ma bouche, Rachid me relève, me retourne et me courbe, les mains contre le mur.

La pine à la main, il s'ensert pour écarte mes fesses. Quand il a touvé mon petit trou, il s'enfonce à l'intérieur, en me tenant par les hanches. Simulant la douleur, je regimbe et Rachid ressort de moi. Je me retourne vers lui, faisant semblant de vouloir m'enfuir. Il m'att par un bras et tire. Je me retouve face à lui, le cul tendu vers les autres. C'est la ruée. Deux spectateurs me prennent chacun par un bras pour m'empêcher de m'enfuir. Un autre pèse sur mes épaules pour que je suce Rachid à nouveau. Et, un autre en profite pour enfoncer sa bite dans mon cul. Objectif atteint. Rachid se retire subrepticement, me laissant aux mains des opportunistes. L'un d'eux passe ses bras sous les miens, etme courbe en avant, offrant mon cul à tot les regards. C'est la curée. Les plus hardis se précipitent pour m'enculer.
Rachid reste toujours dans les parages, en embuscade, en cas de problèmes. Je laisse croire à mes "tourmenteurs" qu'ils m'ont dominé et, je me retire. Sauf que, cette fois-là, une espèce de géant s'approche. Il repousse mes assaillants, un à un. Je suis à terre, tout poisseus du sperme des gogos, mais heureux.
Le géant se penche sur moi, passe son bras autour de ma taille et me soulève.
- Pauvre petit...Murmure-t-il.
Il ne sait pas que Rachid et moi avons orchestré cette mêlée. Il est hors de question de le mettre au courant avant de connaître la raison de son geste.
Il récupèra mes vêtements. D'un grand sac de sport, il sortit une couverture, dans laquelle il m'enroula. Il me transporta jusqu'à une voiture et me coucha sur la banquette arrière. Il me tendit un verre que je bus. Quelque minutes plus tard, je dormais profondément.
Quand je me suis éveillé, j'étais dans un lit. On eut dit un hôpital. Le géant était à côté de moi. Il répétait :
- Pauvre petit....pauvre petit....