Une Tranche De Vie 18
Samedi 19 septembre 1981 Jean raconte
Le samedi en général, nous étions de permanence à tour de rôle avec mon adjoint, ce qui en principe nous donnait une journée de liberté. En fait personnellement, je faisais toujours un tour des chantiers pour voir si tout tournait correctement et en général jen profitais aussi pour faire la paperasse en retard. En allant au chantier, me rappelant ce que mavait dit Véro le jour où javais acheté les appareils photo, quelle aimait savoir ce que nous ferions cela lexcitait, cela la rendait plus réceptrice mentalement et sexuellement, une idée, certainement idiote, me vint à lesprit. Je faisais demi-tour et marrêtais au magasin. Jallais à laccueil me présentais et demandais à vois Madame Vero. Laccueil me fit monter au secrétariat qui me reconnut et mintroduisit dans le bureau de Vero, qui était en train de travailler à son bureau et visiblement je dérangeais, mais le sens de la courtoise étant inné chez elle, elle me fit bonne figure, mais ne me sauta pas au cou.
Elle était vêtue dun corsage multicolor tirant sur les rouges, qui allait fort bien à son teint de blonde et dune jupe droite dun gris très clair et chaussée de sandales à talons
« Bonjour Jean ça fait longtemps que tu ne mas pas donné signe de vie »
Moi : « Je sais, mais jai du monter dans le Nord et comme tu sais jutilise le week-end, cest pour cela que jai voulu passer te voir et te faire une suggestion comme cela fait longtemps quon ne sest pas mélangé »
« Wouah, je técoute »
« Partant du principe, comme tu me las dit, que tu aimes savoir ce que tu vas faire ou quon va te faire, je me plie à tes désirs. Je vais revenir à 11,00 heures, je montrais à ton bureau, tu seras nue sous tes affaires, la porte fermée, tu ouvriras ton corsage pour moffrir tes seins, puis te relèveras ta jupe et assise sur la table les cuisses bien écartées tu moffriras ta chatte dont la fourrure aura été retaillée très courte.
Véro : « Ça va pas, non »
Moi : À toute à lheure ma belle et jolie salope » et je filais sans demander mon reste, me demandant quel serait le résultat de ce que je venais de faire, pariant quen revenant à 11,00 h à laccueil on me dirait poliment que Madame Véro est occupée ou partie. Mais le coup de poker était au minimum amusant, si je perdais tut contact avec le ménage serait rompu.
Je faisais ce que javais à faire avec mon adjoint sur le chantier et 11,00 h sapprocha vite.
En fait à 11,00 h pile, je me présentais à laccueil qui menvoya au secrétariat. Qui appela Véro et lui demanda si elle pouvait me recevoir.
« Faites le rentrer dans cinq minutes, je dois finir un document important »
Espoir,
.On ne mavait pas viré,
Les 5 minutes passées, le déclic de la porte se fit entendre et la secrétaire me dit dentrer. Jentendis le déclic de la porte se refermant.
Véro était à son bureau, la porte fermée, elle se laissa aller dans son fauteuil avec un large sourire et se levant elle se dirigea vers moi en déboutonnant lentement les 4 boutons de son corsage et arrivé à mon niveau elle avait les seins à lair, elle les prit en disant : « Viens, ils sont à toi, profites en et sois à la hauteur »
Les tétons pointés déjà tellement quils auraient percés le corsage si celui-ci avait été en place. Je prie les tétons entre pouce et indexe et les tournais et faisant cela je lui dis : »Tu as les seins qui bandent », Véro : « Je ne sais pas si ils bandent mais ils sont gonflés de désir, profites en, mais fais doucement, ils sont si gonflés quils me feraient mals, suces les cela me soulagera ». Je me mettais, avec gourmandise au travail et me penchais pour les prendre successivement et plusieurs fois en bouche. Véro poussa un gros soupir de plaisir.
Puis elle vint se coller contre moi : « Pourquoi es-tu parti si vite ce matin ? »
Moi : « Cest toi qui ma dit que tu aimais savoir ce que lon ferait, je te lai dit et je suis parti »
Véro : « Tu aurais pu rester, et tu le sais, tu aurais eu tout ce que tu voulais »
Moi : « Oui, peut-être mais lattente aiguise le désir »
Véro : « Oui, tu es un beau salopard, de me laisser comme ça.
Alors que je voulais la prendre dans mes bras et aller plus avant dans notre main à main, elle se recula et dis reprenons ou nous en étions.
Elle remonta lentement sa jupe, avec un certain nombre de déhanchements extrêmement suggestifs et provocateurs. Jeune et encore maintenant jai dailleurs toujours trouvés extrêmement excitant de voir une fille remonter sa jupe sur ses hanches, voir ses cuisses et son petit slip à note époque toujours blanc,
excitant.
Enfin sa jupe ne fut plus quune ceinture au niveau de sa taille. Alors que je mapprochais, elle me repoussa me disant, ce nest pas le programme. Puis sappuyant sur la table de conférence elle écarta les jambes en disant : « Jespère que la coupe te convient » Effectivement elle avait taillé extrêmement court sa fourrure blonde, ce qui laissait apparaître plus visiblement son minou légèrement brun rose. Enfin, elle sassit sur la dite table et ouvrant largement ses cuisses et comme aurait dit un copain de jeunesse « elle a les cuisses à 10,10 heures, et elle dit « Cest ce que tu voulais,
maintenant fais moi jouir avec ta langue, tes doigts, ta queue, fais moi perdre la tête »
Prévoyant javais laissé tomber short et caleçon et alors que je mapprochais delle, elle se laissa aller sur le dos, son intimité était entièrement à ma disposition et de mon index je me mis à parcourir ses raies. Partant de la raie des fesses, je remontais vers son minou, qui déjà était très humide et je redescendais vers sa rosette et je recommençais le parcours en enfonçant un peu plus le doigt, quand Véro réagit « Arrêtes de promener ton doigt comme ça, tu nas pas besoin de mexciter, je le suis assez depuis ce matin après ton départ. Arrêtes, rentres, fais ce que tu as dit, fais moi jouir, je tattends, remplis moi, dépêches toi,
» À la fin de son monologue jenfonçais brutalement deux doigts dans sa chatte, ce qui entraîna un « Ooooohhhh ,
OuiIIII » de satisfaction, puis je me mis à lui lécher la chatte, la pénétrer avec ma langue et jajoutais les doigts, variant les moyens de la prendre, bouche, langue, doigt et souvent doigts et langue, elle gémissait de plaisir et sa chatte qui au début était bien humide était maintenant noyée de son plaisir.
Reprenant son souffle et retrouvant ses esprits, elle se redressa et toujours assise sur la table elle mattira vers elle et sa bouche vint se coller contre la mienne pour un baiser chaud et prolongé.
Le baiser terminé, sans attendre, je la prenais sous les genoux et la rebasculais sur la table, étant resté entre ses cuisses.
Véro : « Quest-ce que tu fais ? »
Mois : « Jai une trique pas possible Je vais te sauter, je vais te baiser»
Véro : « Oh non, tu mas déjà épuisée, attends un peu »
Moi : « Non, tu es encore toute chaude et la porte de ta caverne est grande ouverte, je vais y pénétrer »
Je me présentais et me guidais vers et dans son fourreau chaud, détrempé de son plaisir et commençais mes va et vient, vue ma trique il fallait que je mactive rapidement si je voulais arriver à mes fins, cest à dire la faire jouir une nouvelle fois et moi, méclater dans sa chatte. Au début elle encaissait mes coups de reins sans rien dire, puis peu à peu le souffle saccéléra, puis de petits gémissements puis le plaisir commença à poindre dautant que son fourreau était de plus en plus chaud et coulant enfin les soupirs et gémissements devinrent : « OUIIIIIIiiiiiii,
, continues, encore
..ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
.
« Tu peux être content de toi, me faire jouir deux fois si rapidement, ça ma fatiguée et je dois avoir une tête à faire peur. Bon, prends vite une douche et file, que je me reprenne et me redonne une tête acceptable »
Moi : « Je ne regrette pas dêtre venu, dautant que ce soir, nous ne pourrons être au club, donc je ne pourrais te voir. À dimanche à la plage»
Véro : « File que je me ravale,
Tu as bien fait de venir, on se voit à la plage ».
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