Le Chef De Ma Copine (Suite)
Alfred, tu sais... Lorsque j'ai divorcé, j'avais déjà dans l'idée d'écrire mes expériences amoureuses.
Aussi, j'avais demandé à Marion si elle ne voulait pas coucher sur le papier la première fois ou elle avait fait l'amour avec son chef. Elle a accepté. Veux-tu que je te lise son récit ? Il consentit avec enthousiasme !
Je commençais ma lecture :
Lorsque, couchée sur la table dans le vestiaire, j'avais les mains attachées, bras tendus au dessus de ma tête, mon imagination était décuplée. Mikael avait trouvé mon point faible, il savait que je fantasmais facilement. Il me disait par exemple d'écarter les jambes, pour bien montrer ma vulve au chef qui regardait par le trou de serrure... Après, tout en s'amusant avec mon corps et en me besognant, il me racontait des histoires salaces. Il arrivait à me persuader que je désirais vraiment me faire prendre par mon chef. Au bord de l'extase, je finissais par croire que c'était vraiment lui qui était en moi et me caressait le corps ! Et je dois t'avouer que je jouissais plus fort... Après l'extase, je houspillais Mikael en lui disant de cesser de me raconter des trucs comme ça... Car c'était lui et personne d'autre qui me faisait l'amour. Et cela le faisait franchement rigoler. La fois suivante il remettait ça de plus belle, et je plongeais à nouveau...
« Je sais, me disait-il qu'il veut te baiser... Et cela t'excite... Alors si tu veux excite le à ton tour, déjà que sans le vouloir tu le fait grimper au plafond... alors si tu y mets du tien... !!
- Tu... Tu crois que je peux... Tu n'es pas jaloux, tu ne vas pas ne traiter de petite Salope ?
- Je te l'ai déjà dit, tu ne me dois rien, tu fais ce que bon te semble... Je respecte tes désirs, si de faire l'amour avec lui comble un de tes fantasmes alors fait le ! »
Je ne savais plus que penser, ni que faire. Mais bien malgré moi, la situation se débloqua !
Mon chef m'appela dans son bureau, il donna un tour de clef.
« Marion, je veux te montrer quelque chose...
- Aie, aie, aie pensais-je le tutoiement est revenu !
- Regarde tout d'abord... »
Il tenait un petit objet noir dans la paume de sa main.
« Tu vois cette petite webcam, elle ne mesure que 7 cm sur 4 cm, elle a une autonomie de 2 heures... ce qui est largement suffisant pour filmer entre 13 heures et 13 heures 30... et bien cachée sous une palette personne ne l'a remarquée.
- Aie... Aie... Aie... tu es cuite me disait une petite voix dans mon cerveau
- Oui, on changé les racks au second étage... les anciens gros boulons des fixations traversaient le plancher... et un trou tombait juste sur le plafond du vestiaire du premier... Je t'avais dit que je soupçonnais qu'il se passait des choses à la pause de midi dans ce réduit... J'ai voulu en avoir le cur net... Et heureusement, pour moi, le diamètre du trou était le même que celui de l'objectif de la caméra. Regarde ce petit chef duvre... »
Il inséra une clef USB dans son PC. Les images étaient effectivement prises du plafond à une distance de 3 m, c'était de la bonne qualité sa webcam, la netteté et le son étaient parfaits. On me voyait seulement vêtue de mes bas et de mon porte-jarretelles, couchée sur la table la bras liés tendus au dessus de ma tête, attaches aux tuyau du gros chauffe-eau. Mikael à côté de moi, me malaxait les seins et suçait mes tétons, j'avais l'air aux anges.
« Dis moi... Lorsqu'il parle du « Grand », c'est bien de moi qu'il parle ? »
Dans la vidéo, Mikaël me disait de bien écarter et de relever mes jambes pour dégager ma vulve afin
de permettre « au Grand » qui lorgnait par le trou de la serrure de profiter du spectacle... Il écarta les lèvres de mon vagin en me disant « qu'il » allait se régaler... Son index et son majeur entrèrent dans ma féminité, il les ressortit gluants de mon foutre et s'adressant à la porte, il fit remarquer que de s'exhiber ainsi cela me faisait abondamment mouiller.
Mon chef appuya sur avance rapide... sur la table, j'avais les yeux clos, je gémissais, ma tête dodelinait à droite puis à gauche. Mikael, nu se tenait entre mes jambes, il me labourait à grands coups de reins, me traitant de petite Salope qui adorait la queue « du Grand », me demandant de lui avouer qu'elle allait me faire jouir. Qu'un jour je lui ferai une fellation sous son bureau... Le plus fort, c'est que je lui répondais par l'affirmative.
Encore une petite avance rapide, Mikael déversait son sperme dans mes entrailles, je criais mon orgasme... Il stoppa la lecture.
J'étais rouge comme une pivoine.
« Voilà me dit-il pas mal hein ! Au moins je participe, ne serait-ce que ta pensée, à ton orgasme...
- Oui, mais..
. Mais quoi ? J'en ai d'autres, mêmes plus salaces, ou je suis sensé te faire des choses bien plus cochonnes et tu as l'air de vraiment apprécier, et de prendre ton pied ! On dirait que tu as vraiment envie que je te baise !! Tu veux en voir un exemple ? J'ai même une petite séance de flagellation, tu as l'air d'aimer ça...
- Non... mais c'est un jeu... lorsqu'il me parle de vous... c'est... c'est... il dit ça pour m'exciter... - Mais ce qu'il te dit à mon sujet te mets dans un état second !
- Oui, ça m'excite et me fait fantasmer...
- Moi, je crois que tu as vraiment envie de faire l'amour avec moi... D'accord, la première expérience n'a pas été très concluante. Mais maintenant avec cette vidéo, je crois que tu ne peux plus te dérober ! Au fait, approche, peux-tu quitter ton string... e vais vérifier si notre petite entrevue ne t'a fait mouiller. »
Je lui obéissais, me mettais à coté de lui, je fis glisser ma petite culotte, le long de mes jambes.
« Relève ta jupe, petite Salope... Ah, ben voilà, il y a longtemps que je voulais toucher ton porte-jarretelles... »
Sa main se promena le long de la lanière et remonta sur ma cuisse jusqu'à mon sexe, il eut l'air déçu, je ne mouillais pas.
« Bien, nous sommes d'accord... Tu vas trouver un endroit où l'on pourra se rencontrer pour jouer au même jeu que celui que tu pratiques avec ton copain Mikael... Et tu ne te désistes pas sinon, c'est la porte... Allez, à bientôt.»
Me dit-il en brandissant la clef USB . Cette fois, je ne pouvais faire autrement que d'accéder à sa demande, je voulais garder mon job.
Après m'être trituré les méninges, je pensais que sous les magasins, il y avait une pièce où l'on entreposait de vieilles archives. Je n'avais jamais vu quelqu'un y mettre les pieds. J'allais inspecter le lieu. Des néons assez puissants diffusaient une lumière crue. C'était assez poussiéreux, le réduit ne comportait que deux petits vasistas au ras du plafond, personne ne pouvait voir à lintérieur.
Des étagères pleines de documents anciens, une grande et longue table en chêne, trois chaises composaient le mobilier, un coup de balai, un bon dépoussiérage et cela pourrait aller.
J'allais voir « le Grand » et lui soumettait l'idée, il me dit qu'il irait voir. Il me téléphona pour me confirmer que cela ferait l'affaire... Il avait récupéré la clef, mais il laisserait ouvert le jour J. Qui serait jeudi prochain, je resterai avec lui après 17 heures pour faire des heures supplémentaires !
Puisque je ne pouvais pas faire autrement, autant faire l'amour comme il faut, la fois dernière cela avait été un fiasco total... Il me fallait mettre au point un bon scénario... Je savais, car il me le serinait sans cesse, qu'il voulait me voir avec des dessous affriolants, pour lui l'érotisme, c'était ça. Il aimait les bas noirs, les strings, les porte-jarretelles, les demi-soutien-gorges, et me disait-il, il rêvait de me voir seulement vêtue ainsi..
Le jour venu, j'avais passé une jupe de satin noir qui moulait parfaitement mes fesses et s'évasait vers le bas, elle s'arrêtait au-dessus du genou, des bas noirs extra-fins retenus par un porte-jarretelles avec une ceinture très fine.
17 heures, je me dirigeais vers le local, avec une petite appréhension dans le ventre. J'arrivais la première, je posais mon sac sur une étagère et ma veste sur le dossier d'une chaise. Mon corsage flottait hors de ma jupe et je pris soin de ne laisser boutonné que deux boutons.
Il entra. Je vis dans le regard qu'il me lança que maintenant, je devenais sa chose.
« Je suis à ta merci, attache moi les mains »
Je sortis une fine et longue cordelette de mon sac. J'avais vu dans ses yeux lorsqu'il m'avait passé la vidéo, quil avait eu l'air d'apprécier de me voir attachée et moi l' imagination augmentait mon plaisir. Il me fit reculer jusqu'à la table, et me fit coucher dessus me laissant les jambes pendantes. Il allongea mes bras derrière ma tête et me lia les poignets aux pieds de la table, ses mains tremblaient d'excitation.
« Très, très joli, ton soutien-gorge »
Il apercevait, mis en valeur par l'éclatante lumière qui illuminait la pièce, mes deux seins qui se balançaient au rythme de ma respiration les pointes commençaient à jaillir sous le mince tissu. Ses doigts effleurèrent le bout de mes seins, qui s'érigèrent malgré moi.
Il s'attaqua à mes deux boutons et écarta les pans de mon chemisier. Mes deux globes fermes à peine contenus par les fins bonnets de dentelles jaillirent sous la lumière crue des néons. Mon ventre sortait entre la jupe et le chemisier, ma respiration saccadée faisait creuser mon nombril.
« Nonnnnn, nooonnn laissez moi !! Ne me touchez pas... Je n'aurai pas dû accepter !! »
Je savais que cela allait l'exciter... Il était du genre à qui on ne refuse rien ! Il approcha sa tête de mon visage et me plongea son regard noir dans les yeux. Sa bouche se posa sur la mienne, sa langue s'insinua entre mes lèvres, je gigotais, mais ne résistais pas. Je me tordais dans tous les sens ce qui eu pour effet de faire remonter jupe au-dessus de mes genoux.
Il m'embrassait toujours, sa main droite vint se poser sur le genou largement découvert, il effleurait ma peau et commença à repousser lentement la jupe vers le haut. Sa bouche descendit le long de mon cou, sa langue lécha le pourtour de mes aréoles, qui s'étaient recouvertes de chair de poule, les pointes mes seins étaient bien érigées maintenant.
Le bord de ma jupe dépassa la limite des bas, ses doigts montaient et descendaient, jouant avec le fermoir du porte-jarretelles, caressant la frontière entre le nylon et ma peau, ce manège autant sur mes mamelons que sur mes jambes commençait à m'aiguiser les nerfs. Sa main remonta à l'intérieur de ma cuisse, lentement ma jupe fut repoussée jusqu'à la naissance de mon pubis. Sa bouche continuait son manège sur mes seins, il ne passait sa langue que sur le bout de mes cônes tendus à lexcès, avec parfois de petits attouchement le long de mes petites hampes brunes, qui ne demandaient qu'a être happées.
Je ne bougeais plus, seule ma tête bougeait de gauche à droite, des gémissements et des petits râles de plaisir s'échappaient d'entre mes lèvres. J'avais les yeux mis-clos et à travers la fente de mes paupières, j'essayais de capter son regard.
Ce n'était pas du tout comme la première fois où il m'avait sauté dessus. Aujourd'hui, j'avais du mal à retenir le désir qui s'insinuait en moi. Il décida enfin de remonter ma jupe encore plus haut, il découvrit ma peau blanche entre mon mini string et la ceinture du porte-jarretelles...
Ma jupe retroussée lui dévoilait les lanières et les attaches du porte-jarretelles ainsi que la peau blanche de mes cuisses au-dessus de mes bas. Abandonnant mes seins, il se recula, ses yeux se fixèrent sur le renflement de mon sexe, il était fasciné. Il haletait doucement, il baissa légèrement le bord du string pour découvrir mon petit triangle de poils blonds et ras. Sous la pression de ses doigts, ma toison surgit, avec un gémissement prononcé mes hanches se tendirent vers lui pour lui offrir mon mont de Vénus.
À travers le tissu qui commençait a devenir moite, il passa son index le long de ma fente, je me mordis les lèvres pour ne pas crier ! J'ouvris largement mes cuisses. Il prit alors le temps de sortir son sexe, je fus étonnée... La première fois, je n'avais pas fait attention à la longueur, il n'était pas très épais... Quoi que, mais il était vraiment très long... Il bandait énormément. Tout cela s'était passé sans une parole de sa part. Il tâtonna pour trouver la fermeture de ma jupe, et la fit glisser sur mes genoux.
« Tu m'excites à mort, ma petite Marion... »
Surprise d'entendre le son de sa voix, jeus mouvement de relâchement, ma jupe tomba sur le sol. Attachée, j'étais à sa complète disposition, ma féminité seulement voilée par le mince string palpitait sous son regard. Sa bouche se posa à hauteur de mon nombril, tandis que sa main se plaquait sur ma vulve, vraiment moite maintenant, sa langue remonta en une longue caresse vers ma poitrine. Ses lèvres s'emparèrent de mes pointes brunes, il les téta à tour de rôle avec amour, puis ses dents mordillèrent les mamelons qui vraiment durcis sous la caresse. Il me tirait des cris de jouissance. L'atmosphère devenait électrique, j'étais terriblement excitée, ma chatte était trempée maintenant.
« Moins fort.... Chutttttt.... Il n'y a personne mais on ne sait jamais...
- Oui, oui...Mais c'est tellement bon.... »
Ses doigts se glissèrent entre le tissu moite de mon string et la peau de ma vulve. Une boule chaude naquit dans mes entrailles, j'écartais les jambes au maximum pour favoriser la progression de ses doigts.
« Ouuuuuiiiiii, gouuuuuuiiiiii... Continue, continue, ne t'arrête pas... »
Il fit glisser le bout de tissu trempé sur mes jambes jusqu'au sol. Ses grandes mains se posèrent sur mes cuisses. Il les écarta, sa bouche vint se plaquer sur ma vulve béante et moite. Lorsque sa langue entra en contact avec ma chair la plus intime à l'intérieur de mon vagin, je poussais à nouveau un hurlement d'extase. Elle s'enfonçait entre mes lèvres humides, fouillait dans ma fente qui ne cessait de s'élargir.
« Prends-moi, moi.... Prends-moi maintenant le suppliais-je...
- Pas encore, mon trésor... Il y a 6 mois, je t'aurais sauté dessus, j'aurais enfoncé ma verge de suite dans ta chatte, je t'aurais prise sur cette table... Mais j'ai vu les vidéos... J'ai compris comment tu aimais être prise... Comment il fallait te faire l'amour... !! Tu me supplies de te prendre... Alors que la dernière fois tu te moquais de moi... Petite Salope... » Il mit son gland au bas de ma fente, le fit remonter doucement entre mes lèvres gonflées, il recommença l'opération plusieurs fois, sans jamais me pénétrer. Avec deux doigts, il décapuchonna mon clitoris déjà bien érigé, très lentement, il y frotta le bout de son sexe le faisant encore durcir et se gonfler. Je me mordis la joue pour ne encore hurler d'extase. Ligotée, je ne pouvais que subir... mon corps était obligé de s'abandonner a ce doux supplice, qui me rendait folle. Mes gémissements redoublèrent en force et en intensité.
« Oui, c'est bien... J'aime quand tu gémis... Quand tu cries de plaisir... »
Mon regard ne quittait plus son sexe, je me demandais à quel moment il allait passer à l'action. Il était de toute évidence plus que prêt, son phallus raide et gonflé jaillissait de la forêt de ses poils grisonnants en dardant fièrement son gland vers le ciel.
Mes nerfs étaient à fleur de peau, la frustration me gagnait, ma vulve s'ouvrait et se refermait sur du néant.
« Es-tu vraiment capable, de me donner du plaisir avec ta queue... ?
- AH tu va voir Salope ! »
Il me repoussa sur la table, se mit à genoux entre mes cuisses. Avec une sorte de fureur, il releva mes jambes, et empala d'un coup sec son membre raidi dans ma féminité brûlante. Je me cambrais et poussais un hurlement.
« OH, Ouuuuiiiiiiii.... Oouuuuuiiiiii....Hurlais-je.... Ooouuuuiiiii.... »
Mon bassin se mit à onduler, d'avant en arrière pour faire pénétrer son phallus dans mon vagin.
« Ouiii... pl... plus... plus vite... oui làààà c'est booonnnnn... !! Je n'en pouvais plus d'attendre... Enfonce bien ta queue... Plus profond... Encore... Encore... »
Il me besogna,longtemps d'abord assez doucement, comme pour me faire apprécier la longueur de son membre, puis de plus en plus rapidement son rythme s'accéléra, mes jambes se raidirent, les muscles de mes cuisses mes abdominaux se contractèrent, ma respiration se fit saccadée. Mes râles se mêlaient à ses gémissements.
« Je n'en peux plus... ça vient... ouiiiii.... défonce moi.... Va plus loin.... Va plus loin... Éjacule dans ma chatte... Je veux jouir avec ton sperme... »
Mes parois vaginales palpitaient, un courant électrique circulait en moi, un feu intérieur me dévorait les entrailles... l'air me manquait, il s'activait en moi à une vitesse phénoménale. Sa verge longue et dure, pleine de mon foutre, sortait entièrement puis replongeait aussitôt jusqu'au tréfonds de mon sexe, me faisant hoqueter de plaisir. Il me sembla que son rythme s'accélérait encore, ses mains agrippèrent la ceinture de mon porte-jarretelles, ses ongles griffèrent mes hanches avec un han retentissant, il poussa sa verge au fond de mon vagin, s'immobilisa, ses testicules se contractèrent et il éjacula en moi avec force.
« Tiens Salope, tiens la semence du « Grand », c'est meilleur que la dernière fois... tu en redemanderas... cette fois... !! »
Son sperme gluant et tiède envahi ma vulve, cela me fit frissonner... je ne me retenais plus... un orgasme d'une force inouï déferla dans mon ventre, j'étais arc-boutée sur la table, les paupières closes sur un arc-en-ciel qui ne comportait que des nuances de bleu... je hurlais ma jouissance.
« Eh, bien me dit Alfred, c'est vachement bandant son texte. Mais dit donc Trixie, ta copine, tu la vois toujours, ne pourrais pas l'amener ici, pour que puise la voir se faire baiser par la grosse queue de Victor »
A suivre...
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