La Culotte De Rose 6 Fin
Ce soir là, je ressors luf pour la « poule » de Benoît et le vibromasseur. Rose couve luf, jouit, pleure de bonheur, de douleur inavouable, me supplie de prendre la place des engins: mais cest pour les fuir; ma queue minuscule est donc moins efficace et plus supportable que les jouets. De plus les piles sont inépuisables ou presque alors que moi je finis toujours par tomber en panne. Je hais Claudine, je déteste Rose. Mais ma pitié fout le camp.
- Je ne suis pas en forme, mais je ne voudrais pas que tu sois en manque. Je taime trop pour ne pas te procurer le plaisir que tu mérites. Garde cet uf en toi.
Rose sendort. Jenfonce le bouton de la télécommande. Elle se réveille avec des cris dépouvante. Jai cessé dappuyer. Elle se rendort, je la réveille en relançant les vibrations. Labus de plaisir sexuel avec Benoît, puis avec le vibromasseur et enfin avec luf la replonge dans le sommeil, et je recommence une dizaine de fois. Jappuie quelques secondes et je cesse. Elle se réveille brutalement, se demande ce qui se passe et dort fatiguée.
La vengeance est cruelle.
Le lendemain au réveil je linterroge sur le cambriolage.
- Quont dit les gendarmes ?
- Finalement, on ne nous a rien volé. Le cambrioleur na emporté aucun de nos biens. Nous navons pas porté plainte.
- Que me dis-tu là ? Il ny a pas de cambrioleur dans ce cas. Cétait quoi ton appel téléphonique?
Une enquête de gendarmerie pourrait compromettre les amants. Benoît dépouillé dune forte somme, ne porte pas plainte, cest incroyable. Il y a une faille dans sa conduite. De quoi se méfie-t-il ? Tout ça me ragaillardit. Et les documents perdus ?
- Rose, jai envie de toi. Faisons lamour.
- Paul, sois raisonnable, tu arriveras en retard au travail.
- Ah ! Cest ton premier refus de faire lamour avec moi. Bizarre, non. Jen prends acte.
- Cest stupide, je suis ta femme. Jarracherai les yeux de Claudine et de la salope qui viendra ici. Tant pis pour ton patron, viens, aime-moi.
Son comportement est étrange. A sa place, je me refuserais. Pourquoi me cède-t-elle ? Je ne suis pas fier dr delle de cette façon. Elle me rend dingue.
Aussi petite soit-elle, dans un ventre qui na pas connu de repos cette nuit, ma minuscule bite de douze centimètres cause des ravages. Les râles de ma femme adultère nexpriment pas tous du plaisir. Une règle me vient à lesprit pendant que je la monte : chaque veille de rencontre amoureuse je vais user et r des sex-toys, rendre pénibles, douloureux et peu souhaitables, voire impraticables les rapports sexuels avec le sportif adultère. Il faut aussi que je localise avec précision le cabanon qui abrite leurs rendez-vous du vendredi.
Dabord je rends impossible lutilisation du mercredi à domicile. Jai un ordinateur au bureau, le pc domestique nest pas indispensable,. Il est en panne ? Je change le mot de passe de lentrée : la panne se prolongera surtout si mes connexions sont lâches.
- Mon chéri, ne peux-tu rien y faire ? Cest ennuyeux.
- Je le mettrai en réparation si lassociation participe aux frais. Sinon vous squatterez chez Benoît ou un autre membre.
Lassociation paierait ? Avec quoi ? Quand le trésorier accusera Benoît de détournement, je rirai.
Ainsi est mis fin à ladultère sous mon toit le mercredi, sans avoir à dévoiler ma présence au cours de leurs derniers travaux pratiques adultères dans le poulailler. Supprimez la cause, vous supprimerez leffet. A la première occasion, dès le vendredi suivant, je suis ma femme sans me montrer. Les amants me guident, ferment la porte, mais quand à travers les parois de bois les plaintes amoureuses de Rose sélèvent, conforté dans ma détestation,je me cache pour photographier leur sortie.
Luf vibrant du soir arrache des cris pitoyables à ma femme sursaturée de frottements et vibrations en tout genre. Cette télécommande entre mes mains est démoniaque, secoue le ventre de Rose de façon surprenante, la maintient en alerte continue. Pour se débarrasser de luf épuisant Rose me supplie de la prendre. Encore ? Elle est malade, insatiable, nymphomane? Je connais un remède naturel. Ce sera son cadeau danniversaire.
Ouf ! Voilà une bonne nouvelle, Rose a retrouvé un travail. Sage et assagie par lemploi très fréquent des deux jouets, Rose retarde à 19 heures sa séance daquagym du lundi et renonce à son secrétariat bénévole, à la gym douce et au cross. Je ne vois plus Benoît dans mon fauteuil, me narguant de ses yeux cernés par ses excès seuels . Est-ce acquis, les rendez-vous ont-ils changé de lieux et dheure ? Je ne peux pas tout surveiller. Donc je recours toujours aux corps étrangers vibreurs ou trembleurs. Rose grimace mais nose pas trop protester. Pourquoi ? Je ne comprends pas. Jai honte, mais je souffre dêtre cocu.
A quand la loi qui imposera une taille unique à tous les zizis ? On en fait bien dautres sur tout. On parle tellement dégalité en ces temps de crise. Zizi AOC. Égalité des sexes masculins. Ce serait plus juste. Mais les chattes sont-elles égales ? Lenquête serait plaisante. Je deviens idiot, jai une bite minuscule, dixit ma femme à son amant bien monté. Ça me rend fou, incohérent, méchant ou délirant.
Sur mon ordinateur de bureau, par petites annonces sur des sites spécialisés, je recherche des hommes désireux de rencontrer une jeune femme ardente. Les candidats disposeront de membres longs (dix huit au minimum) et vigoureux. Des candidats se manifestent en nombre. Cest, mavouent-ils, quil nest pas toujours facile de trouver chaussure à son pied quand on fait partie des grandes tailles. La curiosité ne suffit pas à vaincre la frayeur des jouvencelles.
Jen rencontre plusieurs.
Je rends visite à son épouse. Je lui parle de largent prélevé dans la veste de son mari, de sa réputation compromise pendant quil tringlait ma femme dans le foin, je lui expose les circonstances de lévénement et finis par la convaincre avec la photo de son mari et de Rose devant le cabanon. Elle gardera les billets au chaud pour samuser des ennuis des retombées au sein de lassociation. Comme moi, elle pense la punition nécessaire et dure. Je lui promets mon aide pour confondre linfidèle, mais elle doit attendre mon signal. Cest une femme agréable qui transpire la bonne éducation reçue chez les surs, distinguée, honnête, belle et bien faite, désirable mais un peu prude : ce Benoît ne sait pas apprécier sa chance. Si cétait possible je réclamerais un échange immédiat des deux compagnes.
Tout vient à point à qui sait attendre. Mon coup est calculé, le résultat frappera les esprits.
- Ma chérie, cest demain lanniversaire de notre mariage. Jai prévu un repas dans un hôtel restaurant.
Rose se réjouit, accepte dattendre la surprise promise.
Mes complices, à lheure prévue, sont sur place, occupent des chambres proches de celle que jai réservée pour mon couple. Brigitte arrivera plus tard. Benoît est cloîtré dans notre chambre. Pendant le repas, je mabsente, monte vérifier le dispositif. Je lie Benoît à un fauteuil.
Devant la porte de la chambre, Rose accepte de porter le bandeau qui laveuglera jusquau moment de la découverte de la surprise annoncée. Elle adore mon jeu, tant mieux. Elle entre, ne voit pas lamant muet, figé de stupeur. Benoît assiste à leffeuillage de Rose, aux préliminaires des époux. Devant lui, je pratique une longue fellation aux effets rens par le bandeau. Rose prend feu, se lâche, exagère peut-être ses réactions pour me remercier de linitiative. Et puis jai une langue active, efficace que mes doigts complètent parfaitement. Dans ce domaine de préliminaires je ne crains pas la concurrence , la jouissance proclamée de mon épousePourquoi se gêner ? Rose exprime sa joie, me remercie davoir pensé à fêter cet anniversaire, attend son cadeau en me suçant le gland.
- La surprise viendra, mais uniquement quand tu auras joui plusieurs fois.
Je la prends, elle jouit. Lamant regarde en silence. Je demande à la mariée de se positionner pour une levrette, jéloigne ses genoux Jouvre la porte à mes quatre longues queues. Ils restent en admiration sur le seuil à la vue du sexe et des fesses puis se dirigent vers la cible. Ils savent. Le premier se place derrière Rose et frotte sa pine à sa vulve déjà chaude. Le deuxième présente son pénis à la bouche de Benoît horrifié, le troisième se masturbe pour se mettre en forme, le quatrième se dirige vers la tête de Rose, discrètement.
- Rose voici mon cadeau. Tu me trouves petit, minuscule. Aujourdhui je me suis fait délier laiguillette.
- Mais non, mon chéri. Où vas-tu chercher des histoires pareilles ? Tu es très bien .
- Ton coach Benoît ma répété que tu me trouvais « minuscule ». Sens-tu lamélioration.
- Cest un menteur. Il nest plus mon coach. Oh! Ce nest pas possible !
- Benoît est-il encore ton amant ?
- Chéri, cest notre anniversaire de mariage. Oublions ce prétentieux , ce type là, mon amant, non mais tu plaisantes?
- Es-tu prête à baiser ?
- Mais oui, dépêche-toi. Je tattends.
Benoît a la bouche pleine et respecte le silence imposé.
- Attention, jouvre ton sexe, ma queue arrive.
- Quelle queue? Oh!! Cest gros. Tu as acheté et utilisé un extenseur ? Oh! Tu nen finis pas dentrer. Je veux voir.
-Non, garde le bandeau.
Le type avance, lentement, ménage sa monture. Cest un malin, il veut aller loin. Il tient solidement les hanches de Rose et entame une longue série de mouvements en aller-retour. Rose comprend la nature du cadeau.
- Paul, tu es un mari merveilleux. Japprécie. Mais jure-moi que cest la dernière fois. Je taime. Oh! Cest si bon. Comment sappelle mon sabreur ?
- Anonyme. Tu ne le verras plus, cest sans importance.
- Hum, Paul, quest-ce qui se passe ?
- Pcht, ouvre la bouche et suce.
- Une deuxième !
La grande bite dun second pénètre ses lèvres, lui coupe la parole. Celui-là fixe la chevelure et fait aller et venir la tête. La bouche coulisse mais Rose ne peut plus parler. A larrière le premier se cale contre les fesses, il éjacule longuement, déverse son onguent, se retire. Cruel je libère Benoît, le pousse derrière la croupe de Rose,
-Allez, nettoie sa chatte, lèche ou Brigitte saura.
La peur de perdre sa femme le soumet à mes exigences. Si Rose pouvait parler, elle dirait quel plaisir elle reçoit de cette langue. Reconnaît-elle son amant dans ses uvres, à son coup de langue ou à sa manière de lui aspirer le liquide ? Je ne crois pas, la massue qui la envahie a anesthésié son vagin et ses petites lèvres es. Je craignais de lentendre refuser le cadeau si spécial. Non, elle semble vouloir profiter au maximum de cette expérience. Elle a compris au moins deux choses : en premier jai loué les services de plusieurs mâles, elle apprendra au fur et à mesure du déroulement combien ils sont.
Ensuite le premier assaut lui a révélé que javais réuni des sexes de grande taille pour célébrer lanniversaire de non noces, bien plus longs et plus épais que celui de son amant Benoît. Jévite de me comparer à eux. Les quatre hommes effectuent une ronde sans fin, lui remplissent de sperme le ventre et la bouche, lun après lautre. Réussira-t-elle à les différencier selon des détails particuliers, est-ce son souci, ne se contente-t-elle pas de se sentir prise successivement dans des positions variées, coincée sous lun, à cheval sur lautre, mais toujours aveuglée par son bandeau.
Benoît prend finalement son pied. Il retrouve sa maîtresse,sen réjouit et il lèche la vulve, il aspire le foutre qui déborde de la bouche. Rose subit les assauts avec philosophie, ne réclame plus de voir ces bons baiseurs. Cest un festival, elle en est la vedette. Les gars sencouragent, heureux de laccueil de ce vagin avide de sadapter à leur volume.
Car ils ont ordre de se contenter du vagin après une stimulation buccale ou manuelle. Le manège tourne, les décharges de foutre se succèdent, Rose sefforce de se montrer souple et docile, parfaitement soumise à mes désirs. Benoît fatigue, enrage den être réduit au rôle déponge à sperme, il en bave, mais obéit. Lanus reste neutre dans sa section cachée, à peine gratouillé en surface par des ongles égarés.
Au milieu des bruits de succion, de pénétration en milieu liquide, jentends frapper à la porte. Je ligote les pieds et les mains de Benoît, avec un peu de jeu pour ne pas le blesser. Cest pour lui éviter de fuir ou de se battre. Il sest fait à son rôle damant cocu, a trouvé agréable de pouvoir participer à la fête avec sa bouche. Jaimerais que cela continue. Car il va connaître à son tour une énorme surprise. Il ne sait pas qui veut nous rejoindre et se montre zélé dans son rôle. Espère-t-il obtenir le droit de troncher lui aussi la reine de la fête ? Malgré ses entraves, il lape vivement, comme un chat affamé, le reflux de cette chatte aimée débordante de spermatozoïdes étrangers
Jouvre la porte à Brigitte. Elle entre, voit tout ce monde nu, ferait demi-tour. Je la retiens et je lui expose la situation, à voix haute. Elle sétonne dentendre quelle visite une fête danniversaire de mariage. Elle examine attentivement les héros actuellement à larrêt. Ouvre des yeux ronds à la vue des sceptres royaux. Elle na jamais vu ça, si gros, si longs, avec des couilles aussi lourdes. Je lui désigne lhomme de ménage occupé à débarrasser le trop plein dhumeurs sortant de la cramouille de mon épouse :
- Reconnaissez-vous lagent de surface si appliqué à faire place nette avant les prochains accouplements.
- Non, il est de dos. Je le connais?
- Cest Benoît.
Brigitte fonce sur Benoît en train de nettoyer la vulve de Rose, lui assène une gifle magistrale et dévisage chacun des hommes, vise particulièrement le bas ventre son époux et frappe pour la deuxième fois. Je relève Rose,ma chasseuse de gros chibres pour une plage de repos. Trop de plaisir tue le plaisir. Comme les mâles, elle a besoin de reprendre des forces avant de sadonner à de nouveaux ébats.
- Rose, viens, donne-moi la main, repose-toi un peu dans ce fauteuil. Brigitte souhaite peut-être recevoir des indications sur ton état desprit, sur tes sensations, sur un éventuel état de fatigue.
- Vous allez bien ? Cest supportable ? Il est inutile de palabrer, vous resplendissez dit larrivante.
Jajoute à lintention de ma femme adultère :
- Tu pourras recommencer à baiser si tu le souhaites.
Soudain Brigitte se dirige vers Rose, arrache le ruban :
- Je veux voir ses yeux. Ho, Benoît qua-t-elle de plus que moi, ta putain ?
Où est passée sa bonne éducation ? Brigitte est méconnaissable à force de bouillir dans lattente de sa vengeance. Elle se délivre de ses vêtements, se met nue. Cest une jolie femme, bien en chair, montée sur de magnifiques jambes, longues et sans cellulite, pur produit des instituts de beauté. Son pubis aux bouclettes dorées attire les regards, quand ils ne sont pas fascinés par son opulente poitrine
Benoît disparaîtrait volontiers, se fait tout petit. Lapparition de sa femme au pire moment est une catastrophe et le glace deffroi. Il ne peut pas riposter à sa terrible gifle, est publiquement humilié par le coup. Or voilà une suite inattendue, sa moitié si précieuse se dénude entièrement devant moi et les quatre malabars musclés et super équipés sous la ceinture. Il na plus la force de réagir.
- Toi, espèce de cochon, dit Brigitte la superbe quadra à son mari, regarde et ne bouge pas.
Pieds et poings liés il nen a pas la possibilité. La crainte du rejet définitif suffit à lui couper tous les moyens dentreprendre. Brigitte sinstalle sur le lit, appelle les quatre hommes :
-Venez, vous autres, baisez-moi, faites-moi lamour. Mes trous sont à vous. Dis, Benoît, tu vois ces belles bites. Tu es ridicule à côté deux. Messieurs, on y va ? Saluez-moi dun coup de votre gourdin lun après lautre puis sautez-moi comme des sauvages, je veux jouir, jouir, jouir.
Brigitte disparaît au centre des étalons. Les membres se mélangent, les corps semmêlent, les grognements et les gémissements se confondent. Quel capharnaüm ! Je tourne le dos au lit et joblige Benoît à regarder lorgie. Il pleure toutes les larmes de son corps.
- Rose, tu devrais le consoler. Fais quelque chose pour ton amant, branle-le, fais lui une fellation. Faut-il le coucher sur le dos afin que tu puisses te laisser glisser le long de sa tige ? Si tu le désires je peux faire amener une botte de foin du poulailler.
Aujourdhui Rose perd sa voix, me regarde horrifiée.
- Oh ! Cest ça. Tu savais, tu nous as vus ? Tu te venges ! Toute cette mise en scène a un seul but : mhumilier et abaisser Benoît. Le cambrioleur
- Oui, le cambrioleur cétait moi. Jai rendu largent à Brigitte et pour la deuxième et dernière fois je te rends une culotte dont tu nas pas déclaré le vol : je lai subtilisée sur la clenche de porte de la remise où tu baisais avec Benoît. Sa queue est à ta disposition. Sa femme ne voudra plus de lui.
Une main touche mon épaule, celle de Brigitte :
- Mais si, jai encore besoin de ce salaud. Lèche-moi le con, cher mari, allez, lèche, noublie pas mon anus : le plus mince des quatre me la saccagé et noyé. Quel bonheur. Tu las fait pour Elle, tu peux le faire pour moi. Vite
Benoît se soumet, se courbe, se tord le cou pour recueillir les sécrétions dans les plis de la vulve, sur les seins, dans le nombril, sur les pieds, sur les yeux, partout, il avale pendant que je chantonne : « et les ailes, et les pattes, et les yeux et la tête, et le con et le cul, alouette, alouette, hahahaha Alouette, gentille alouette
» Brigitte est à la fête, se tord de rire, elle le repousse:
- Nous divorcerons si tu ne morganises pas des fêtes aussi attrayantes.
- Mais, chérie
oui, bien sûr.
- Ferme-la. Tu pourras y inviter ta copine et elle pourra taider à pomper le jus de mes amants. Vous serez chargés du ménage et de lintendance, nus comme ici. Vous aurez le droit de vous envoyer en lair. A lavenir tu ne me baiseras plus, cette putain me remplacera dans ton lit. Ton lit, pas le mien, nous ferons chambre à part.
Elle retourne sur la couche, écarte les cuisses, se redresse pour un défi :
- Je rêve depuis longtemps de me faire prendre simultanément par trois massues. Merci Paul de men donner loccasion. Pour toi, Paul, ce sera quand tu voudras, où tu voudras, comme tu voudras, aussi souvent que tu voudras. Elle est si mignonne ta verge. Alors les gars, ça vient ! Un dessous, oui, encule-moi. Aïe, wouhaa, oh ! Un dessus, hum, doucement, tu es à côté, attends je te place. Un dans la bouche, attends, le dernier dans ma main. Entrez, entrez, cest gratuit.
Le sperme coule de nouveau. Brigitte se poste devant son homme et ordonne : travaille pompe, nettoie.
Je me rhabille. Rose se lève :
- Tu pars, emmène-moi.
- Comment ? Tu ne veux pas profiter encore de ton cadeau ? Cest le dernier du genre, modèle unique, je ne ten ferai pas dautre : mon cadeau dadieu, en somme
- Non, ne me quitte pas.
- Ça ne ta pas plu ?
- Si. Merci, mais ils mont fatiguée, je nen peux plus. Ça suffit. Tu savais pour Benoît : Tu as laissé faire, ce nest pas juste. Tu as triché, tu dois pardonner. Pardonnes-tu ?
- Si tu me dis ce que tu as fait de « ton » vibromasseur et de « ton « uf vibrant. », peut-être
- Je men doutais : tu savais ça aussi et tu as acheté les mêmes exprès.
- Et alors ?
- Claudine me les a réclamés. On garde les tiens ?
- Non. Si tu ne peux pas te contenter de moi, va, quitte-moi. Rien ne toblige à revenir à la maison ce soir. Je crois que Benoît sera libre, sa femme a déjà contacté son avocat pour divorcer.
- Mais non, il devra lui fournir des amants. Tu nes pas assez attentif, elle le garde comme organisateur de ses plaisirs
- Et il pourra te défoncer devant elle et eux. Les hommes pourront te culbuter. Ta vie sera plus belle, mieux remplie. Reste avec Benoît.
- Ma vie ne sera pas belle sans toi. Dis, mon amour, tu niras pas chez Brigitte, jure-le moi. Je taime. Ça y est. Maintenant je sais ce quest une grosse queue. Je nai plus besoin de chercher. Pas Brigitte, non, garde-moi,
dit-elle entre ses dents, puis plus fort :
- Paul, ne va pas chez Brigitte, tu es à moi. Attends-moi, je mhabille. Qui a pris ma culotte ? Oh! Je la vois, dans ta poche. Encore toi mon amour ! Rends-moi ma culotte.
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