Hôtesse De L'Air, Fruit Défendu Et Tentatrice

Ma fiancée et moi sommes partis en vacances à l’étranger et nous prîmes l’avion pour ce faire. Il s’agissait de nos dernières vacances avant le mariage et elles furent délicieuses et reposantes.

Pour le retour, nous voyagions en business class chez Air France avec deux sièges côte à côte près du hublot. En entrant dans l’avion, les stewards et hôtesses nous accueillirent et nous désignèrent nos sièges.

L’une des hôtesses était particulièrement belle, élégante et désirable ; le fantasme de l’hôtesse de l’air par excellence pour moi : grande mais pas trop, les cheveux légèrement gris coiffés sous son chapeau, son uniforme tiré à 4 épingles. Sa poitrine était présente, sans être importante, mais le tailleur la mettait véritablement en valeur.

Sûrement n’ai-je pas été suffisamment discret car elle m’a lancé un regard qui me pénétra au cœur. Ma fiancée et moi nous somme assis à nos places et au fur et à mesure que l’hôtesse circulait dans le couloir, nous nous observions discrètement pour les autres mais intensément.

S’agissant d’un vol de nuit, les lumières se sont éteintes après le dîner et je lisais un livre tandis que ma moitié s’endormit la tête sur mon épaule après avoir pris un somnifère. Toute la cabine était plongée dans un silence relatif, et il était tard. Les voyageurs dormaient.

Alors que je lisais, mon l’hôtesse s’est approchée de mon siège. J’étais assis côté couloir et ma fiancée côté hublot. Je ne savais pas quoi faire ou quoi dire, mais je persistais à penser qu’il se dégageait d’elle une intensité sexuelle et une élégance délicieuses.

Elle s’est penchée vers moi comme pour me murmurer à l’oreille. Son visage était à 20 centimètres du mien et je pouvais sentir son odeur. Mais elle ne dit rien.

Elle est restée silencieuse et j’étais troublée tant par elle que par sa proximité. Malgré la présence de ma fiancée à mes côtés, je voulais lui dire qu’elle était merveilleuse et que je ferais tout pour elle mais son regard semblait m’imposer le silence également.



Quand elle a compris que je ne dirai rien, elle s'est penchée en avant vers moi et a enfilé un gant noir en cuir à l’une de ses mains et a ouvert la braguette de mon pantalon. Lentement mais ferment, elle saisit mon sexe érigé avant même qu’elle se gante et l’a sorti. Je bandais devant elle.

Toujours sans que nos regards ne se quittent, elle a commencé à me masturber très lentement. Très lentement pour que je ne bouge pas et ne réveille pas ma fiancée. Mais l’excitation montait et c’était dur de ne pas gigoter sous ses caresses.

Elle restait silencieuse pendant qu’elle me masturbait mais ses yeux me disaient que j’étais un vilain garçon qui avait de vilaines pensées et dont je devrais avoir honte. Je voulais répondre qu’elle avait raison et que je soumettais à elle. Je voulais l’appeler Maîtresse ou Madame.

Mais je me tus. Douloureusement car plus l’excitation montait, plus je m’approchais du moment où je ne pourrais résister à laisser tomber ma fiancée et ma vie pour lui dire que je ferais tout ce qu’elle voudrait.

Son regard montrait clairement qu’elle me savait sous son emprise. Le contact de sa main gantée sur mon sexe me faisait perdre pied tandis qu’elle ouvrait légèrement la bouche comme pour me parler. Mais non, aucun mot. Seulement sa main qui montait et descendait le long de mon sexe.

Chaque mouvement m’envoyait au paradis et ses yeux me rappelaient que j’étais en enfer. Sa masturbation était autant un plaisir intense qu’elle prodiguait à un adulte qu’une punition infligée comme à un tant j’avais peur de bouger. Ma fiancée et ses yeux m’ordonnait de rester immobile.

Mais tout mon corps voulait répondre au plaisir donné par sa main sur mon sexe. Je voulais lui rendre la pareille mais n’osais pas ; elle ne me l’avait pas permis. Je voulais l’imaginer nue mais sa tenue d’hôtesse était encore plus excitante.

Je me disais que si elle relevait sa jupe et me chevauchait en plein vol, je ne pourrais m'empêcher de la toucher même si ma fiancée se réveillait, et que les autres passagers filmaient.
J'étais tout à elle et tout au plaisir qu'elle voulait bien me procurer.

Mon sexe était humide de liquide séminal et le cuir glissait sur mon gland. Je me retenais de gémir ou de gigoter, ou même de lui saisir la main pour qu’elle aille plus vite. Je n’en pouvais plus et je chuchotais le plus doucement possible : « Maîtresse, Madame, s’il vous plait… ».

Elle s’approcha encore et passa délicatement sa langue sur mes lèvres. A ce moment là, j’ai senti l’éjaculation venir. Elle le comprit et s’arrêta net. J’éjaculais en l’air, au dessus de moi en tremblotant de plaisir.

J’essayais de contrôler ma respiration pour ne pas réveiller ma douce. Le regard de cette femme ne me quittait toujours pas.

Une fois calmé, elle saisit à nouveau mon sexe souillé pour le ranger dans mon pantalon. Elle se releva de toute sa hauteur, toujours en me regardant. Je voulais qu’elle me dise que ce n’était que le début et qu’elle me soumettrait à sa volonté et son corps.

Mais elle ne fit rien et partit. J’ai nettoyé mon sperme doucement et j’ai scruté tout passage de mon hôtesse mais n’ai eu droit qu’à des regards intenses semblant dire qu’il n’y aura rien de plus. A la sortie de l’avion, elle m’a tout de même glissé le gant dans mon sac et depuis je me masturbe toujours avec.

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