La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1501)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode N°1410) -
- Jouit Ma salope, je lexige
Les premiers pas de soumise Marie au Château :
Un peu plus tard, le Seigneur dEvans fit venir Marie, la nouvelle venue et future soumise, dans Son cabinet de travail. Quand elle fut autorisée à entrer, elle se mit à genoux à bonne distance de la table du Maître et attendit quIl prenne la parole, ce quIl fit quelques minutes plus tard.
- Marie, si je tai fait venir aujourdhui, cest pour plusieurs raisons. Tout dabord comment se passe ton séjour, ici, dans Mon Château ?
- Très bien Maître, je Vous en remercie. Jai été très bien accueillie par les membres de Votre noble Famille et par Vos soumises qui mont expliqué beaucoup de choses, notamment sur mon comportement à adopter, sur les Règles et le fonctionnement de Votre Château. Sinon, jai juste encore un peu de difficulté à morienter, tant Votre Demeure est vaste...
Le Seigneur dEvans sourit intérieurement heureux que Ses soumises aient toujours été aimables et bienveillantes envers les nouvelles, sans jamais se prétendre supérieures. Mais cela venait de Lui car Il avait su leur apprendre à se respecter les unes envers les autres via Son Education, à veiller les unes sur les autres et surtout cela venait aussi du fait quIl avait un don inexplicable du fonctionnement humain (ce que lon appelle de nos jours la psychologie humaine) et de respect de chaque personne le méritant.
- Très bien
Donc tu es parfaitement au courant de comment je fonctionne et surtout de ce qui tattends !
- Oui, Maître, il ny a aucune équivoque, tout est parfaitement clair dans mon esprit et je ninspire quà une seule chose, devenir Votre soumise et faire Votre fierté
- Parfait
Alors approche un peu... et attend Mon bon Vouloir...
Le Maître se leva et alla dans Son armoire et en sortit un collier métallique.
- Je tai fait faire un nouveau collier par mon maréchal-ferrant, un collier digne dune soumise SCE (Sigle de lépoque voulant dire Seigneur Charles dEvans). Mais, avant que je ne te le pose, es-tu prête à Mobéir, à suivre Mon Education, à te donner corps et âme, corps, cur et esprit à Ma Noble Personne, à tout faire pour Mon plaisir et Ma satisfaction et en bonne connaissance de cause ?
- Oh oui Maître, cela est mon souhait le plus cher et je sais à quoi je mengage et à Qui je donne ma vie, mon corps et mon esprit.
Le Seigneur dEvans lui attacha alors le collier avec toute la solennité requise :
- Ce collier et gravé soumise Marie SCE, portes-le toujours avec fierté et reconnaissance. A partir de cet instant officiellement tu Mappartiens à vie et tu Me dois une obéissance absolue quand que jexige. En retour, je mengage à ne jamais te mettre en danger, à te protéger et à te faire grandir dans ta soumission, à Mes pieds
Marie baisa la main du Maître avec une reconnaissance infinie et ne pouvant retenir ses larmes tant elle était heureuse et pleine de gratitude de ce cadeau que lui faisait le Maître de bien vouloir laccepter dans Son Cheptel. Le remerciant chaleureusement et sincèrement, des larmes coulaient doucement sur ses joues tellement émue quelle avait du mal à trouver ses mots pour exprimer son impressionnant bonheur. Le Seigneur dEvans Lui-Même était vraiment ému car cétait pour Lui, et cest toujours, un grand moment la pose du collier pour la première fois...
- Une dernière chose avant de commencer ton dressage. Ecoutes-Moi bien, cest très important : Le Château nest pas une prison, tu es libre de partir quand bon te semble et de reprendre ta liberté mais attention si un jour tu fais ce choix ce sera sans possibilité de retour à Mes pieds. Tu as bien compris ?
- Oui Maître mais pourquoi voudrais-je quitter lendroit que je naurais jamais espéré trouver ?
- Parfait.
Le Maître claqua alors des doigts deux fois. Marie se mit aussitôt en levrette croupe relevée, jambes bien écartées.
- Je vois que tu as bien retenu ce quelles tont appris, cela Me sied.
Le Seigneur dEvans tourna tout autour delle, admirant son magnifique corps nu à la peau blanche de cette jeune et très belle femelle à la superbe plastique, à ses formes bien proportionnées, à ses beaux et gros seins bien fermes aux tétons rosés, à ses larges hanches, à son cul bien exposé et sa chatte qui brillait déjà dhumidité dune évidente excitation. Le Maître lui caressa les cheveux, la nuque, les épaules, le dos et les fesses quIl claqua également. Ensuite, Il passa Sa main sur sa chatte et y trouva de la cyprine dégoulinante accentuée par la situation inédite pour elle, mais aussi par Ses caresses et surtout Ses claques. Le Seigneur dEvans commença alors par la doigter doucement, délicatement tout en agaçant son clito très réceptif. Soudain Son touché se fit plus inquisiteur, plus rapide, plus profond. Marie gémissait de plaisir le Maitre y mit presque la main entière dans un fist délicieux pour Marie. Quand Il la retira, Sa main était trempée de cyprine Il la lui présenta pour quelle lèche et la nettoie de sa langue de chienne. La jeune Marie lui nettoya Sa main et Ses doigts bien consciencieusement tandis que le Maître lui questionna :
-Bien, je constate que tu nes plus pucelle. Qui ta défloré ?
- Jai été dépucelée, il y a 2 ans par un paysan du hameau du Petit Vallon, dans sa grange en plein été, le soir de la fête du village. Le brave vieux Benoit. Il ma attrapé alors que je nettoyais les tables après le banquet champêtre. Il ma attiré dans le foin et ma embrassé doucement dans le cou, sans me demander mon avis
Au début je me débattais un peu et puis jai cédé car il na pas fait violence, jai apprécié ses agréables coups de langues qui mexcitaient, je dois bien lavouer avec ses caresses lentes sur mon chemisier au niveau de mes seins, jétais toute chose
Alors je me suis donné à lui car il a su mexciter sans me prendre tout de suite et quand il ma pénétré, jai aimé, il a usé de douceur et il ma fait jouir
- Donc tu as aimé !
- Oui Maître
- Et depuis ?
- Depuis, je me suis souvent donné au père Benoit en secret et officiellement au Comte du Forez
- Bien.
- Oui Maître, bien entendu.
- Alors, maintenant continuons
Debout penchée en avant, en appui sur la cheminée. Exécution salope.
- Oui Maître, répondit Marie en se mettant dans la position exigée.
Le Maître prit Son martinet et lui dit.
- Tu comptes avec Moi et Me remercie après chaque coup, en cas derreur ou dun seul cri, je recommence à zéro. Est- ce bien clair?
- Oui Maître tout à fait.
Le premier coup tomba, pas trop fort car le Seigneur dEvans voulait avant tout tester sa résistance.
- Un, merci Maître
- Deux, merci Maître ...
(A suivre)
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