Débauches Nouvelles
Ses débauches
Laure mon amie (belle brune très libertine et avide de tous les plaisirs de la chair) ancienne collègue de lycée plus jeune que moi me fit un jour une proposition :
« Si tu me trouves une femme plus âgée que moi, autoritaire et très salope pour jouer avec moi, je te récompenserais. »
Je fis mes recherches et lui trouvais ce qui devait lui convenir.
Lors de ma récompense (deux jours de folles baises) elle me raconta ce qui suit.
(Il sagit dune retranscription rédigée et revue avec elle)
« Jai donc contacté Laetitia par mail. Elle avait compris ma demande, mes envies et avait très envie de me rencontrer. Dominatrice, autoritaire très motivée, libre de paroles - et de corps -, elle me donnait foutrement désir de la voir. Elle avait prévu un week-end très chaud et plein de débauches dans lesquelles je brûlais de me vautrer. Elle ne mavait rien précisé de ce qui mattendait, il suffisait que je sois soumise à ses envies.
Je me rends donc chez elle un samedi matin. Excitée, vêtue dans une tenue bien pute (elle me lavait imposée): mini en cuir, string en coton blanc, tee-shirt laissant libre vie à mes seins, bottines et deux couettes pour paraître « petite fille soumise ».
Elle mavait dit :
« Je vais parfaire ton éducation de petite salope encore bien innocente, tu vas voir ce que lon peut faire et tout ce que tu as encore à apprendre. »
Je sonne à sa porte. Je la découvre. Belle femme, la cinquantaine, grande, bien faite, cheveux auburn, bouche sensuelle, regard pénétrant.
Elle porte un short en jean, effrangé, poitrine quasi à lair.
Dès mon entrée, alors que nous navons échangé aucune parole, elle me plaque contre un mur, fourre sa langue dans ma bouche. Nous échangeons nos salives, nos langues se mélangent. Elle vient fouiller sous ma jupe comme pour une inspection. Je mouille de peur et denvies.
« Tu es une belle salope, avec moi tu vas apprendre à être une vraie cochonne.
Je suis très excitée, je dois lavouer, intriguée. Jai envie de retourner à lécole (ici, celle du vice). Jai toujours eu soif de connaissances.
Elle minvite à venir prendre un verre. Elle se met à côté de moi. Il ny a pas de verre, juste une bouteille dalcool dont elle prend une lampée quelle déverse dans ma bouche. Elle répète la scène plusieurs fois laissant parfois échapper du liquide de sa bouche sur son corps ou le mien. Pendant ce temps elle introduit un puis deux doigts dans mon petit trou. Je me trémousse prête à jouir. Jai vraiment envie de devenir cette cochonne quelle veut faire de moi. Elle me susurre à loreille tout un flot de mos cochons, me traitant de pouffiasse, putasse, vide-couilles, paillasse à bites, suceuse, pisseuse, baisarde, baiseuse
Elle me promet des enculades avec des inconnus et dautres réjouissances.
Je suis folle, jadore ses mots, je me sens à sa merci et devenir celle quelle veut faire de moi. Je mouille, mon clito est tellement bandé quil me fait mal.
Elle me dit : « Maintenant tu vas faire ma toilette. Tu vas nettoyer mon short bien dégueulasse avec ta langue, puis ma culotte souillée et enfin ma chatte. Je vais me retourner à chaque fois afin que tout soit bien astiqué de tous les côtés ! »
Je mexécute avec application, devant, derrière. Dabord son short bien crade, il est vrai, mais il me plait et jaimerai en porter un comme ça. Puis sa culotte bien trempée de mouille et de pisse. Puis son sexe, sa fente, son cul. Je lèche, suce, relèche, introduis ma langue dans les plis et replis les plus intimes. Cest bon et dégueulasse à la fois mais ça lui plait. A moi aussi.
Je deviens gouine, je gouinasse. Broute. Et mouille comme jamais.
Laetitia est satisfaite par ma prestation. Je suis un peu épuisée. Ces contacts intimes avec une chatte bien huileuse mont très émue.
Suis-je devenue gouine moi qui aime tant les bites ? Je savais que je plaisais aux femmes, je ne savais pas encore que jaimais les femmes.
Après un temps de repos, Laeti mordonne denfiler son short bien dégueu et de quitter ma mini en cuir quelle enfile. Elle est super bandante, mouillante, veux-je dire. Après une petite collation restauratrice elle mannonce la venue dune surprise pour moi. Je suis prête à tous les excès.
On sonne à sa porte. Un type, pas mon genre, entre. Elle me le présente. Un vieux salopard de toute évidence avec qui je vais devoir « mamuser ». On fait rapide connaissance, Laeti se retire (elle assistera en voyeuse à nos ébats).
Ce type est gros, vieux, vulgaire dapparence et de propos. On fait connaissance rapide : mains au cul, bouches et langues enlacées, il a de grosses balloches (jadore), il bande bien raide (jaime). Je mouille fort (il apprécie). Il me traite de salope (je ne déteste pas). On se tripote. Japprécie sa belle grosse bite et ses énormes couilles bien pleines (je nai rien contre, cest même la seule chose qui me plaise chez ce gros cochon). Il me dit des mots vulgaires, me traite de pouffiasse (ce que je suis ou du moins ce que jai envie dêtre). Jen viens à lui sucer sa grosse queue (il apprécie, moi aussi). Il mencule enfin (ce que jaime).
Je lui intime lordre de faire ma toilette et nous recommençons ce que javais fait avec Laeti. Il aime ça, me bouffe littéralement passe sa langue dans tous mes plis, fentes et trous.
Laeti est très satisfaite de moi : « tu es une vraie pouffe, une bonne élève mais tu dois encore faire des progrès ».
Nous reprenons un petit temps de repos. « Maintenant nous allons sortir ». Je suis obligée de garder son short bien crade, bien mouillé, souillé de traces de pisse, de foutre malgré le ménage consciencieux de lautre saligaud. Je suis aux ordres. Jai envie de tout ce quelle veut. Je lui dis que jai envie dune belle chatte. « Pas de problème, tu vas en avoir ma belle salope, mais tu auras dabord encore une grosse bite».
Je suis gênée dêtre en cette tenue, elle a mis ma mini en cuir.
Toute souillée je reviens vers Laeti à qui je raconte mes « exploits » de traînée. Elle moffre encore un verre et me dit que nous allons retourner chez elle où certaines surprises mattendent.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!