Saga De Chloé/Elina 7 : Le Foyer De Travailleur (1)

Saga de Chloé/Elina
Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne 1,2,3,4
Elina organise elle-même une soirée gang-bang 5,6



Résumé : Chloé, sous le pseudo d’Elina, est passé d’une vie tranquille à une vie de débauche dans laquelle elle s’est découverte : elle appartiendra à un homme qui l’utilisera sans la prendre pour lui-même, il ne lui parlera pas, elle connaitra beaucoup d’excitation mais peu de jouissance.




Je suis, après ces trois jours de folies, rentrée chez moi et j’ai repris mon travail. J’ai retrouvé ma famille avec plaisir surtout mes petites filles. Quant à mon travail au bureau, il me semble bien monotone : heureusement qu’il y a les déplacements pour rompre un peu le quotidien. J’ai d’ailleurs l’intention d’aller parler à mon directeur pour lui demander un poste de commerciale à plein temps pour pouvoir – cela je ne lui dirais pas – avoir plus d’autonomie et organiser ma vie plus librement entre ma vie professionnelle, ma fille de famille et la vie d’Elina.

Mon ennui est de courte durée car trois jours plus tard, je reçois mon premier SMS :

- Rendez-vous demain après-midi seize heures à la même adresse que la première fois c’est là que j’habite. Sonne à la porte 3B, mon épouse, Jasmine, t’y attendra.
- Faut-il que j’apporte quelque chose de spécial, une tenue particulière ?
- Haha !!! Je t’ai assuré la sécurité mais pas une clientèle choisie. Mais au fond, c’est ce que tu cherches, non ? Ces gens-là ne sont pas amateurs de dentelles, ne t’inquiète pas de cela. Sois à l’heure par respect pour ma femme et n’oublie pas de bander tes yeux.
- Bien Monsieur, j’y serai.

J’ai peu de temps pour m’organiser. Il faut que j’invente un déplacement professionnel de dernière minute pour mon mari et que j’invente un problème familial pour mon directeur. Ce n’est pas très compliqué. Mon mari a l’habitude car cela arrive souvent dans mon travail et d’autre part mon directeur est très compréhensif avec les collaborateurs qui ont de bons rendements comme c’est mon cas.

Il est très humain. En même temps, je me demande combien de temps cela va pouvoir durer…

Je passe en vitesse à la maison chercher quelques affaires et embrasser mes fillettes. J’ai vraiment honte de les laisser à la nounou sachant ce que je vais faire et à quoi je vais ressembler dans quelques heures. Heureusement l’Inaccessible m’a promis que mes deux mondes resteraient séparés. J’ai honte mais c’est plus fort que moi j’ai besoin de cette vie-là aussi, j’ai besoin d’être Elina même si vu de l’extérieur ce n’est pas glorieux.

Trois heures, j’ai juste le temps de monter dans ma voiture et de me rendre dans la cité où j’avais eu mon premier rendez-vous avec les joueurs en ligne.
En chemin je suis toute excitée, je me demande ce qui m’attend et ce que je vais vivre mais c’est de me retrouver avec Sa femme qui m’intrigue le plus. Je ne sais pas à quoi m’attendre.

Je gare ma voiture, prends mon sac et sors le masque en satin obturateur que j’ai pris soin d’acheter car j’ai trouvé que c’était plus confortable qu’un bandeau et plus sexy bien que j’aie bien compris que sexy n’avait, dans ma situation, que peu d’intérêt car je vais être jetée en pâture à des affamés de sexe contre de l’argent.

Je monte les trois étages, enfile mon masque et sonne. C’est une voix de jeune femme qui m’accueille.

- Entrez, entrez, Il m’a dit que vous deviez arriver à 4 heures, c’est parfait.
- B’jour…
- Je m’appelle Jasmine. Je vous ai préparé un repas, vous allez en avoir besoin car la nuit sera longue, mangez après vous vous reposerez dit-elle doucement et gentiment.
Sans mot dire et dans l’obscurité, je prends ce repas oriental et épicé.

Elle m’amène ensuite dans une chambre où elle m’allonge sur un futon pour me que je repose quelques heures.

Il rentre et j’entends Sa voix. Il lui parle tendrement, Il la couvre de baisers et de petits mots d’amours. Il mange à son tour avec elle.

Puis ils se couchent sur leur lit et font l’Amour.
Je suis à la dévorée par le désir. J’aimerais être à sa place. Ils ne font rien pour que je n’entende pas. Ils jouissent tous les deux, se douchent et se rhabillent en s’amusant comme des s.

Elle vient me chercher pour me laver. Elle fait couler l’eau dans la baignoire et je ne suis plus surprise désormais de constater qu’elle est froide. Elle me lave partout surtout entre mes cuisses et au plus profond de mon anus qu’elle le peut. Elle m’essuie et m’apporte mes vêtements pour que je m’habille.

- Donne-lui des vêtements de rechange pour le retour en cas de problème avec les siens… Ce sera plus prudent…
- Voilà…
- Ce soir tu auras deux gardes du corps Djamal et Driss, tu ne risques rien, ils sont fiables et c’est mon époux qui viendra, comme à chaque fois, te rechercher. Ne parle pas trop. C’est mal vu. Compris ?

Elle m’accompagne jusqu’à la voiture de Djamal et Driss, nous présente et me fait monter à l’arrière.

Avide d’une caresse, je tente de passer ma main sur la cuisse de l’homme qui est assis à côté de moi. Celui-ci la repousse sèchement.

- Nous n’avons aucun contact avec les rabatteuses Madame.

Ainsi donc, voilà ce que je suis devenue : une pute. Cela me dégoûte mais la perspective de la soirée me file des grouillements dans le bas ventre, chose que je n’ai plus connu depuis ma dernière soirée à l’hôtel.

- Elina, me dit l’autre homme, pour ta première soirée parmi nous, tu vas faire des heureux car nous allons dans un foyer de travailleurs étrangers qui vivent loin de leur famille et de leur femme. Ils ne parlent pas tous français. Ils sont de toutes nationalités et de toutes ethnies. Mais tu n’auras pas à parler, haha !!! tu auras souvent la bouche pleine !
- Combien sont-ils ? dis-je un peu effrayée.
- Aujourd’hui, on a fait soft pour ton premier soir. Ils ne seront qu’une quinzaine.
Tu commences par vider le trop-plein avec branlettes et pipes avant de passer aux choses sérieuses pour que ça dure un peu plus longtemps, d’acc ?
- D’accord, répondis-je, pensé-je que de toute façon je n’avais pas le choix.


Nous entrons dans une pièce enfumée, à l’odeur de renfermé et de sueur. J’entends des discussions dans diverses langues qui me semblent être pour certaines arabes, africaines et slaves.
J’entends ensuite le bruit de l’argent qui passe de main et en main jusqu’à ce Djamal me dise :

- Tout est OK, c’est parti pour quatre heures…
- Ce ne sont pas des tendres, ajoute Driss, mais tu ne risques rien, nous sommes de garde.

Ainsi, ils vont voir tout ce qui me sera fait. Cela me trouble un peu.

Une main m’att par le bras, puis une autre. Je passe de main en main. Petit à petit, les hommes se sont mis en cercle et me font passer de l’un à l’autre. Les mains se font progressivement permissives et glissent sous mes vêtements pour toucher ma poitrine, ma vulve, ma raie. Quelques doigts pénètrent ma bouche et s’essuient sur quelque partie de mon visage ou de mon corps.

- Viens Madame, tu as l’air bonne pour la bite…
- Elle me fait plus… la queue plus grosse que celle du mois dernier…
- Viens là salope…
- Non… Là poufiasse…
- Chienne…

Certains parlent bien le français, c’est le cas des maghrébins et de certains africains, d’autres ne connaissent que des mots choisis dans un certain lexique.

Tantôt la danse est rapide et je manque perdre l’équilibre, tantôt un homme prend son temps pour bien toucher la marchandise.

Derrière mon masque, toutes les mains qui touchent les parties érogènes de mon corps tandis que je passe d’un homme à l’autre font naître en moi une valse érotique qui met mes sens en émoi, humidifie ma chatte et fait poindre mon clitoris. Quand Chloé réfléchit à la situation dégradante, tous ces attouchements – car il ne s’agit pas de caresses en l’occurrence - font naitre la folie du désir en Elina.

Puis vient le temps où l’un deux appuie sur ma tête pour me contrainte à m’agenouiller et j’entends les boucles de ceinturons se détacher et les pantalons tomber à terre.


Deux mains me prennent par le menton et m’intiment un ordre dans une langue que je ne comprends pas mais, instinctivement, parce que j’en ai follement en envie, j’ouvre grand la bouche et, de fait, un sexe d’homme remplit toute ma cavité buccale et la burine.

On m’a attrapé les deux mains pour que je branle les deux mecs qui sont à côté. Je m’efforce de bien coordonner mes mouvements et les bites sont bientôt très dures.

Après deux ou trois minutes, on me déplace et je gobe à nouveau une queue tandis que j’en branle deux et je les faire durcir durant quelques minutes.

L’hygiène des chibres n’est pas de première fraicheur, mon nez et même ma langue repèrent des odeurs et des goûts forts d’urine, de sperme sec, de sueur mais passés les premiers hauts le cœur, je m’accoutume.

Durant ce temps, des mains viennent par derrière sous mon tee-shirt me malaxer les seins et me pincer les mamelons. Tout en suçant, je pousse des « hummmm…. » de plaisir.

Au cours d’un changement, un homme essaie de m’enlever mon tee-shirt mais comme cela ne va pas assez vite, il le déchire et fait de même avec ma jupe et ma petite culotte. Comme je n’avais pas mis de brassière, je suis complètement nue et quand je reprends la position à genou pour pomper et masturber, je ne manque pas de laisser mes cuisses ouvertes pour que ceux qui le souhaitent viennent y mettre leurs mains.

Un Africain décide que le temps de la branlette est terminé :

- C’est bon, espèce de putain blanche, maintenant tu vas nous pomper le dard sérieusement l’un après l’autre jusqu’à ce que chacun d’entre nous se vide les bourses et te mette sa purée où il veut.
Je commence.

Sa queue est longue et large, il me l’enfonce profondément mais ses couilles ne tapent pas mon visage. J’essaie de relâcher ma gorge à chaque retour pour qu’il puisse aller plus loin et il finit par entrer son gourdin d’ébène en entier, bloquant ma respiration de longues secondes à chaque fois.

Il appuie ma tête contre son ventre, je salive, je bave, je lui malaxe les bourses mais les mains qui s’introduisent qui dans mon con, qui dans mon cul, les mains qui maltraitent mes nibards font de moi une hystérique dépravée qui avalerait une bite de cheval pourvu que les caresses continuassent.

Je sens qu’il n’est pas indifférent à ce traitement, il ne fait rien pour retarder le moment où dans un feulement rauque il m’envoie sa semence au fond de la gorge.

Tous vont se suivre pour me baiser la bouche, pour que ma langue s’enroule autour de leur gland nacré, que mes mains expertes caressent tantôt doucement tantôt fermement leurs burnes poilues, pour que je pompe avec ardeur des boudins noirs, des boudins blancs, des monstruosités ou des appendices phalliques très modestes, des colosses en pleine virilité ou des attributs fatigués par les années.

Tous se videront vite, preuve qu’ils sont en détresse sexuelle et que je suis, peut-être, une bonne pompeuse ; tous émettront des cris d’animaux en rut ; mais si certains si videront simplement au fond de ma bouche, d’autres, plus vicieux, éprouveront le besoin d’affirmer leur domination en me souillant de leur flot de foutre sur les seins, sur la gueule, dans les cheveux même.

Quant à moi, en bonne bouffeuse de bites, j’avais pris soin de nettoyer chaque verge après usage, comme il se doit.

Le black qui était passé la premier et qui parlait naturellement le français m’attire vers un canapé au fond de la pièce et m’invite à boire un verre tout en discutant de choses et autres.

J’entends qu’il y a d’autres canapés dans la pièce : ce lieu doit être un lieu commun de rencontre, un lieu de vie.

Chacun parle qui dans une langue qui dans une autre et je ne comprends que très peu des conversations autour de moi.

Le verre contient un alcool fort que je n’identifie pas n’étant pas amatrice d’alcool car l’alcool de me réussit pas. Il me fait perdre tout contrôle de moi-même, m’excite au plus haut point et m’empêche d’accéder au plaisir suprême.

J’essaie de ne pas boire mais plusieurs hommes se sont approchés et, comme dans un jeu, me font boire parce que cela fait partie de la prestation. Je finis donc le verre « cul sec » pour en finir plus rapidement sous les applaudissements de mes « clients » et de leurs rires. J’entends des bruits de verre : une autre tournée est resservie à chacun… dont moi ! Je ne m’en sortirai pas aussi facilement.

L’Africain qui est assis à côté de moi entame la conversation tout en me doigtant agréablement la fente :

- Mois c’est Amhadou. Dis-moi Elina, tu sembles être une gentille fille, comment en es-tu arrivée là ? Besoin d’argent ? Pas de famille ?

Je ne pouvais pas répondre. Je ne le savais pas moi-même. J’avais une famille, je ne gagnais pas d’argent en faisant cela. Je n’y prenais même pas mon pied le plus souvent… J’avais juste besoin d’appartenir à l’Inaccessible, de faire ce qu’il attendait de moi et quand il y avait des hommes, n’importe quels hommes, naissait en moi une excitation à la limite de la folie qui me poussait inéluctablement à assouvir le moindre de leur désir dans l’attente d’un orgasme qui ne vient quasiment jamais car si j’aime être remplie par tous les trous, si j’aime être labourée en largeur et en profondeur, je suis une clitoridienne qui a besoin qu’on lui masse amoureusement le bourgeon pendant le fourrage. Autant dire que dans les dernières situations que j’ai vécues, cela n’advient jamais car aucun de tous ces hommes ne se soucie de mon plaisir. J’irais même jusqu’à croire que de conserver mon excitation intacte jusqu’au bout leur est, plus qu’indifférent, cela leur est profitable puisqu’à la recherche d’un plaisir qui ne vient jamais, je me démène et leur donne, à eux du plaisir.

- C’est une longue histoire, lui répondis-je, dans un soupir.

Il prend ma main et la pose sur sa queue qui a repris, après cette pause, toute son amplitude.

- C’est pas le tout de causer, hein, ma jolie, on a payé pour quatre heures, alors il faudrait pas trop perdre de temps… Mets-toi là comme ça que j’te baise et avec ta gueule de pompeuse tu pourras aider ceux qui bande encore un peu mou…

Ce faisant, il me met en levrette sur le canapé, de façon à ce que ceux qui le veulent puisse venir sur l’accoudoir se faire durcir le dard.

Lui m’écarte bien les fesses et la chatte et introduit son énorme braquemart dans ma figue et commence à me tringler avec vigueur. Ses balloches tapent bruyamment sur mon cul. Il me tient par les épaules et j’aime la force qu’il met à me prendre comme si sa vie en dépendait.

Je sais que les suivant n’auront pas tous cette énergie.

Il cède sa place au suivant. Il écarte bien la raie et je devine au doigt qu’il pose sur ma rondelle qu’il va m’enculer. Ce qu’il fait sans plus de préavis, avec un dard long mais assez fin.

- Ah ! J’s’savais bien qu’t’étais une sale vermine d’enculée toi ! J’l’ai vu tout d’suite à ta gueule !

Pendant ce temps, une file s’est formée devant moi et, avec ma bouche et ma langue, je redonne de la vigueur à ceux qui n’ont pas pu rebander immédiatement. Je le fais sans les mains parce que sous les coups de boutoirs, je me cramponne au canapé.

Derrière, ils se succèdent jusqu’à ce qu’il soit décidé de mettre le matelas du canapé réversible par terre. J’attends un peu, toujours dans le noir du fait de mon masque.

On m’allonge sur un mec qui commence à me buriner l’abricot. Nous « hummhummons » de concert. J’écarte mes cuisses autant que je peux pour faire entrer son colosse au plus profond de mon vagin. Je me soulève et me rabaisse avec ferveur.

Un autre arrive derrière me bloque les hanches et vient toucher mon « petit trou » avec sa tige. Nous ne bougeons plus. Il coulisse et c’est maintenant lui qui ramone mes boyaux jusqu’à ce que je sente les deux calibres se toucher à travers la mince membrane.

Une main me pince le nez : j’ouvre ma bouche. Une troisième bête s’engouffre jusqu’aux burnes dans ma gorge.

- Quel trou à bites !!!
- Quelle nympho !!!

Il faut dire que je ne débats pas. Je suce, je chevauche et j’accueille avec effusion les trois manches qui ont pris possession de moi. Je suis une damnée. Les deux types qui sont en moi ne mettent pas longtemps à tirer leur crampe et à larguer, pour la seconde fois, le liquide blanchâtre qui sort de leur vît et qui se répand dans mon con et dans mes entrailles.

On me passe une serviette pour que j’enlève le plus gros de cette quantité de liquide séminal et on me fait sentir la serviette en se moquant de moi. J’astique les deux queues qui sont, assurément, désormais plus propre que lorsque qu’elles sont arrivées.

Pour les deux suivants, je viens m’empaler sur la queue (ma rosette est désormais bien assouplie) d’un mec allongé qui me fait lui aussi monter et descendre pendant que je travaille le filet d’un petit vieux tout fripé. Un troisième compère vient s’encastrer dans ma cramouille. Il nous faut un bon moment pour nous synchroniser mais comme toujours le fait de me sentir bien pleine et bourrée me donne une puissante énergie.

Les deux compères versent à leurs tours leur purée en moi. Une odeur de foutre a envahi la pièce. De foutre, de tabac et d’alcool.

Les triples se succèdent sauf pour quelques vieux que par charité je branle et que je suce pendant qu’ils me pincent les mamelons car ils n’ont pas la force physique de se livrer à de telles acrobaties.

On m’a amenée prendre une douche car j’ai du sperme de partout en moi et moi. Quand on me ramène dans la pièce malodorante, on me reprend la serviette. Je suis donc à nouveau nue.

Assise dans le canapé, on me fait à nouveau boire un verre dont on me dit qu’il s’agit de téquila. Un peu contrainte, je bois le verre d’une traite. On m’en sert un second. Je fais un peu trainer.

Ahmadou me dit :

- Durant ta douche, j’ai discuté avec tes chaperons ; les quatre heures sont terminées mais tes gardes-du corps laissent à ta discrétion un dernier coup à Aziz et à moi. Quand dis-tu ? On dirait que tu as apprécié le mandrin noir et le mandrin d’arabe…

Je suis fatiguée mais je suis toujours aussi excitée. Je n’ai pas joui, j’ai eu du plaisir mais je n’ai pas eu LE plaisir car aucun de ces types n’était là pour me le brouter le minou, me lécher, me masser, bref… me donner du plaisir…

J’accepte. Sans plus d’espoir. J’accepte car j’ai toujours envie d’être saillie, car je suis une femelle lubrique et que je n’en ai jamais assez.

Je me retrouve sur le matelas avec Ahmadou et Aziz, sous les yeux et les quolibets de tous les autres qui vont, bien entendu, mâter sans en perdre une miette. Tant pis…

Je roule entre les deux corps musclés. Des frissons parcourent déjà mon corps. Leurs doigts me touchent rapidement partout sans que je ne puisse anticiper où ils vont me toucher. Tout le monde rit. Ce jeu m’excite et décuple mon désir d’être saillie, moi qui vibre à l’idée d’être malmenée.

Les injures fusent ce qui décuple le plaisir de l’attente.

Aziz me prend dans ses bras, me fait rouler jusqu’à lui et me fait passer par-dessus lui. J’écarte bien mes cuisses et les montent jusqu’à sa tête. Sa queue est une longue épée dont mon vagin est le fourreau.

Le Black se positionne derrière et bien que mon fion soit bien ouvert depuis les dernières heures, il doit forcer pour le faire entrer dans mon intestin.

Je me sens saillie comme une chienne, comme une jument. Je sens leurs couilles taper lourdement contre mes fesses et je grogne mon plaisir.

Nous trouvons naturellement la bonne coordination, Aziz me mords les pointes de seins, c’est bon. Je me sens démontée par ces deux diables du sexe et je me sens au paroxysme de l’excitation.

Ahmadou, derrière moi, détache une de ses mains de mon épaule et la passe par devant ma moule, il la pause sur mon bourgeon et crie :

- Gueule-le, chienne, que tu aimes ça !!!
- Oh oui, j’aime ça !!! Oh oui, je suis une chienne !!!

Avec son gros doigt, il pince mon clitoris gorgé de sang, le malaxe. Je suis bourrée par les deux orifices, mon clitoris est trituré ; je creuse mes reins et je crie mon orgasme :

- Ahhhhhh !!! Ahhhhhhh !!!!

En jouissant aussi fort, j’ai massé leurs manches et eux aussi se mettent à beugler et à lâcher un jus peu abondant – c’est le troisième jet – mais ô combien
subtilement puissant.

Nous nous sommes effondrés, terrassés par la fatigue, haletant, le cœur battant à tout rompre.

L’extase ne fut que de courte durée car très vite Djamal et Driss me tendirent une serviette propre et mes vêtements propres.

- Dépêche-toi, on est hors délais, le Patron attend dans la voiture…

Je me suis rhabillée comme j’ai pu dans « mon » noir avec le bandeau.

Tous ces hommes m’ont crié des mots de « Au revoir » et « Au plaisir », certains en accompagnant d’injures « trainée », « salope » ou de mots gentils « ma belle » ou « tu es bonne ».

J’ai dit « Au revoir tout le monde » et je suis partie avec Djamal et Driss de chaque côté qui me tenait chacun un bras et m’indiquait le chemin.

Arrivée dans la voiture, je me suis endormie, rompue de fatigue.


Lui, l’Inaccessible, n’a pas dit un mot.

Djamal et Driss m’ont fait monté jusqu’à l’appartement où je fus accueillie par Jasmine qui m’amène jusqu’à la douche – froide – et me lave.

Elle m’apporte quelque chose à manger, elle reste à côté de moi et me regarde manger.

- Je sais par Djamal et Driss que tout s’est bien passé. Tu as été à la hauteur. C’est bien.
- Merci Jasmine.
- Au fait ?
- Oui ?
- Tu as aimé ?
- ???
- Le cadeau ? A la fin ?
- !!!

C’est donc Lui qui me donne le droit de jouir à Sa discrétion. Je n’en ai que plus envie d’être à la prochaine prestation.

Je m’endors sur le futon et, le lendemain, je suis autorisée, à partir. Jasmine m’a ramenée jusqu’à ma voiture. Dès son départ, je retire le masque et regarde mon téléphone. J’ai reçu des dizaines de photos de moi, prises hier. Celles qui attirent le plus mon attention sont celles qui me rappellent l’orgasme géant que j’ai eu avec Aziz et Amhadou.

(à suivre)

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