Kary-23
En octobre Madame mavait demandé de prendre deux journées de congé supplémentaire associé à la fin de semaine, donc un jeudi et un vendredi. Jai réussis à avoir ses congés parce que je peux souvent les inter-changer avec des compagnes de travail. Ce qui fait que je devais une fin de semaine à mon amie Ariane lorsquelle en aurait de besoin.
Cette fin de semaine-là, Madame avait une réunion daffaire à Paris le vendredi après-midi. Nous avons donc pris lavion à Montréal le jeudi aux environs de 17h00 pour arriver à Charles de Gaule le lendemain très tôt. Le seul voyage que javais fait dans ma vie cétait une petite escapade de 7 jours à Cuba deux ans plus tôt avec une compagnie aérienne à rabais. Cela ma fait tout drôle de voyagé sur air France en classe affaire. Il y avait de lespace autour de nous avec un service digne dune princesse. Pénélope à fait un somme pendant la traversée de latlantique, mais moi, jétais tellement excité par ce voyage que je nai pu fermer lil de la nuit.
À laéroport nous nous sommes engouffrées dans un taxi qui nous a conduits à un hôtel près du Louvre. Après avoir diné Madame ma laissé seul à lhôtel et elle est partie à son rendez-vous. Jai erré un peu aux alentours pour retrouver ma bien aimée juste à temps pour le souper. Nous avons ensuite fait une balade à pied en amoureuse pour nous retrouver sous les draps bien chaud à lhôtel.
Le lendemain nous avons visité le Louvre, il était évident que pour Pénélope cela était du déjà vue. Mais moi, je me sentais comme une petite fille qui découvre Walt Disney pour la première fois. La journée du samedi sest déroulée comme un conte de fées. Visite, diner, tendresse, caresses, soleil, jétais sur mon petit nuage. Le dimanche matin la réalité ma rattrapé. Nous avons fait les bagages et hop à laéroport pour le vol de retour. Nous avons pris un bon repas dans un restaurant à Montréal, puis Pénélope ma déposé chez moi sur la rive sud.
-Bof! Visite du Louvre et un souper en amoureuse à Paris samedi soir
Ce fut une petite escapade de rêve. Pénélope avait seulement amené Karine dans ce voyage. Tout avait été si idyllique que jen avais oublié kary. Mais avant de repartir, Pénélope mavait bien spécifié que la semaine qui suivait, elle la passerait avec kary. Alors après ma première journée de travail, cest kary qui a pris le chemin du domaine de Madame.
Comme elle me lavait demandé je suis passé me mettre nue au donjon, jai enfilé une cagoule et je me suis dirigé chez Madame. Jai traversé lallée nue comme un ver. Madame mavait permis de faire le trajet debout. Je suis entrée par le garage pour me rendre directement à la cuisine ou Sylvie, la cuisinière, mattendait. Je devais suivre ses instructions à la lettre.
-Bonjour Madame Sylvie
-Bon, tu ne dis plus un mot de la soirée. Même pas en compagnie de Madame, lorsque je te donne un plat tu vas faire le service. Madame vient darriver, elle sattend à un service impeccable de ta part.
Sylvie ma fait signe de prendre le bol de soupe quelle venait de verser. Je lai pris et me suis rendu à la salle à manger. Madame était là, sérieuse faisant semblant de ne pas me voir, de ne pas me connaître. Jai déposé le bol de soupe devant elle et elle ma fait un signe de la main mincitant à retourner à la cuisine.
-Très bien kary, à chaque fois que tu reviens à la cuisine je veux que tu te places dos à ce petit mur et que tu attendes que je te fasse un signe pour exécuter le reste du service.
Sylvie vérifiait toujours ou Madame en était rendue avec son repas pour pouvoir réagir immédiatement et enclencher la suite. Tout à coup, un signe de Sylvie et je suis allé chercher le bol de soupe vide de Madame, pour ensuite lui rapporter une salade verte.
Un peu plus tard jai servi dappui pied pour Madame pendant quelle regardait la télé ou quelle travaillait à son bureau. Finalement à 9h30 je suis retourné chez moi. Jai fait ma toilette et écrit mon journal. Le lendemain matin je suis retourné au travail. Ce fut comme cela toute la semaine. Une sorte de dentrainement pour faire le service. À chaque journée Sylvie corrigeait certaine de mes erreurs, mobligeait à me tenir très droite, à marcher avec élégance, à faire des mouvements fluides dans mon service etc
Le vendredi ce fut encore la même chose. Je suis arrivé à la cuisine et je me suis adossé au petit mur en attendant les ordres de Sylvie. Soudain Sylvie ma demandé daller porter deux bols de soupes à la salle à manger. Deux bols
Madame avait-elle un invité? Tout à coup je me suis sentie très nerveuse. Jai saisis les deux bols et je me suis dirigé vers la salle à manger. À la table il y avait Madame et une autre femme. Celle-ci devait avoir fin quarantaine ou début cinquantaine. Elle me regardait avec intérêt et un sourire malicieux.
Jai déposé un premier bol de soupe devant cette dame puis lautre devant ma Maitresse. Madame ma regardé avec un grand sourire. Jallais repartir pour la cuisine
-Est-ce que tu connais cette dame kary?
Jai fait un grand signe que non de la tête sans dire un seul mot car jaurais eu droit à une punition.
-Parfait
met toi à genoux ici, tête bien droite et mains dans le dos.
Je me suis mise à genoux au côté de madame. De cet endroit je pouvais voir linvité de Madame qui se trouvait à sa gauche. Elle me regardait de la tête aux genoux sans arrêt. Pour une femme de cet âge elle était très belle. Son habillement en disait long sur sa personne.
-Alors ma chère Amanda, comment trouvez-vous ma petite chienne?
-Elle semble très bien et avoir bénéficié dune bonne éducation.
-Comme je vous ai dit déjà je suis quand même une novice dans le domaine, jai fait de mon mieux pour la mettre à ma main.
-Ne soyez pas si modeste Pénélope, vous avez vraiment fait du bon travail à première vue.
-Je commence juste à prendre mes marques en tant que Maitresse et je suis très heureuse que vous mayez offert de profiter de votre expérience pour continuer léducation de cette petite chienne.
-Je vous en prie Pénélope, si on ne peut plus se donner de coup de mains entre Maitresse
.
Au fur et à mesure de leur conversation une zone dombre se dessinait dans mon cerveau. Quallait-il se passer durant cette soirée, quest-ce que cela impliquait pour moi. Je perdais doucement le contrôle de mon corps. Des tremblements se manifestaient au niveau de mes jambes. Il commençait à faire très chaud sous cette cagoule.
-Vous voyez cher Pénélope jai 25 ans dexpérience avec des soumis et soumise et je ne cesse dapprendre.
-HA bon!
-Et oui, La chose la plus importante que jai apprise cest quil faut toujours y aller avec subtilité et progression pour en faire de bonne petite chose à notre service et complètement dévouées.
-Je suis totalement daccord avec cela
La progression.
-Il faut au fil du temps apprendre à modifier lesprit de ces petites choses pour quelle nest quun seul but, nous servir. Il faut que cela soit leur plaisir.
-Oui bien entendu
-Il faut que votre soumise devienne vraiment une petite chienne. Fidèle à sa maîtresse sans conditions.
-Mais cela passe par une bonne éducation
-Cest là le but de tous les exercices que je vais vous enseigner en fonction de vos attentes envers votre soumise.
-Je suis tellement heureuse de pouvoir profiter de vos conseilles
-Il ny a pas de quoi cher Pénélope, entre Maîtresse nous pouvons nous aider.
Jécoutais attentivement leur conversation. Cela me rassurait un peu, mais je ne comprenais pas exactement ce que Madame pouvait apprendre de plus de cette Maîtresse. Jétais déjà toute dévouée à Madame et jétais bien à ses côtés et à lui obéir.
-Pour le reste du service, tu le feras sans ta cagoule.
Jai fait un geste de la tête pour acquiescer. Puis un geste de Madame, et jai rapporté les bols de soupe à la cuisine. Pour la suite du repas Madame et la Maîtresse invitée arrêtaient de parler lorsque je venais les servir et je devais immédiatement retourner à la cuisine avec Sylvie. De cet endroit je ne pouvais pas suivre leur conversation. Elles ont discutées pendant tout le souper, je les ai entendu rire de bon cur aussi, je crois bien que cela était à mes dépends bien entendu.
Après le repas jai dû accompagner Madame et son invitée au salon. Madame et Maîtresse Amanda se sont assises sur la causeuse. Madame ma faite mettre à genoux devant elles au milieu de la pièce, mains sur la tête et jambes écartées bien sûr. Jétais très gêner, surtout parce que javais le visage découvert. Cétait très intimidant de me retrouver devant cette femme sûrement quinquagénaire et qui métait inconnu. Je sentais une tension monter en moi. Les deux femmes me regardaient sans dire un mot. Elles mexaminaient, javais limpression que lon me faisait passer un scanner.
-Tu vois Pénélope ta soumise doit te faire confiance et tobéir sans réfléchir. Dans nimporte quelle situation, elle devrait réaliser ton ordre sans hésiter.
-Oui effectivement, mais cela nest pas facile pour elle de faire abstraction du monde qui lentoure et des différentes situations.
-Bien entendu et cest pour cela quelle doit être conditionné pour obéir sans penser.
-Et comment réussit-on à faire ça?
-Cela prend beaucoup de patience et de pratique ma chère.
-Jimagine bien.
-Comme une petite chienne tu dois la récompenser pour ses bonnes actions, mais aussi la punir pour sa désobéissance.
-Oui, ça je le fait toujours.
-Et très important, la progression dans son éducation et la répétition pour quelle assimile bien les ordres et quelle les exécute sans délais, comme si cela était une seconde nature pour elle, un réflexe en somme.
-Je vois ou vous voulez en venir cher Amanda.
-Vous me donnez le contrôle de votre petite protégé un instant cher Pénélope?
-Euh!... Oui bien sûr
-Ne soyez pas crispée, je sais que cest votre objet le plus précieux, alors je vais y faire très attention et je ne permettrai rien qui puisse vous choquer.
-Allez-y, je vous la prête
Alors demandez-lui de mobéir, comme si cétait vous.
-Kary à partir de maintenant tu dois obéir aussi à Maîtresse Amanda.
Je me souviens encore de linstant précis ou Madame a prononcé ces mots, même si cela fait déjà plus de 9 mois. Je me suis trouvé dans un tel inconfort. Mon corps est entré en mode panique. Je voulais appartenir à Madame, à Pénélope, juste à elle. Je ne savais pas ce qui mattendait, mes jambes ont commencées à trembler. Puis jai aperçus les yeux de Maîtresse Amanda. Des yeux perçants, des yeux autoritaires, des yeux foudroyants. Jai vu quelle commençait à éprouver du plaisir à prendre le contrôle de la petite chose qui se trouvait devant-elle, même si elle navait encore prononcé aucun mot, aucun ordre.
-Masturbe toi petite salope.
Ces paroles ont traversé mon esprit comme une bombe. Ma figure est devenue rouge tomate. Elle voulait que je me masturbe devant-elles. Jai jeté un regard vers Madame. Son visage en disait long sur son mécontentement face à mon hésitation. Jai alors immédiatement retiré mes mains de ma tête pour les diriger vers ma vulve, que jai commencé à masser doucement.
-Garde ta main gauche sur ta tête.
Cette fois jai obtempéré immédiatement. Maîtresse Amanda cest levé et cest approché de moi. Jai eu droit à deux bonnes gifles au visage qui mont fait descendre la main gauche de ma tête. Elles nétaient pas si intenses que cela, mais quand même bien senti. Et, hop une troisième gifle.
-Replace ta main sur la tête, il ny a personne qui ta dit de lenlever.
Jai obéit immédiatement tout en regardant Madame qui regardait la scène comme une élève bien sérieuse.
-Tas eu tes deux premières gifles à cause que tu as hésité à obéir à mon ordre, tu comprends?
Jai fait un grand signe affirmatif de la tête.
-À lavenir tu me répondras, et tes réponses seront suivit dun Maîtresse Amanda, tas compris petite salope?
-Oui Maîtresse Amanda
snifffff
-Change de main et masturbe-toi avec plus de vigueur.
-Oui Maîtresse Amanda.
Jai immédiatement placé ma main droite sur ma tête et jai commencé à me masturber de la main gauche en y mettant plus dénergie. Maîtresse Amanda est retournée sassoir auprès de Madame.
-Vous voyez ma chère lorsquelle fait une faute aussi subtile quelle soit, elle doit être punie immédiatement pour quelle soit bien consciente de son erreur.
-Je comprends.
-Si ce sont de petites erreurs, alors de petites punitions, mais au contraire si votre petite salope narrive pas à se mettre quelque chose dans la tête, alors vous devez employer les grands moyen pour bien lui entrer dans le crâne son rôle à vos pieds.
-Daccord.
-La même chose, si elle réussit enfin à faire des choses selon votre volonté et que vous êtes fière delle, alors nhésitez surtout pas à la récompenser.
Ainsi Pendant quelles se faisaient la conversation, moi je me masturbais avec énergie au beau milieu du salon devant elles. Je commençais à mhabi à la situation et je mactivais sans gêne, les observant et suivant leurs échanges verbaux. Soudain Sylvie est entrée dans le salon avec un plateau sur lequel il y avait des boissons. La gêne ma sauté au visage et imperceptiblement jai ralenti la cadence masturbatoire. Ma situation était très inconfortable. Me voir ainsi observée par une des employées de Madame pendant que je faisais mon ballet génital devant les Maîtresse. Ouf! Quelle chaleur. Sylvie a déposé les boissons sur la table basse, puis elle a placé un bol deau au pied de la causeuse avant de repartir à la cuisine.
-Sylvie, tu peux entrer chez toi je naurai plus besoin de tes services pour aujourdhui.
-Bien Madame
Pendant que Sylvie séloignait, Maîtresse Amanda cest levé pour sapprocher de moi. Elle a saisi un de mes seins fermement entre son pouce et lindex, puis là tordu tout en le remontant vers elle.
-Tu penses petite sotte que je nai pas remarqué que tu avais ralenti la cadence lorsque la domestique est entrée.
Avec son autre main elle ma relevé la tête et sans que je my attende elle ma craché au visage. Je sentais sa bave couler sur mon nez et ma lèvre supérieur. Cétait dégelasse. Cette femme dans la cinquantaine qui me crachait dessus, ouachhhh.
-Ouvre ta gueule salope et ne laisse pas tomber une seule goutte de bave sur le plancher.
-Ouiiiii, Maîtressssse Amandaaaa.
-Arrête de te masturber et entre tes doigts dans ta bouche
Tu peux aussi laisser pendre ta main droite le long de ton corps.
Maîtresse Amanda ma à nouveau craché dessus, mais cette fois sa bave est entrée directement dans ma bouche avant que je ny insère mes doigts. Re ouachhhh. Jen avais des hauts le cur. Jai fait pénétrer mes doigts tous gluants dans ma bouche. Ma cyprine sest mélangée à la salive de cette femme impitoyable qui me dominait sous les yeux attentifs de Madame. Maîtresse Amanda a saisi mon autre sein avec sa deuxième main et ma tiré les seins vers le haut très fort. Jen avais les larmes aux yeux.
-Écoute moi bien petite pute désobéissante, tu gardes tes doigts dans la bouche sans bouger et surtout navale pas le contenu de ta bouche si on tu vas le regretter, cest compris?
-Hummm ouiiiiii Mmmmaaaîtttressssee Amandaaaaa.
Elle a ensuite libéré lemprise sur mes seins et est retourné sassoir près de Madame. Elles ont continué leur conversation comme si je nexistais pas. Pendant ce temps je restais à genoux devant elle. Oui je me souviens très bien de la douleur que jéprouvais au niveau des genoux sans conter mes seins qui étaient resté douloureux. Cétait la première fois que quelquun me pinçait les seins avec tant de force. Alors, jétais là, au milieu de la pièce avec ma douleur. Ma bouche se remplissait de liquide sans que je puisse avaler pendant quune larme coulait sur ma joue. Après un certain temps jai senti la bave couler sur mon menton pour retomber sur ma poitrine.
Je me sentais sale et dégoutante. En même temps, à ma grande surprise jéprouvais du plaisir à être dominé de la sorte. Laction dégoutante de me faire cracher au visage avait généré un état de plaisir en moi. Cette vieille Maîtresse qui me dégradait pour mobliger à être quune chose que lon utilise pour son plaisir. Elle mobligeait à me dépasser, à surmonter mes dégouts, mes peurs. Cela faisait déjà deux fois que je recevais une punition pour avoir hésitée. Je me devais dêtre meilleure, dêtre dévouée pour que Madame soit fière de moi. Jessayais donc de ne plus penser à cette bave qui coulait sur moi et à me tenir bien droite devant elles. Après de longues minutes
-Tu peux enlever tes doigts de ta gueule, avale tout, je ne veux aucune gouttes sur le plancher ou sur ton corps sest bien compris?
-Oui Maîtresse Amanda.
Jai retiré ma main après lavoir bien léché et avaler le contenu de ma bouche. Jai raclé mon visage et mon corps pour récupérer tout le liquide visqueux qui sy était déposé. Puis jai vu quil y avait une petite flaque par terre. Sans bien y pensé je me suis accroupie et je lai léché avec entrain pour la faire disparaitre en vitesse pour obtenir les bonnes grâces de Maîtresse et rendre fière Madame. Ensuite je me suis remise à genoux devant elles. Maîtresse Amanda sest levé et sest approché de moi. Quest-ce que javais fait de pas correct cette fois? Maîtresse ma caressé la tête, elle sest penchée et ma embrassé le front.
-Bonne petite salope, tu vois que tu peux obéir et être à la hauteur. Je suis fière de toi maintenant.
-Merci Maîtresse Amanda.
-Tu peux aller boire un peu deau pour ta récompense.
-Merci Maîtresse Amanda.
Jai marché à quatre pattes jusquà mon bol deau près de la causeuse et jai épanché ma soif à la manière dune petite chienne, en lapant et avec le cul bien exposé
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