Une Mère Compréhensive Et Un Beau-Père Rabatteur
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
J'interdis à tout le monde d'entrer dans ma chambre. J'y compulse des revues de cul. Comme je n'ai pas le droit de ramener des filles à la maison, je me branle devant mes photos. C'est un copain qui m'a donné la dernière. S'agit-il d'une erreur ?
Sur la couverture il y a une fille qui se fait enculer. A l'intérieur, c'est un mec qui en suce un autre. Soudain, la porte de ma chambre s'ouvre, et mon beau-père fait irruption. Je cherche à cacher la revue, mais il l'a vue. Il ne dit rien, mais il s'asseoit sur mon lit. Il me passe la main dans les cheveux et dit :
- Tu sais, je peux comprendre....
J'essaie de lui expliquer que ce n'est pas ce qu'il croit, mais il s'emballe. Je le vois qui commence à se déshabiller. Il est plutôt bien bâti. Ma mère s'est choisi un beau mec. Le temps de ma réflexion, il est à poil. Il me rejoint sur le lit et commence à me caresser les fesses. Je n'aurais jamais cru que ça me fasse cet effet. Merde, je bande sous la main d'un homme.
Il défait la ceinture de mon jean, et le baisse à mi-cuisses. Il passe ses mains sous mes fesses, et je me soulève pour lui faciliter la tâche. Il penche sa tête et saisit ma bite avec ses dents, à travers mon boxer. J'y crois pas, j'aime ça. Il la libère du sous-vêtement et la gobe. Je frémis sous la caresse. Pendant qu'il me suce, il m'enlève le jean, puis le slip. Il me caresse tout le corps, ma respiration s'accélère. Il passe ses bras sous mes cuisses et relève mes jambes. Sa langue cherche une ouverture entre mes fesses. Il enduit de salive mon petit trou.Une fois bien lubrifié, il remonte s'allonger sur mon torse. Alors, je fais une chose que je n'aurais jamais imaginée. Je prend sa bite dans ma main et la pose entre mes fesses. D'un coup de reins, il l'enfonce dans mon cul. Il s'agite et me ramone lentement. Je commence à gémir.
- Plus fort ! Plus fort !
Et il insiste. Ses coups de reins sont plus violents, plus brutaux. On entend ses cuisses claquer contre mes fesses. Je n'en peux plus. Il va, oui ou non, jouir dans mon cul, ce gros salaud.
La porte s'ouvre. Attirée par mes cris, ma mère apparaît.
- Enfin ! dit-elle. Je croyais que ça n'arriverait jamais ! Je savais que c'est ça que tu aimerais. Ca fait des mois que Raymond et moi, on te guette. On s'est bien aperçus que les filles te font pas d'effet. Je sais aussi que t'as besoin de sexe. C'est moi qui lave tes draps. J'étais tellement malheureuse de voir que t'essayais d'attr une fille pour me faire plaisir. Crois-moi, c'est mieux comme ça. Le plaisir au lit, c'est le plus important dans la vie. Tu peux amener tout les garçons que tu veux, Giloux. Je voulais que tu sois heureux, j'espère que j'ai réussi.
- Vraiment, répondis-je, je crois que j'ai la mère la plus formidable au monde ! Je t'aime tu sais !
Les premiers garçons que jai amenés à la maison, étaient plutôt plus jeunes que Raymond. Je lui ai dit que les jeunes étaient beaux garçons, mais qu'il manquaient de puissance et la taille de leurs sexes laissait à désirer.
- Ecoutes, me dit-il, les garçons, c'est pas ma tasse de thé. C'était pour faire plaisir à ta mère. Mais, si tu veux, je peux t'en trouver, si ça t'intéresses. Mais moi, c'est fini.
Les hommes qui sont venus visiter ma chambre, sont maintenant, tous forts et bien fournis.
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