Collection Zone Rouge. Le Pion (1/2)
Cette histoire est une commande dun lecteur, je pense quil a apprécié, deux trois indices de départ et mon esprit vagabond a fait le reste, jespère que vous aurez autant de plaisir à la lire que moi à lécrire
Je mappelle Kévin, ça fait deux ans que jai accepté dêtre pion dans un collège de ma ville.
Lan passé, jétais dans un autre établissement, javais les sixièmes et les cinquièmes, petits garçons et petites filles un peu durs, mais dans ce collège du centre-ville, il est principalement fréquenté par des fils et filles de bonne famille.
Au cours de cette année, jai rencontré Sylvia, belle femme de 37 ans, dix ans de plus que moi, elle a voulu me voir après une punition infligée à son fils qui avait été impoli lors dune récréation.
Un jour que je me promenais, je suis tombé sur elle au pied de son immeuble près de la mairie.
Tiens, comme on se retrouve, cela marrange, mon mari est revenu de voyage pour son travail avant de repartir, cest un courant dair.
Je ne devrais pas me plaindre, grâce à ses fonctions, il gagne largement notre vie, cest ainsi que nous habitons dans ce bel immeuble et que je ne travaille pas.
Que voulez-vous répondre à ça, seulement ladmirer tellement elle a de la classe ?
Venez prendre un café, Jean m'a passé un savon davoir défendu Jossua, son comportement na pas été celui quil aurait dû avoir et cest vous qui aviez eu raison de le punir.
Pour vous donner raison, Jossua est puni, car pour ses vacances, il la conduit chez ses parents où il ny a pas Internet.
Nous montons au dernier étage, la cabine est étroite, elle ma fait passer le premier et se retrouve de dos par rapport à moi, je sens son parfum capiteux de rousse, sa chevelure étant flamboyante.
Jai envie de lui demander si cette chevelure est naturelle et si sa chatte ait du même roux, hélas, je ne le saurais jamais, mais je fantasme le temps que les 6 étages défilent.
Je me surprends à lever ma main pour la passer dans cette chevelure qui me fait bander.
Dès larrêt de lascenseur, la promptitude quelle a à descendre me donne lillusion quelle aussi a ressenti cette excitation qui sest emparée de moi.
Je fantasme le temps quelle ouvre sa porte, je suis certain que si je passais ma main sous sa jupe à quelques centimètres de moi, son string ou sa chatte sans culotte, aucune marque dun quelconque sous-vêtement ne la marquant me montrerait peut-être la moiteur de son intimité.
Réveil-toi, Israël, elle veut simplement toffrir un café.
Entrez, je vous accompagne sur notre terrasse, avant de préparer le café, vous verrez la vue magnifique que nous avons, dailleurs, nous voyons le collège de mon fils.
Regardez, le clocher à droite, vous déplacez votre regard de 10°, comme surveillant, vous aidez les s à faire leur devoir, vous devez être capable de tourner votre tête de 10°.
Soit quelle me prenne pour un con, soit que dans mon dos, pour me montrer notre collège, elle se colle à moi, heureusement que je suis dans ce sens, dans lautre, elle aurait senti ma queue bander à son maximum, un regard vers le bas, non pas de limmeuble, mais de mon pantalon, mon jean est déformé comme jamais.
Bien, tu vois le clocher, tournes encore de quelques centimètres, un peu devant, il est là, on voit létage le plus haut et surtout une fenêtre.
Je regarde souvent dans sa direction, en pensant que lamour de ma vie forge son éducation avec des personnes comme vous.
Je constate le tutoiement, mais jai un autre problème à régler, si elle me demande daller jusquà la chaise devant la table où ils doivent manger par beaux temps.
Viens tasseoir, je pense que je me suis assez excusé pour mon mauvais comportement en tenguirlandant à cause de mon fils, je veux pouvoir dire à Jean que je tai rencontré et que tout malentendu est aplani entre nous.
Bien sûr, Sylvia, tout est oublié, ça navait pas dimportance, vous êtes toutes les mêmes avec vos rejetons.
En prononçant ce mot, je men veux, comment être si con, mais peu importe après le café quelle est partie chercher, je vais retourner dans mes deux pièces non loin de là, aussi haut quici, sans ascenseur bien sûr et sous les toits, sans cette magnifique terrasse.
Voilà le café, tu admires encore la vue, viens tasseoir, mais je maperçois que je tai tutoyé, jespère que je ne tai pas choqué.
Au secours, je ne regarde pas la vue, je cherche à débander, je men fiche que tu me tutoies, au contraire, je me sens plus proche de toi, bien sûr, je le pense et ne lui dis pas.
Panique, je commençais à débander, cest reparti.
Attends, mais ne me dit pas que tu as un problème, pour une dame sest choquant, mais pour moi cest flatteur.
Elle me rejoint ayant posé son plateau, se colle à moi me passant la main sur mon sexe.
Dit donc, je sens là de quoi satisfaire une honorable mère de famille qui doit sexcuser, excuse-moi de ne pas mexcuser de rêver à ce joli bâton que je tiens là.
Elle me fait me retourner, sagenouille ouvre mon jean et sorts ma verge de mon boxer, une vraie goulue, jai eu quelques filles dans ma vie, mais plus proche dès 18 ans que de mes 27 ou de ses 37.
Sa bouche est une vraie ventouse, ses mains sont chaudes à force de me masturber, je suis à la limite de décharger dans sa gorge quand elle arrive à me toucher les couilles avec ses lèvres.
Une gorge profonde, je savais que cela existait, mais aucune femme du milieu modeste que jai lhabitude de fréquenter ne men a fait une, il faut que je sois dans ce quartier bourgeois pour que lon me pompe comme Sylvia sait si bien le faire.
Arrête, si tu veux, je vais te prendre.
Regardez ce grand timide, bien sûr que tu vas me prendre, quand je tai rencontré, je voulais simplement mexcuser, mais quand jaurai ta queue en moi, je serais sûr que je ne peux pas faire mieux.
Enlève mes vêtements, tu en meurs denvie et moi aussi, Jean ma baisé hier, mais comme un lapin, je sens que toi, tu sais faire plaisir aux femmes.
Le défi est dur à relever, jai toujours satisfait mes partenaires, sauf si elles ont simulé, là la pente est rude, jai limpression dêtre un coureur du tour de France montant un col, je dois éviter de mettre un pied-à-terre.
Elle est nue et prend delle-même la direction dun transat au bout de sa terrasse, elle sallonge et je vois que javais raison dans lascenseur ou derrière sa porte, elle a un string quelle fait rouler jusquà ses pieds et sa toison est du même roux que sa chevelure.
Sans aucun scrupule, je mavance en sortant de ma poche une capote, je suis un garçon prudent et prévoyant, jôte les quelques affaires que jai sur le corps, je mavance, me mets sur mes genoux à la pointe du transat.
Je vais pour lui écarter les jambes, mais cest elle qui le fait ouvrant en grand son compas.
Jai plus quà pencher ma tête, pour rentrer mon nez dans sa grotte, une fraction de seconde, je bénis Jossua davoir fait des conneries dans la cour du collège, sinon ma langue ne prendrait pas la direction du vagin doù un jour, il est sorti.
Sa cyprine qui comme jen ai rêvé coule à profusion, à un goût particulier, javais entendu dire que ces femmes à la crinière luxuriante avaient un goût particulier, à partir de ce jour, je pourrais le certifier.
Tu suces divinement, au début, Jean me le faisait, depuis quelque temps comme je te lai déjà dit, jai un lapin dans notre lit.
Une si belle femme dommage que je sois si peu friqué et quelle soit plus vieille que moi, je serais fière davoir une femme comme elle, elle veut être ma maîtresse, je dois en profiter pendant que ça dure.
Cest à ce moment que je sens quelle jouit.
Laisse-moi me mettre en levrette pendant que tu mets ta capote, cest ma position préférée.
Souple malgré son âge, je suis méchant, elle est svelte comme aucune de mes maîtresses ne létait, elle doit faire beaucoup de jogging.
Je la prends sans quelle se débatte, sauf que son cul vient vers moi dès quelle sent mon gland sur sa fente, je la pilonne en me concentrant jusquà ce quelle ait carrément un orgasme, je vois ses doigts sincruster dans le cousin du transat tellement la décharge que je lui procure lenvoi loin, très loin.
Je pense que jai fait mon travail de mâle et jéjacule dans ma capote.
Le café est froid, je la vois déambuler magnifique dans sa nudité de rousse flamboyante.
Nous reprenons une tasse, entendant ses derniers propos.
Tu dois savoir quune femme mariée comme moi peut risquer de tous perdre même pour un si bon moment de plaisir, mais une liaison durable serait vouée à une fin où nous nous déchirerions, je dois penser à Jossua.
Je te comprends Sylvia, tu auras été un bon moment de ma vie, je me souviendrai de toi dans des dizaines dannées.
De toute manière, Jean ma annoncé quil a trouvé un autre travail dans une autre région, dès quil aura trouvé un logement aussi beau et spacieux que celui-ci.
Nous déménagerons certainement à la fin du trimestre pour ne pas traumatiser Jossua, alors adieu, toi aussi, tu resteras au fond de mon esprit et même de mon cur jusquà la fin de ma vie.
Je la quitte sans essayer de la reprendre dans mes bras alors que jen meure denvie.
À la fin du trimestre comme elle me la dit, on nous signale le départ dun élève, jusquà la fin de lannée scolaire, je mets mon sexe en attente.
Entrée 2017, je viens de changer de collège, je suis nommé grâce à mon expérience acquise dans mon premier collège dans les quartiers chauds de notre ville.
Je nai quune année dâge à moccuper, car je suis dans un établissement où des classes ont moins délèves afin que les profs aient plus de temps à consacrer à leur éducation.
Je fais lappel.
Noa ?
Je suis là devant toi, prends des lunettes, si tes aveugle.
Je viens de faire connaissance de celle qui va certainement me pourrir lexistence toute cette année, un vieux collège que jai rencontré quand jai su où jétais nommé, il mavait prévenu.
Je regarde sa date de naissance, 18 ans, elle est majeure et a dû avoir un parcours très chaotique pour arriver jusquà moi.
Fière de la manière dont elle ma répondu, pendant quelques secondes nos regards saffrontent, jai beau lutter, jai perdu, elle vient de me dominer
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