La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1502)

Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode précédent N°1501) -

- Deux, merci Maître
- …
- 10, merci Maître
- Bien comment te sens- tu?
- Très bien Maître, je Vous remercie.
- Bon cet après-midi, tu seras avec Mon fils Ronan, Je suis le Seul que tu dois appeler ‘Maître’, donc tu l’appelleras ‘Monseigneur’ dans le cadre de ton dressage comme en toutes autres circonstances. Maintenant file en cuisine, Angélique t’attend...

Une heure plus tard et après que Marie eut aidé à la préparation et au service du repas de midi, Messire Léon présenta Marie à Ronan.

- Depuis combien de temps, étais tu avec le Comte du Forez ?
- Deux ans Monseigneur.
- Très bien.

Soudain Clémence, en soumise, fit son entrée, se mit à genoux à côté de Marie et dit :

- Maître Ronan, je vous présente mes excuses pour mon retard, j’ai été retenue par une affaire privée.
- Bien, nous en parlerons plus tard. Pour l’heure, j’ai décidé de faire découvrir à notre nouvelle salope certains coins méconnu du Château et de ses environs... (puis s’adressant à Marie) Clémence bien sûr les connait et est là pour que tu puisses suivre son exemple... Aujourd’hui, ce sera la petite crypte sous la chapelle au fond du parc.

Clémence s’avança à quatre pattes, imitée par Marie, et se mirent à genoux pour présenter leur laisse à Ronan. Il s’en saisit et ils sortirent tous les trois du Château. Il faisait frais dehors, nous étions en automne et l’hiver sera bientôt là et cela était entièrement voulu. Tous trois entrèrent dans la chapelle et par un passage secret et descendirent dans la petite crypte. Cette pièce souterraine servait autrefois à des actes pieux mais au fil des années, elle était devenue une sorte de mini Donjon où restait seulement quelques icônes et une multitude de chandelles et bougies qui diffusaient une agréable chaleur accentuée par une cheminée au bon feu de buches de bois, cheminée dont le conduit en pierres donnait à l’extérieur sur le toit de la chapelle.

Ce feu les réchauffait d’emblée et les détendit instantanément après la fraicheur du parc.

- Ah il fait meilleur ici… Bon pour commencer, je vais établir les règles pour cette séance. Ici nous sommes entre nous, ce qui signifie que vous avez le droit de parler, de gémir, de crier, personnes ne pourra nous entendre. Pour le reste ce sont les Règles de base compris ?
- Oui Maître.
- Pour le moment, vous allez toutes les deux vous branler devant moi. Interdiction formelle de jouir sans mon autorisation.

Clémence et Marie se mirent face à Ronan confortablement installé dans un fauteuil. Les deux soumises commencèrent doucement, sensuellement avant de se masturber avec vigueur jusqu’à la limite de l’orgasme. Toutes deux gémissaient de plaisir mais surtout d’envie. Clémence adorait sentir le regard Dominant de Ronan posé sur elle, ses yeux étaient noisettes contrairement à ceux de son père mais tout aussi particuliers. Il avait le don selon la façon dont il la regardait de la rassurer, de la faire trembler d’envie ou de la faire tomber à ses pieds. Certes, il était son mari mais aussi le Maître et elle respectait autant le Maître que l’homme qu’il était et qu’elle aimait.

- C’est bon, cela suffit pour le moment.

Clémence et Marie stoppèrent immédiatement et se mirent à genoux en position d’attente.

- Marie, tu restes là en silence et sans bouger mais tu es autorisée à observer pour apprendre. Toi ma chienne vient et aide-moi à me dévêtir, il fait chaud ici avec ce feu dans le foyer de la cheminée.

Ces derniers mots «il fait chaud ici» était à double sens, certes il régnait dans la crypte une certaine chaleur mais c’était surtout le spectacle auquel il venait d’assister qui lui avait donné chaud en lui à l’exciter. Clémence s’avança à quatre pattes jusqu’aux pieds du Dominant. Elle entreprit de le dévêtir avec douceur, délicatesse, comme à leur habitude, et une touche de sensualité telle qu’il aimait.


- Lèche mes pieds et remonte le long de mes jambes, mais attention interdiction de toucher à mon joyau sans autorisation. Allez exécution ma chienne.

Clémence, c’est avec une extrême Dévotion et un immense plaisir, que docilement elle se mit à lécher les pieds nus de Ronan remontant lentement avec application le long de ses mollets ensuite les articulations des genoux n’oubliant aucun cm2 de peau. Continuant sa tâche, elle arriva sur l’aine quand soudain, comme poussée par une force invisible d’envie extrême de femelle en chaleur, elle embrassa le membre tendu du Maître. Furieux Ronan la saisit par une touffe de cheveux, la forçant à le regarder.

- Qu’est-ce que tu as fait salope ?
- Je…je ne sais pas Maître… je…je ne sais pas ce qu’il m’est passé par la tête. J’ai trop envie de votre Joyau et….
- Mes ordres n’étaient- ils pas assez clairs ?
- Si Maître, mais la tentation était trop forte et…
- Donc, tu m’as désobéit délibérément ?

Clémence était en panique, elle avait fait cela par une puissante pulsion d’envie de copulation forte et ne savait que répondre, elle bredouilla.

- Non Maître mais…. (Puis résignée). .. Oui Maître, je vous ai désobéi, je le reconnais. J’implore votre juste sanction.
- Tu ne seras pas sanctionnée, tout de suite mais plus tard et en privé.

Jamais lui ou n’importe quel Dominant ayant son épouse pour soumise surtout celle de la noblesse n’était punie en public car il fallait leur garantir une certaine autorité et crédibilité vis-à-vis du personnel du Château. Clémence était mortifiée, elle restait sans bouger prosternée aux pieds de Ronan, la tête reposant sur un des ses pieds se retenant de pleurer mais elle ne pouvait empêcher ses larmes de couler et d’inonder son beau visage.

- Cesse de pleurer ça ne sert à rien, lui lança t’il sur un ton très Dominant et froid.

Soudain il réalisa que Clémence n’allait vraiment pas bien et beaucoup plus doux, lui dit.


- Remonte en haut, à la chapelle, et prend le temps de te calmer et ensuite tu reviendras.

Clémence le remercia et quitta la pièce.

- Quant à toi, Marie, aux pieds. Suce-moi et surtout ne me fait pas gicler ou tu le regretteras amèrement.

Par chance pour Marie, même si elle était toujours de bonne volonté, elle n’était pas la plus experte en fellations, ce qui sans vraiment s’en rendre compte, lui permettra de ne pas faire jouir Ronan. Elle prit le membre toujours tendu entre ses mains le lécha de haut en bas, sur tout sa hauteur, afin de bien l’humidifier puis le pris en bouche essayant de procurer au Dominant un maximum de plaisir attardant ses coups de langues sur le gland et titillant le méat urinaire avec des va-et-vient lents ou plus rapides. Ronan lui posa sa main derrière la nuque pour lui imposer le rythme puis il la fit cesser, en disant.

- C’est mieux mais loin d’être parfait. Je dirais à Messire Léon de poursuivre ton éducation en ce sens. Bien, tu vois dans le coin là-bas, il y avait jadis un autel aujourd’hui il ne reste plus que les draps. Tu vas les préparer car les dalles sont froides quand tu auras terminé, dis-le moi et attend mon bon vouloir en position d’attente.
- Bien Monseigneur…

(A suivre)

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