La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1032)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) (suite de l'épisode précédent N°1031)
Monsieur le Marquis la positionne à genoux, relève son visage dune main douce, plonge son regard bleu et profond dans ses yeux rougis
et essuie ses larmes dun mouchoir sorti de sa poche tout en lui souriant.
- soumise MDE, tu as fait une faute indigne de ton rang et de Ma marque, faute qui méritait une sanction
Tu en as assumé les conséquences avec la dignité dune soumise MDE, nous sommes certains que cette punition restera gravée en ton esprit pour taider à ne plus reproduire cette erreur et servira à ton éducation, nous te pardonnons cet écart de conduite. Maintenant, pour le reste de la journée, nous voulons profiter de la femme, dit-il solennellement en retirant son collier. Allons va rejoindre ton compagnon.
Vanessa se lève un peu perdue, avance jusquà Laurent, et reste figée devant lui, nosant pas le toucher, cherchant quoi dire. Il la prend sur ses genoux, la laisse poser sa tête sur son épaule et elle seffondre en larmes.
- Je suis désolée, de tavoir déçu, de tavoir obligé à me sanctionner, pleure-t-elle.
- Allons, cest pardonné, tu le sais bien, comme à chaque sanction passée, la réconforte-t-il en la serrant contre lui.
Il la laisse un instant se calmer, ce qui lui donne également le temps de se remettre de ses propres émotions.
- Allons, va prendre une douche chaude, prends ton temps, et rejoins-nous en femme dans le salon, dit-il en laidant à se remettre debout.
Vanessa ne dit rien, tourne le dos et file dans la salle de bain. Laurent reste un instant figé, perdu dans ses pensées, puis il lève les yeux vers son ami qui le regarde souriant.
- Je laime, dit-il dun ton terriblement amoureux.
- Je le sais, et cela te coûte de la punir nest-ce pas ?
- Oui, quil serait bon quelle ne commette plus aucune faute.
- Voyons, tu sais comme moi que la sanction fait progresser les soumises, et quelle est déjà proche de la perfection pour le peu de temps quelle côtoie notre monde. Elle a fait une erreur mais globalement pour cette journée, elle a été à la hauteur de notre attente. Tu as fait preuve dune grande exigence, je pensais que tu fermerais les yeux sur cette faute.
- Je ne pouvais pas fermer les yeux, je ne peux me permettre de faiblir devant elle.
- Tu aurais pu me demander de sévir moi-même quand je tai proposé de doubler le nombre de coups, cela taurait évité de te mettre dans cet état émotionnel, sourit Monsieur Le Marquis qui lui parle en ami.
- Je me devais de rester celui que je suis face à toutes les autres soumises, je men serais voulu davoir réagi autrement face à elle.
- Mais tu as été plus sévère que tu ne laurais été pour une autre, tu serais resté à 50, tu naurais pas doublé, nest-ce pas ?
- Elle nest pas nimporte quelle soumise, je devais marquer cette réalité et suivre ta proposition de doubler les coups.
- Tu es un grand Maître et je sais que tu nas plus rien à prouver, ton expérience et ton discernement je lai toujours senti en toi, japprécie ta rigueur
Allons, elle ne va pas tarder, je voudrai profiter de la fin de la journée en compagnie de mon ami et de sa femme, sourit Le Châtelain.
Les deux hommes remontent au salon et patientent le retour de Vanessa en discutant des affaires du Noble. Elle revient quelques minutes plus tard, apprêtée dans une robe légère mettant ses formes en valeur, remaquillée, le visage encore fermé elle patiente dans lencadrement de la porte.
- Vanessa tu es ravissante ainsi, voyons entre tu nas plus besoin dautorisation, linvite Le Noble sur un ton aimable.
Vanessa sourit légèrement et les rejoint, sasseyant dans un troisième fauteuil, à sa façon de sasseoir Laurent se rend compte quil a eu la main lourde et que son corps doit souffrir de ses coups.
- Tu sembles bien pensive, quelque chose ne va pas ?
- Non Maître, tout va bien.
- Nas-tu toujours pas compris quon te connaissait suffisamment pour que nous ne puissions avaler tes mensonges de la sorte, accuse Le Châtelain souriant.
- Je
je pensais à la déception que je vous ai causée, avoue-t-elle.
- Voyons, avons-nous lair déçus ? demande-t-il dune voix calme.
- Non mais
-
mais rien du tout, tu te s lesprit à chaque erreur. Tu en feras dautres, et dautres sanctions les corrigeront, cest ainsi que tu avanceras dans ta soumission, et une fois la punition passée nous ne ten tiendrons pas rigueur, pas pour une faute aussi minime. Tu ne nous as pas trahit, tu as eu pitié dun soumis, cest humain, sourit-Il.
- Merci, répond-t-elle le visage encore fermé.
- Si nous devons faire le bilan de cette journée, tu as été parfaite, répondant à ce quon attendait de toi, même au-delà si on prend en compte la façon dont tu as mis en confiance la soumise la plus novice, sans toi elle naurait pas tenu la journée. Tu as même fait preuve dune initiative que jaurais pris la peine de sanctionner si elle navait pas été aussi efficace, conclue Le Noble.
- En tout cas je suis fier de toi, de la soumise et de ma femme, termine Laurent.
A ces mots, Vanessa se sent apaisée et affiche un subit et sincère sourire radieux en oubliant presque la douleur que son corps lui rappelle encore de temps en temps. Ils reprennent leurs conversations, la jeune femme y prenant part pleinement. Lheure du dîner approche, Laurent leur propose de continuer la discussion en passant à table, ils vont prendre place dans la salle à manger, puis Vanessa se lève pour aller chercher le repas.
- Non Chérie, tu nous as servi ce midi en tant que soumise MDE, laisse-moi servir ce soir la femme que tu es, larrête Laurent.
- Pas la peine, ça ne me pose pas de souci ce midi cétait différent, répond Vanessa.
- Si la femme refuse de sasseoir, je vais lordonner à la soumise, sourit-il.
Vanessa le regarde en souriant et se rassoit. Ils dînent en toute convivialité, parlant de divers sujets, sans jamais aborder celui de la soumission, même si la jeune femme emploi un ton très respectueux à chaque fois quelle sadresse à Monsieur le Marquis. Le dîner se termine, Walter vient darriver avec la Rolls Royce pour ramener Le Maître au Château, Vanessa et Laurent le raccompagnent à la porte.
- Laurent, tu noublieras pas de passer de la pommade sur les blessures de ta femme, indique Le Châtelain sur un ton très paternaliste.
- Ce nest pas la peine Maître, je vais très bien, répond humblement la jeune femme.
- Bien Laurent, tu soigneras donc Ma soumise, répond Monsieur Le Marquis faisant comprendre à Vanessa quelle na pas le choix.
- Aucun souci Edouard, répond Le Commandant souriant.
Il les salut et rejoint la porte que Walter lui ouvre
(A suivre
)
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