J'Aime La Mère Et Sa Fille

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je suis marié depuis quinze ans. Suite à un accident de la vie, ma moitié, à son grand désespoir, ne peut plus me donner ce qui faisait le piment de notre couple. Il y a trois ans, débarque chez nous, une soi-disant fille de sa première union. Elle a 25 ans mais en paraît 15. Elle est jolie comme un coeur, et sexy à souhait. Je me surprend à la regarder, un peu ému. De plus, elle est arrivée avec à l'intérieur, quelqu'un qui a fait de nous des gands-parents. Le petit bonhomme est adorable, et ressemble à mon amour.
Maintenant que le petit ange est là, c'est lui qui a pris ma place dans le lit conjugal. Ma femme et moi, désormais, faisons chambre à part.
Vanessa, c'est ma belle-fille, a vu que mon couple battait de l'aile. Elle a commencé à s'habiller de plus en plus court. Elle n'a pas beaucoup de poitrine, mais de longues jambes fuselées, et un cul ! J'avoue, que certaines nuits, j'ai fantasmé sur ce petit cadeau que le ciel lui a donné.
Ca a commencé dans la salle de bains. Elle était nue devant le miroir, "oubliant" de fermer la porte. Son cul était déjà affolant, habillé, alors nu ! Un matin, c'était l'heure de ma douche, elle s'était levée plus tôt que d'habitude. Moi, comme tous les matins, je suis à l'ouest, jusqu'après le bain. Habitué depuis de longs mois à y être seul, aux aurores, je suis entré sous l'eau, sans m'apercevoir que la douche était occupée. Je n'ai pas remarqué, que le bruit de l'eau venait à peine de sourdre.
Elle prit mon sexe dans sa main, et chuchota à mon oreille :
- Je suis ta belle-fille, et tu ne veux pas tromper ta femme, mais j'ai une bouche et des mains, et je peux te soulager.
Elle passa dans mon dos, plaqua une main sur ma bouche et commença à me branler. Elle continua :
- Elle n'a pas besoin de savoir, laissons-là dormir.

..
Elle s'est mise à genoux, sous chaude, et a pris ma bite en ses lèvres. La moiteur de sa bouche m'a mis en émoi. Très lentement, ses lèvres montaient et descendaient le long de ma tige, Allant de plus en plus loin, vers mon pubis. Quand elle m'eut englouti tout entier, elle glissa un doigt dans mon cul, et j'ai joui dans sa bouche.
Je n'en revenais pas. Quelle dextérité ! Où avait-elle appris tout ça ? Et je me suis rappelé qu'elle avait 25 ans. Dans son pays, les filles sont plus mûres. Et puis, à 25 ans c'est une femme. A la voir, on pouvait en douter.
Maintenant, le matin, elle venait se coller à moi dans mon lit. Son corps in était cependant ferme, et répondait à mes caresses. Et, ce qui devait arriver arriva.
Vanessa ôta mon slip. Elle rejeta draps et couvertures. Couché sur le dos, le sexe dressé vers le ciel, le joli objet de désir, vint s'asseoir sur ma pine, l'avalant toute entière dans son minou. Ca faisait longtemps que je n'avais pas fait l'amour. Sa vulve étroite, enserrait ma bité entre ses cuisses jointes.
C'est le moment que choisit ma femme, pour faire irruption dans la chambre.
- Vous avez pris votre temps ! Vanessa n'est pas bonne ?
- Si ! Mais je suis gêné !
- Pourquoi l'aurais-je faite venir ?
- Tu savais que je la baiserais ?
- Non ! fit-elle. Je savais qu'ELLE te baiserait !
- Mais c'est ta fille quand même !
- Elle n'en est pas moins femme ! Ca fait la cinquième que je mets dans tes pattes. Fidèle comme un chien , hein ! Je sais que tu m'aimes, mais passer le reste de ta vie à me regarder, je ne le supporte plus. Toutes ces années, je suis restée en contact avec Vanessa. On ne se cache rien.
Vanessa est avide de sexe, et toi, tu es en manque. Je sais l'effet qu'elle fait sur les hommes, et elle les aime d'âge mûr. Tout ça tombait très bien. Quand elle t'a vu, tu lui a plu, tout de suite. Il a fallu que je la calme pour qu'elle ne te saute pas dessus.
- Je suis désolé, dis-je. J'avais décidé de te le cacher. J'ai honte.
- Vanessa me l'a dit. Tu ne le sais pas, mais cette petite a un coeur gros comme ça. Elle a pleuré de te voir dans cet état. Tu sais, connaissant ma fille, ça m'étonnerait pas qu'elle tombe amoureuse de toi. J'espère seulement que vous nous garderez avec vous, Nicolas et moi.
- Maman ? dit Vanessa. Maintenant que c'est fait, je peux repartir !
- Et casser tout ce qu'on vient de réussir ? Tu ne l'aimes pas ?
- Oh si ! Mais toi aussi !
- Mais moi aussi, je t'aime, dit ma femme.T es heureuse avec lui, je suis heureuse avec vous ! Et puis, vous regarder, nus tout les deux, en train de...
Elle passa sa langue sur ses lèvres,
... C'est plûtot excitant à regarder !
- Maman !
- Ben quoi, c'est vrai ! J'avais oublié combien t'es belle, à poil !
Délestés du poids de la culpabilité, Vanessa et moi, inventions des scènes pour sa mère. Je la déshabillai, faisant glisser avec lenteur sa culotte sur ses fesses bombées. Vanessa se mettait face à sa mère pour me sucer la bite. L'oeil luisant, elle lui montrait son joli cul, se penchant en avant pour qu'elle voit mon sexe pénêtrer sa chatte. Une fois même, pour bien lui montrer qu'elle me donnait son cul, elle s'est retournée vers sa mère et s'est empalée sur ma bite.
Avant de se mettre en mouvement, elle m'a demandé de lui branler le petit bouton. Vanessa se trémoussa sous l'action de mes doigts, écartant ses cuisses, pour montrer à sa mère, que c'était bien dans son cul, que je m'étais introduit.

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