Barbara 2
- Allo, Michel ?
- Allo, oui cest bien moi.
- Cest Barbara.
- Salut Barbara, comment vas-tu ?
- Ça va bien merci.
- Je croyais que tu ne rappellerais pas.
- Il ma fallu un peu de temps après notre rencontre, excuse-moi. Jai dû repenser à ce que nous avons vécu tous les deux. Jai dû tapparaitre comme une femme facile.
- Non, jai plutôt ressenti chez toi un grand besoin de ne plus être seule. Tu avais envie de te donner.
- Cest fou ce que tout devient facile avec toi. Moi qui nosais même plus regarder un homme, dès que tu me parles, jai tout de suite envie dêtre dans tes bras et de te donner mon corps. Je ne sais pas ce qui marrive.
- Tu as du temps à rattr je crois. Tu as besoin quon soccupe de toi, quon te rende heureuse et surtout quon ne te juge pas. Je ne te jugerai jamais ma chérie.
- Oh merci, Michel, je me sens bien avec toi. Il est vrai que jétais dans une grande routine.
- Je vais tapporter du plaisir ma chérie, tu vas pouvoir faire tout ce que tu nas jamais osé faire.
- Tu crois ? je ne sais pas si je pourrai.
- Tu as confiance en moi ?
- Oui.
- Alors, tu vas mécouter. Tu comptais faire quoi aujourdhui ?
- Je voulais aller en ville acheter des vêtements.
- Bien, écoute-moi. On va y aller ensemble. Mais je voudrais que tu thabilles plus sexy que lautre jour.
- Comment ça plus sexy ?
- Tu vas mettre un soutif moitié de seins avec un string assorti. Des bas avec un porte- jarretelles. Des escarpins assez hauts pour augmenter ta cambrure. Un chemisier en dentelle transparente.
- Mais tout le monde va me regarder ?
- Jy compte bien, tu es belle et désirable ma chérie. Prépare-toi comme ça, je passe te chercher vers 11h30. Je retiens une table en terrasse au centre-ville.
- Mais
- Fais ce que je te dis.
Michel .
Javais dit ma dernière phrase sur un ton qui ne laissait pas le choix à Barbara.
Javais ensuite appelé un ami qui tenait un restaurant au centre de Chalon. Je lui avais demandé une table en vue au milieu de sa terrasse en lui expliquant et en lui donnant un peu de détails sur Barbara. Je lui demandais quil nous réserve son serveur noir expérimenté en lui disant que je lui laisserais un bon pourboire. Il avait compris ce à quoi je faisais allusion. Il brieferait le serveur.
Barbara .
Je me préparais en attendant 11h30 quand Michel viendrait me chercher. Jappréhendais de me présenter devant Michel habillée comme ça, mais surtout jétais très excitée. Je navais jamais connu ça. Michel maccompagnait sur des territoires inconnus, moi Barbara qui avait toujours peur du quad dira-ton. Michel me faisait découvrir mon corps. Jétais là devant la glace, la Barbara que je voyais était une personne que je ne connaissais pas. Mon cur battait la chamade. Javais mis le rouge que Michel désirait, le rouge Carmen sur mes lèvres. Ce rouge faisait ressortir mon visage. Jétais heureuse.
11h30, la sonnerie de la porte dentrée me sorti de mes pensées. Jallais ouvrir.
- Bonjour Michel, entre.
- Barbara ? cest bien toi ?
- Oui oui, rires.
- La vache, tu es resplendissante. Comme tu es belle, mais non, je veux dire magnifique, oui cest ça, tu es magnifique.
- Oh Michel, tu me flatte.
- Mais non, je tassure, tu es une bombe. Tourne voir sur toi-même que je tadmire.
Michel.
Barbara tournait sur elle-même, elle était métamorphosée. Très sexy, mais surtout pas vulgaire. Je bandais comme un âne dans mon pantalon. La vache, javais envie de cette femme.
- On y va ma chérie ?
- Où ça ?
- Mais au restaurant !
- Au restaurant ?
- Mais oui rappelle toi.
- Ha oui, excuse-moi, je, je oui oui le restaurant.
- Aller vient ma chérie.
Barbara.
Il mouvrit la portière. Ma jupe remonta au-dessus de mes bas quand jécartais les jambes pour massoir. Nos regards se croisèrent avec un sentiment de désir. Je sentais que je devenais de plus en plus humide.
Michel.
Je sentais Barbara super excitée, elle était super sexy. Tout en conduisant, je posais ma main droite sur sa cuisse. Elle écarta légèrement les cuisses en me souriant. Je remontais ma main vers son entre-jambes jusquà son string qui était trempé.
- Et bien ma chérie, tu es en forme.
- Grâce à toi Michel, tu me rends dingue.
- Cest que tu en as envie ma puce. A force de me raconter certains de tes fantasmes, je tai réservée une surprise.
- Ha oui, laquelle ?
- Si je te le dis, ce ne sera plus une surprise.
Michel :
Jappuyais plus fortement mon doigt sur son string à la hauteur de son clitoris. Elle gémit de plaisir.
- Oh Michel, cest si bon de se sentir désirée. Je narrête pas de mouiller mes dessous quand je suis avec toi.
- Je vois ça ma petite salope
- Hummmm, ta petite salope, tu le penses vraiment ?
- Je suis sûr que tu aimes quand je tappelle comme ça.
- Javoue que ça mexcite.
-
Barbara.
Nous arrivâmes dans le parking non loin du restaurant. La pensée de sortir de la voiture dans cette tenue me stressait quand même. Michel fît le tour de la voiture pour mouvrir la portière.
- Tu es très excitante ma puce. Tu vas faire tourner la tête des hommes.
- Arrête Michel, je ne sais plus où me mettre.
- Mais non, je suis là, viens. Donne-moi la main.
- Daccord.
Barbara.
Nous prîmes lascenseur en compagnie dun homme dune trentaine dannée. Durant toute la montée de lascenseur, je sentais son regard sur moi et javoue que je sentais mon bas ventre senflammer. Michel serra ma main dans la sienne tandis que je sentais une main me caresser les fesses allant même jusquà explorer mon entre-jambes. Je nosais rien dire de peur de mettre Michel dans une mauvaise position, ne sachant pas si cet homme faisait partie de la surprise. Lhomme passa une main sous ma jupe, écarta mon string et trempa son doigt dans ma mouille, je me retenais pour ne pas gémir. Arrivé à destination, lhomme avait quitté mon intimité sans rien laisser paraitre et nous salua en sortant de la cabine.
- Michel, tu connais cet homme ?
- Non, jamais vu. Pourquoi ?
- Pour rien.
Barbara.
Pour la première fois de ma vie, un inconnu mavait caressé les fesses en présence de mon amant et je navais rien dit. Mais pire, javais éprouvée du plaisir au point de jouir en silence en sentant ces deux doigts dans mon vagin. Que marrivait-il ?
Nous arrivâmes au restaurant.
- Bonjour Michel, comment vas-tu.
- Très bien Daniel, je te présente Barbara.
- Barbara, enchanté, soyez la bienvenue. Vous êtes ici chez vous. Demandez et vous serez servie.
- Merci beaucoup.
- Michel, je tai réservé cette table-là.
- Très bien.
- NDoume va soccuper de vous.
Barbara.
Un grand noir très musclé (comme dans mes rêves les plus fous) sapprocha de nous.
- Madame, Monsieur si vous voulez bien me suivre.
Barbara.
Il me fit assoir en me présentant une chaise.
- Vous prendrez lapéritif ?
- Pour moi ce sera un Kir.
- Et vous madame ?
- Un martini svp.
- Très bien.
Le serveur séloigna.
- Alors Barbara, quen dis-tu ?
- Ce restaurant est agréable.
- Je ne parlais pas du restaurant.
- Ha heu oui. Le serveur ?
- Jai vu que tu le regardais.
- Oui, tu as vu la bosse quil a dans son pantalon ?
- Non, de quoi parles-tu ?
- Mais enfin Michel, il a une grosse bosse à la place du sexe, tu nas pas vu ?
- Dis donc Barbara, tu as lair bien intéressée par le sexe on dirait.
- Mais non, mais cétait si impressionnant.
Barbara.
Michel eut un petit sourire en coin. Je suis sûre quil me jouait la comédie. Le serveur revînt avec nos apéritifs. Est-ce que vous avez fait votre choix pour le repas ?
- Barbara ? tu as choisi ?
- Hein, quoi ?
- Le monsieur te demande si tu as choisi.
- Ha heu non pas encore.
- Pas de soucis, je repasserai.
- Sil vous plait, pourriez-vous mindiquer les toilettes.
- Oui bien sûr, suivez-moi je vais vous montrer.
- Prends ton temps ma belle.
- Je ne serai pas longue Michel.
Michel.
Je me disais « cest ce que tu crois ma belle ». Je vis Barbara suivre le serveur en direction de lescalier qui descendait aux toilettes.
Barbara.
Je suivais le serveur, il était très musclé avec les cheveux très courts. Plus je descendais les marches, plus je sentais mon ventre se crisper. Je ne me contrôlais plus. Moi, la femme bourgeoise jallais faire un acte que je naurais pas pu imaginer il y a un mois encore. Mais depuis, il est vrai que Michel est entré dans ma vie et il ma fait redécouvrir des sensations que javais oubliées, il ma donné des envies qui étaient jusque-là inavouables.
- Voilà madame, nous y sommes. Les toilettes pour femmes sont sur votre gauche. Si vous avez besoin de quelque chose, je reste là, à votre disposition.
- Merci jeune homme, vous être très aimable.
- Avec plaisir. Vous êtes une femme charmante.
- Oh merci, vous êtes mignon aussi.
Barbara.
Je mapprochais du serveur. Et cest face à lui que jai osée lui dire : « Pouvez-vous maccompagner dans les toilettes? »
- A votre service.
Barbara.
Jouvris une porte de cabine et le fit entrer à ma suite. Je lui tendis mes lèvres, il posa les siennes sur les miennes. Je posai ma main sur sa bosse. Cétait bien son sexe. Je baissai sa braguette et sortis son membre en magenouillant. Je le décalottais, javais envie de ce sexe, je ne pouvais pas me retenir, jen avais trop rêvé. Je lui fis une fellation comme si javais envie de lavaler en entier. Il me prit la bouche avec délicatesse mais profondément et après quelques minutes de va et viens, il déchargea sa semence directement dans ma gorge. Javalais tout pour ne pas salir mes vêtements.
Une fois fini, il rangea son matériel. Je lui donnais mon numéro et mon adresse. Javais envie de lui, de sentir son sexe dans mon vagin.
- Merci jeune homme.
- Pour vous servir.
Barbara.
Je me remis du rouge sur mes lèvres et bus une gorgée deau au lavabo.
- Remontons, je vous prie.
- Bien madame, suivez-moi.
Barbara.
Je regagnai ma table, accompagnée du serveur qui me tendit la chaise.
- Alors Barbara ?
- Magnifique Michel. Merci pour ta surprise.
- Tu las provoquée toi-même ma chérie.
- Oui, jen avais rêvée, tu mas permis de vivre mon rêve.
- Alors cest parfait, nous pouvons commander ?
- Oui, oui, rires.
Michel.
Le repas se déroulait divinement. Barbara mavait informé sur sa volonté de revoir Ndoumé chez elle. Elle me demandait mon accord.
- Mais chérie, tu es majeure. Tu fais comme tu veux. Je te mets juste en relation avec tes fantasmes.
- Merci, Michel.
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