L'Histoire De La Truie : Genèse
Je mappelle Gaëlle, jai aujourdhui 29 ans. Je ne me trouve pas très belle, un corps petit et très rond et pesant ses 81 kilos, un visage quelconque et que je ne mets pas vraiment en valeur. Je ne suis pas très propre, je prends des douches mais change rarement mes draps et mes habits. Je mépile le pubis, les lèvres et lanus car je ne supporte pas les poils mais je nai personne pour venir en profiter. Si je mintroduis de la sorte, cest pour pouvoir recentrer mon histoire. Je ne suis pas attirante, physiquement comme de par mes manières.
À 18 ans, un jeune garçon mavait séduit et naïve jétais sorti avec lui. Évidemment, il ne se servit de moi que pour assouvir ses besoins. Il me faisait lamour très rapidement et il eut lhonneur de dépuceler mon anus, chose que jappréciais. Seulement nos rapports étaient rares (je devais découvrir plus tard quil me trompait avec une femme bien plus jolie et séduisante que moi) et bientôt, il me quitta. Triste, je tombais dans un état un peu dépressif et me réfugiais dans la malbouffe ce qui naméliora pas mon poids. De plus, étant à la base sauvage, je me renfermais sur moi-même et ne sortais plus, sinon pour aller à des concerts de metal avec ma sur, aussi ronde que moi, mais plus apprêtée et avec des seins énormes, choses qui plaisent aux hommes. Je trouvais quelques coup dun soir mais à chaque fois comme la grosse quon peut baiser rapidement. Je ne voulais pas devenir le vide-couilles des messieurs de mon patelin, je ne faisais que rarement lamour, de plus je ne sortais pas de chez moi, comme dit au-dessus.
Tout changea quand je le rencontrais. Il sappelait Joël, sud-américain, 23 ans, beau comme un dieu. Je laperçu la première fois lors dun barbecue où je me trouvais avec ma cochonne de sur, qui avait pris dans ses filets, un métaleux beauf mais gentil. Javais à ce moment 24 ans, toujours en surpoids, toujours fermée et la même hygiène. Je navais pas eu de relation sexuelle pendant 2 ans, sinon une rapide sucette à un mec qui mavait dragué dans un bar de la région et où à nouveau, je métais fait avoir.
Je nen revenais pas : oui, je suis parfois négligée et pas trop portée sur la toilette car nétant pas en couple, je me laisse aller mais ça
sucer des doigts sortant de mon petit trou
Nétais-je quune salope, après tout ? Une vide couille ? Je mendormis sans passer par la salle de bain, tétant mes doigts et les nettoyants de la sorte. Le matin, à mon réveil, je me remasturbais en pensant à ce beau Joël, à son corps musclé, à se sexe que jimaginais dur comme la roche
Plusieurs mois passèrent, la routine sétait réinstallée.
Coralie vint me chercher en me signalant que Joël lavait contacté et voulait savoir sil pouvait nous revoir pour un verre. Mon cur se mit à tambouriner dans ma poitrine, je lui disais quil fallait le faire venir ici ! Il accepta et comme nous habitions loin, Coralie lui proposa de dormir chez nous. Mes fantasmes revinrent mais je pensais quil était là pour les gros lolos de ma sur et il aurait eu raison mais ma sur ayant un amoureux virtuel lui avait dit quelle avait un copain et il venait quand même. Au fond de moi jespérai limpossible mais dans les faits, je ne fis rien.
Le jour J, jallais le chercher avec ma sur à la gare, étant la seule de la famille à avoir le permis. Après les bises dusage, nous allâmes donc chez moi. Laprès-midi se passa dans la chambre de ma sur où il profita de la guitare familiale. Une amie à nous, Leslie, sétait jointe pour regarder des films et jouer à des jeux vidéo. Moi, je ne parlais pas beaucoup, je le regardais. Il était assez tactile ce qui me faisais souvent rougir, lorsquil menlaçait après une blague mais le voyant faire la même chose à ma sur et à Leslie, je ny prêtais pas grand attention. Enfin, après le diner, nous allâmes au cinéma voir un film dhorreur, puis nous rentrâmes. Il était censé dormir dans ma chambre et moi avec Leslie et Coralie, cependant, avant le dodo, nous regardâmes encore un film, puis une fois fatigué, il se coucha sur mon matelas (Leslie et Coralie devant dormir ensemble). Je mallongeais donc à côté de lui en goûtant à la chance inespérée de lavoir contre moi. Puis, il se déshabilla, ne gardant que son slip. Cette fois, jétais troublée, métant mis-je en pyjama, je ne bougeais pas. Le ronflement de Coralie me fit prendre conscience que ma sur dormait.
Il affichait un tel air de douceur, son beau visage était détendu par le sommeil, il semblait bien
Et soudain, il ouvrit les yeux : « Tu ne dors pas ?
- Euh
je te gêne ? Je tai réveillé, demandais-je en bégayant.
- Pas du tout
jai le sommeil léger, tinquiète. »
Et là-dessus, il menlaça le plus naturellement du monde et me fit tourner de côté. « Bonne nuit. » me dit-il avant de refermer les yeux. Dos à lui, je sentais son sexe qui appuyait sur mon bas de pyjama et sans men rendre tout de suite compte, je commençais à mouiller.
Soudain, ses mains remontèrent brusquement et sagrippèrent à mes seins. Ses doigts tirèrent mes tétons, jouaient avec mes mamelons puis une de ses mains souleva mon haut de pyjama et me lôta pour me peloter franchement. Je nosais pas y croire. Cétait un peu moins romantique que dans mes fantasmes mais presque plus excitant par ce côté brutal. Sa langue commença à me lécher le cou, tel un loup affamé devant une truie bien grasse et vulnérable, puis il baissa mon bas de pyjama et sans un mot me fourra son index dans lanus, sans même toucher le vagin. « Tu mexcite, ma grosse
» me dit-il avec une voix rauque. Je ne mattendais pas à un ton aussi direct mais ça mexcitait encore plus : jamais on ne mavait parlé comme ça, jamais on ne mavait aussi directement peloté. Jhésitais à réagir mais lexcitation prit le pas sur mon éthique et je me laissais faire. Il mavait complètement déshabillé sans que je change de position. Je sentais maintenant son sexe gros et dur buter contre mes fesses dodues, besognant comme un bélier sur une porte de château fort. « On va dans ta chambre », mordonna-t-il. Et sans se rhabiller et me laisser le temps de me revêtir, il memmena dans ma chambre, au risque de tomber sur mes parents, moi nue et rouge de honte, lui en pleine érection.
A peine la porte de ma chambre fermée, il me jeta sur le lit brusquement. Je me redressais et me trouvais fasse à son pénis. Il sentait fort, mon Dieu, la sueur, un peu de liquide pré séminale
une odeur de mâle dominant. Il ne me laissa pas le temps de faire quoi que ce soit, il me saisit par les cheveux et me fit engloutir son membre. Je me mis à le sucer. « Quelle grosse salope
tu me suce comme une déesse
jamais on ne mavait sucé aussi bien
Grosse putain ! » Quelle vulgarité dans ses compliments
Jen mouillais de bonheur, je suçais le plus bel homme que jai eu jusquici et il aimait ça. Il se coucha et je me mis entre ses jambes pour le sucer avec passion. « Lèche mes couilles » mordonna-t-il. Je mexécutais et lui léchais ses grosses bourses moites et odorantes. Il redressa son bassin et fit des mouvements de haut en pas qui amenait ma langue à son anus. Consciencieuse et ayant compris, je lui nettoyais sa rondelle brun foncée malgré lodeur forte et âcre. « Mon dieu
. Je suis en train de me soumettre
comme une esclave ! Cest horrible
et tellement excitant
! » pensais-je pendant que je lui léchais lanus. Soudainement il se redressa et mallongea sur le dos, écarta mes cuisse et vint me lécher la fente. Javais honte : comme à mon habitude, je navais pas lavé mon sexe avant de dormir et ce depuis le réveil ! Lodeur devait être des plus fortes ! Mais il nen avait cure et continua ses attouchements buccaux. Un doigt dans mon trou du cul me fit défaillir et je lâchais mon premier glapissement de plaisir. Il se mit à pousser sur mon bouton damour et en quelques minutes, je lâchais mon premier orgasme en meuglant comme une vache.
Il me mit alors à quatre pattes sur mon lit en me faisant cambrer au maximum ma croupe et sattaqua à mon anus. Il le léchait, faisait rentrer sa langue à lintérieur
et je jouis à nouveau en hurlant et, cette fois, en lâchant un jet de cyprine. Il madministra alors des fessées sèches et sauvages sur mon cul tout en me doigtant lanus et cette fois le vagin. « Tu prends la pilule ?
- Oui
mais je ne fais jamais lamour, lui dis-je car javais compris son souhait : me prendre sans capote.
- Jai fait un test il y a deux semaines. Je vais te prendre à cru.
- Oui, daccord
- Tu es timide, hein ? toute soumise ? grosse salope. Aller dis le
!
- Je suis une grosse salope
- Une grosse truie bien graisseuse
!
- .. euh
une cochonne
»
Il me gifla. « Un truie, je tai dit, grosse putain ! Pas une cochonne ! Tu as envie de ma pine, non ? Alors répète exactement ce que je te dirai de répéter ! » Avec des larmes de honte mais la chatte en ébullition, je mexécutais « Je suis une grosse truie bien graisseuse ». Il me flaira, sans douceur, comme un chien renifle sa femelle : « Tu sens la nana pas très propre
tu pues la transpi
cest très excitant, je vais te faire beaucoup de choses, ma grosse. » Là-dessus, il me mit en position assise et se mit à se branler entre mes gros seins. Je léchais son gland qui arrivait à portée de ma bouche à chaque coup de rein. Une fois bandé au maximum, il me jeta comme un sac de viande sur le lit et écarta mes cuisses. « Truie, je vais te saillir. Je vois que tu aimes la soumission, alors je te ferai jouir dans toutes les positions et par tous les trous, mais tu devras exécuter ce que je te dis de faire ! » Et la dessus, il senfonça en moi dun coup sec.
Je hurlais de bonheur et de plaisir, sentant son gros gland violacé entrer dans mon puit damour trempé et maltraitant mes parois intimes. Il membrassa simultanément, le premier baiser que nous échangions. Cétait un baiser sexualisé et baveux mais tellement cochon, excitant
Il me fouillait avec sa langue, me suçait la mienne et lécha mes lèvres, comme un porc en rut. Adieu douceur, adieu romantisme, mais je ne men plaignais pas le moins du monde ! Il me culbutait comme un Dieu, sauvagement mais en tenant longtemps. Je sentais ses testicules taper sur mon anus, le cogner et le malmener, ses mains pressant mes nichons et sa bouche qui continuait à embrasser et lécher chaque parcelle de mon cou, de mes lèvres et de mon gros corps. Il se mit soudain à m. Dinstinct, je tentais de me défaire de son étreinte mais il me gifla et je renonçais. La soumission à mon ur était totale, il me violait presque de par sa brutalité mais je men trouvais encore plus excitée. Je ne tardais pas à jouir en grognant comme la femelle dun porc qui se fait saillir par son mâle à la grosse bite.
Il me fit me mettre à quatre pattes. Jallais être prise en levrette et je miaulais déjà de bonheur lorsque je senti quil appuyait son gland sur mon anus. Je neus même pas le temps de protester quil senfonçait déjà dans mon trou du cul, puant et transpirant de désir. Cette fois, jeu sincèrement mal et je couinais de douleur mais il nen avait cure et me saisit par les cheveux. « Cambre-toi, gros tas ! Je veux que tu me sentes en toi ! » Il commença à me besogner rapidement et de manière puissante. Les insultes et la brutalité de la pénétration mexcitèrent encore plus et la douleur fit vite place au plaisir sale, humiliant, dégradant mais combien excitante. Il me léchait le cou à chaque coup de butoir, me pressait les mamelles (et oui, jutilise volontairement des termes animaliers car le sexe était bestial avec lui). Puis il amena son sexe vers ma bouche. Dune gifle, il me la fit ouvrir et je gobais le pénis de mon mâle, pénis qui sortait de mon anus. Quelques traces de sécrétions pas ment des plus propres me firent quelques soubresaut de nausée mais je mappliquais à le nettoyer. Il me reprit la chatte, toujours en levrette tout en enfonçant trois doigts dans mon petit trou que je sentais ouvert en grand.
Il me réinstalla sur le dos et mencula à nouveau avec sauvagerie. Il haletait de manière bestiale et je jouissais à nouveau mais cette fois par le cul, mon premier orgasme anal
Délicieux, mesdemoiselles et mesdames, je ne peux que vous encourager à la sodomie ! Enfin il sorti de mon anus et vint se positionner au-dessus de moi. Jétais en sueur, transpirante, rose comme une truie, avec des marques de morsures dans le dos et des zones rouges où il mavait fessé, baffer et malmener. Je navais jamais sucé qui que ce soit jusquà jouissance, trouvant cette pratique trop dégradée mais cette fois, javais faim de sexe et je voulais sentir son sperme dans ma bouche, dans ma gorge
Il poussa un long grognement et trois premiers jets de spermes chauds vinrent souiller mon visage et mon corps. Je goûtais pour la première fois à du jus dhomme. Cétait amer, pas vraiment bon mais ça mexcitait de voir leffet que javais produit sur un tel Apollon ! Jen avalais le plus possible, cochonne à souhait comme il le voulait et il marrosa copieusement, telle une dinde à rôtir quon arrose de sauce pour quelle ne sèche pas trop à la cuisson. Je pensais après les derniers soubresauts de son pénis que cétait alors terminer mais il me fit ouvrir la bouche « Nettoie-moi, truie obèse ! Je veux être vidé jusquà la dernière goutte et surtout être propre pour dormir ! »
Il glissa son gland encore violet et brulant dans ma gorge et fit des allers-retours en prenant soin de toucher ma luette et de provoquer en moi des haut-le-cur forts, me faisant saliver et baver sur sa grosse bite, mes glaires se mélangeant sur mon menton à son sperme. Enfin, ça terminé, il menvoya à la salle de bain pour me laver visage et bouche : « Je nai pas envie de me réveiller avec une truie qui pue le sperme quand je voudrai lembrasser. » Je me levais et mapprêtais à enfiler mon pyjama lorsquil men empêcha en me disant quune truie se devait dêtre nue. Il insistait sur le caractère porcin quil me trouvait et je men sentais blessée mais aussi très excitée.
En face de la glace, dans la salle de bain, je me senti dabord humiliée, honteuse, dégueulasse
Mais ces impressions laissèrent bientôt la place à un sentiment plus agréable, lexcitation. Je pris une douche en plus de ma bouche. Je remarquais que javais des taches brunes aux fesses, ma sodomie avait été des plus agressives. Y repenser me fit mouiller instantanément et je me mis à me masturber avec le pommeau de douche, la pression du jet appuyant sur mon clitoris. Après avoir jouis encore une fois, jallais me coucher. Il dormait déjà à point fermé, je me glissais sous la couette ; au moins ma chambre était propre et mes draps que je ne changeais quasi-jamais létaient de même. Plus dodeur nauséabonde, plus de trace de sueurs et de crasse, ma chambre était agréable à y dormir. Détendue et assommée de fatigue par le sexe, je mendormis presque instantanément.
Cest une petite sensation chaude sur le visage qui me réveilla. Jouvris les yeux et sentis quelque chose se frotter contre mes joues, sur mes narines et contre mes lèvres. Après avoir repris mes esprits, toujours allongées, je remarquais quil sagissait du gland de Joël. Pas encore bandé à fond mais déjà dune jolie taille, il se frottait contre mon visage, répandant sa forte odeur sur la face, une odeur de sexe pas encore lavé du matin, une odeur de sperme séché, une odeur de mâle, une odeur qui mexcita en quelques secondes. « Ouvre la bouche, ma petite grosse vache damour. » Même si les insultes étaient toujours là, il était plus doux dans ses gestes et ses actes. Il enfonça profondément son pénis dans mon gosier ouvert et se satisfit lui-même sans que je bouge, sinon la langue autour de son gland. Il aimait particulièrement quand jaspirais son gros bout ou quand je moccupais de lui lécher les testicules. Enfin, il me mit sur le ventre et sinstalla à califourchon sur moi, son sexe fiché dans le mien, puis commença à me ramoner, à nouveau en grognant comme un animal sauvage, des grognements sourds mais oh combien excitant. De couinement de salope pas encore réveillée à meuglement de vache en chaleur, mes cris se firent plus forts. Jespérais que mes parents ne lentendent pas mais Joël ne maidait pas vraiment. Il sôta de moi mais ce fut pour lécher mon trou du cul, puant de la chaleur de la nuit. Il le léchait, faisait pénétrer sa langue et enfin, après lavoir bien lubrifié, il entra dans mon conduit interdit, dilatant mes parois anales par la seule force de son pénis et se mit en tête de me nettoyer de mes sécrétions par un ramonage en bonne et due forme. Il abandonna toute douceur pour se vider quasiment les couilles dans mon rectum. Il me fessait, me traitait de truie obèse, de vache laitière et de moche et cochonne, me giflait et métranglait et parfois, me faisait avaler ses crachats. Jétais à nouveau une grosse femelle juste bonne à se faire cuisser et lui, mon mâle dominant. Au bord de la jouissance, il sorti de mon trou puant et présenta sa verge malodorante à mes narines : « Suce. » Je mappliquais à le sucer et il jouit dans ma bouche en criant son plaisir. Javalais son nectar ainsi que le peu de sécrétions anales qui se mêlaient à ce délicieux sperme.
Là-dessus, il se leva brusquement et parti à la douche, nu. Jentendis la voix de ma mère choquée de le voir ainsi dans la pièce mais étonnement, elle ne sen offusqua pas et se mit à blaguer avec. Jimaginais la scène lui avec le sexe encore érigé et parlant avec décontraction et ma mère, le teint un peu rougeâtre de gêne et néanmoins quelques peu excitée. Puis, la porte claqua et il senferma dans la douche. Ma mère en profita pour entrer dans ma chambre : « ça pue le sexe
Mon Dieu ma fille mais tu es vraiment
. Ah je nai pas les mots. » Et elle partit. Je restais coite et interdite. Que penserais ma mère ? En me levant, jallais aussi prendre ma douche.
Nous refîmes lamour (ou plutôt laccouplement) dans la journée, je le suçais en présence de Leslie et ma sur qui étaient très intéressées. Je pense quelles auraient aussi voulu samuser mais cependant, je ne le voulais que pour moi. Naïve, je mimaginais déjà me mettre en couple avec lui. Au moment du départ, je devais être déçue : « Merci pour tout, ma grosse ! Ce soir, je vais baiser avec une copine mais tu mas tellement vidé, je ne sais pas sil restera un peu de jus pour elle. » Jen fus choquée et mortifiée et je mapprêtais à lui lancer une réplique cinglante comme « Et moi ? Jétais juste ton sex-toy ? Connard ! » Mais avant ça il me dit : « Le weekend prochain, tu viens à Genève et je te prendrai toute la journée, avec une surprise à la clé. » Je compris alors que jétais désormais en son pouvoir, que de fille sage et délaissée, jétais devenu sa chienne, sa pouffiasse, sa pute, sa truie.
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