Tendresse, Tendresse, Rudesse

A poil, devant le miroir de la salle de bains, je suis en train de me brosser les dents. Soudain, je vois le visage d'un mec, dans la glace.
- Faut pas te gêner ! Qui t'es toi ?
- Je m'appelle Joël ! Je suis le copain de ta soeur !
- Et tu veux quoi ?
- Je reviens des chiottes, et quand j'ai vu ton cul...
Sans attendre, il entre. Une main sur mon cul, l'autre autour de ma poitrine, il m'embrasse dans le cou.
Excité, je me tortille. Il glisse un doigt entre mes fesses.
- Il te plaît mon cul ?
- Autant que celui de ta soeur ! Seulement, elle, elle suce !
- Moi aussi, si tu veux ! T'as enculé ma soeur ?
- Pourquoi ?
- Savoir que ta queue a visité mon cul après celui de ma soeur, c'est excitant !
- Peut-être, mais je ne pense pas que ça la réjouisse.
- Tu baises les filles ET les garçons ?
- Tu sais, un beau cul, c'est un beau cul ! C'est pareil pour une bouche. Un gars peut sucer aussi bien qu'une fille.
- En tout cas, toi, t'as la plus grosse bite que j'ai jamais vue.
- Et tu la voudrais dans ton cul ?
- Moi, toutes les copines de ma soeur disent que j'ai un beau cul, et je rêve qu'il plaise à un mec comme toi.
- T'as baisé les copines de ta soeur ?
- Non ! Elles disent que mon cul plairait beaucoup à des mecs.
- Elles ont raison. A DES mecs, je sais pas, mais à moi.

..nouvelle caresse.
Tu sais ce qu'on va faire, on va faire ça comme ça ! Je baiserai d'abord ta soeur. Toi, tu m'attendras chez moi. En rentrant, je me ferai ton cul. Je sens que je vais aimer ça ! Dit-il en me passant la main sur les fesses. Bon sang, ajouta-t-il, s'il sont aussi serrés l'un que l'autre, je vais m'exploser.
Le lendemain, chez lui, j'étais déjà à poil, quand il est arrivé. D'entrée, j'empoignais son engin à travers le pantalon. Il était dur comme du marbre. Visiblement, mon cul lui faisait de l'éffet. Je n'ai même pas eu besoin de le sucer. Il glissa un doigt enduit de crême, entre mes fesses. Il me courba sur son bras puissant et entreprit de s'enfoncer sa bite. Il lui a fallu plusieurs minutes par me la rentrer en entier.
- C'est pas possible, t'es puceau ?
- Tu pensais le contraire ?
- Avec un cul pareil, c'est un miracle ! J'ai plein de copains qui seraient ravis !
- T'as qu'à les inviter !
- T'es une vraie petite salope !
- C'est bizarre, ma soeur m'a dit être sûre que j'en serais une ! Tu sais, hier, j'ai dit que je suçais, moi aussi. C'est pas vrai, j'aime pas ça. C'est les copines de ma soeur qui me sucent.
- T'inquiète, me dit-il. Quand mes copains auront goûté à ton cul, ils oublieront ta bouche, crois-moi ! Mais moi, si j'étais toi, je mettrais un slip. Ils te l'arracheront avec joie. Je me charge de leur faire acheter ce qu'il faut pour garder ton cul toujours aussi beau, musclé et doux.
Il ne se lassait pas de le caresser. Une fois à poil, il me prenait des bras et m'étreignait, mon corps contre son corps, et les mains sur mes fesses.
Moi, le contact de toutes ces mains, sur mes rondeurs, hérissaient, tous mes poils. Quand j'étais seul, je priais pour que ça ne s'arrête jamais.

Je n'ai jamais compris comment tous ces gars avaient compris à quel point, mon cul était avide de bites pour le combler.
Jamais de violence, jamais d'exigence. Ils étaient doux et attentionnés avec moi. Parfois, quand je demandais un peu plus de rudesse, ils obtempéraient, sans jamais de commentaires.
Il y en avait un, un peu spécial. Rémi. Il était très musclé, et velu comme un ours. Avec lui, je me sentai comme aux prises avec l'animal. A celui-là, je demandai un assaut, sans sommation. Après son passage, j'étais vidé. J'étais convenu avec lui, de ne rien dire aux autres, et de ne venir, pas aussi souvent que les autres. Il me saccageait à chacune de ses visites. J'aimais beaucoup la douceur des copains de Joël. Mais parfois, la sauvagerie de Rémi m'était nécessaire. Aussi.

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