Marchand D'Illusions 5
Grégoire nosait pas en demander autant la première fois. Il peut se féliciter du retour de Marie. Et Marie tente darriver à ses fins en se livrant le moins possible. Lardeur de Julie lui facilite la tâche, et cest tant mieux. Elle administre des claques sur les fesses du représentant en lingerie et jouets sexuels. Dommage quelle nait pas vu de martinet dans les valises. Elle tape de bon cur pour précipiter la prochaine éjaculation. Le bienheureux sodomite encouragé par les coups de lune et les cris de douleur de lautre va bon train dans les entrailles es, rabote joyeusement les parois des intestins. Il profite au maximum de cette aubaine. Il peut se féliciter davoir levé ces deux cochonnes et approuver leur complicité.
- Ah! Ma belle, que tu es serrée de ce côté-là. Je ne vais pas tarder à lâcher la purée. Il lime, lime et finalement aboutit
Oh!
han
han, prends ça
han
et ça. Quel bon coup!
Grégoire glorieux ne doute pas de traiter bientôt Marie comme cette petite dévergondée de Julie. Vraiment ces deux salopes ont le feu au cul, cest une veine incroyable. Et crédules avec ça, les deux connes.! Il va leur montrer ce quest un homme, un vrai. Cest du moins limpression quil laisse en se calant confortablement au plus profond du trou à caca de la plus jeune. La face grimace, une nouvelle fois, il signale lévacuation de sperme par un grognement et il devient raide et immobile, collé aux miches de la gamine de vingt ans.. Il la remplit par tous les trous.
Cette fois Marie le laisse sortir. Le héros a besoin dun peu de repos après cette sodomie. Marie na plus à craindre le retour des pêcheurs maintenant quelle les sait dans la cuisine. Elle entre dans le jeu imposé par son mari et tient à le revoir réconcilié avec elle.
- Ne bougez pas, je vous prends en photo. Attends je vais te nettoyer. Elle revient avec un saladier plein deau tiède, presque chaude pour ne pas créer de choc thermique, et avec un gant de toilette pour procéder à la toilette du manche souillé de sécrétions blanches veinées du brun de la couleur locale.
Mais avec le temps, la chose devient plus laborieuse. Il lime, frotte les parois, cherche à toucher lutérus, serre les nichons de la fille comme des poignées de maintien, lève ses fesses au plus haut pour frapper du plus loin, sur le parcours le plus long dans le tube rendu gluant et chaud par ses précédents dons de foutre. Il souffle fort, ralentit malgré lui la cadence, comme lathlète qui ne sent plus ses jambes à la fin dune longue course. Il peine, mais ne se dégonfle pas. Il gémit plus fort que sa proie, il cherche, pioche, se relance mais se sent vide.
- Quest-ce qui tarrive, rigole une Julie assez fière de ses prouesses. Assieds-toi, je vais faire hue coco.
Quand la fausse prude en aura-t-elle assez? Dos contre le dossier, jambes pendantes, Grégoire sassied, tend les bras. Marie avec un haut le cur, cest le prix à payer, se penche sur le rameau rabougri, reprend en bouche le gland rougi et masturbe vivement le bas de la trique. Grégoire pour échapper à la honte de la panne la laisse brouter, sent heureusement renaître son désir. Marie fait un miracle, le gland ressort du prépuce.
- Allez, Julie, à cheval.
Julie prend position, ses genoux reposent à lextérieur des cuisses de lhomme, sa croupe sabaisse. Marie tient dune main ferme le pénis un peu mou jusquà sa disparition dans la moule affamée de lamie et cette fois Julie lance la danse. Elle fait tourner ses hanches autour du moyeu, monte et descend en vrille, force lallure.
Que Marie chevauche le siège gonflable pendant quil retrouve des forces. Le spectacle redressera sa queue, hélas un peu paresseuse aujourdhui, sexcuse-t-il. Mais Marie à son tour aura sa ration, foi de Grégoire. Le porte-monnaie est vide mais il prétend encore faire des dépenses.
-Mais tu me laisses en rade? proteste Julie.
Elle se passe une main à lintérieur des cuisses, la regarde lamie et déclare:
-Repose-toi, Marie prend ton temps. Je vais me vider et me nettoyer le con et le cul. Mais je reviens, jai encore envie.
Ce nest pas croyable. Un homme seul ne lui suffira pas. Quiconque se laissera embarquer dans le mariage par cette fille, est sûr de porter des cornes de cocu. Ce ne sera pas moi, jen ai assez vu ce soir pour renoncer à cette enragée.
- Une minute Grégoire, je bois un coup et jaccours pour baiser.
Julie annonce son retour.
La porte de la cuisine souvre, Julie entre sans nous voir. Tête baissée elle contrôle du regard les gestes de ses mains occupées à lisser, à étaler et à mettre en ordre les bouclettes brunes de son pubis. Elle sest lavée, les poils sont encore humides, les traces de sperme ont disparu. Son visage sourit sur un rêve intérieur lorsquelle lève les yeux et nous voit. Le choc est brutal, heureusement muet. Elle déglutit difficilement avant de dire dune voix étranglée:
- Aimé, chéri, vous êtes là ? Vous revenez de la pêche, je ne vous ai pas entendus rentrer ? Il y a longtemps que vous êtes là ? Là
là
euh. Je suis contente de vous voir, hein, heu
Elle se place dos au passe-plats, veut-elle nous empêcher de voir ce qui se passe de lautre côté? Juste avant son arrivée Marie remontait le moral de Grégoire et promettait de lui rendre toute sa virilité sil acceptait de patienter.
- Excusez-moi, je viens de prendre une douche. Il faisait si chaud dehors, nous avons beaucoup marché, jai transpiré
Euh, je ne supporte pas les odeurs de sueur, vous comprenez.
Sa voix retrouvée, elle parle fort, veut sans doute alarmer Marie et elle tente une parade à notre curiosité. Son avant-bras gauche barre les pointes meurtries de ses seins: Grégoire les a soumis à rude épreuve, pincées, frottées, sucées. Sa main droite cache imparfaitement la naissance de son sexe entre des cuisses qui se referment imperceptiblement. Car, je ne dois pas voir ces parties de son corps
- Si je vous avais entendus revenir, jaurais enfilé une robe, jy vais, vous permettez. Mon pauvre chéri, jai honte dêtre nue devant toi. Pardon! Considère que cest un acompte avant mariage.
Je fais le nigaud:
- Et pour Aimé, cest aussi un acompte, sur quoi? Et pour Grégoire, cest quoi ? Un encouragement à lembauche, ou une façon de compenser le manque de sexe en attendant ta nuit de noces ? Tu devrais vite le rejoindre, la malheureuse Marie doit avoir mal aux mâchoires depuis quelle le suce pour te le préparer. Va vite calmer tes envies.
Cette fois elle a compris. Ses yeux sortent de leurs orbites, sa bouche reste ouverte, ses bras tombent le long de ses hanches. Jajoute
-Je suis heureux de savoir que tu as trouvé un travail qui te plaira.
Aimé complète
-Mais ne compte pas lexercer avec Marie! Ce type est un satyre et toi tu baisses dans mon estime.
- Oh! Vous savez tout. Quel malheur! Si javais su. Mais aussi, cest Marie qui a accepté de le recevoir. Après les choses se sont succédé comme ça. Dis chéri, tu men veux ? Laisse-moi aller mhabiller.
Je barre le chemin de la porte.
- Pourquoi ten voudrais-je ? Pourquoi thabiller ? Je te priais depuis si longtemps de me montrer ton corps. Le moment où tu es enfin nue serait mal choisi pour ten vouloir.
Aimé se détourne pendant mes travaux pratiques.
- Ton pauvre Grégoire semble épuisé, tu veux encore faire lamour: pourquoi serais-je le seul homme exclu de tes toquades. Vois je quitte mes vêtements, nous serons à égalité. Allons au salon, marche devant moi, je veux admirer le mouvement de ta jolie petite croupe. A lidée de ce qui va suivre, ma quéquette lève la tête. Tu la suceras ma chérie.
Julie nage en pleine incertitude, mais soudain devient soumise. Elle espère le pardon et veut lobtenir par une obéissance complète à mes souhaits. Elle a été prise en défaut, elle fait profil bas. Aimé nous précède. Je la suis et je larrête, je lui donne un baiser, long, savoureux. Surprise elle permet, répond avec élan. Mes mains englobent la poitrine puis au cours du déplacement jéprouve hardiment la fermeté des muscles fessiers. Elle fait la chatte, je lui caresse le poil pubien au moment où nous entrons au salon. Tout ce quelle minterdisait avant, grâce à Grégoire, mest permis. Grégoire encore nu, mais averti par notre conversation, penché en avant, ramasse ses habits épars. Nous voyons son cul: Aimé me regarde, nous sourions, nous nous sommes compris. Julie se jette dans les bras de Marie et se met à sangloter.
- Bonjour, lami Grégoire. Merci de procurer du travail à ma future femme. Merci également de me la livrer nue à cause des exigences du métier. Vous avez là de fort belles choses, dont nous souhaitons bénéficier. Ces valises sont confisquées, cest le prix à payer pour avoir usé et abusé du sexe de ma promise.
Lhomme est beau joueur et se démonte difficilement
- Heureux de vous faire plaisir. Ces dames possèdent toutes les qualités requises, elles seront parfaites dans lemploi. Nous avons procédé à des essais concluants, japporterai demain les contrats dembauche. Sur ce je dois me retirer, jai ce soir une réunion importante.
- Ne vous pressez pas, vous deviez une dernière prestation à Julie qui y tient et Marie est impatiente dimiter Julie.
- Cest que
voudrait objecter le coucou venu pondre dans nos nids.
Je frappe où ça fait mal, je constate la détumescence de son zizi, le désigne du doigt, il va se sentir humilié devant ces dames.
- Ah! Je vois. Cest la panne, loiseau est kaput ! Julie vous a pompé et fatigué. Dans ce cas, je vais prendre la relève auprès delle et je souhaite vous remplacer dignement. Marie se contentera peut-être de son compagnon habituel et vous vous reposerez sagement assis. Nous donnerons le spectacle, vous serez spectateur et avec un peu de chance, vous pourrez vous joindre à nous pour le bouquet final. Un miracle est toujours possible.
- Cest un magnifique projet, applaudit Aimé. Quen dis-tu Marie?
- On ne pourrait faire mieux, répond linterpellée.
Julie vient menlacer et membrasse ardemment en guise dassentiment. Tout va bien, croit-elle au miracle?
- Un instant, Aimé donne-moi un coup de main pour installer notre hôte.
Nous avons eu la même idée et entamons le ballet de trois hommes nus, deux mâles en érection déplace un homme à la bite tournée vers ses pieds et lamènent au dessus du siège gonflé.
- Assieds-toi, mon ami. Le vibromasseur peut pénétrer un vagin ou un postérieur, tu las précisé. Tu nas pas le choix, plie les genoux, adopte une position mi-assise, mi à genoux. Attends, Marie et Julie vont taider à tempaler sur ces quinze centimètres mouvants et si doux. Marie sépare au mieux les fesses de ton patron. Julie guide le vibromasseur vers lanus. Que ne feraient-elles pas pour un retour en grâce !
- Ça touche! Laissez le descendre doucement. Ah! Que cest drôle, dit Julie. toute émoustillée.
« Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas quon te fasse » trouve ici sa justification : Grégoire incapable de se révolter en présence de deux hommes, grimace, demande grâce. Il na jamais mis sa rondelle sur ce vibromasseur. Cest fait pour les femmes, pas pour lui. Mais il avale inexorablement la tige si douce et plus il se contorsionne, plus lengin disparaît dans son entre fesse et crée une sensation de brûlure insupportable Devant ces deux femmes plus dune heure dominées par lui, il est humilié de pleurer et de devoir se donner en spectacle envahi par derrière. Ce truc va lui déchirer la peau du cul, geint-il. Aimé lance le mouvement et confie la commande au vendeur. Je commente :
- Bien, Grégoire, tiens la commande et amuse-toi. Aimé veillera sur ta bonne volonté avec Marie. Quand Julie et moi aurons fait connaissance, quand à mon tour je laurai comblée, nous prendrons le relais. Es-tu homosexuel?
- Non, je suis marié.
- Quel bonheur, nous rendrons, Aimé et moi, à ta femme, au centuple, le bien que tu as fait à nos femmes.
-Non, pas ça. Je ferai tout ce que vous mimposerez. Mais pas un mot à ma femme, elle me ait.
- Alors ne traîne pas, fais vibrer ta machine. Mieux que ça. Plus vite. Cest bon, hein. Courage.
Jamais je ne me suis senti aussi sûr de moi. Ma timidité sest envolée. Médusée par mon autorité tranquille, Julie se fait humble et douce et maccompagne vers la chambre à coucher de la maison.
- Mon chéri, je tappartiens. Fais de moi ce que tu veux
- Cest bien mon intention. Allonge-toi, ouvre tes jambes, je veux te voir, me repaître de la vue du sexe que tu me cachais si cruellement.
Jexamine longuement les lieux. Mes doigts touchent, pénètrent la grotte, découvrent coins et recoins, tâtent et senfoncent dans le marais rouge plus que rose. Parfois Julie sursaute et accuse Grégoire: il a trop longuement frotté son conduit, la saccagé et son vagin est irrité. Je dois surtout épargner aujourdhui son clitoris douloureux. Elle na pas oublié son projet.
- Dis, mon amour, si je me donne à toi, mépouseras-tu? Quand?
Je note linversion des propositions. Avant elle exigeait la bague au doigt avant de faire lamour avec moi. Il y a un énorme progrès. A moi de formuler des conditions.
-Si pendant six mois tu te donnes à moi chaque jour, si tu renonces à courir après les autres hommes et si je constate que tu es fidèle, je toffrirai cette bague de fiançailles. Je voulais te la mettre au doigt aujourdhui, mais tu dois comprendre que ta conduite ma dissuadé de prendre un engagement avant dêtre sûr de ton amour.
Elle sest lavée. Mais un liquide visqueux suinte et se répand dans le bas de sa vulve. Pour linstant mon envie de la pénétrer sévanouit à la vue de cet épanchement. Je quitte les orifices où Grégoire a foré pour écouler son sperme. Je me contenterai momentanément de tremper mon biscuit dans sa bouche.
Quelle me taille une pipe sera un signe de reddition. Après, javiserai.
Grégoire a longuement expérimenté son siège gonflable. Il a reconnu navoir aucun pouvoir pour embaucher du personnel.
Sa femme Constance est délicieuse, elle baise comme une déesse, jai tenu ma promesse de rendre au centuple
Chaque soir dans mon lit Julie se dit heureuse. Nous arrivons au terme des six mois de mise à lépreuve. Jai un problème: laquelle épouser de Julie ou de Constance? Qui pourrait me conseiller? Constance sest vengée des infidélités de son mari. Que Julie aille se consoler chez Grégoire , je garde
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