Marina, Ma Tonkinoise

Depuis qu'elle m'est apparue, j'ai du mal à dormir. Je me vois en train de la déshabiller. C'est une petite asiatique. Elle doit mesurer à peine un peu plus d'1 m 50. Tout est petit chez elle. Sa bouche, ses mains, son cul.
Son cul, petit rond, cambré. J'imagine ma queue s'y engouffrer. Elle m'a souri plusieurs fois. Ses mimiques sont adorables. La couleur de sa peau, la rend charmante. Quand elle me croise, tout le langage de son corps est une invite à l'amour.
Quand elle se lève, elle remue son cul comme pour me dire qu'il n'attend que moi. Demain, elle sera nue entre mes bras.
La voilà qui sort. Elle est allée se changer. Elle a revêtu un short ultra-court, qui la moule depuis la taille jusqu'en haut des cuisses. Ses jambes sont minces, mais galbées à souhait.
- J'ai prévu des vêtements jetables ! souffla-t-elle, en montant dans ma voiture.
A la regarder, simplement s'asseoir, sur le siège passager, je bande comme un naufragé qui n'a pas vu de femme depuis des années.
Enfin chez moi. Je me précipite vers la porte de l'ascenceur. Elle tourne la tête vers moi, en souriant :
- On va prendre l'escalier, si tu veux bien. Quand tu me suis, je sais bien ce que tu regardes ! Alors, profites du spectacle.
Le short, plus qu'étroit, moule tellement son cul, qu'il resssemble à un bonbon. Je repense à sa remarque sur les vêtements jetables. Elle veut que je les arrache.
Quand la porte se referme, elle me sourit effrontément. Elle passe ses bras autour de mon cou, et se colle contre moi. Elle glisse sa langue dans ma bouche, cherchant la mienne.
L'une de ses mains, descend entre mes jambes et ouvre ma braguette. Elle se glisse dans mon slip et saisit ma bite. J'ai l'impression que je vais exploser. Elle m'attire vers le lit et me pousse à la renverse. Ses lèvres entourent ma bite. Elle l'avale toute entière. Comment une si petite bouche peut-elle s'ouvrir autant.


Survolté par la caresse, je m'enhardis. Je saisi le short sur ses hanches, et le descend sauvagement jusqu'à ses pieds. Je pensais voir une culotte hyper sexy, comme dans les films porno asiatiques. Au lieu de ça, une espèce de slip rose pour . Un peu interloqué, je m'arrêtes dans mon élan. Ses seins tout petits, lui donnent l'air d'une adolescente. Elle relève la tête vers moi. Sa langue passe langoureusement sur ses lèvres.
Je n'en peux plus. Je la renverse sur le lit et lui arrache sa culotte. Elle est à poil. Je passe mes mains sous ses fesses, et la remonte contre ma poitrine. Elle est chaude comme de la braise. Son sexe est minuscule. Je me demande si je ne vais pas lui faire mal en y entrant.
Je m'asseois sur le lit. Elle est assise sur ma pine. Elle remue son cul doucement. Sa vulve trempée lubrifie ma queue. Elle s'appuie sur ses genoux, se redresse, et sa main s'empare de l'objet de son désir. Elle le glisse entre ses cuisses, toujours avec ce sourire in qui fait son charme. Je sens la moiteur de sa chatte qui happe ma bite comme une ventouse. Ca y est je suis au fond d'elle. Je repasse mes mains sous ses fesses, et me relève.
Elle est si légère et si petite, que je pense que si je la lâchais, elle pourrais rester là, fichée droite sur ma bite enfoncée dans sa moule.
- Assieds-toi sur le lit !
Elle posa ses mains sur mes épaules et souleva son petit cul. Sa moule, serrée autour de ma bite, montait et descendait,lentement, humide à souhait.
Elle accéléra le mouvement. Elle serrait les cuisses de plus en plus fort. Plus elle serrait, plus ma bitegrossissait et s'enflammait. Jusqu'au moment où j'ai joui.
Elle s'est arrêtée net. Elle s'est plaquée contre mon torse, frénétiquement, en serrant ses cuisses encore plus, comme si elle avait peur de perdre une seule goutte de mon plaisir.
On est restés plus d'une heure dans cette position. Elle était lovée entre mes bras. Ma bite toujours emprisonnée par ses lèvres d'en bas, elle avait remonté ses jambes contre son torse, et s'était endormie dans cette position.
Je m'étais assoupi aussi.
J'ai repris conscience le premier. Le spectacle dans le miroir était touchant. Je voyais ma bite, fichée dans la moule de ma petite partenaire. Je remuais un tout petit peu pour vérifier que je ne rêvais pas. En voyant son petit cul bien rond, ma virilité se rappela à moi. Ma bite se reveilla, et réveilla sa locataire.
Elle se rapprocha de mon oreille, et gloussa :
- Prêt pour l'envers du décor ?
Elle se remit à genoux, libérant ma bite de son refuge chaud et humide. Elle glissa vers le bas de mes jambes, et saisi ma bite dans sa menotte.
- Là, dit-elle, il faut lubrifier. C'est un peu plus étroit ! minauda-t-elle.
Je sursautai. J'avais déjà trouvé étroite sa chatte, qu'est-ce que ça serait dans son cul.
Effectivement ! Elle avait repéré le miroir derrière elle. Elle se souleva, montrant son joli cul. Juste au-dessus, on pouvait voir mon visage, cramoisi et en sueur. Les yeux exhorbités par le désir. Son trou du cul était minuscule. Sans aucune appréhension, elle posa mon gland sur le petit trou. Elle glissa ses mains sous mes cuisses et se laissa retomber. Je sentais la pression de ses mains sous mes cuisses et le souffle bloqué par l'effort. A plusieurs reprises, elle se releva pour me sucer à nouveau. Le passage était si serré, qu'elle dû finir mar écarter ses fesses avec ses mains, pour s'empaler sur ma queue.
C'est alors que je me suis rebellè. Je me suis relevé, l'envoyant rouler au bas du lit. Je l'ai attrappée par un bras et l'ai mise debout. J'ai craché dans ma main et j'ai étalé ma salive entre ses fesses. Je l'ai couchée à plat ventre sur le lit, et d'un violent coup de reins, je me suis enfoncé dans son cul merveilleux. Je ne me souviens même plus si c'était serré ou pas. Survolté par le désir, je l'ai saccagée. Elle a crié, pleuré, mais je continuai quand même. Quand enfin j'ai joui, ses larmes avaient disparu. Son joli sourire éclairait son visage où règnait une expression de victoire.

Marina n'est jamais revenue chez moi. Peut-être a-t-elle besoin de vivre une première fois, à chaque fois. Quand j'ai repris le travail, elle avait disparu.

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