Un Agréable Souvenir
Un petit souvenir de jeunesse
Avant de rencontrer celle qui deviendra ma femme, je mintéressais peu aux filles de mon âge, je ne sais pas pourquoi, je flirtai régulièrement, mais allai rarement plus loin, je ne le sentais pas. En revanche, depuis mon adolescence, jétais fasciné par les femmes mûres, mères de copains ou copines, cest en particulier grâce à lune delle que javais été initié aux plaisirs de la chair, ce qui navait fait que renforcer cette attirance, jadorai être le jouet de ces femmes dexpérience, jétais prêt à tout pour leur plaisir, et celles avec qui jeu la chance de coucher ne sen privaient pas ! Je fis mes études sur Paris, ce qui évidemment me permis davoir un terrain de chasse beaucoup plus étendu et surtout des proies en quantité et en qualité ! Que de belles femmes, bourgeoises sexy et classes que mes yeux dévoraient et qui parfois moffraient plus ! En revanche, comme mes parents ne voulaient pas me louer une chambre, je devais rentrer chez moi tous les jours et cela compliquait sérieusement les choses lorsquil sagissait de trouver le lieu adéquat pour des rencontres intimes, ce qui fut un frein certain à ma soif de découverte de ces dames.
Heureusement, les horaires et la liberté de la fac, à cette époque, pas dappel, y compris en TD, me permettaient de combler mes envies de découvertes culturelles de la capitale, de passer des heures dans les librairies, les disquaires et les magasins de musique, et parfois, de faire des rencontres. Donc, un jour, il était vers les 10 heures, je me rendis au forum des Halles, sans but précis. Je fis mon tour classique à la FNAC, javais cours vers 14 heures, donc du temps pour traîner. Je continuai vers les magasins de vêtements lorsquune silhouette accrocha mon regard. Une femme habillée dun tailleur noir, de très belles jambes mises en valeur par une jupe sarrêtant à mi-cuisses. Elle était grande et avec ses talons elle faisait ma taille, plus d1 m 80 je précise, très belle femme brune vraiment.
« Ah, le fantasme de la femme dexpérience ! »Et là, la question qui tue !
« Vous avez aimé les dessous que jai choisis ? »
Ouf, javais envie de me cacher, et je balbutiai
« Heu oui ! ».
Et elle mexpliqua quelle les achetait ici, car en Allemagne, à cette époque, et jen savais quelque chose, les femmes nétaient pas très coquettes et leur dessous ressemblaient plus à des couches en coton quà des tangas ! Ou sinon, cétait digne dun « eros center », donc très vulgaire. Je lavais abordé vers 11 heure 30, nous discutions depuis une trentaine de minutes lorsquelle me demanda exactement de lui dire les raisons pour lesquelles je lavais accosté.
« Notre discussion est très agréable, mais jimagine que vous ne mavez pas abordé pour discuter de vos souvenirs dAllemagne ? Soyez franc ! »
Je répondis en rougissant quelle était « très belle et sexy et
».
Ce fut elle qui le dit « Vous voulez coucher avec moi ? »
« Heu, oui madame »
« Désolé, dabord je suis mariée, mon fils aîné a presque votre âge, je ne trompe pas mon mari et en plus, je nai pas le temps, or, il faut prendre le temps pour ça, vous ne croyez pas ? »
« Heu oui madame ! »
« Madame ! Vous êtes trop mignon ! Alors que vous avez envie de faire lamour avec moi ! On ma déjà abordé, y compris des jeunes gens, mais aucun ne me disait madame avec ce petit regard pris en faute ! Vous me troublez et je crois que votre patience devant le magasin de lingerie mérite une récompense ! »
En entendant ça, lespoir revint et mon érection avec ! Mais ça ne dura pas car elle rajouta !
- Attention, je nai pas dit que je veux coucher avec vous !
Raté !
- Mais je vais vous faire un petit cadeau, je reviens.
Elle se leva et disparut dans les toilettes dont elle ressortit très vite.
- Mon cadeau vous plait ?
- Oui madame
- Madame ! Elle sourit
- Je nai pas pour habitude de donner ma culotte aux jeunes gens, mais ça me fait plaisir, jespère que je ne vous choque pas !
- Non, elle est belle.
- Je vous autorise même à aller la sentir dans les toilettes, je vous promets que je vous attends ici.
Donc jy vais, je la porte à mon nez, je la lèche, trop bon ! Je reviens, elle est encore là et maccueille avec un grand sourire.
- On peut dire que vous me faites faire des bêtises, je me retrouve là à discuter avec un très jeune homme sans culotte alors que je suis censée préparer mes affaires pour retrouver mon mari ! Et je laisse une culotte en cadeau !
- Et quas-tu préféré comme dessous ? Elle était passée au tutoiement !
- Le body, jaime beaucoup !
- Tu as du goût, oui, il est très joli, je lai acheté pour nos 20 ans de mariage.
- Votre mari a beaucoup de chance ! Et là josai demander : Vous portez des bas ?
- Comment le sais-tu ? On les voit ?
- Non, mais vous avez été rapide pour enlever votre culotte, avec des collants, ça aurait été plus long !
- Observateur pour un jeune homme, oui, jaime porter des bas. Décidément, vous me troublez, me voilà à parler de dessous intimes avec un jeune homme que je connais depuis peu ! Il me vient une idée, je vais te faire une proposition, je suis folle, mais bon. On grignote un morceau, et puis je te montre le body sur moi et tu me donnes ton avis, daccord ? Rien de plus, mon train mattend !
Oui, elle me proposait de la voir presque nue !
- Daccord madame.
- Jaime quand tu dis madame, trop mignon !
Nous prîmes des croques-monsieurs, mais je navais pas vraiment faim, trop impatient de la suite. Nous allâmes vers son hôtel, passâmes devant la réception dont lemployée ne pût sempêcher de sourire en nous voyant passer. Elle passa devant moi dans lescalier et je voyais ses mollets juste devant moi, je mourrai denvie de tendre la main et de les caresser. Dailleurs, elle en fit la remarque !
- Ils te tentent hein ?
- Oui madame.
Elle sarrêta et me dit :
- Tu peux les caresser si tu veux, au point où nous en sommes !
Je mempressai de le faire, cétait doux, soyeux, mais quand ma main saventura au dessus du genou, jeu droit à un « stop ! Pas plus haut coquin ! ». Nous entrâmes dans la chambre, elle me dit de minstaller sur le lit le temps quelle se change, je bandais comme un fou, cen était dailleurs douloureux. Juste avant dentrer dans la salle de bain, elle remonta sa jupe et me demanda « Tu aimes mes cuisses ? Je les trouve grosses ! » Ses cuisses étaient somptueuses, coquetterie de femme !
- Oui madame, elles sont très belles !
- Si tu le dis ! Aller, jy vais.
Elle prit quelques minutes et apparut avec une serviette autour delle.
- Tu veux voir ? Cest très intime, je ne le voyais pas aussi transparent !
- Oh oui madame, sil vous plait !
- Bon, une promesse est une promesse, et elle enleva la serviette !
Elle était magnifique, elle se tourna et comme cétait un body string, les fesses étaient totalement dégagées ! Et effectivement, la dentelle laissait passer ses poils pubiens. Elle regarda mon bas ventre et constata quelle me faisait beaucoup deffets
- Visiblement, tu apprécies ! si javais su, jaurai coupé un peu mes poils ! hop, je les cache !
Elle se tourna et jeu de nouveau la vision de ses fesses , quel cul elle avait !
- Elles sont belles vos fesses madame !
- Merci !
- Jai envie de vous. Elle se retourna
- Jai vu ! Je sens que jai eu tort de tamener ici, ce nest pas raisonnable de te donner envie comme ça alors que je dois partir, ça fait un peu allumeuse quand même ! Bon, je vais faire quelque chose pour toi, mais après cest fini, daccord ! Baisse ton jean, je vais te caresser et te sucer, tu veux ?
- Ho oui madame ! Je baissai mon jean et mon gland sortait déjà de mon caleçon ! Je le baissai aussi. Elle regarda :
- Tu as une jolie queue, pas très longue, mais ton gland est gros et beau !
Elle se baissa pour me prendre dans sa bouche, posa sa main sur ma queue et ce qui devait arriver arriva, depuis le temps que jétais excité, je me mis à éjaculer à longs traits qui atterrirent sur son bras et son visage !
- Oh, quelle envie, vas-y vide toi mon garçon ! Elle continuait à me branler et se releva lorsque ce fut terminé.
- Tu en as mis partout mon cochon !
Jétais tout gêné et déçu, car jespérais plus. Néanmoins mon sexe restait droit comme un « i » ! Elle nettoyait la moquette et en étant à 4 pattes, je voyais ses fesses sagiter devant moi. Ce nétait pas fait pour calmer mon érection. Elle se releva, jeta le PQ plein de mon sperme, revint vers moi, posa la main sur ma queue, prit une de mes mains avec lautre et la posa sur ses fesses en disant : « Tant pis pour le train, jai trop envie de toi mon trésor, viens ! »
Nous baisâmes tout laprès midi, je passe les détails, néanmoins elle me fit découvrir des sensations inconnues. Elle dirigea nos ébats et mencouragea à certaines pratiques que jusque là je trouvais étranges, voire repoussantes. En effet, à un moment de nos ébats, elle me demanda si je voulais lui lécher les pieds. Je ne savais pas trop, mais comme elle en avait envie, jacceptai et là ce fut une révélation, dès que je suçai ses orteils, à sa demande, je me remis à bander ! Jadorai cette sensation nouvelle. Puis elle me fit découvrir le plaisir de lécher un anus de femme, cétait trop bon et elle jouit avec ma langue enfoncée dans son anus et pour en finir en beauté elle me demanda de la sodomiser. Comme javais déjà joui plusieurs fois, je pus rester longtemps dans son conduit et je lâchai mes derniers jets de sperme dans son cul, merveilleuse sensation qui ne ma jamais quitté.
Elle a bien évidemment raté son train, je lui ai laissé le téléphone de mes parents, mais à cette époque sans internet ni portable, ce fut malheureusement un après midi unique, mais que de souvenirs
et de masturbations !
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