L'Histoire De La Truie : La Truie Partagée
Le weekend était enfin là. La fraicheur du temps de mars sinsérait partout, y compris dans les humeurs mais sans atténuer celle qui me torturait le vagin ni mon excitation, sexuelle comme psychologique : en effet jétais au rendez-vous à Genève avec Joël pour nous rendre « à une surprise » comme mavait dit mon mâle dominant. Je métais apprêtée : robe noir, sous-vêtements rouges, fard à paupière et rouge à lèvre. Un peu de parfums et je métais totalement épilé, anus compris. Jespérais quil serait excité à ma vue et me souillerait comme la dernière fois.
Jattendais impatiemment sa venue. Enfin je le vis arriver, habillé sportivement, marchant crânement vers ma voiture, toujours aussi beau, toujours aussi séduisant. « Mon Dieu, comme un homme tellement beau gosse peut-il être aussi cochon, aussi pervers
». Je lui fis signe et roulais à son niveau. Il entra dans la voiture et sans un mot, il membrassa goulûment, en flattant mes grosses cuisses. « Belle vache bien viandeuse. Comme je les aime. » furent ses seuls mots, toujours aussi dégradants mais néanmoins qui avaient le don dallumer un brasier dans ma culotte, entre mes cuisses et entre mes fesses graisseuses. Nous redémarrâmes et roulâmes en direction de la ville. En roulant, il sortit son pénis hors de son pantalon et à chaque feu rouge, il me prit la main et entreprit de se faire plaisir avec mes doigts. Je le masturbais fortement et à une intersection, je le suçais. Je vis soudain quun chauffeur nous regardait avec un sourire pervers aux lèvres. Je voulus me retirer mais Joël menfonça plus profondément sur son membre violet, tout en souriant dun air entendu au chauffeur. Il ôta le haut de ma robe et mes seins furent exposés aux automobilistes. Enfin, le feu passa au vert et nous redémarrâmes. Javais eu honte dexposer mon gros corps mais sentir son excitation et faire quelque chose dinterdit mavait paradoxalement rendu plus chaude
Enfin nous arrivâmes à destination.
Je constatais avec honte et plaisir que jaimais vraiment sucer. Jaurais pu continuer pendant des heures, sentir son liquide pré-séminal, lodeur musquée et forte de son gland, la texture de sa verge, jen avais les sens tout en ébullitions. Mais je savais quil voulait autre chose, mon trésor qui se dissimule entre mes grosses fesses bien grasses. Je lui léchais les testicules en faisant attention de bien les lécher comme si je souhaitais les nettoyer. Il me fit lécher son trou du cul, sentant mauvais mais ça mexcita tellement que je jouis une première fois en me masturbant pendant que jexécutais la manuvre. Enfin, il allait me prendre. Il mallongea sur le dos, remonta mes cuisses et me pénétra brutalement. Je glapis de plaisir en sentant ce bite dure et chaude mélargir mon conduit vaginal et racler mes parois intimes. Je le tenais entre mes cuisses dodues et lui grognais à chaque coup de rein, menfonçant sa langue dans la bouche, me léchant le coup et me mordant. Il me gifla régulièrement pendant quil me ramonait et vite, deux doigts entrèrent dans mon trou du cul humide de sueur et de cyprines. Il me mit en levrette assez rapidement. Je ne sais pas à quoi je ressemblais mais il devint encore plus excité et me fessa copieusement en me traitant de grosse putain avant de me flairer : « Quest-ce que tu pue ! La mouille pas fraiche, lanus, lodeur est dégueulasse
Il va falloir que je nettoie ça ! » Et à grand coup de langue, il entreprit de me lécher ma fente puante et dégoulinante, en me gardant à quatre pattes, puis ce fut au tour de mon anus. Jétais morte de honte car je sentais mes odeurs mais lidée de me faire nettoyer était tellement avilissante que jen jouis presque.
Après avoir lécher ma fente et mon anus, il me sodomisa brutalement. Sans me lubrifier (jétais assez trempée comme ceci), il appuya son gros gland sur mon trou serré. Il le massa au gré de mes gémissements, puis soudainement il sintroduit dans mon conduit puant et serré et se mit alors à ramoner mon trou du cul de façon à me faire hurler de joie et de plaisir. Avec des fessées, il mexcita encore plus et lorsquil se mit à me pincer les tétons, je jouis instantanément. En meuglant, je lâchais un jet de cyprine sur ses cuisses. Il me fit nettoyer alors sa bite sortant de mon trou puant avec ma langue, chose à laquelle je mhabituais progressivement, puis, entreprit de me chauffer encore une fois avec ses doigts experts et bientôt, je fus à nouveau embrochée comme un gros gigot sur une broche par lanus à nouveau. Je commençais à vraiment aimer me faire sodomiser.
Il sarrêta soudainement : « Viens, on change de cabine, jai une petite surprise pour toi. » Jappréhendais ces mots surtout dans un endroit comme celui-ci. Nous sortîmes de notre antre ; à lextérieur nous attendait une troupe dhommes plutôt âgés et bedonnants. Je les effleurais car ils navaient pas lair de vouloir sécarter et je senti une caresse sur les fesses. Je me ruais alors à la suite de mon beau Joël. Il me fit entrer dans une cabine et ferma la porte au nez de la horde de queutards. Installée à lintérieur, je maperçus quil y avait deux trous dans un des murs de la pièce. Sans doute pour des voyeurs
inconsciemment, la situation mexcitait car moi, la grosse vache dont personne ne voulait, jétais désormais lobjet de convoitise de mâles à la queue dressée. Je me mis instantanément à sucer Joël, mappliquant à faire rouler ses couilles avec mes doigts et ma langue. Il me mit alors en levrette face aux deux trous, ce que je ne compris pas tout de suite, pensant quil serait plus agréable pour les voyeurs de voir la pénétration plutôt que mon visage grimaçant de douleur joyeuse.
Soudain, je vis un sexe énorme surgir en face de mon visage par le trou, justement. Je ne compris pas mais voir cette verge mintimida autant quelle mexcita encore plus. Une grosse queue violacée et veineuse qui sentait bon la bite de mâle. Manifestement, un homme dun certain âge (je le devinais par les poils blancs sur son pubis) nous avait maté par ce trou. Flattée je le regardais avec attention mais alors Joël me susurra à loreille « prend le en main ». Jhésitais une fraction de seconde mais un coup de rein me fit prendre ma décision et pour la première moi, je me retrouvais avec une bite dans le vagin et une dans la main. Un râle rauque et profond se fit entendre de lautre côté du mur. « Suce-le » me dis alors Joël. « Non ça je peux pas
» lui répondis-je mais il me saisit par les cheveux et me fit appuyer les joues contre le gland. Voyant que je résistais, il stoppa et me besogna avec plus dardeur. Au bout dun moment, avec les impacts de son sexe je heurtais le sexe avec mes joues et je me mis à frotter cette grosse bite sur les lèvres et le nez. Quelle bonne odeur ! Cest alors quun autre gros sexe, énorme et noir surgit par le deuxième trou. Tout en continuant de masturber le premier, je me mis à faire des petits bisous sur le gland débène de cette nouvelle verge aux dimensions impressionnantes. Je ne fis que deux aller retours quil explosa dans ma main, un jet de sperme puissant qui matteint sur la joue droite. Mes sens étaient en émois, mon excitation était à son paroxysme et la sensation de pénétration me fit jouir encore une fois. Joël continuait de me ramoner pendant que mon corps était ravagé par les spasmes de lorgasme. Une main sortit du trou où se tenait la queue de mon noir. Cétait une main dhomme mûr et européen, cette fois, qui se mit à malaxer mes seins, mon ventre, comme un paysan au marché qui flatte la vache quil veut acheter et ça mexcita encore. Je continuais à masturber mon gros pénis. Il appuyait contre les lèvres et je voulais de plus en plus ouvrir la bouche. Un pincement aux tétons me fit glapir et involontairement javalais cette grosse bite. Quelle chaleur, quelle douceur ! Je me sentais salope, truie, chienne
Javais la queue dun inconnu dans ma gorge.
Le goût était fort et mexcitait toujours plus. Pendant ce temps, la main continuait de me malaxer mes gros seins et Joël de me ravager lanus. Mon inconnu ur me glissa alors deux doigts sur le vagin. Cétait la première fois quun inconnu soccupait de moi et je me pâmais de désir, tout en suçant un troisième anonyme. Je me donnais car je voulais le faire jouir. Moi, la grosse moche de mon village, je faisais bander des hommes. Jen étais heureuse et excitée en même temps. Je suçais mon invisible amant avec passion, marrêtant parfois pour lécher son gland odorant ou lui prendre les couilles en bouche et soudainement, javalais jusquà la luette cette grosse queue. Je réussi à faire ma première gorge profonde et allait toucher les poils blancs de lhomme avec mon nez. La main qui me masturbait avait reculé et une autre queue se présenta à moi. Je lâchais mon invisible mâle et me mis à sucer cette nouvelle bite. Elle puait la semence, lhomme avait déjà du éjaculer. Jalternais entre les deux queues quand soudain la première lâcha dans ma bouche un véritable torrent de sperme. Quel goût ! Lhomme devait avoir bu plusieurs bières car larôme se ressentait dans le foutre blanc qui me dégoulinait sur le menton. Simultanément, je jouis du cul sous les assauts de mon cochon qui me saillissait comme la truie que je suis. Il vint ensuite se faire nettoyer le sexe par ma bouche et me reprit par la chatte. Mon anus avait effectivement besoin de se reposer, je le sentais ouvert en grand, laissant son odeur nauséabonde mais néanmoins aphrodisiaque remplir la cabine.
Jétais désormais en chaleur : véritablement affamée de sexe, je voulais en dévorer le plus possible. Le goût du sperme avait allumé un incendie dans mon corps et seul un peu de foutre supplémentaire pourrait léteindre. Un autre chibre se présenta à lentrée désertée par la queue désormais molle que je venais de vider. Une verge courte mais tellement épaisse. Une odeur malodorante et nauséabonde sen dégageait. Au vu des poils, ce cochon devait être aussi âgé et bedonnant. Je me mis à le sucer mais ma bouche narriva que difficilement à lavaler. Soudain, Joël sorti de mon vagin et ouvrit la porte. Dun coup les deux bites que je suçais disparurent mais à la place, deux hommes gros et âgé se présentèrent dans la cabine. Mon amant les fit entrer sans autre forme de procès et ils fermèrent la porte. Une fois la cabine verrouillée, Ils restèrent en face de nous deux à se masturber lentement. Mon Dieu, quils étaient laids
Gros, le ventre bedonnant, poilus et grisonnant, lun dentre eux avait des lunettes ce qui lui donnait un air denseignant comme jen avais eu au lycée. Le genre dhomme qui ne me faisait absolument pas fantasmer mais ces deux gros zizis
Ils me donnaient faim et soif, faim de chair et soif de foutre.
Joël me gifla, un peu plus fort devant eux, puis il enfonça son gros pénis jusquà la garde dans ma gorge. Jeu un relent de salive et un peu de bave me coula sur les lèvres. Il me mit à quatre pattes et enfonça trois doigts dans mon anus ouvert pour me les ramener ensuite à la bouche et me les faire sucer, puis il me fessa sèchement à me faire glapir de douleur, de plaisir et de honte. Je compris quil voulait démontrer ma totale soumission à ces deux porcs et leur montrer que jétais prête à tout pour un peu de bite dans ma chair. Il me jeta sur la queue de lun dentre eux, la plus épaisse. Lhomme me mit son sexe sous mon nez. Je reconnaissais lodeur de sperme séché dessus et mon dégoût se mua en une excitation nouvelle. Je me mis à le sucer, rendue en chaleur par le goût fort et lodeur musquée qui se dégageait de cette grosse bite et subitement, lautre homme se jeta sur moi et entrepris de lécher mon corps. Que cétait dégueulasse ! Je sentais la salive de cet homme sur moi, sur mon cou et mes seins, sa verge se frotter dans mes cheveux, sur mon torse et mon gros cul. Lautre grognait de plaisir à chaque coup de langue. Joël quant à lui, se masturbait en regardant la scène avec avidité.
Ils commencèrent à introduire leurs doits sans douceur dans mon vagin, puis dans mon anus. Heureusement que ce dernier était bien lubrifié car ils senfoncèrent dun coup au fond de moi et marrachèrent une plainte. Mes émotions étaient tel un tourbillon : je ne savais pas ce que je ressentais
Beaucoup de dégoût, lenvie irrépressible de menfuir, mais aussi de lexcitation, une excitation comme je nen avais jamais connu, lenvie de me faire violer par ces salauds
et de voir Joël nous rejoindre, entrer dans mon trou du cul avec son pénis tendu et délicieux
Ils continuaient de fourrager entre mes cuisses graisseuses et me firent mettre en levrette. À ce moment, Joël les interrompit avec une voix calme mais chargée dautorité : « Attention, messieurs : son anus mappartient, vous avez le droit dr delle avec la capote comme bon vous semble mais pas de lenculer. Cest mon privilège. On sentend bien là-dessus ? » Silencieusement mais toujours en me tripotant le cul et le vagin, les deux porcs acquiescèrent. Lun dentre eux se plaça devant moi et mamena brutalement ma bouche sur son gland odorant, pendant que lautre, celui à la queue moins épaisse mais plus longue, enfilait du plastique sur sa verge et commençait à me flatter la vulve à coup de gifles sonores et humides : « Ah la truie ! Elle mouille bien ! Oui, je suis une grosse truie
» Je commençais à répondre avec excitation. Il mécarta les grandes lèvres et me pénétra lentement. Je jouis à linstant : prise par un homme que je ne connaissais absolument pas, qui aurait pu avoir lâge de mon père et en train de sucer un cochon qui me faisait penser à un ancien professeur de lycée. Mon Dieu que cétait bon. Jétais une vilaine truie, après tout, une grosse vache bien viandeuse, certes
mais au moins jétais désirée. Mes amies, mes proches, celles qui se moquaient de moi avaient déjà subi ce traitement et ressenti la jouissance que je ressentais à ce moment ? Je ne le pensais pas et imaginais leur jalousie en me voyant embrochée de la sorte par trois mâles en rut.
« On a ferré le gros poisson, fit lun deux.
- Grosse, ça cest sûr, lui répondit son comparse. Une bonne grosse truie
Raaaan continue de me pomper le bout.
- Mphfff
Oui, fis-je dans un grognement étouffé. Mais il ne sent pas vraiment bon
.
- Tu aimes, hein ? Je vois, tu tes rué dessus, ma grosse !
- Ouiiiiii jadore quand cest fort
ça sent le vrai mâle
. Joël, vient me la donner aussi, je ten supplie
»
Joël sapprocha alors et glissa sans douceur son gros gland dans ma petite bouche de salope. Je me retrouvais à sucer deux grosses queues et une autre qui me ravageait le vagin. Cétait bon, chaud, délicieux et combien excitant. Au final, jétais une salope ! « Je suis une salope ! Une grosse salope » Me mis-je à crier à la cantonade. Les trois hommes surpris, se mirent à rire et nous nous retrouvâmes effondrés les uns sur les autres en riant. Jétais nue au milieu de trois hommes et je me sentais bien ! Mais lun des deux vieux voulait me monter. Je comprenais, le pauvre navait eu que ma bouche et si je me découvrais des talents de suceuse, je savais dexpérience que rien ne valait la tiédeur moite dun vagin, sinon un trou qui était interdit à mes deux vieux cochons
Mon « prof » bandait dur et je mouillais encore plus en regardant cette bite courte mais très épaisse et je limaginais écarteler mon vagin trempé. À ce moment Joël intervint : » Assied toi, lami et laisse ma grosse vache sempaler sur ta bite ! » Lhomme sassit donc et je minstallais sur lui en gémissant de plaisir. Je commençais donc à le chevaucher en gémissant lorsque soudain, Joël se leva et vint se placer derrière moi : il mécarta les fesses et y glissa deux doigts inquisiteurs. Me sentant trop sèche parce que trou, il lubrifia abondamment avec de la salive et enfin, il me pénétra avec son gros pénis lentement dans mon conduit anal. Quel délice ! Quelle sensation ! Je hurlais mon plaisir et recommençais à sentir les prémices de la future jouissance. « Aaaah oui jaime ! Putain, je suis serré ! » grognait mon prof et Joël renchérit : « Alors, cest pas de la première qualité comme cochonne ? Du lard de compétition, de la salope graisseuse à souhait ! » Je me mis à couiner comme une chienne en chaleur lorsque le troisième larron me planta son sexe en bouche en me susurrant : « Je ne suis pas fan des hurlements de truie quon égorge ou quon baise. Suce et tais-toi ! » Et me voilà, moi la grosse dont personne ne voulait deux semaine auparavant, trois sexes en elle, poussant des cris étouffés et jouissant sous les coups de butoirs de ces trois gros porcs en rut.
Enfin, ils me libérèrent : « Allez mes salauds, nous allons jouir sur le visage de cette grosses vache mamelue ! » lança Joël et aussitôt dit, Ils se levèrent et minstallèrent assise entre eux-trois. Leurs sexes puaient le foutre et dans le cas de Joël, une légère mais nauséabonde odeur danus pas très propre. Les cochons se masturbèrent peu de temps et Joël le premier éjacula son sperme chaud sur mon visage : de longs jets, puissant et chauds qui virent souiller mes lèvres, mon nez et mes cheveux. Il se termina sur mes lèvres et lorsque les spasmes de jouissance cessèrent sur son sexe, il me le mit en bouche et je le nettoyais en grognant comme une cochonne. À peine se fut-il retirer que ce fut au tour simultané de mes deux vieux cochons qui minondèrent le visage en même temps de leur sperme qui sentant très fort. Ils sessuyèrent sur mes joues déjà souillées et sur mes lèvres avant denfoncer chacun leur tour leurs vieilles verges odorantes dans ma gorge.
Je mécroulais comme une masse, épuisée mais heureuse alors que les deux vieux cochons épuisés sortaient sans bruit. Là-dessus, quelques verges sortaient encore des deux trous mais sen était assez pour moi. Dailleurs, certaines de ces queues avaient vraisemblablement éjaculé devant les ébats de mes amants et moi. « Tu es vraiment la plus grosse salope quil soit ! » me lança Joël. Et avant que je nai pu répondre, il mouvrit lanus avec les quatre doigts de la main, puis me les fit sucer. Je jouissais à nouveau de cet acte dégradant, puis nous sortîmes de notre cabine et allâmes enfin prendre une douche méritée : en effet, mon visage était visqueux de sperme et de transpiration, mes trous ségouttaient de sueur et de cyprine et mon maquillage avait coulé dune telle façon que je ressemblais à une prostituée au rabais avec un fard outrancier. Les hommes nous suivaient comme à notre arrivée mais cette fois, cétait fière et me sentant un peu salope que je rhabillais sans honte devant ma troupe de prétendant, frustrés de mon départ. Je faisais bander les hommes et jétais le fruit de leur désir ! Et quimporte sil sagissait surtout dhommes âgés et pas ment des apollons ! Ils avaient des queues parfaites pour me satisfaire et mon Joël était foncièrement beau, lui ! Avant de sortir, jembrassais Joël une dernière fois : « Merci. Grâce à toi, je me sens belle et désirable. Ma truie, me répondit lintéressé, Désormais, je vais bien moccuper de toi, tu verras ! Je serai ton amant et maître, tu nauras pas à le regretter. »
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