Collection Black. Lors Des Heures De Travail. Saison Iii (8/9)

Nous pouvons avoir des convictions, des certitudes, des bons sentiments, des lignes rouges que vous vous êtes promis à jamais d’éviter de franchir.
Vous avez beau jurer vos grands dieux que ce que vous avez fait la veille après un retour aux sources familial aidé par vos s et votre mari, que les errances de la vie, c’est terminé.
Vous avez beau vous dire plus jamais ça.
Quand un tourbillon vous emporte surtout quand vous rencontrez une gentille salope comme Samy, c’est exact, plus jamais ça !
Samy, une salope car Samy est le nom féminin de la canadienne qui m’aide à bousculer ma vie.
Immanquablement quand Amara enlève son costume et que Thierry en fait autant, vous vous dites.
« Bon une dernière fois et tout rentrera dans l’ordre. »
Surtout quand ils en font de même pour vous.

• C’est bien Françoise, regarde, j’ai ôté mon peignoir.

Les mains de Thierry sont sur mes hanches et il se colle à moi.
Il bande et dire que j’ai eu peur qu’il me fasse louper mon contrat lorsque nous étions à la tour Montparnasse.
Je suis attentive à ce que l’on me fait tout en gardant un œil sur l’écran.
Je suis fascinée de savoir que les deux garçons dans cette chambre au Canada se masturbent, plus en me regardant qu’en regardant la femme à portée de leurs mains.
J’ai déjà vu des pornos avec Renzo, j’ai un instant l’impression d’être l’actrice qui tourne dans l’un de ces films.
La bouche d’Amara, vite remplacée par celle de Thierry alternativement commence à m’exciter.
À partir de ce moment, je suis à eux sans retenue, ma mémoire efface ma vie de famille pour mieux me concentrer sur mes sensations.

• C’est bien ma grande, quel effet, ça te fait d’avoir deux mecs à ta disposition.
Tu vas vivre une expérience extraordinaire.
Fais comme moi, suce.

Elle entre dans le champ de la caméra belle dans sa nudité.
Elle s’avance jusqu’aux garçons et alternativement comme je le faisais avec les bouches de mon noir et de mon blanc.

Je m’agenouille et je les prends en main.
Samy suce le blanc, je suce Amara, elle change pour le noir, Thierry vient dans ma bouche.
Légèrement difficile de synchroniser au début, sucer l’un et masturber les deux afin de les faire bander suffisamment pour qu’il me transforme en chienne dès qu’ils me prendront, car nul doute que Samy va m’ordonner de me faire baiser.
Deux mecs, je peux jurer qu’à ce jour à aucun moment une telle idée m’était venue.
Déjà à Brest, un trio avec Amara et Samy s’était étonnant, petite fille sage jusqu’à ma rencontre avec Amara.
Dans cette chambre, ici à Paris à deux pas de chez-moi, deux mecs en même temps, je suis un peu étonnée, mais je m’exécute.

• Attention, c’est loin d’être terminé, les garçons, faites comme les miens, retenez-vous !
Thierry va sur le lit et allonge-toi sur le dos.

Que va-t-il m’arriver, j’ai un instant l’impression de vide quand la bite de Thierry me quitte ?
Avec ma main libre, je la passe sur ma chatte, elle ruisselle sur la moquette.
Mon clitoris est exacerbé.
Avant que Samy m’en donne l’ordre, je me redresse et je vais sur le lit m’empaler sur cette verge que l’on m’offre de façon si complaisante.
Dès que je suis sur lui et que je m’empale, le fond de mon sexe explose et telle une louve hurlant aux étoiles, je me raidis et je jouis.
Chez Samy, pour moi impossible de la voir tout à mon plaisir, mais si mes yeux sont aveugles, mes oreilles entendent les râles de plaisir qu’elle émet.
Contrairement à moi, elle surveille notre jeu par Internet, car je l’entends donner un ordre à Amara.
Une fraction de seconde, j’ai peur qu’elle lui demande de venir m’enculer.

• Toi aussi Amara, monte sur le lit et recommence à te faire sucer.

Encore un exercice différent, va-t-elle me faire faire le kamasutra en trio ?
Avec elle je m’attends à tous et je suis satisfaite que l’on fête dignement notre contrat.

• Breck, les gars, c’est le moment du champagne pour que vous repreniez des forces, faite sauter les bouchons.

Amara, tel un chat saute sur la moquette et s’empare de la bouteille à notre portée et fait sauter le bouchon.
Une bouteille de Dom Pérignon dans des mains noires, c’est surprenant.
Quand le bruit du bouchon sautant dans sa main se fait entendre, c’est avec plaisir que je prends la coupe qu’il me tend alors que la bite de Thierry est toujours au fond de ma chatte.

• À notre succès, Françoise, levons nos verres à notre avenir.
Merci messieurs, d’être à la hauteur des dames que nous sommes.
• Sans te contredire Samy, tu devrais remplacer les dames par les salopes que nous sommes.
• Tu as raison Françoise, les salopes que nous sommes.

À Paris nous vidons nos coupes, alors que je me suis séparé du sexe fiché en moi.
À Québec, Samy ma bonne copine s’est assis entre ses deux beaux jeunes hommes dont je regarde les verges encore à moitié bander.
Que m’arrive-t-il de regarder tous ses sexes avec une grande envie.
Pourtant, j’aime la bite de Renzo, mon cher et tendre.

• Bon Françoise, nous avons assez bu.
Maintenant que tu sais faire ce qu’il faut, remet tes compagnons en forme, nous allons apposer la dernière pierre à notre contrat.

Je prends dans ma bouche à tour de rôle mon nouvel et mon ancien amant qui nous a rejoints.
Avec souplesse, Amara amène sa bouche en direction de ma chatte et c’est avec délice, que de nouveau, je renvoie Renzo aux oubliettes de mon infidélité.
Que sommes-nous faibles femmes quand le démon du sexe vous ratt ?
Pour nous rattr, il nous ratt, car c’est moi avant que Samy, elle aussi, s’activant sur les bites de ses partenaires, me donne l’ordre que de moi-même j’entreprends.
Je fais allonger Amara et je me pourfends sur sa verge bandée à son maximum.
Sa grosse queue me transporte et c’est ma voix que je crois reconnaitre qui donne cet ordre à Thierry.

• Thierry, encule-moi, j’ai envie de vous sentir les deux en moi.

Peu importe Samy et ses plans culs, à partir de maintenant je veux être maîtresse de mon corps et de ma vie, surtout que trouvant son chemin, je me trouve empaler de mes deux trous intimes.
Énorme sensation, lorsqu’ils se mettent à coulisser à l’unisson au travers de mon périnée.
Jusqu’à ce qu’ils déchargent en parfaite harmonie, un orgasme sans interruption me transperse.
J’ai bien fait d’accepter de venir dans la chambre de Thierry surtout quant à l’autre bout du monde, les cris de Samy arrivent jusqu’à moi.

Combien de temps ai-je perdu conscience ou simplement me suis-je endormie, c’est impossible de le savoir.
La liaison avec Québec est coupée, l’écran est noir.
L’ordi s’est certainement mis en veille me coupant de mon amie.
Je pourrais réveiller Thierry qui dort dans les bras d’Amara pour le redémarrer.
Seraient-ils homos à leurs heures ?
Hier, seraient-ils déjà venus finir la nuit ensemble et le plaisir qu’ils ont pris dans ma chatte et dans mon cul, aurait-il été décupler de sentir l’un se frottant à l’autre au travers de moi ?
Inutile de me poser plus de questions, eux seuls connaissent la réponse et de mon côté il faut que je pense à quitter Françoise, la salope, pour redevenir Françoise, la mère de famille aimante !
Je vais dans la salle de bains, je prends une douche et comme les petites natures qui m’ont donné tant de plaisir dorment encore, je m’habile et je quitte la chambre.
Avant de partir, je prends la deuxième bouteille dans le seau à champagne, ça me fera un souvenir.

Je passe devant l’accueil de manière un peu honteuse non pas de la bouteille de champagne que j’ai dans le bras, mais de moi.
Je pense que ce garçon doit se dire que je suis une salope venue se faire baiser.
De nouveau, en marchant, mon cul se rappellant à mon bon souvenir, je dois reconnaitre que je suis bien cette salope.
Portable, taxi de nuit et retour dans mon lit, sans bruit, tous dorment.
Au matin, les cris des s habituels, Renzo m’a quitté pour préparer les départs à l’école ainsi que le sien.
J’ai encore sommeil, mais je me sens obligée de reprendre mon rôle de mère.
Peignoir enfilé, je les rejoins.

• Françoise, peux-tu me dire ce que fait cette bouteille de champagne sur la table de la cuisine ?...