Trop Chaud Partie 2 Dans Les Dunes...
Le lendemain matin, nous sommes partis à quatre dans une seule voiture. Cest Paul qui conduisait. Paulo et moi étions à larrière. Le trajet dura deux bonnes heures. Ils ont choisi une plage naturiste, à lécart. Paulo fit semblant dêtre déçu, il nallait pas pouvoir faire étalage de sa panoplie de slips de bain. Mais, dun autre côté, avoir tout le temps la bite à lair, ça ne le dérangeait sûrement pas
Ca faisait rigolo de voir trois gars complètement rasés et le quatrième avec une toison et une touffe plus quabondante pour Paul. Comme partout où il va, Paulo attire les regards de convoitise avec son physique époustouflant. Dans le fond, on est bien content et même flatté, dêtre ami avec un tel mec
Baignades, jeux deau, bains de soleil, rigolades
.Paulo a bien du mal à garder un volume décent à sa bite.
Vers midi, Paul propose à Fabrice de sisoler dans les dunes. Il nous invite à les suivre, si on na rien contre
.On na rien contre ! On trouve un grand cratère dans les dunes, à lécart. On y étend un grand tissu vert. Fabrice et moi nous y allongeons, côte à côte, sans même nous être concertés, attendant nos amants. Paulo entame la séance avec ses mains qui se promènent dabord sur mon corps, puis, très vite sur celui de Fabrice aussi. Paul caresse doucement le dos de Paulo. Nos bites à tous sont déjà bien raides, impatientes
.Paulo, en levrette, nous butine maintenant les glands. Paul en profite pour lui lécher la raie, carrément. Ca commence fort. Paul ondule du cul sous les coups de langue experts de Paul. Pas en reste, jen profite pour masser doucement les couilles de Fabrice. Jai comme dans lidée que cette séance sera la première dune longue série
.De près, Fabrice a une superbe bite bien longue et lisse. Je dirais dans les 20 centimètres déployée. Complètement rasée, on peut ladmirer en totalité. Ses couilles sont particulièrement grosses Paul na pas du tout à rougir, bien au contraire. Il bande comme un fou en léchant Paulo.
Paulo, qui ne tient pas en place propose à Fabrice et à moi de se mettre en levrette? Vos désirs sont des ordres bien doux à exécuter ! Paulo soccupe de Fabrice, Paul de moi. Cest un peu ce quon cherchait finalement
.A mieux se connaître ! Nos deux cavaliers sont fièrement dressés à genoux, côte à côte. Leurs deux montures aussi ? Comment va-t-il sy prendre ?
Eux, ils senduisent copieusement de gel. Fabrice me chuchote à loreille :
« -Dis donc, sans vouloir te vexer, il est drôlement canon ton copain
-Cest normal, il est top model. Il en a fait son métier
-Eh bé ten as une de chance dêtre son amant ! »
Paulo claironne à la cantonnade :
« -Forbidden to return, OK ? » Il veut sûrement quon devine qui nous pénètre.
« -Paulo !
-Lost !! » Ca commence bien Jaurais pourtant juré
.Petites poussées sur nos trous. Ca passe. Je suis impatient de sentir Paul me labourer. Chacun a sa façon, sa fougue ou sa douceur. Elle me semble plus fine que celle de Paulo, mais aussi chaude et vibrante. Un beau morceau de chair plein de vie. Il y va tout doux. Jaime beaucoup. Une fois bien au fond, ils commencent leur limage lent et régulier. Quel bonheur ! Fabrice a empoigné ma queue et me branle lentement. Je lui rends la pareille. Tiens, on dirait que Paulo semballe légèrement. Ca métonnerait quil veuille déjà conclure. Il veut juste que Fabrice le sente mieux aller et venir
Paul voyant son amant se faire trombonner allègrement par Paulo, cela lui donne une idée et une envie. Il me demande, en rigolant, la permission de sabsenter quelques moments
accordé ! Il se réenduit alors copieusement et vient se positionner derrière Paulo. Paulo a compris, il se penche pour soffrir. Paul le pénètre facilement jusquà la garde et ne bouge plus. Cest Paulo qui, en se retirant de Fabrice vient, à chaque fois senfoncer sur la bite de Paul. Nos deux voisins se sont ainsi accapparés Paulo pour son et leur plus grand plaisir. Ils ont lair aux anges, tous les trois. Paulo accentue ses coups de bite et ses retraits, ça lui permet ainsi de décupler ses sensations sur sa bite et sur son cul. Paulo, bête de sexe insatiable, il aime TROP TROP ça. Vas y mon Paulo, profites ! Je décide alors de le combler encore plus n offrant ma bite à ses lèvres. Il me lance un regard de gratitude, par en dessous. Le voilà parti dans une furieuse sarabande, tapant ses couilles sur le cul de Fabrice, frappant celles de Paul, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Nos voisins croient peut être que cest ainsi quil veut jouir. Cest mal connaître son endurance à toute épreuve.
A un moment, quelquun sécrie :
« -Hé ! Jaimerais bien fourrer ce joli petit cul !! Cest Fabrice. Cest le cri du cur.
-Eh ben moi, jaimerais bien me faire défoncer par cette jolie bite !! Cest Paul. Cest de moi quil parle. On dirait bien que les voisins on bien envie de mieux me connaître
Paul, mis au courant, est OK. On se décolle donc pour saccoupler autrement. Je me mets en levrette, offert à Fabrice. Je dois dire quil a été super délicat et super voluptueux. Quand il ma entièrement pénétré, je me redresse à genoux et attend que Paul vient se placer devant ma bite. Je le pénètre facilement, tous dilatés comme on est. Je le colle à moi, en lui empoignant le torse et en fourrageant dans la toison de sa bite. On se retrouve ainsi collés à trois. Là, je le sens parfaitement bien autour de ma bite, son petit cul serré qui se détend progressivement sous mes coups de bite. Maintenant, elle coulisse parfaitement bien dans son fourreau.
« -Wouah ! Je te sens parfaitement bien !
-Moi aussi, bro ! »
Il se redresse pour varier les angle de pénétration et aussi les sensations. Cest délicieux pour tous les deux. Je le lime lentement, il me sent progresser dans son ventre, dans son antre chaude. Trop cool.je sens son sphincter se contracter sur ma bite par spasmes.
« -To fuck or to be fucked, that is THE question !! »
Bien sûr, il a choisi de fucker Fabrice quil avait déjà pénétré peu avant. A quatre, on essaye de synchroniser nos va et viens. Quand on y arrive, ça donne une sensation de puissance. Trop bon !Paulo, comme un feu follet, passe de la queue du train à sa tête. Soit il encule Fabrice, soit il se fait mettre par Paul. Tout semble lui convenir, finalement. Cest à ce moment précis quapparaît, en haut de notre cratère, un jeune adulte, nu, avec une grande serviette rouge. On doit être sur un endroit de passage, finalement. Surpris, il sarrête. Il nous regarde nous activer tous les quatre. Ca a lair de lui plaire car, presquaussitôt, sa bite se tend à lhorizontale puis à la verticale. Il sasseoit pour mieux profiter du spectacle et commence à se toucher
Nous, bien sûr, ça nous excite encore plus davoir un public. On sactive de plus belle. Du coup, il se met carrément à se branler de plus en plus vite. Assez vite, il sarcboute à même le sable et jouit sur son torse dans un petit cri. Il retombe. Joli spectacle, merci ! Il se relève assez vite et part en nous faisant un petit signe. Cool ! Finalement, jaime beaucoup la bite de Fabrice et la façon quil a de sen servir. Ce gars est cool.
Mais, il est temps de passer aux choses sérieuses.
Paul nous fait mettre, Fabrice et moi, sur le dos, jambes écartées. Grand seigneur, il laisse à Paulo le soin de choisir quel cul il veut bourrer. Paulo madresse un clin dil et va vers
Fabrice. Tous les deux, ils nous pénètrent dun coup sec et commencent à nous labourer vaillamment. On dirait quils se sont donné le mot. On les tire vers nous pour les embrasser. Paulo, surpris, se laisse faire. La cadence sest accélérée. Ils veulent donc jouir ainsi. Je sens la bite chaude de Paul me frotter lintérieur du ventre de plus en plus vite. Parfois il se retire complètement et, la seconde daprès, il me transperce jusquà la garde. Trop bon ! Fabrice, lui, se tortille comme un ver sous les coups de boutoir forcenés de Paulo. Troublé de voir ainsi son amant se faire défoncer, Paul passe la vitesse supérieure. De plus en plus vite, de plus en plus violemment. Ses couilles claquent à un rythme effréné. Je lui ai empoigné le cul et le tire vers moi en cadence. Je le sens venir. Sa bite tressaille, je resserre mon trou, il se répand à nen plus finir dans mon ventre. Ila hurlé de soulagement. Fabrice gémit de plus en plus fort sous les coups de reins de Paulo. Paulo veut sarrêter.
« -Come on, please ! Come on ! » implore Fabrice
Il lui a alors empoigné les fesses et a commencé à partir en live, ne pouvant plus rien contrôler. Il a crié, balbutié des mots incompréhensibles, tendu comme un arc, vibrant de tout son corps. Visiblement Paulo était entrain de le faire jouir grave. Paulo a toujours adoré ça, donner du plaisir par sa bite. Mais, maintenant, cest lui aussi qui veut décoller. Ses ruades se font de plus en plus sévères. Fabrice hulule en continu. Un dernier sursaut. Ca y est, il se vide en longs spasmes dans le cul de Fabrice qui en tremble de bonheur. Complètement out, il sécroule sur le ventre de Fabrice qui en profite pour lui caresser les cheveux, les dos, le cul. Trop content de lavoir rien quà lui et de lui avoir donné tout ce plaisir.
Bien sur, Fabrice et moi, on na quune envie : prendre nous aussi un super pied. Paulo et Paul lont bien compris qui, déjà, soffrent à nous, sur le dos, jambes écartées, bites luisantes de foutre. Fabrice, lui, en veut un peu plus. Il tourne Paulo, le replace en levrette et lui bouffe le cul avec avidité. On lentend souffler. Quant à moi, jentreprends Paul directement. Je présente mon gland. Bon prince, il me prend la bite et me guide vers son trou. Je passe mon gland sans problème. Je fais une série dentrées et de sorties, rien quavec mon gland. Paul a lair dapprécier. Il dit quil aime. Puis il se met à se tortiller, cherchant à se faire mettre profond. Je ne vais pas lui refuser ce plaisir, ni à moi dailleurs. Il me tire vers lui. Je menfonce dans ses entrailles. Je suis bien. De ses mains agrippées à mon cul, il me retire et me fait entrer à nouveau dans son fourreau, à une cadence très lente. Trop bon ! a côté, Fabrice vient de remettre Paulo à plat dos et cherche à le pénétrer, tout en douceur. Connaissant Paulo, cest probablement linverse quil aurait préféré, un peu plus de sauvagerie ? Fabrice, pour cette première fois, na pas osé. Ce nest que partie remise. Je vois entrer et sortir la longue bite de Fabrice dans le cul de Paulo. Ca me fait quelque chose. Paulo a empoigné les fesses de Fabrice et lui imprime une cadence plus soutenue. Fabrice a compris le message et ne se fait pas prier. Je fais de même avec Paul. Bientôt, on est entrain de les défoncer tous les deux comme des fous. Malheureusement Fabrice na pas su garder toute sa maîtrise et il a joui dans le ventre de Paulo qui ne lui en tient pas rigueur pour autant. Je reste seul en course. Je continue mes ruades furieuses. Paul a entouré ma taille de ses jambes croisées et me regarde me démener, béat. Je le trombonne du plus vite que je peux et bien sûr jen perds le souffle. Je continue jusquà ce que je sente monter en moi une immense vague de chaleur que je connais bien. Cest celle qui précède la jouissance. Trois longs jets brûlants. Je me vide de toutes mes couilles, anéanti.
On comate un bon moment, écroulés les uns sur les autres. Cest la faim qui nous fait nous remettre en route vers la plage et nos affaires.
Laprès midi se passe en baignades, jeux de ballons, discussions, lectures, bronzage intégral. Bref, tout ce quon peut faire sur une plage.
En fin daprès midi, Paul et Paulo proposent de retourner dans les dunes
Pas besoin de préciser pourquoi. Depuis un moment déjà, leurs bites ont du mal à revenir à la position total repos
Comme tout le monde est OK, on ramasse les affaires et on y va. Avant de partir, il nous demande si ça nous dirait, pour nous « chauffer » daller observer des nudistes en action dans dautres cratères de dunes
? On est un peu surpris mais, après tout, dautres nous ont bien observé nous aussi. On est OK. On na pas cherché bien longtemps. A croire que ces cratères darrière plages nudistes sont comme les backrooms des boites gays ! Paul nous fait signe de nous approcher doucement. On saplatit tous les quatre à même le sable, seules nos têtes dépassent légèrement du sommet du cratère. Au fond, sur un grand carré de tissu jaune, trois personnes sébattent. Deux gars et une fille. Tous les trois entièrement bronzés et rasés. La fille est sur le dos, jambes écartées. Un gars est au dessus delle, prêt à la pénétrer. Elle le branle lentement. Le gars, en levrette, est prêt à se faire enculer par le troisième gars qui senduit la bite de gel.. Il cherche à le pénétrer. Du haut, on entend le gémissement du gars quand le gland passe. Assez vite, il embraye sur des va et viens lents. Le gars dessous se met à pénétrer la fille assez doucement. Une fois en elle, ils synchronisent leurs mouvements. La fille se met à gémir en continu. A nous aussi, ça fait de leffet. Les bites se tendent dans le sable, les mains se font baladeuses et fouineuses
.Va falloir désabler tout ça avant les galipettes ! Ils changent de position. La fille se met à genoux, jambes bien écartées. Un des deux gars cherche à la pénétrer par derrière et lautre par devant. Une fois tous les deux bien enfoncés, ils commencent à la limer. Dabord lentement, puis de plus en plus rapidement. Ils ne devaient pas être au début de leurs ébats car on dirait quils veulent conclure. Ca devient de plus en plus hard. La fille gémit de plus en plus fort, en continu. Le mec de devant jouit en premier en criant. Quelques minutes encore et cest le gars de derrière qui prend son pied. Et la fille dans tout ça ? Il ne nous reste plus quà trouver vite fait un autre cratère discret( ?) pour assouvir nos désirs plus que brûlants. Ca donnera, à nouveau, une super baise où Paul et Paulo se déchaîneront sur nos trous, où Fabrice dévorera goulûment ma bite et avalera tout, où il me gratifiera dune superbe éjac faciale.
Après un petit temps, on réenfile nos slips de bain et nos shorts on a la flemme de retourner à la mer se laver- et on rejoint la voiture. Je vous dis pas lodeur de foutre dans lauto !
Le retour fut plutôt calme. Avant de sendormir sur mon épaule, Paulo eut le temps de me chuchoter deux choses à loreille : maintenant, je saurai comment moccuper quand il sera absent et aussi que je pouvais poser ma main sur sa bite, ça laiderait à mieux dormir ! Sacré Paulo !
Quelle journée !
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