L'Éducation D'Une Bourgeoise Bcbg Suite
L'éducation d'une bourgeoise BCBG suite 7
S
se doute bien qu'en arrivant à ce rendez-vous, fixé par son Maître, elle allait être « punie ».
Elle a reconnu, à l'issue de son après-midi « spécial course » dans le supermarché que son comportement était indigne et même irrespectueux vis à vis de « Monsieur ».
Suite au SMS reçu la veille, S
se présente sur le parking devant un garage automobile « multi-marques », il est 18h00. Elle n'est pas en retard au moment de garer son véhicule devant l'entrée du bâtiment principal. Tous les magasins qui se trouvent dans cette même zone sont encore ouverts, pour la plupart d'entre eux, jusqu'à vingt heures.
Par contre S
constate, en sortant de sa voiture et en s'approchant de la porte d'entrée du garage, que les heures d'ouvertures précisent : fermeture, le samedi, à 18h00
et nous sommes, justement samedi
en ce mois d'octobre.
S
sait qu'elle doit attendre un appel de « Monsieur ». Elle déambule sur ce grand parking et remarque qu'il y a encore beaucoup de monde qui passe, qui discute et qui prend le temps de faire quelques courses. Elle se trouve maintenant devant l'entré du hall d'exposition du garage. Cet espace est extrêmement vitré permettant ainsi une vision maximale des véhicules en vente.
S
est pensive et se demande où se trouve « Monsieur » au moment ou la sonnerie de son téléphone se fait entendre.
S
décroche et écoute attentivement la voix de « Monsieur » qui lui précise que le garage vient de fermer, et qu'elle doit se diriger vers la porte de service du garage, entrer dans le bâtiment et rejoindre Monsieur qui l'attend dans le bureau du vendeur situé dans le hall.
S
est surprise, un peu méfiante, mais rassurée d'avoir eu Monsieur au téléphone et même un brin « émoustillée » sachant que Monsieur vient de la féliciter quand à la tenue qu'elle porte.
En effet, S.. n'a pas eu de consignes particulières et c'est elle qui a choisi sa tenue
elle porte un superbe tailleur en cuir noir, la jupe arrive en dessous de ses genoux, elle est fendue, ce qui laisse apparaître une jambe superbement gainée de bas résilles
la veste tombante cache tout juste ses fesses et le col d'un chemisier blanc complète sa superbe silhouette.
S
met un peu de temps pour rejoindre le fameux bureau car elle passe par les ateliers et cherche une porte communicante lui permettant d'atteindre le fameux bureau.
Monsieur, quant à lui, suit les déambulations de S
grâce au son de ses talons qui claquent sur le sol de béton, dans l'atelier, puis sur le carrelage du hall d'exposition
Enfin S
arrive à la hauteur du bureau. Elle est accueilli par Monsieur qui la félicite encore un fois pour son élégance. Il l'a prend dans ses bras, l'embrasse tendrement. S
est radieuse et détendue
mais pas pour très longtemps, le ton de Monsieur ayant changé, se dernier rappelle à S
pourquoi elle est là , à la demande de Monsieur, et qu'elle sera punie
sans attendre, Monsieur demande à S
de mettre le collier acheté au supermarché, d'y accrocher la fameuse laisse et de placer sur le bureau
Les traits du visage de S
changent immédiatement. Sans dire un mot S
s'exécute. Elle sort de son sac le collier qu'elle place autour de son cou, y attache la laisse et sort ensuite le petit martinet, le place sur le bureau ainsi que le concombre...
Le contraste est saisissant : en quelques secondes, S
belle bourgeoise BCBG, même un peu hautaine, fière d'elle, se retrouve devant Monsieur, avec ce collier et cette laisse accrochée à son cou ce qui lui donne un aspect totalement « indécent »
S
baisse la tête, n'ose pas regarder Monsieur, alors que celui-ci lui donne l'ordre dôter, immédiatement sa veste, le chemisier et la jupe
Elle s'exécute sans réfléchir et en quelques secondes elle se retrouve superbement dévêtue. Un superbe ensemble soutien gorge, tangua et porte-jarretelles noirs orne son corps. Pas pour longtemps, car sur ordre de Monsieur, le soutien gorge est dégrafé et jeté dans la corbeille à papier placée à coté du bureau. Le tangua quant à lui se trouve maintenant sur le bureau du vendeur.
S
est maintenant debout, quasiment totalement nue.. en porte-jarretelles, bas résilles et talons hauts, toujours tête baissée.
Sans perdre de temps, Monsieur se place derrière S
, saisit ses poignets, les attache dans son dos avec une petite cordelette de couleur rouge. Monsieur sort une seconde cordelette et la place juste au-dessus de ses coudes
il sert ce nouveau lien ce qui a un double effet : les coudes de S
, serrés l'un contre l'autre, bloquent totalement ses bras dans son dos, d'une part, mais surtout, redresse le torse de S
et met en avant ses superbes seins...
Monsieur ne résiste pas à l'envie de glisser ses mains sur la peau de ce corps totalement à sa disposition. Celles-ci glissent sur cette poitrine offerte
visiblement les seins de S
réagissent à ces caresses, ils gonflent et durcissent à l'image des tétons qui, eux, sans tendus, érigés.
Monsieur s'attarde sur eux en les caressant et en les pinçant sans trop de fermeté. S
ne résiste pas à ces caresses, sa respiration est de plus en plus saccadée, elle gémit d'excitation
Puis c'est tout son corps qui ondule maintenant alors que les mains de Monsieur descendent vers son entre-cuisse s'attardant sur son ventre, puis frôlent son pubis sans avant de glisser entre ses cuisses. S
instinctivement écarte ses cuisses laissant ainsi le passage libre pour des doigts qui en profitent pour glisser sur les lèvres de ce sexe totalement lisse avant de s'enfoncer dans cet étui tellement accueillant
quelques aller-retour augmentent encore l'excitation de S
qui se « love » contre Monsieur. Elle se laisse aller et se détend totalement. Tout son corps ondule sous l'effet de ces multiples caresses
S
est en train de s'abandonner et est prête à jouir
Elle murmure dans l'oreille de Monsieur qu'elle est « bien et heureuse dêtre soumise »
et rajoute même qu'elle se sent « une petite bourgeoise BCBG et salope ». Ces propos ravissent Monsieur surtout qu'ils ont été spontanés et non pas exigés, mais cela ne satisfait pas du tout Monsieur. Celui-ci ne souhaite pas qu'elle jouisse et rappelle à S
pourquoi elle est venue, pourquoi elle ainsi, quasiment nue, attachée, c'est à dire qu'elle est là pour être punie.
Monsieur explique à S
qu'il va l'amener dans l'atelier du garage et pour cela ils vont traverser le hall d'exposition du garage. Immédiatement et instinctivement S
se rebiffe et exprime son refus d'obtempérer
Elle hausse le ton en précisant qu'elle refuse de passer dans ce hall aux nombreuses baies vitrées
Mais très vite, elle se rend compte de la situation : elle n'a pas la possibilité de résister aux désirs
aux ordres de Monsieur, et en plus, son attitude vient de contrarier fortement Monsieur.
Ce dernier saisit le tangua qui se trouve sur le bureau, il l'enfonce entre les lèvres de la chatte de S
et le ressort immédiatement puis il le roule en boule dans sa main.
S
a immédiatement compris la situation : vaincue, elle ouvre sa bouche pour permettre à Monsieur d'y introduire ce sous-vêtement humide et imprégné de ses odeurs intimes. Au moment ou Monsieur place un ruban adhésif sur sa bouche, S
laisse couler quelques larmes sur ses joues.
Monsieur ne perd plus de temps. Il prend dans sa main la laisse et tire celle-ci obligeant S
à le suivre.
S
résiste comme elle peut. Cette résistance est dérisoire. La voilà obligée de suivre son Maître qui sort du bureau et commence à traverser le hall. Sans hésiter il passe volontairement assez prêt des baies vitrées sachant que certains passants peuvent apercevoir les déambulations de S
Cette dernière n'ose pas relever la tête et accélère même le pas tout en essayant de se cacher derrière les voitures présentes dans ce hall. S
gémit sous son bâillon et laisse couler de chaudes larmes. Monsieur, qui n'est pas sans attention pour S
, ne profite pas de cette situation et met fin à son supplice en allant directement vers la porte de l'atelier la plus proche.
Une fois le seuil de celle-ci passé, Monsieur sarrête et, à l'aide d'un mouchoir sèche ces larmes qui couvrent le visage de S
Cette dernière jette un regard complaisant à son Maître alors que ce dernier décolle le ruban adhésif placé sur ses lèvres et sort le tangua de sa bouche.
Monsieur approche ses lèvres de la bouche de S
et tendrement l'embrasse. C'est un chaud et langoureux baiser qui rassure et réchauffe le cur de S
Une fois de plus, Monsieur interrompt ce moment de tendresse.
Il place S
au centre d'un pont de levage qu'il fait monter à mi-hauteur. Il demande à S
d'écarter au maximum ses jambes ce qui lui permet d'attacher ses chevilles aux montants de ce « portique »
Il détache ensuite les bras et les poignets de S
mais il les fixe maintenant fermement sur les plateaux permettant de soulever une voiture.
S
est maintenant debout, cuisse très largement ouvertes, écartées, ses poignets sont attachés à la hauteur de ses hanches aux deux supports. Monsieur recule jusqu'au bouton qui permet de faire monter les supports. Il appuie sur ce bouton et le pont se lève. S
remarque immédiatement qu'elle ne va pas pouvoir résister et qu'elle va se retrouver avec ses bras tendus vers le haut à la hauteur décidée par Monsieur. Dix secondes plus tard S
est maintenant totalement « écartelée » bras et jambes largement écartés. Son corps est tendu au maximum, il est exposé et offert.
S... est maintenant prête à être punie
à suivre
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