Merveilleux Rêve 2
Cauchemardesque chute
- Alors les amoureux, on se fait des câlins. Venez, les mariés vont ouvrir le bal. Hé ! Marie, tu ne mavais pas dit que tu avais un copain. Tu me le présentes ?
- Alex
Yolande
Présentations faites, la rousse pousse Marie vers lentrée, la suit, se retourne et menvoie une main sur lavant du pantalon dun geste surprenant, précis et rapide mais suffisant pour lui arracher une exclamation à double sens :
- Voilà ce qui est intéressant ! Bel homme, hein Marie. Du premier choix, ma chérie, tu as bon goût. Dis, tu me prêteras ton Alex pour une danse ?
Nous avons applaudi la danse des mariés, jai commandé du champagne pour Marie et pour moi : je tenais à célébrer cette rencontre et lengagement mutuel.
- Je ne bois jamais dalcool. Mais aujourdhui, je vais faire une exception parce que tu mas remplie de bonheur.
Elle va penser que jai la mémoire courte. La déclaration a été suivie dun baiser rapide, lèvres closes. Des étoiles plein les yeux, Marie a pris ma main et ma tiré en riant vers la piste au milieu des tables placées en fer à cheval. Jai essayé déviter les contacts trop étroits. Mais pendant les slows ma petite chatte amoureuse sest rapprochée, lovée dans mes bras. Je suis condamné à une érection permanente.
Bravant les lois de la pesanteur, mon oiseau dans sa cage de tissu, relève la tête, se gorge de sang et me trahit en faisant une nouvelle fois une bosse indécente sous ma ceinture. On se presse nombreux sur la piste, heureusement. Marie est trop occupée à lire mon amour dans mes yeux pour remarquer cette preuve de désir masculin à hauteur de son ventre. Et si elle augmente ma gêne en se pressant contre moi avec amour, elle a la délicatesse de faire semblant dignorer le phénomène. Nous atterrissons au bar. Pour garder les idées claires nous réclamons une autre coupe. Marie sur son nuage ingurgite les bulles :
- Cest fameux et ça descend comme de leau.
Quelques danses plus tard, quelques coupes plus loin, un jeune homme sincline devant Marie. Elle me regarde; avec un petit pincement au cur, je lui fais signe daccompagner ce brave garçon : je joue au propriétaire sûr de rester maître de la possession, je réussis à fanfaronner, je fais le malin généreux:
- Lamour nest pas une prison. Va, amuse-toi.
Le couple séloigne. De lautre côté une main se pose sur mon épaule. Cest Yolande, la rousse délurée. Elle sadresse à lélu de Marie
- Viens me faire danser, ne reste pas là à surveiller ta belle. Ne sois pas jaloux, il te la rendra. Je lui ai envoyé un bon copain, il a mission de lentretenir et de la distraire, pendant que nous faisons plus ample connaissance. Cela simpose après notre premier contact hein ? Aussitôt collée à moi , elle vérifie dune main quelle ne sest pas trompée et menvoie un sourire satisfait de tenir un paquet dur et consistant.
Sous lorchestre Yolande me tire vers une porte latérale. Que veut-elle me montrer, sa voiture ? Sur le parking, entre deux véhicules, elle va droit au but, une main sur le zip de ma braguette :
- Mon pauvre Alex, je vois que tu souffres et je sais que Marie est sage. Veux-tu de mon aide , oh, juste un petit service qui te soulage et fasse baisser ta tension? Je ne le raconterai à personne
Marie se moquait de cette fille qui brode des histoires à nen plus finir. Force est de constater que la rousse sait aller au devant des aventures. Sa démarche est bien venue dans les circonstances actuelles. Jai bien besoin dune décompression sous la ceinture et cest si gentiment demandé.
Yolande termine sa phrase accroupie devant moi, écarte lobstacle, dégaine mon sabre. Elle pousse un cri dadmiration, mempoigne, me promène devant ses yeux, envoie quelques coups de langue.
- Alors, je te soulage ? Tu veux ? Tu ne pleureras pas, laisse-toi aller.
En réponse je pose une main sur sa chevelure rousse pour acquiescer. Sa bouche se pose sur mon gland, elle suçote la pointe du nud, maspire au chaud, menveloppe de salive et elle fait tournoyer sa langue tout le long de la partie immergée. Yolande est une artiste du pipeau. Elle me fait coulisser, mordille la tige, se goinfre de ma chair, suce joues creusées et à ce jeu elle a vite fait de me mettre le feu à un combustible déjà prêt à senflammer. Marie saurait-elle menflammer comme elle ? Je tente de me retirer quand du fond de mes couilles part le frémissement annonciateur de léclatement. Des deux mains, lune plantée autour de mon scrotum, lautre serrée à la base de cette queue quelle dit adorer Yolande me maintient dans le four suceur. Je viens, je pars, jenvoie de longues et lourdes giclées de sperme. Elle continue à sucer, avale tout jusquà la dernière goutte, se redresse en essuyant dun revers de main dhypothétiques bavures :
- Ton sperme est délicieux. Je te laisserai mon téléphone. En cas de besoin, appelle-moi si tu as apprécié. Écoute encore ceci. Si je te vois encore bander contre ta copine, ce nest pas décent, je lui enverrai un autre cavalier. Déclare-lui que tu vas en profiter pour aller fumer une cigarette. Je tattendrai ici pour une pipe ou plus si tu veux. Tâte là, je nai pas de culotte et je serai prête à te vider les réservoirs. Tu choisiras ton supplice.
Elle me plaque un smack et senfuit en courant. Je fume ma cigarette tranquillement. Cette femelle est enragée, je nen ferais pas ma femme. Mais, bon dieu, je me sens plus léger et je vais pouvoir affronter les prochaines danses avec Marie sans crainte de la choquer grâce à cette thérapie efficace. Je retrouve Marie sagement assise à sa place. Je lui manque. Ce cavalier ne me vaut pas. Elle ne dansera plus quavec moi. Elle se sent si bien dans mes bras. Je proteste, par politesse elle doit répondre aux invitations. Dailleurs cétait la première seulement.
- Je suis si fier daccompagner la plus belle fille du bal et chaque invitation me flatte et me convainc que jai fait le bon choix.
- Oui, mais si tu savais quelles questions il ma posées : ma première fois, pourquoi je nen parle pas, est-ce que le type ma ratée, est-ce que jai recommencé, combien de fois avec toi etcetera. Au début ça ma fait rire puis cest devenu lourd. Quel con.
- Ne toffusque pas, tu as passé lâge des pudeurs adolescentes, oui ? Essaie den rire et réponds-lui avec fantaisie, nimporte quoi, déconne un peu, ne prends pas tout de façon grave. Embrasse-moi.
- Oh tu sens fort la cigarette. Tu en as fumé deux au moins !
- Viens on va se désaltérer avant de retourner danser.
Est-ce le contact du ventre de Marie, la chaleur de son regard amoureux, nest-ce pas plutôt limpression dêtre en permanence scruté par la rousse aux aguets, curieuse de constater la prochaine inflation « pantalonnière » ? Mes ennuis renaissent, mon pantalon se déforme une fois de plus. Pour ne pas scandaliser Marie, je feins un léger malaise et nous retournons nous asseoir pour quelques minutes de repos. Mais elle nest ni dupe ni aussi naïve que je lai cru.
- Dis-moi, Alex, est-il normal que les garçons bandent quand ils dansent avec moi ? Ce nest pas la première fois que je remarque ce phénomène au bal. Toi et cet autre, comme dautres dans dautres soirées, vous avez quoi dans votre pantalon pour faire croire que vous êtes des hommes ?
- Rien que de très naturel. Pas de galet, pas de gros caillou . Quand tu voudras voir, demande. Tu es une fille splendide, souple, sympathique, au sang chaud. Tu réunis toutes les conditions pour exciter limagination des mâles et pour les attirer. Cette attirance, chez la plupart, se traduit par un afflux de sang dans leur sexe, dont la conséquence est visible ou palpable surtout dans une danse à deux rapprochant les corps. Avertie du phénomène tu peux calmer ou augmenter la réaction à volonté soit en établissant une séparation physique soit au contraire en recherchant plus de surface et plus dintensité dans ces contacts.
- Tu penses que je fais exprès ?
- Mais non, ma chérie. Ta présence à elle seule, sans autre manifestation de ta part, peut suffire à faire bander des hommes. Certains savent le dissimuler, dautres peuvent aller jusquà sexhiber ; ça dépend de leur éducation et de leur maîtrise sur leurs sens. Ne tinquiète pas, naie pas honte, tu nes pas coupable, sinon dêtre belle et désirable. Ça ne tombe sous le coup daucune loi. Je tadore.
- Oui, mais toi ? Jai bien senti ton trouble. Jai même eu peur tout au début. Cette fois cétait moins prononcé ; je constate avec bonheur que tu sais te maîtriser. Je serai plus prudente, je resterai à distance et jéviterai de te faire souffrir.
La rousse est déjà sur la porte. Voilà le messager chargé de me remplacer et doccuper ma danseuse. La méthode de Yolande est bien rôdée, très efficace. Marie sourit, fière maintenant de me faire honneur. Je guette le moment propice pour méclipser, fonce au point de rendez-vous. Penchée sur le capot dune voiture, robe repliée sur les reins, Yolande me présente sa croupe royale dénudée, frémissante dimpatience. Autant que moi, les démons de luxure la travaillent.
- Allez, cochon, cesse deffaroucher Marie, rentre-moi dedans, tu en as besoin. Je suis propre, naie pas peur. Viens et cette fois tue le démon qui thabite, fous-le à plat pour huit jours. Oui, comme ça. Vas-y, bourre-moi, fais moi du bien avec ta grosse bite Moi aussi je suis en chaleur. Mon sexe est bon ?
Jai plongé. Il fait noir mais jai trouvé le trou du premier coup. Elle tirait sur ses fesses pour élargir laccès à sa salle des fêtes et je my ébroue à vive allure. On ne trouve pas tous les jours un havre aussi humide et accueillant. Elle ne se contente pas de subir. Pieds à terre, mains en appui sur la tôle, elle soulève son bassin, lanime dun double mouvement : une giration combinée à un va-et-vient à la rencontre de mes poils pubiens au bout de mes vingt centimètres de pénis gonflé à bloc. La chaleur du four, les torsions infligées et les encouragements vocaux de ma complice me mènent à un orgasme que Yolande partage.
Reste-t-il encore du sperme en moi ? Cette fille a pompé mes réserves. Yolande se réjouit de loffrande, sessuie avec un linge. Elle se retourne, ses deux mains me raffermissent et me présentent de face à son corps recourbé sur la voiture. Je menfonce, je vais et je viens, je force à la recherche du plaisir. Yolande me coince en elle, prisonnier de la tenaille de ses jambes. Joublie lheure, joublie tout, jéjacule, elle attire ma bouche pour ses cris sur mes lèvres.
- Allez, motus et bouche cousue. On ne se connaît pas. Prends ma carte avec mon téléphone. À bientôt bel étalon, ne moublie pas ! Merci, tu es formidable.
Je suis encore en train de refermer ma boutique quand de derrière la voiture sur laquelle je mappuie monte la voix si douce de ma tendre Marie :
- Alors Alex, cétait bon ? A lavenir, au lieu de perdre ton temps à me faire la cour et des déclarations damour creuses, occupe-toi mieux de cette Yolande. Mais ne viens plus me parler damour. Tu ne penses pas sérieusement que je pourrais épouser un type qui tire son coup avec nimporte quelle dévergondée entre deux voitures. Si tu veux, il est temps de me ramener à la maison. À lavenir oublie-moi.
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