Notre Notaire Confisque Ma Petite Culotte (Episode 5)
Quelques instants plus tard, je me retrouvais seule sur le palier du premier étage avec une furieuse envie de me précipiter vers les toilettes les plus proches.
Je descendis le plus rapidement possible les escaliers en transportant tout leur pipi dans mon ventre. J'étais pleine d'eux. Javais tout simplement servi de cabinet à ces deux porcs, ils m'avaient bien remplie les salauds.
J'ai très honte de l'avouer, mais dans les jours qui suivirent, je mouillais ma culotte à chaque fois que je revivais ces moments incroyablement pervers. Dans le même temps, je sentais ma gorge se dessécher et mes joues rosir jusqu'à me brûler.
Cela était très gênant, car cela se produisait invariablement lorsque j'étais en compagnie de mon petit ami ou de mes parents. Autant de personnes qui avaient indirectement et sans le savoir participé à ma dépravation en me téléphonant au moment crucial.
Me voilà dans le rue, j'hésite quelques secondes. La piscine municipale de Montchoisi est juste en face, il y a également une patinoire. Je connais bien les lieux et je comprends que je n'aurais jamais le temps d'aller jusqu'aux toilettes qui se trouvent dans le bâtiment.
Je tourne alors à droite dans l'avenue Servan et tout de suite me précipite dans le parking de l'immeuble. Ce parking privé, en plein air, donne directement dans la rue. Il est accessible à tous mais je n'ai pas le choix.
Je m'accroupis entre deux voitures. Je ne peux plus me retenir, j'ai le ventre tout gonflé.
Aussitôt le plug retiré, je commence à me vider de partout. Je n'ai même pas le temps de baisser culotte. Je suis en train de souiller ma deuxième culotte de la journée !
Quelle idiote je fais, mais c'est si bon de se soulager à nouveau dans cette fichue culotte confisquée.
En retirant le plug, le trou dans mon fond de culotte dou sort la queue de cochon s'est élargi et les gros jets de pisse qui jaillissent de mon trou du cul atterrissent directement sur le bitume.
Peu m'importe d'être vue depuis les nombreux vis à vis de l'immeuble den face. Je me libère bruyamment. Tout se passe comme ces deux vicieux de notaire l'ont prévu en m'obligeant à conserver en moi jusquau bout du bout leur lavement ignoble. Deux jets abondants sortent maintenant d'entre mes cuisses car moi aussi j'ai envie, je pisse pour trois et en pleine rue !
Je ne suis qu'une vilaine pisseuse qui na réussi quà faire quelques mètres dans l'avenue Servan.
Je mets un certain temps à me rajuster. Trouée et souillée, ma culotte confisquée est définitivement hors d'usage. Je la jette sous la voiture la plus proche et tant bien que mal, j'essaye de m'essuyer avec mon dernier paquet de kleenex. Je reste accroupie et me tortille en jetant des coups d'oeils inquiets de tout côté. Cette impression permanente d'être observée ne me quitte décidemment pas. C'est seulement alors que je réalise que dans ce parking, je suis carrément sous la fenêtre de l'étude et je ne peux m'empêcher de revivre une nouvelle fois cette fin de séance, juste au moment ou Maître Berney décroche et commence à parler avec ma mère alors que son associé continue de me pisser au cul.
Il met le haut parleur et nous profitons de la conversation :
Maître Berney :
« Ah bonjour, chère Madame B., non, tout va bien...votre fille est occupée, je vous la passe dés que possible....elle est en train de rendre un petit service à Maître Imbert mon associé. Vous savez madame, Camille est une jeune fille très ouverte et elle sait très bien se vendre. Elle est passée pour nous proposer ses services en tant que stagiaire à partir du mois prochain.»
Ma mère :
"C'est une très bonne chose maître. Je pense que vous auriez beaucoup à lui apprendre.
Maître Berney :
"Oui, vous avez raison, comme toutes ces jeunettes elle manque de pratique, comptez sur nous pour la dégrossir. Nous ferons tout pour qu'elle garde un bon souvenir de son stage.
Oui, j'aime bien celui-là
Oh ! Je vous prie de mexcuser chère madame, je parlais à mon associé qui en a bientôt fini avec la petite Camille »
Effectivement, maître Imbert en a enfin terminé.
A plusieurs reprises, il s'était interrompu pour m'élargir en me fourrant plusieurs doigts dans le cul pour aussitôt reprendre avec des jets saccadés mais toujours aussi puissants et abondants.
Je commençais vraiment à me demander si celui-là ne s'arrêterait jamais de pisser.
Voilà donc, enfin, cette fois-ci c'est bien fini. Les dernières gouttes atterrissent sur mes fesses et dans mon dos, je les sens couler le long de ma colonne vertébrale.
Je veux me redresser car son urine va aller jusque dans mon cou puis dans ma chevelure qui s'étale sur le carrelage de marbre mais il m'en empêche et je reste en position, en appui sur les épaules, le cul bien en l'air, la joue pressée contre le sol, les bras en arrière, une main sur chaque fesses pour bien les écarter.
"Ah que c'était bon !!! Camille, ma petite chérie, je vais maintenant te reboucher pour que tu garde bien tout."
Je sens un plug encore bien plus gros que les précédents. Il l'enfonce profondément, jusqu'à m'obturer complètement, puis il me passe ma culotte confisqué et me demande de l'enfiler par dessus. Je vois qu'il y a un petit trou dans le fond. Il précise :
"Vas y doucement, voilà, et maintenant fait sortir ta petite queue par là."
Je me redresse et fait comme il demande en pensant qu'il va me falloir rentrer chez moi et sortir dans la rue engodée avec cette ridicule queue de cochon rose en tire bouchon.
En attendant, ils me font signe de tourner autour du grand bureau pour jouir du spectacle que j'offre ainsi appareillée.
La conversion avec ma mère s'est poursuivie, elle est toujours en ligne. Si elle savait.
Maitre Berney :
"Camille, viens donc dire bonjour à ta mère."
Ma mère :
"En tout cas merci encore Maître et au plaisir, je suis certaine que vous et vos deux associés ne regretterons pas ce choix et que ma fille sera ravie d'être initiée par des personnes aussi compétentes."
Je m'approche en me dandinant comme un canard.
Moi Camille :
"Allo Maman"
Ma mère :
"Allo ma chérie..."
Moi Camille :
"Tout va bien maman, je m'occuperai de l'accueil et du secrétariat, je n'ai pas encore vu Maître Duriez qui m'attends ce lundi, mais cela devrait aller."
Ma mère :
"J'en suis sûre ma Chérie, c'est un Monsieur charmant que je connais très bien. Il devrait être à la retraite depuis six ou sept ans, mais tu verras, il est encore très dynamique."
Maître Berney à ma mère :
"Oui, tout à fait, vous m'entendez Madame B.? J'ai mis main libre. Oui, Camille viendra rendre une petite visite à maître Duriez après-demain. Il nous faut son accord"
A mon oreille, moi Camille :
"Tu lui montrera ton cul petite salope et tu lui lécheras les couilles et aussi le trou du cul. Tu verras, il adorera. »
Maître Berney à ma mère :
"Vous savez, Camille sera chargée de la prise de rendez-vous, du standard et surtout de l'accueil. La présentation est importante dans notre étude. Jupe et chemisier obligatoires. »
A mon oreille, moi Camille :
"Tu as compris ma poule, tu viens en jupe et avec dessous bas noirs et porte-jarretelles.
Tu dois te débrouiller pour être très classe, une fille de bonne famille bien comme il faut en apparence mais avec des dessous de pute.
Tu nous montreras ton cul et on prendra des photos. »
Et j'en passe, la conversation s'éternise et pendant tout ce temps les deux notaires n'arrêtent pas de me tripoter les seins en me susurrant un tas dobscénités.
Je ne pouvais rien faire avec ma maman au bout du fil. Je devais mefforcer découter et de répondre. J'avais un mal fou à me retenir de crier. Ils prenaient un malin plaisir à me pincer et à me triturer les bouts dans tous les sens. Une petite minute de manipulation avait suffit pour que je me retrouve follement excitée, tétons et mamelons tout érigés.
En triplant de volume mes mamelons déformaient complètement la pointe de mes deux petits nichons en forme de poire, les faisant ressembler à des obus.
Et plus mes mamelons disproportionnés ressortaient, faisant saillir mes tétons, plus ils les tripotaient, les frottaient, les léchaient et les mordillaient.
« On va bien s'occuper de toi ma petite Camille, tu vas voir comment on va te faire monter le lait à force de te caresser les nichons et de te téter les bouts. »
Ce détail de leur conversation métait revenu dun coup en sortant précipitamment du parking. Sur le coup, je navais pas vraiment prêté attention au sens littéral de leur phrase, mais ensuite, ils avaient longuement et bien graveleusement insisté sur le sujet.
Je nai pas tout retenu. Je peux simplement citer les déclarations qui mavaient le plus choquée.
« On s'y mettra tous les trois et tu ne pourras plus te passer de ces séances.
Pendant ton stage, matin, midi et soir chacun de nous te tétera jusqu'à ce que ça vienne, et même à deux en même temps, un pour chacun de tes tétons. »
« Tu sais quoi, je me vois très bien collé derrière toi à te presser les nichons pour te faire sortir le lait tout en te faisant marcher à travers ce bureau avec ma grosse bite au cul. Tu verras comme c'est bon. Tu adoreras. »
« On pourrait même si prendre tout de suite pour accélérer la chose, pendant ton stage on aura plus qu'à te tirer le lait tous les jours. »
Sur le moment toute à mon plaisir, je navais pas réfléchi à tout ce quils racontaient, mais maintenant, en y repensant je trouvais ce discours complètement idiot.
Me faire monter le lait ? Ils étaient vraiment nuls. Selon eux, une petite vicieuse comme moi pourrait produire un bon litre de lait quotidien. Nimporte quoi ! Je navais même jamais été enceinte, et pour cause. Même si cela nétait quune question de jour, jétais toujours pucelle.
A ce moment là, je ne pouvais pas imaginer quune vierge puisse produire du lait mais, malgré cela je dois reconnaître que ce fétichisme pervers me rendait tout à la fois mal à laise et mexcitait dans le même temps.
Jaccélérais le pas. La gare nétait quà 15 minutes à pied par l'avenue de Montchoisi.
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