José, Dominique Et Aari 2
On a bu le café avec des petits gateaux, José avait retiré la cage et il nous a laissés sur la banquette, côte à côte en reprenant le volant. Les villes se sont succédées, de brefs arrêts pour se délasser sur le bas coté juste avec un tee-shirt long comme des gamins, qui ne couvraient l'essentiel qu'en gardant les bras baissés. Il y a eu aussi l'arrêt sur une aire pour les campings cars pour évacuer les eaux usées et approvionner d'eau les réservoirs. Même en roulant tranquille on a passé le viaduc vers 18 heures, Aari plus surpris que moi. Magnifique.
Il s'est arrêté aprés un village , passant par un chemin à peine goudronné, il s'est arrêté à la lisière d'une forêt.
Suffit pour aujourd'hui. Prépare moi un sandwich, on mangera mieux demain.
Il est sorti à ouvert un coffre sous le bahut pour en sortir une table et un fauteuil de toile. Il s'est assis pour attendre, au frais dehors. Il n'y avait personne et je lui ai descendu le pain garni. Je commençais à avoir les poils qui poussaient et me grattaient. Il faisait bon dehors. Aari est sorti aussi moins à l'aise mais il a eu l'air d'apprécier être nu dehors. J'avai fait des sandwichs clubs et on a mangé. Lui dans le fauteuil et nous par terre dans l'herbe. Il n'était pas loin de faire nuit quand il est monté et assez vite redescendu avec le sac en plastique noir du sexe-shop de Lilles.
Venez, on va marcher un peu, mettez des baskets. J'étais un peu surpris mais assi excité.
Il avait refermé son bahut d'un clic et on l'a très vite perdu de vue après des virages. Cette fois la nuit était tombée le ciel étoilè était magnifique. Il s'est arrêté sous un petit arbre avec des branches courbées par le vent.
Approche Dominique tu seras le premier. il a sorti des boules pour ne rien entendre. Mets ça dans tes oreilles. Il a continué à parler mais j'entendais à peine. Il m'a menotté aidé d'Aari qui souriait et entravé les chevilles avant de me mettre un masque sur les yeux.
Le sexe s'est aussitôt retiré et j'ai reçun une petite baffe sans savoir pourquoi. La queue est revenu se poser sur mes lèvres que j'ai ouverte, attendant. Cette fois le mec s'est enfoncé dans ma gueule. Assez loin pour que je sentes ses poils me gratter le nez.Il a du se pencher, j'ai senti sa main passer encore dans ma raie. Un doigt est entré me faisant gémir sur la bite. Je suçais une bite inconnue et j'aimais comme une vraie salope sans même savoir qui je pompais. Ce n'était pas José ni Aari , ni Manu. Un inconnu me bourrait la tronche et j'en bandais. J'ai été poussé en avant, cul en l'air et fessé à petits coups répétés pour me faire cambrer. Je ne m'entendais pas par les oreilles mais un gémissement devait s'entendre. Il a étalé sur mon trou de la salive sans doute et j'ai senti mon anus s'ouvrir et un sexe se glisser en moi. Tenu par les hanches le mec m'a bourré le cul à grands coups. Je sentais ses couilles battre contre la base de mon scrotum . Le mec m'a bourré sans tenir compte de mes envies . Juste pour se vider au final sur mes fesses et étaler son jus sur mes reins.
T'as pris ton, panard!
Oui 'est vrai. Géant. C'était qui?
Tu le sauras peut être plus tard. Allons voir Aari.
Je bandais encore de penser à cet inconnu. On pouvait suivre le chemin plus clair sur le sol. De loin j'ai vu deux silhouettes se relever et s'en aller laissant un tas que j'ai découvert en approchant. Aari était attaché sur le dos, un masque comme le mien et un collier ou tout était accroché. Des menottes qui ne pouvait pas lui faire faire un mouvement et un autre anneau retenais ses chevilles. Son anus palpitait encore. Entrouvert. José me l'a fait détacher, il avait du sperme sur le ventre et ses fesses luisaient sans doute de salive. Lui aussi bandait comme un fou. Ona ri ensemble avant de retourner à son bahut. Devant la porte un jeune mec d'une vingtaine d'année attendait nu visiblement rasé , mignon et pas farouche. Il nous matait arriver. Du regard il a du comprendre qui était le dominateur et s'est mis à genoux devant José. Mes maîtres m'offre à vous ce soir en reconnaissance de votre participation.
Je ne comprenais plus rien. José lui devait savoir et l'a plaqué contre son pauet encore vêtu du jean. Juste un avant gout ,tu vas déjà satisfaire mes bâtards. Il a eu un regard sur nos bites encore dressées mais pas imposantes pour ça et a avancé sur les genoux pour me sucer.
Aari lui , palpait son cul qui se voyait à la lumière du bahut. Trou sombre qui se voyait bien sans poils et des petites fesses qui se sont écartées pour l'exposer. Aari l'a doigté pendant qu'il suçait. Il a eu un petit mouvement mais sans plus. Je me suis mis à genoux, il a suivi se mettant à quattre pattes pour sucer, pieds écartés il aimait montrer son trou. Aari tout heureux l'a pris d'un coup ce qui l'a fait grogner et aller plus sur ma bite.
On s'est allongé , blottis l'un contre l'autre comme deux animaus repus On entendait des claquements puis de cris et des gémissements qui se sont atténués. On s'est endormi , les yeux encore pleins de nos fantasmes réalisés.
Au matin il avait disparu du camion. A ma demande José a expliqué que dans le coin vivait d'anciens anars , regroupés en communauté qui quand il passait, profitaient en lui laissant aussi un de leur adeptes.
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