Saga De Chloé/Elina (8) : Chloé Trouve Un Emploi Qui Lui Convient

Résumé : Chloé mène une double vie sous le prénom d’Elina.


Sur mon téléphone, un SMS me fixe un rendez-vous. Je sursaute car, professionnellement, je ne peux me libérer ce jour-là. Je redoutais ce télescopage de la vie de Chloé et la vie d’Elina.

Je demande trois jours de congés à mon supérieur hiérarchique direct qui, malgré sa gentillesse, ne peux me les accorder car les enjeux sont trop importants.

Je réponds donc par SMS que je ne pourrai pas venir à ces dates, que je viendrai à un autre moment, que je n’ai pas pu me libérer.

La réponse ne se fais pas attendre. Elle est cinglante comme un coup de paddle sur des fesses nues.

« C’est cette date-là et pas une autre. Tu viens quand JE le décide ou tu n’existes plus pour moi. C’est à toi de voir. »

Je n’ai plus qu’une solution c’est d’aller voir plus haut à la direction générale pour obtenir un changement de poste et avoir plus d’autonomie. Comme je suis d’un naturel timide, il ne m’est pas facile de demander un rendez-vous avec Monsieur P., le Directeur Général et de trouver des arguments pour obtenir un changement de poste aussi rapidement. C’est un type bien et très à l’écoute et, de fait, obtenir le précieux rendez-vous fut rapide.

Je bafouille un peu au début de l’entretien pour lui expliquer que ma vie personnelle a changé et que j’ai, rapidement, besoin d’un poste de terrain qui me permettrait de concilier vie de famille et vie professionnelle.

Il écoute avec attention d’autant que mes états de service sont irréprochables. Il est toutefois surpris car, connaissant ma famille, mon mari et mes s, il ne comprend pas bien ce qui a pu changer et ce qui me pousse à choisir un emploi qui m’éloigne d’eux.

- Chloé, nous nous connaissons depuis longtemps, qu’est-ce qui se passe dans votre vie ? Je ne peux m’empêcher de penser que vous avez une double vie et que le poste de terrain que vous demandez vous permettra de voir votre amant plus facilement ; me dit-il gentiment.

Parlez-moi, vous savez que je ne demande qu’à vous aider.

- Non, Monsieur P., je n’ai pas un amant, je ne suis pas amoureuse au sens strict…

- Je ne veux pas vous mettre mal à l’aise, cela ne me regarde pas. De quoi avez-vous besoin ?

- J’ai besoin de pouvoir m’éloigner de chez moi deux ou trois jours par quinzaine mais ce n’est pas régulier, ça peut-être plus... Je ne peux pas prévoir.

- Cela peut se faire, vous savez que vous pouvez compter sur moi, même si je ne comprends pas… Vous sembliez avoir une si gentille petite vie avec une belle petite famille…

Ces mots dits avec beaucoup de douceur me tirent les larmes des yeux quand je pense à ce que je suis devenue, au point que Monsieur P. pose sa main sur la mienne.

- Oui, Monsieur P., j’ai une belle famille, mais ça ne m’a plus suffi, dis-je en hoquetant et j’ai glissé vers un autre type de vie ; d’un côté de moi, vous connaissez Chloé, la raisonnable, mais j’ai une autre personnalité en moi… beaucoup moins lisse… plus sombre…

- Je crois, Chloé, que je m’en était douté… Puis-je me permettre de vous demander si votre « face nord » a à voir avec le sexe ?

Je baisse les yeux et acquiesce très légèrement de la tête, avec honte.

- Dans ce cas, poursuit Monsieur P., j’ai peut-être une proposition qui pourrait vous intéresser…

- Mais…

- Attendez Chloé, ne refusez-pas de suite ! Ne vous inquiétez-pas, cela n’a rien à voir avec moi. Je ne vous toucherais jamais. Je ne suis pas ce genre d’homme qui profite de la détresse d’une femme.

Il m’explique que la société reçoit des groupes de clients importants, de France ou de l’étranger et offre à ces clients des faveurs sexuelles grâce à une agence d’escorts lors de soirées qui ont lieu une à deux fois par mois.

Monsieur P. me propose d’occuper ce poste et de n’avoir plus d’autres fonctions dans l’entreprise et de percevoir le même salaire plus des gratifications si j’assure une prestation de qualité avec ces hommes d’affaire.


Il m’assure que lui, Monsieur P., est présent, ainsi qu’un service d’ordre discret, mais qu’il ne participe pas et qu’il ne me touchera pas et que je serai disponible tout le reste du temps.

Il a parlé calmement comme on parle business, sans gauloiserie, sans sous-entendus grivois, sans vulgarité, sans me déconsidérer, au contraire : il insiste sur l’importance de cette fonction et sur le fait qu’il préfère qu’elle soit assurée en interne, par quelqu’un « de la maison » plutôt que par une escort mais que, bien entendu, il n’avait jamais osé demander à aucune des collaboratrices déjà en poste dans la société. Il ajouta que ces soirées étaient très spéciales d’où les avantages financiers liés à cette proposition.

Immédiatement, je me dis que ce travail est fait pour moi : je vais pouvoir avoir du temps pour moi et pour ma famille, conserver mon salaire, aller aux réunions organisées par l’Inaccessible, participer à d’autres gang-bangs d’un autre genre – Monsieur P. m’a dit qu’il m’en dirait plus un peu plus tard – et je ne demande pas de délais pour réfléchir, j’accepte de suite le poste. Que les soirées soient « spéciales » ne m’effraie pas : j’en ai déjà vécu de bien spéciales et je ne vois pas ce que je peux subir de pire que ce que j’ai déjà subi.

Monsieur P. me dit qu’il se charge des formalités administratives. Je lui explique que je dois m’absenter trois jours : cela tombe bien, la prochaine soirée à lieu un peu plus tard, le samedi soir suivant. Il me demande de venir me reposer le vendredi dans un grand hôtel où je serai prise en charge le samedi par une équipe qui me préparera et, lui, m’expliquera ce qu’il attend de moi.

Je pars toute étonnée de ce qui viens de se passer. Demain je pourrai me rendre dans la cité et être livrée, contre rémunération à l’Inaccessible, à une bande d’hommes affamés et peu délicats ce qui fait jaillir la salope qui est en moi.

Peut-être aurai-je droit à un orgasme, peut-être pas, je ne sais pas, tant pour moi, l’accès au plaisir suprême exige que mon ou mes partenaires s’occupe de mon bourgeon pendant l’accouplement alors que je ne suis livrée qu’à des porcs qui n’en ont cure.
De surcroit, l’Inaccessible s’est rendu Maître de mon plaisir et lui seul semble décider si j’ai droit, ou pas, à ce qu’on me fasse atteindre le nirvana. N’ayant qu’un orgasme par séance, Il préfère me garder en état de grande excitation ce qui me rend terriblement active et chienne.

Le vendredi arrive, je reprends contact par SMS avec Monsieur P. qui m’indique le nom de l’hôtel où une chambre m’attend. Il me conseille de bien me reposer jusqu’au samedi à quatorze heures, de bien manger le soir mais plus rien après.
C’est ce que je fais. Je me douche car mon hygiène est douteuse après la journée que je viens de passer, je me fais livrer un plateau repas raffiné, bref, je profite de la chambre luxueuse.

Je me connecte sur Histoires-de-Sexe.net, cherche une histoire d’Olga T, hypersexuelle et « salope intégrale » (sic) et dont les fabuleux récits procurent des orgasmes prodigieux.

Je sors donc de mon sac un énorme gode et un stimulateur clitoridien et entreprends la lecture d’une histoire. Je suis bien excitée par les nombreuses heures que j’ai passées à être traités comme une truie à l’abattage : l’orgasme monte vite et m’emporte toute entière. Je ne peux m’empêcher de crier mon plaisir que j’attendais de tous mes vœux. Chanceuse Olga T qui peut jouir de nombreuses fois ! Je ne jouis qu’une fois, mais quelle intensité…

Tous mes sens satisfaits, je m’endors.

Des femmes frappent à ma porte le samedi après-midi pour me préparer me disent-elles.

On me fait subir un lavement, ce à quoi je ne suis pas accoutumée. On me met à quatre pattes dans la baignoire et par un tuyau, on emplit mes intestins de plusieurs litres d’une eau savonneuse, délicatement parfumée. L’une des femmes me masse le ventre pour répartir le liquide. J’ai envie de tout laisser sortir mais elles me demandent de tout garder, de bien serrer mon petit trou et quand cela devient douloureux, elles me caressent le ventre. Quand tout le liquide a pénétré mes entrailles, je dois le conserver quelque temps, puis je peux m’en libérer.


J’aime l’idée de ce tuyau qui pénètre mon fondement. Je ne pouvais imaginer qu’autant d’eau puisse entrer dans mes entrailles. Au début, je ressens une certaine gêne, voire un peu de douleur, mais l’eau est tiède et les caresses de la femme sont très douces et je finis par aimer cela.

Le moment où l’on m’autorise à me libérer est agréable et j’écarte bien grand mon fion. L’eau qui s’écoule n’est pas très propre. L’opération est renouvelée trois fois. La dernière fois, l’eau qui ressort est limpide. Je pense en moi-même que j’apprécierai d’autant plus les rapports anaux que je saurai mon rectum parfaitement propre et je pense devenir une adepte du lavement même pour aller à la cité car lécher les queues qui me sodomiseront sera plus agréable.


Ensuite, on me lave partout, le corps, les parties intimes et les cheveux. On m’épile intégralement le corps ainsi que les parties génitales. On parfume chaque partie de mon anatomie avec des parfums et des onguents qui m’adoucissent la chatte et le rectum puis on me vernit les ongles.

Mes cheveux sont simplement tirés en arrière strictement et on ne me fait pas de maquillage ce qui me surprend.

Quand je suis prête, on me passe un peignoir et Monsieur P. vient me communiquer les consignes pour la soirée.

- Bonsoir Chloé… Ce soir, c’est un comité restreint… Un groupe de nos importants clients qui apprécient la culture fétichiste. Vous serez vêtue de latex avec une cagoule quasi intégrale sur la tête, si ce n’est un trou pour la bouche. Personne ne vous reconnaitra et vous ne reconnaitrez aucun de nos clients, car pour la plupart vous les connaissez. Il est important qu’ils sentent que leur anonymat est préservé.

- Oui, Monsieur P.

- Vous serez attachée et ne pourrez vous mouvoir de toute la soirée et vous serez mise à la disposition de nos clients qui pourront user de vos orifices et vous infliger quelques souffrances selon leur bon vouloir.

- Oui, Monsieur P.

- C’est bien Chloé, je vois que nous nous comprenons. Ils ne doivent entendre émettre de votre bouche – pour autant que vous puissiez parler - que des « Oui, Maître » et des « Merci, Maître » et surtout vous ne devez pas avoir d’orgasme ! Vous êtes la soumise et eux les Maîtres, ce sont eux qui peuvent et doivent avoir du plaisir et non vous.

- Bien, Monsieur P.

- Je vous laisse, on va vous habiller et vous mettre en place maintenant.

Habillée de mon seul peignoir et de mules, je suis amenée à un salon privé à un autre étage. La table a été dressée pour six convives avec une vaisselle raffinée. A côté de la table, il y a deux canapés confortables au milieu desquels se dresse une table basse avec au-dessus de la table, au plafond, une poulie. Nul doute que ce dispositif m’est destiné.

Sur un fauteuil en retrait, des vêtements de latex rouge et divers accessoires : des pinces, un collier, un bâillon anneau, des godes, des paddles, des cravaches, des martinets, des boules de geishas, des appareils d’électrostimulation, des bougies, des roues à piques, etc… La soirée promet d’être longue et riche en sensations.

On commence par me faire enfiler la combinaison en latex qui gaine tout mon corps sauf mes seins, ma chatte et mes fesses qui sont donnés à voir grâce à des orifices prévus à cet effet.

Enfiler la combinaison est en soi une activité périlleuse car le vêtement a été choisi, à dessein, au plus juste et c’est centimètre après centimètre que mes aides et moi parvenons à l’adapter à ma morphologie. Une fois revêtue, mon corps est complètement gainé, il n’y a absolument pas d’air entre la tenue et mon corps. Il me faut un certain temps pour l’assouplir et que je puisse me mouvoir.

On me fait ensuite enfiler la cagoule intégrale. C’est la raison pour laquelle on a attaché mes cheveux et que l’on ne m’a pas maquillée. Je peux respirer par la bouche mais je suis plongée dans une totale cécité et une sorte de surdité d’où les sons me parviennent très étouffés.

C’est ensuite le collier de chien que l’on serre autour de mon cou, collier qui est le symbole de ma condition d’esclave d’un soir.

L’une des femmes me fait ouvrir grand la bouche pour me poser un bâillon anneau dans la bouche. Ce bâillon n’empêche pas de crier ni n’émettre des sons – ce que je ne compte pas faire – il est simplement humiliant et inconfortable, rappelant à la soumise qu’elle n’a pas de bouche mais une gueule de salope tout juste bonne à sucer des bites.

Je suis enfin prête et l’on me demande de m’allonger, dos contre la table basse. Je sens le contact de la corde de chanvre derrière ma nuque et des mains expertes commencent à enrouler la corde et à faire des nœuds au niveau de ma nuque, au-dessus et au-dessous de mes seins, autour de ma taille et au milieu de mes cuisses.

La corde est serrée et pénétrerait ma chair s’il n’y avait la combinaison de latex.

Je suis ensuite soulevée de quelques centimètres au-dessus de la table grâce à la poulie. Pour finir, mes poignets sont menottés dans mon dos.

Je suis suspendue dans le vide, avec pour seuls appuis, les nœuds qui ont été fait sous ma nuque, mes seins, ma taille et mes cuisses. Mon corps se creuse au niveau des fesses à cause du poids, là où il n’y a pas d’appui.

Ma première réaction est de paniquer, mais je reprends mes esprits, m’efforce de respirer et imagine ce que les convives verront de moi et tire du tableau que j’ai dans mon imaginaire une grande fierté.

Mes seins sont gonflés car la corde les comprime au-dessus et au-dessous et, cuisses écartées, j’offre à la vue de tous ma figue et ma rondelle.

Cette vision m’excite déjà et je sens, malgré la douleur, la mouille enduire mon abricot et je me sens prête à attendre le temps qu’il faudra que de solides queues viennent me défoncer tous mes trous.

Dans cette position de soumission totale, je ne me suis jamais sentie aussi offerte et aussi affamée de bites. J’accepte que le prix à payer pour avoir l’honneur d’être saillie soit l’attente et les jeux auxquels les Maîtres voudront se livrer.

Pendant que je rêve à tous les chibres qui vont me défoncer dans quelques heures, l’on m’a accroché douloureusement des pinces avec des poids aux tétons et deux pinces sur les grandes lèvres et deux sur les petites lèvres. Je sais ainsi que ma chatte est bien exposée à la vue de tous et que ma mouille se verra bien.

Je suis prête, il me semble que tout le monde sort, que je suis seule. J’attends…

Quelque temps plus tard, les invités arrivent et les sons qui me parviennent à travers la cagoule de latex me prouve que le spectacle est à leur goût.

Je sens des mains sur les parties qui sont apparentes griffer ou pincer, des doigts s’enfoncent dans le bâillon anneau cherchant à attr ma langue tandis que je bave.

Les Maîtres prennent l’apéritif puis le repas pendant qu’un spectacle leur est proposé et JE suis le spectacle.

Alors que mon corps s’ankylose et que de la transpiration perle entre la combinaison de latex et ma peau, un Maître me fait subir différents sévices pour le plaisir des convives qui rient et applaudissent.

Il m’enfonce tout d’abord un plug de belle taille dans le fion ce qui n’est pas une mais un bonheur. D’ailleurs, vu mon degré d’excitation, le plug glisse et mon rectum n’offre aucune résistance.

Ensuite, mes fesses sont frappées avec un paddle ce qui provoque une douleur vive, rapide et ne doit pas manquer de faire rougir les fesses rapidement.

Le Maître fait ensuite couler une bougie sur mes seins. J’aime cette brûlure rapide et parfumée.

Ma minette est fouettée avec un martinet et l’ensemble de mon corps est soumis à des impulsions électriques.

Une roulette à piques passe sur toutes les parties de mon corps qui sont exposées.

Tout se déroule avec lenteur. Je ne me plains jamais. A chaque épreuve, je remercie de manière ridicule à cause du bâillon anneau qui m’ouvre la bouche en grand et qui me fait baver : « … erci …aît’e » ce qui provoque rires et applaudissements dans l’assemblée.

C’est avec fierté que j’endure tous ces tourments et excitation de me représenter mon corps complètement offert sans aucune possibilité de résistance.

Je sens mon bourgeon qui gonfle tant le sang y afflue. Je n’avais pas imaginé que je puisse autant mouiller et avoir le clito aussi érigé dans une situation de telle soumission, assujettie à des tourments !

On découpe alors ma combinaison de latex, ce qui n’est pas pour me déplaire. Mon corps, couvert de sueur, est enfin au grand jour mais je réalise que le latex me protégeait de la morsure des cordes de chanvre ! On me l’a enlevée car si elle était esthétique pour le spectacle, ces Messieurs, en revanche, préféraient me baiser peau contre peau.

On m’a également enlevé les menottes et le bâillon, sans doute pour que je puisse donner du plaisir avec ma bouche et mes mains.

Les Maîtres se sont approchés tout autour de moi. Je suis suspendue à quelques centimètres au-dessus de la table basse, tête en arrière et l’un de Maître se saisit de ma tête par le collier, comme s’il s’agissait d’un objet, l’incline un peu plus vers le bas, ce qui me met la tête en arrière, et, sans précautions aucune, introduit son membre dans ma gueule.

Je suis surprise par la position car ma tête est à l’envers par rapport aux pipes que je vais d’habitude, mais qu’à cela ne tienne, la situation m’a rendue salope, alors je laisse son gourdin entrer jusqu’au fond de ma gorge et avec ma langue, je m’applique à lui lécher le gland et le frein pendant qu’avec mes mains je lui masse habilement les couilles.

J’y mets tellement de cœur que j’écarte mes cuisses suspendues d’où coule mon miel ce qui ne manque d’attirer un autre qui vient se ficher dans ma chatte y faisant des va-et-vient brutaux, tapant ses couilles contre mon cul.
Je me sens pleine d’autant qu’on ne m’a pas encore retiré le plug que j’ai dans le rectum.

Je suce comme une forcenée, l’homme ne tiens pas longtemps tellement j’y met de l’énergie, il gicle son jus d’homme au fond de ma gorge et j’avale tout en bonne chienne. Je nettoie son sexe et le remercie comme il convient.

Un autre prend sa place et l’on me place une verge dans chacune de mes mains. Toujours montée, cuisses offertes, je reprends une succion gloutonne ainsi que deux branlettes bien coordonnées.

Celui qui me pistonne la cramouille se lâche enfin dans un cri de libération m’envoyant une purée épaisse et abondante.

Le suivant enlève mon plug. Je comprends qu’il va me sodomiser, ce qui n’est pas pour me déplaire. Il n’est pire enculée que moi.
J’essaie donc, bien qu’en suspension, de relever le bassin pour présenter ma rondelle qui est déjà bien élargie. Lubrifiée de ma liqueur et du jus qui coule de mon coquillage, il lui est possible de me pénétrer d’un seul coup jusqu’à la garde, de sortir complètement et de recommencer, ceci plusieurs fois.

Il fait de moi un trou à bites et malgré l’inconfort de plus en plus douloureux, je continue à être une pompeuse de braquemarts et une branleuse et tout premier ordre.

Je suis déchainée.

Les chibres se suivent qui dans ma gueule, qui entre mes mains, qui dans mes trous et je me retiens de montrer mon désir. Je ne suis qu’une chienne servile suspendue au plafond destinée à assouvir les désirs de ces Maîtres d’une soirée.

Plus je me retiens de crier, de gueuler, plus je me sens femelle débauchée, bonne à recevoir des litres de foutre.

D’ailleurs, cela n’a pas échappé aux Maîtres car ils ne cessent de relever que je suis pleine de mouille, que je pompe comme une diablesse et que je suis une nymphomane inextinguible. Ils le crient toute la soirée.

- Nous allons prendre cette boite à sperme en double… Je pense qu’elle n’y trouvera rien à y redire…

L’un s’allonge sous moi et se fiche dans mon anneau, l’autre debout s’encastre dans ma cramouille. J’ai toujours un dard dans la gorge, la tête basculée en arrière, et un dans chaque main et je m’en occupe avec énergie.

Ainsi assujettie, servile, je n’existe plus par moi-même mais je me sens pleine et vivante. Le désir de ces inconnus me donne vie. Je ne suis qu’un objet qu’on malmène, je suis couverte du sperme des hommes qui ont éjaculé en moi et sur moi, mais je me sens exulter à travers la soumission qu’ils attendent de moi, même s’ils ne m’ont jamais vue, et à travers les orgasmes qu’ils ont eus grâce à moi.

Quand ils commencent à me besogner, je suis à la de ne pouvoir hurler mon excitation. Je prends seulement, malgré les cordes, une position de salope lubrique, cuisses écartées au maximum, même si c’est douloureux, mais il me faut absolument en prendre le plus possible dans mes trous.

Ils s’accordent très vite pour trouver le rythme et me démonter comme la catin que je suis.

Aucun n’a pour moi d’attentions pour mon propre plaisir ; je ne suis là que comme souffre-douleur et comme vide-couilles. Les situations se suivent et se ressemblent, me dis-je. Mon véritable état de poufiasse est sans doute d’être masochiste, soumise et de servir de garage à chibres car si au fond de moi je souhaitais avoir des orgasmes, il m’aurait été plus aisé de me trouver de gentils amants qui se seraient occupés de mon bourgeon avec les doigts et la langue. Mais ils n’auraient pas délivré la croqueuse de manches, la gorge profonde, la sodomite lubrique qui sommeillaient en moi.

Bourrée par les deux trous, je donne tout aux trois mâles que j’aspire et branle. Ils viennent l’un après l’autre déverser leur sirop dans mon goulot de chaudasse accompagnant leur semence de bruits de satisfaction rauques. J’avale goulument, je lèche, je nettoie et je remercie avec déférence.

Les deux qui me liment les imitent très vite : je les sens se crisper, les mouvements se font saccadés, ils ruminent bruyamment et se lâchent. J’en prends encore plein mes trous ce qui me rend encore plus folle. Ils viennent jusqu’à ma bouche se faire nettoyer et j’apprécie le parfum que le lavement a laissé sur le manche de celui qui m’a foutraillé l’oignon. Je leur rends de belles queues bien propres et je remercie les Maîtres comme il se doit.

Les Maîtres sont repus et s’amusent à me martyriser un peu ce qui ne me déplait pas car je suis encore, moi, très excitée. Les petites décharges électriques sur le clitoris auraient plutôt un effet « électrifiant » et je peine plus à retenir mes cris de désir qu’à endurer de la souffrance.

Il n’en reste pas moins qu’après toutes ses heures d’immobilité, les cordes ont pénétré ma chair, que mes muscles sont tétanisés, que ma nuque a été mise à mal par les deep-throats.

J’essaie, avec mes mains, de soulager un peu mon poids, en tirant sur la corde mais mes tentatives inutiles ne font qu’amuser les convives qui se plaisent à me regarder me tortiller.

- Le pire c’est que cette bonne inféodée resterait bien attachée là quelques heures de plus pour un coup de bite dans le cul ou pour une queue dans sa gueule de truie !!!

- Hahaha !!!

- N’est-ce pas chienne ?

- C’est vrai Maître.

- Qu’est-ce qui est vrai ? Dis ce qui est vrai ?

- Il est vrai, Maître, que je suis prête à attendre le temps qu’il faudra pour avoir la joie de me faire saillir par l’un ou par plusieurs Maîtres, Maître.

Il s’approche de moi et me met ses bourses dans la bouche tout en me maintenant la tête par le collier de chien.

- Redonne de la vigueur à ma poutre ! Haha !!! Et nous allons nous occuper de toi !!!

Je fais passer chacune de ses couilles soigneusement épilées dans ma bouche, je les gobe et, de mes mains, je les malaxe. J’entends, malgré ma cagoule, qu’il fait des « Hmmm » de contentements.

Comme il l’a dit, un autre est actuellement prêt à s’occuper de moi. Il glisse trois doigts gantés de latex dans ma fente et leur fait faire des mouvements de va-et-vient, ce qui provoque de gros bruits de « floc-floc » à cause de la quantité de foutre qui y a été déversée précédemment. L’excitation me fait oublier mes douleurs, je me sens pute à nouveau, je suce les boules, je m’écartèle le plus que je peux. Il introduit quatre doigts, entre et sort ; fais de même avec cinq doigts.

Celui que je pipe est maintenant bandé comme un cerf et m’introduit son énorme membre jusqu’à la luette au point que j’en perds le souffle et hoquète un instant. Il reste ancré, là, durant plusieurs secondes, conscient qu’il m’étouffe, mais conscient que les doigts qui me bourrent le con m’ont remise en transe et que je pourrais avaler n’importe quel gourdin sans respirer.

Il me libère enfin, j’en profite pour encercler son mandrin avec ma langue.

L’autre a commencé à rassembler sa main et à la positionner à l’entrée de ma chatte, je m’écartèle, je la veux, je voudrais l’aspirer, je sens que sa main va glisser comme dans de la matière grasse, j’astique le jonc qui se sers de ma bouche comme d’une moule en prenant soin de lui titiller le frein.

Après quatre ou cinq tentatives de glissades, le poing est entré dans mon vagin et l’homme imprime des mouvements de va-et-vient de plus en plus profond.

J’ai une terrible envie de beugler ma folie mais je sais que je ne le dois pas alors je suce, je pompe, je gobe cet homme qui me tiens la tête par le collier et qui crie à ma place.

Dans mon cerveau, ce sont de véritables bacchanales, je me sens pute, je me sens truie avec ce poing qui me fiste et cet énorme gourdin que j’invite à se déverser directement dans mon œsophage.

Evidemment, l’homme qui me fiste évite soigneusement de me toucher mon bouton de rose, il appuie son autre main contre ma rondelle.

L’homme qui me baise la bouche est lui aussi dans une sorte de folie car il a la gaule sans doute pour la troisième fois et son plaisir est immense vu les sons qu’il émet et la manière dont il secoue ma tête de manière saccadée. Il doit avoir un énorme plaisir mais un peu de mal à trouver l’orgasme alors il me besogne, il me défonce tel un animal. Quant à moi qui suis fistée bien à fond et ivre de fébrilité, je le gobe telle une damnée.

Je sens, lorsqu’arrivent les saccades qu’il imprime à son bassin qu’il est au bord de l’extase, il ralentit, il donne deux ou trois coups de reins, pousse un cri d’animal blessé et expulse sur ma langue quelques gouttes à peine d’une semence concentrée et épaisse. Il tremble de tout son corps. Je continue à pomper puis il me presse la tête m’ordonnant implicitement d’arrêter.

L’homme qui me fiste ralentit, puis s’arrête lui aussi. Quand celui qui me violait la bouche se retire, il retire sa main gantée, me laissant fatiguée, douloureuse et frustrée.

Les Maîtres parlent encore ensemble pendant un certain temps, me négligeant, puis, les uns après les autres s’éclipsent.

Je suis enfin détachée et l’on me retire ma cagoule. Il y a juste une femme dans le salon et les reliefs du banquet.

Ma chair est creusée à l’endroit des cordes de chanvre. Je suis couverte de sperme. Je ne peux pas marcher. La femme m’assied dans un fauteuil roulant, me couvre avec une couverture très douce et me ramène à ma chambre qui a été rangée et nettoyée. Elle m’amène jusqu’à la baignoire, me fait couler un bain. Elle m’aide à me laver et à me coucher dans le lit.

Avant de m’endormir, je vois sur l’oreiller d’à côté une enveloppe. Je l’ouvre. C’est un billet de Monsieur P.

« Chère Chloé,

Bravo et merci pour cette magnifique prestation. Vous avez été très professionnelle. Une réussite pour l’entreprise. Les clients ont été très satisfaits. A samedi en quinze. »

Je suis toujours très excitée. Avant de dormir, je me connecte à Histoires-de-Sexe.net. Je me saisis d’un gode électrique de belle taille agrémenté d’un stimulateur clitoridien. Je lis une histoire de gang-bang. J’envie toutes ces héroïnes qui enchainent les orgasmes mais dans l’état d’excitation dans lequel je me trouve, il ne me faut que peu de temps pour que le plaisir ne revienne et que j’eusse un orgasme violent sans me retenir de hurler mon bonheur.

(à suivre)

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