La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1035)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1034) -
Mais en attendant, je vais tattacher avec les chiens proposés pour la promenade...
Soirée cochonne grillée ? Javais lu cochon grillé, je pensais donc à un repas un peu campagnard autour dun cochon embroché au-dessus dune fosse où brulerait un feu de joie ! Je me doutais que le terme « cochonne » navait certainement pas été utilisé au hasard par le filleul du Maître ! Et je narrivais pas à déterminer si cela pouvait être une bonne chose ou non. Je fus donc amené près dautres soumis et soumises, tous nus et accessoirisés de la même manière que je lavais été par cet Edouard. Nous étions juste à côté de lentrée du parc, contre le mur à droite de la porte. Nous étions tous prosternés, nos laisses accrochées à une rambarde métallique. Le filleul du Maître nous prévint que létablissement ouvrait et que nous devions répondre à toutes les exigences que nimporte quelle personne serait susceptible de nous donner, peu importe que celle-ci décide de nous sortir et de nous promener ou non
Les premiers clients arrivèrent. Un couple passa sans un regard pour nous, puis un homme dun certain âge sarrêta devant nous, et nous examina.
Pour chacun dentre nous, il observa notre bouche qui était maintenue ouverte, nos chattes pour les femelles, où il singénia à y faire pénétrer sa main en un fist vaginal brutal, vérifiant ainsi notre excitation, pour tous il enleva nos queues de chien dun geste brusque et y enfonça de suite quatre doigts pour tester lélasticité de nos trous puis nous renfila nos queues factices. Sous ces gestes brusques et sans préparations, je fus la seule à ne pas laisser échapper le moindre gémissement ou cri de douleur. Il revint alors vers moi, qui métait de nouveau prosternée et du bout de sa botte me fit relever la tête jusquà ce que je me retrouve à quatre pattes. Il me fixa un instant puis sapprocha tant face à moi que je fus obligée de reculer, me pressant comme je le pouvais contre le mur, tandis quil défaisait ma laisse.
Lhomme respectable avait un côté pervers qui lui fit emprunter les chemins pierreux plutôt que ceux qui étaient herbeux. Très vite, je ressentis la douleur des entailles sur mes genoux et mes pieds. Pourtant mon éducation aux pieds du célèbre Monsieur le Marquis dEvans fit que je serrai les dents, enfin cétait une façon de parler puisque javais toujours la bouche écartée, et pas une plainte ne sortit de ma gorge, et mon pas ne se ralentit pas une seconde. La promenade fut longue et malgré mon air impassible, se transformait pour moi en . Il faisait un temps magnifique, et le soleil commençait à chauffer sérieusement mon corps. Cela ajouté à la marche soutenue aux pieds de lhomme qui tenait ma laisse, une fine pellicule de sueur mélangée à la poussière me recouvrait. Quand enfin, il se décida de parler
- Allez, je vais être gentil avec toi petite chienne, dit-il avec un sourire carnassier. Tu as chaud, je vais te laisser te rafraichir dans le bassin que lon aperçoit tout au bout là-bas, tu peux relever la tête pour lapercevoir.
Je regardais donc la direction quil mindiquait. Il ny avait pas la moindre parcelle de chemin qui fut ombragée, mais il ne semblait pas y avoir une trop grande distance, et lidée de pouvoir patauger dans de leau qui devait encore être fraîche malgré le soleil me réjouissait au plus haut point. Le chemin me sembla long. Javais limpression que plus la distance diminuait, plus lhomme ralentissait le pas, et javais du mal à calquer mon rythme sur le sien et à ne pas le dépasser. Avoir la bouche ouverte et la langue « pendante », avec le soleil me donnait une soif incroyable et jespérais réussir, malgré mon appareillage, à avaler quelques gorgées deau lorsque jaurai enfin le droit de me rafraîchir dedans. Nous nous arrêtâmes enfin devant. Lui sassit sur la margelle du bassin, jouant de sa main dans leau, sen appliquant sur la nuque en répétant plusieurs fois quil faisait particulièrement chaud aujourdhui et quun peu de fraîcheur faisait le plus grand bien.
Au bout dune dizaine de minutes, il claqua des doigts et montra le sol devant son pied. Je me déplaçais donc jusquà lui. Il menleva ma laisse et mautorisa à rentrer dans le bassin, mais toujours à quatre pattes. Je montais donc, plus ou moins en équilibre sur la margelle puis pénétrais dans leau. Mes yeux sagrandirent de douleurs et jeus toute la peine du monde à ne pas laisser sortir le moindre son ! En effet ce nétait pas un bassin deau douce, mais un bassin deau salée, et le sel sur les nombreuses petites plaies que mavaient laissé les arrêtes tranchantes des pierres sur lesquelles nous avions évolué un certain temps était une sans égale qui provoqua la venue de nombreuses larmes silencieuses. Sur un ton moqueur, voir sarcastique, il me reprocha de ne pas montrer plus de joie.
- Eh bien, que voilà une bien ingrate petite chienne ! Aucune joie, aucun remerciement envers moi qui te permet de te rafraîchir ! Je suis déçu
Quand jai vu ton tatouage marquant ton appartenance un si Grand Maître, quest Monsieur le Marquis dEvans, je mattendais à mieux ! Allons quattends-tu ?
Je me déplaçais donc dans leau jusquà lui. Je ne pouvais pas me prosterner sans plonger la tête sous leau, je ne pouvais pas le remercier de vive voix ayant toujours lécarteur en bouche. Je décidais donc de faire la belle, je laissais échapper plus couinements, que je voulais rendre proche de laboiement autant que cétait possible avec cet appareillage. Puis jessayais dimiter la chienne joyeuse et fofolle, en sautant dans leau, tout en restant à genoux ou à quatre pattes, ne faisant quaviver les douleurs. Et malgré cela, je réussis tout de même à ressentir de lexcitation, mon côté masochiste prenait le dessus.
- Bien jaime mieux ça ! Maintenant sors de leau et suis moi !
Jappréhendais de retourner sur le chemin pierreux, mais jeus la bonne surprise de le voir se diriger sur une petite partie « pelousée ». Là il sassit sur lherbe, et mordonna de mallonger sur le dos. Il sortit de la poche intérieure de sa veste, et me passa un onguent sur toutes mes blessures, et la douleur sestompa aussitôt. Je ne sais pas quelle crème il me passa mais elle était dune incroyable efficacité. Après sêtre occupé de me soigner, ses mains qui étaient au niveau de mes genoux remontèrent vers mes cuisses en douces caresses, une douceur dont je naurai pu soupçonner cet homme. Il vint se placer entre mes cuisses. Il me parsema des milliers de baisers sur chacune de mes jambes, des orteils jusquau haut de mes cuisses, puis sur mon pubis glabre. Puis toujours avec douceur, il passa délicatement sa langue entre mes lèvres intimes et y dénicha mon petit bouton de chair qui palpitait déjà. En quelques secondes, je me sentis déjà prête à basculer dans la jouissance. Alors il se recula, me retourna en me relevant le cul en levrette. Il ne prit même pas la peine de baisser son pantalon, il ouvrit seulement sa braguette et le bouton pour sortir son sexe déjà fort dressé et il senfonça dun coup profondément dans ma chatte trempée...
Et je subis une saillie vaginale comme à la bonne chienne que je suis.
Puis, en quelques minutes son souffle se fit rauque et saccéléra quand bientôt il lâcha enfin sa semence par de longs râles de mâle en rut, mautorisant en même temps à laisser éclater mon orgasme, qui fut puissant et bruyant et qui dura de longues minutes, pendant lequel il resta en coït profond, bien planté en moi au chaud. Après quil mait ordonné de nettoyer consciencieusement sa verge avec ma langue, on reprit la direction du Bilitis. A peu près à moitié chemin, on entendit une cloche sonner, annonçant louverture du restaurant. Lhomme qui mapprit qui sappelait Marc, hâta le pas, disant haut et fort quil avait une faim de loup après avoir assouvi sa faim de chatte. Il me rattacha à la rambarde, puis, après mavoir flattée la croupe et y avoir assené une claque sonore, il disparut quelques instants et revint avec une gamelle pleine deau pour repartir aussi vite. Malgré mes accessoires buccaux qui mempêchaient de fermer la bouche, je pus enfin me désaltérer à souhait
(A suivre
)
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