Kary-24
Pendant que je buvais mon eau accroupie par terre, Maîtresse Amanda me caressait les cheveux comme on le fait avec une petite chienne. Ensuite me guidant en me tirant par loreille elle ma ramené au milieu du salon et a placé une paire découteur sur ma tête. La musique qui sen dégageait était très forte de telles sortes que je ne pouvais entendre les propos des deux femmes qui discutaient sur la causeuse. Elles riaient et discutaient avec enthousiaste, faisant de grands gestes pour décrire certaine explication. Après quelques instants jai vu Madame me regarder avec un drôle dair. Elle sest lever et a disparue de mon champ de vision pour quelques secondes. Lorsquelle est réapparue elle est venue me placer un bandeau sur les yeux.
A partir de ce moment-là jai été seul avec moi-même au milieu du salon avec cette musique très forte dans mes oreilles. Nue, à genoux, les mains dans le dos, isolée de tout, pendant que les deux Maîtresses élaboraient sûrement des plans pour mon éducation. Mon cerveau a passé par toute sorte démotions ce soir-là. Jimaginais leur conversation, leurs regards à mon égard. Au fur et à mesure que le temps passait mes genoux douloureux me ramenaient dans la réalité. Javais le goût de massoir sur mes talons pour changer le mal de place un peu. Mais je me disais que je me devais de rester droite pour plaire à mes Maîtresses. Je ne sais plus combien de temps je suis restée dans cette position, mais après ce qui ma semblé une éternité jai senti une main me caresser les cheveux doucement un petit moment pour ensuite me retirer le bandeau et les écouteurs. Mes yeux se sont acclimaté de nouveau à un environnement avec éclairage et jai pris conscience que Maîtresse Amanda était parti. Jai tourné les yeux en direction de la chaîne stéréo et elle indiquait 22h30. Le temps mavait parue long et court à la fois.
-Tu peux te relever et aller faire ta toilette, tu dors au pied du lit cette nuit, allez hop.
-Oui Madame.
Je me suis relevée péniblement et je me suis empressée daller faire ma toilette. Je suis allée dans la chambre de Madame, je me suis mise en boule sur le petit tapis près du pied du lit et jai fermé les yeux. A ma grande surprise je ne me suis pas rendu compte lorque Madame est venue se coucher.
Le lendemain Matin après avoir déjeuné et fait ma toilette Madame ma amené au donjon. Elle ma faite assoir dans la boite en bois dans un coin du donjon pour ensuite la refermer. Seule ma tête dépasse de cette boite, le reste de mon corps est en position assise à lintérieur, poignets et chevilles fixés aux parois. Ensuite Madame est disparue de mon champ de vision pour environ 20 minutes.
Soudain elle est revenue accompagnée de Maitresse Amanda qui tenait en laisse un soumis mâle. Il déambulait à quatre pattes au milieu du donjon. Maîtresse Amanda la fait placé debout et lui a fixé les poignets dans des bracelets de cuire pour pouvoir le suspendre au plafond sans que ses pieds ne quittent le plancher.
Je le voyais de dos, les fesses bien rondes, les épaules tirées vers le haut. Sur une de ses fesses il y avait linscription (MA).
-Tu vois cher Pénélope, je possède cette petite chose depuis bientôt 11 ans.
-11 ans
Vraiment.
-Oui, et il mobéit comme un gentil toutou, je peux faire tous ce que je veux avec lui.
-Humm.
-En plus il est maso, cela me comble vraiment puisque je suis assez sadique je dois dire.
-Wow.
-Est-ce que ta petite salope est maso
-Je pense que oui.
-Mais il faut que tu en sois certaine chérie.
-Bien sur
-Il va falloir tester cela, à moins que tu ne sois pas un tantinet sadique ma chère
.
-Non, non, au fil du temps jai découvert un certain plaisir dans le fait de donner de la souffrance à ma petite chose, évidement que nous allons vérifier.
Je les écoutais discuter de nous comme de la marchandise. Le fait dentendre les Maîtresses avoir parlé de tester mes prédispositions au masochisme mavait donné un grand frisson. Je savais que jaimais minfliger une certaine douleur lors de mes séances dauto ligotage jadis. Mais à quel point jétais masochiste, ça je nen avais aucune idée.
Maîtresse Amanda a fait pivoter un peu son soumis. Jai pu apercevoir son pénis en érection. Puis elle a commencé à donner des claques sur le membre rigide de sa chose. Je pouvais voir son excroissance bouger dans tous les sens et lui se tordre de douleur à chaque coup porté à sa virilité. Mais à chaque fois il remerciait sa Maîtresse de lui procurer cette sensation douloureuse pour son simple plaisir.
-Tu vois Pénélope, il me remercie de lui procurer cette douleur et moi jaime bien le voir se tortiller ainsi devant moi. De cette façon jexprime mon pouvoir, mon emprise sur lui.
-Il aime vraiment cela.
-Bien sûr, jaime le voir se tortiller de douleur, il veut me faire plaisir, donc il aime souffrir pour me faire plaisir. Il est bien dressé, il fait tout ce que je lui demande.
-Hum, cest très bien.
Cest à ce moment-là que Maîtresse Amanda cest approché de Madame et quelle lui a glissé quelques mots a loreille. Ensuite Madame cest approché de moi et elle ma giflée à deux reprises.
-Alors kary, toi, est-ce que tu es maso, est-ce que tu aimes souffrir pour me faire plaisir.
-Euh
-Une autre gifle, Alors dit moi
-Oui Madame.
-Une autre gifle, Oui Madame quoi
-Oui Madame jaime souffrir pour vous faire plaisir.
Jétais toute chose
Les gifles de Madame avait été bien senti et je ressentais une bonne chaleur sur mes joues. Je dois dire que jappréciais cette sensation. En plus, le fait davoir été giflée devant Maîtresse Amanda et son soumis mavais mise dans un état second.
-Hum, cela semble très bien Pénélope, mais regarde bien jusquoù on peut aller avec un soumis bien dressé.
-Je ne demande quà voir Amanda.
Jai vu Maîtresse Amanda enfiler des gants et sapprocher de son soumis. Celui-ci a commencé à se tordre de douleur. Maîtresse semblait lui caresser le pénis sans trop de force pourtant. Il laissait échapper des gémissements et remerciait sa Maîtresse sans retenu.
-Merci Maîtresse, je vous aime Maîtresse, Votre plaisir est le mien
Puis elle sest détournée de son sexe pour sapprocher de ses fesses et cest là que jai vu pourquoi elle pouvait se permettre de le caresser gentiment tout en lui procurant une douleur intense. Lintérieur de ses gants était recouvert de petites aiguilles. Un nouveau frisson ma envahie à la vue de cet instrument de nouveau genre. Sans que je puisse savoir pourquoi mon esprit sest aussitôt imaginé être maltraité avec ces objets ingénieux. La salive a envahi ma bouche, ou devrais-je dire ma gueule. Mon sexe a généré une nouvelle vague dhumidité, une chaleur intense a parcourue mon corps tout entier.
Maîtresse Amanda a ensuite empoigné les fesses de son soumis et les a massées avec vigueur. Le dos cambré, le sexe vers lavant le soumis a repris ses louages et ses gémissements. Maîtresse Amanda a fait un petit signe a Madame et à chaque fois que le soumis se cambrait vers lavant sous la pression des gants sur ses fesses, Madame lui donnait une claque sur le pénis pour le ramener vers larrière. Devant ce spectacle je vibrais de tout mon corps, je mimaginais à la place de ce soumis, subissant à peu de chose près les mêmes violences. Jimaginais mes fesses être pénétrées par les aiguilles des gants et Madame me donnant une claque sur la vulve pour me ramener vers larrière.
Après sêtre bien amuser Maîtresses Amanda a détaché son soumis. Madame sest assise dans son gros fauteuil et Maîtresse Amanda sest installé sur un petit sofa très confortable à côté delle après avoir entrainé son soumis en le tirant par la crinière pour le placer accroupi devant elle. De ma place javais une vue imprenable sur lanus du soumis et sur ses testicules qui lui pendait entre les deux jambes. Maîtresse Amanda a déposé ses pieds sur le dos de sa chose et elle a débutée. Une conversation avec Madame.
-Tu vois Pénélope, il est tellement heureux dêtre avec moi, à mes pieds et de mobéir sans condition.
-Cest merveilleux.
-Il aime quand je le malmène un peu, lorsque je suis rude avec lui. Il aime sentir ma supériorité, mon emprise sur lui, pour lui sa vie est devenu simplement dassouvir le moindre de mes désir.
-Cela na pas dû être facile de lamener à faire tout ça.
-Non, dautant plus quil ne savait même pas au départ quil était maso et quil était venu me voir que par pure fantasme.
-Vous étiez une Maîtresse vénal.
-Pas du tout, javais placé une annonce pour trouver un soumis tout dévoué pour moi et il sest présenté juste pour essayer.
-Mais alors
-Je lai reçu ne connaissant pas ses objectifs, mais je lui ai bien fait comprendre que je nassouvissais pas les fantasmes des petits opportunistes comme lui.
-Et comment cela sest-il passé.
-Et bien je lui ai dit que sil voulait servir une dame comme moi il devait sinvestir a 100 pour 100. Je lui ai fait une petite séance de démonstration de ce que pourrait être son avenir et que si il se représentait de nouveau devant moi se serait pour mappartenir et rien dautre.
-Et
-A la fin de la séance qui a durée 2 heures je lui ai dit quil avait une semaine pour me recontacter sil voulait devenir mon soumis permanent. Si non il devait passer son chemin.
-Et il vous a recontacté
-Eh bien oui, javais flairé quil était un vrai soumis au fond de lui-même qui ne demandait quà être dominé et abusé. Javais déjà beaucoup dexpérience en la matière et je savais que cétait le bon numéro.
-Et comment sest passé votre deuxième rencontre.
-Et bien avant quil vienne me voir je lui ai bien mentionné que si il se présentait une deuxième fois devant moi je prendrais littéralement le contrôle de sa vie et quil mappartiendrait. Et je lui ai dit que cette chance de servir une belle Maîtresse comme moi ne se représenterait pas deux fois.
-Il sest donc présenté.
-Bien sûr, Avant de commencer ce jour-là je lui ai posé une foule de question. Jai su quil était célibataire, quil avait 30 ans etc
Cela me convenait parfaitement. Il navait aucune attache à part son travail, cétait le candidat idéal, surtout que lors de ma premier séance avec lui javais décelé son côté maso qui me convenait parfaitement.
-Et
-Et bien jai senti en lui le goût de sabandonner, de se sentir prit au piège. Je lui ai ordonné de se foutre à poil et je lai ligoté sur une chaise à la table de la cuisine. Une fois pris au piège jai fouillé dans ses poches de pantalon et je me suis assise devant lui avec son porte feuilles en main.
-
-Jai regardé tous ses papiers. Je savais ou il demeurait, où il travaillait etc
Et je lui ai dit après avoir pris quelques photos de lui dans cette fâcheuse posture quil avait intérêt à mobéir à présent pour que je ne fasse pas de sa vie un enfer. Il na rien dit, il était complètement déboussolé. Je lui ai ensuite demandé
Tu veux vraiment que je prenne le contrôle de ta vie nest-ce pas petite salope. Et après quelques instant dhésitation, rouge comme un coq, il ma répondu, je veux vous appartenir Maîtresse, je suis à vous. Et depuis ce temps il est mon fidèle soumis, je dirais même mon fidèle esclave.
-Il vous obéit toujours sans problème.
-Oui, et le seul temps quil peut avoir un contact avec sa vie vanille sest lorsquil est au travail, mais cest toujours sous mon contrôle quand même. Sa vie mappartient maintenant. Et je suis certaine que tu peux faire la même chose avec ta soumise.
Javais suivit leur conversation avec intérêt et lorsque Maîtresse Amanda a prononcé ces mots jai cru que mon cur allait sarrêter. Mais en même temps jai éprouvé un grand vertige de désir. Au plus profond de moi je voulais appartenir toute entière à Madame Pénélope. Je voulais lui obéir, souffrir pour elle, lui donner ma vie, jen étais certaine. Elle pouvait me demander nimporte quoi, je le ferais pour elle. Est-ce que jaurais peur parfois, oui, est-ce que je souffrirais parfois, oui, est-ce que je voulais mabandonner complètement à elle, sans restriction, bien à présent jen avais la certitude.
Ce matin-là javais vu le soumis de Maîtresse Amanda souffrir pour elle, je lavais vu lui obéir sans hésitation, je lavais vu la remercier sincèrement de lutiliser, il était vraiment sa chose, son jouet. Et pendant toute cette matinée je men étais délecté jusquà mimaginer a sa place. Mon sexe était devenu une zone humide comme jamais. Javais ressenti des chaleurs comme jamais au pare avant. Je sentais que tout mon être était prêt à obéir à Madame sans hésiter cette fois. Cela mexcitait, cétait viscérale, jen avais désespérément de besoin. Oui, cette avant midi la a déclenché louverture dune autre partie de mon cerveau sur le monde bdsm et sur mon besoin de servir et dobéir, le besoin que jai dappartenir à quelquun et de faire une croix sur mes droits et besoins personnels.
Puis est arrivé lheure du dîner. Madame ma fait sortir de ma boite, elle a posé deux grands bols sur le plancher, un contenant de leau et lautre des petits cubes de fromages et des légumes crus. Jai dû partager cette offrande de Madame avec le soumis de Maîtresse Amanda, bien sûr sans dire un mot car les chien et les chiennes ne parlent pas. Jétais heureuse dêtre ainsi relégué au rang danimal mangeant mes légumes et mon fromage en alternance avec mon compagnon de repas. Pendant ce temps Madame et Maîtresse Amanda cétaient fait servir un bon repas par Sylvie et regardaient leur toutou manger docilement.
Après le repas Maîtresse Amanda devait partir, elle avait des choses à faire en après-midi. Elle a fait la bise à Madame et sest approché de moi. Elle ma tendu la main, je savais ce que cela voulait dire. Je lui ai embrassé le dessus de la main et je lui ai souhaité un bel après-midi avec toute la formule de politesse qui est du à son rang. Jétais toujours à quatre pattes, elle a fait ce relever son soumis et la fait avancé devant moi. Une fois en face de moi javais son pénis qui pendait devant moi. Ma gorge sest noué, jai vu une multitude de petits points rouge sur tout son membre. Jai vu le résultat des caresses quont infligé les gants à aiguilles à ce soumis. Une fois encore leau mest venue à la bouche, mais avec une certaine crainte aussi, et ensuite
-Embrasse les pieds de mon soumis petite salope et remercie le pour cette belle démonstration ce matin, pour cette belle leçon.
Je me suis immédiatement penché en avant pour approcher mes lèvres de ces pieds. Ouf, jallais embrasser les pieds dun soumis qui fait deux fois mon âge ou presque, les pieds de Madame, oui, mais ceux-là
Mais il le fallait, je me devais dêtre à la hauteur. Jai donc posé mes lèvres sur ses pieds et je me souviens même de les avoir léchés et sans men rendre compte jy avais mise toute mon énergie.
-Merci carpette pour ta belle démonstration dobéissance.
Bien oui, Maîtresse Amanda a baptisé son soumis carpette. Elle a donné une petite boite à Madame et est partie. Moi je me suis remise à genoux près de Madame attendant quelle me donne une directive. Après le départ de Maîtresse Amanda, Madame a ouvert le paquet que celle-ci lui avait offert.
-Ho regarde le jolie cadeau quAmanda ma faite kary, cest chou
Non
Des tremblements ont terrassé mon corps, une chaleur sest installé sur mon visage, mon cerveau est tombé en mode panique. Cétait bien de fantasmer sur la souffrance et la vue dun soumis qui se tortille de douleur, mais là, il se pourrait que je bascule vers la réalisation de cette idée, de ce fantasme, en était-ce vraiment un. Madame tenait dans sa main une paire de gant identique à celle utilisé par Maîtresse Amanda sur son soumis. Madame tenait la boite dune main, les gants de lautre et son regard en disait long sur la suite des événements
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