La Caméra Espion 9

Après m’avoir asséné cette dernière gifle en m’avouant qu’elle trouvait un plaisir à me faire cocu à mon insu, Chantal a repris sa narration.
« A peine fermée la porte de son appartement, j’ai voulu lui sauter dessus tellement j’étais en manque. Je voulais retrouver cette queue qui m’avait tant fait jouir les mois passés. Car, malgré tous tes efforts, je n’avais pas réussi à l’oublier. Il m’arrivait souvent de jouir dans tes bras en imaginant que c’était lui qui me baisait ».
Là, j’avoue que j’ai du mal à ne pas la frapper tellement cette phrase me fait mal. Seulement ce n’est pas dans ma culture de frapper une femme. En parlant de frapper, moi suis KO debout (allongé dans le lit !). Il me faut quelques secondes pour récupérer durant lesquelles je sens son regard sur moi. Cette fois j’y vois une once de peur. Peur peut-être d’être allée trop loin.
- C’est dur d’apprendre ça ! Je n’aurais jamais pu imaginer une telle perfidie de ta part, lui dis-je, la vois tremblante. Après ton aventure avec Jacques et Philippe, j’étais persuadé d’avoir retrouvé cette femme que j’ai épousée, cette jeune femme joyeuse de m’aimer et avec qui je m’étais juré de vivre toute une vie. Tu me le laissais bien croire, j’étais de nouveau heureux de voir notre couple renaître. Mais continue, n’oublie rien, je veux tout savoir.
Après un silence lourd de sous-entendus, elle se décide à reprendre son récit. Je lui ai maintenu la main sur ma queue alors qu’elle voulait arrêter de me caresser. Ce geste, la salope, elle l’interprète immédiatement comme l’absolution de ses péchés.
« Dans le couloir, il m’a plaquée contre le mur, il n’a eu qu’à écarter les pans de ma jupe portefeuille pour atteindre mon minou tout mouillé. »
Elle s’arrête ! Je la sens hésiter à continuer. Elle a perdu un peu de sa superbe.
- Non, non continue. Il a fait quoi ?
- Il a enfoncé son majeur dans ma chatte.
- … et puis ?
- Il m’a doigtée avec violence sans se préoccuper s’il me faisait mal.


- Tu aimais ?
- Chéri, s’il te plait, tu es sûr…
- Oui, oui dis-moi tout.
Ce faisant j’ai imprimé des mouvements à mon bassin pour lui indiquer que je voulais qu’elle me branle à nouveau.
« J’étais comme folle de désir. Il m’a pris la bouche et il m’a embrassée. J’avais du mal à respirer. »
- Il te parlait ? Dis-moi.
- Oui, il me traitait de salope, de pute.
« Ensuite, il a enlevé ma jupe, m’a prise à la taille. Il m’a demandé de sortir sa queue. Tout de suite quand j’ai senti sa bite toute dure dans mes mains, je n’ai plus eu qu’une envie, la sucer, la prendre en bouche. Je me suis accroupie, j’ai regardé un instant cette queue devant mon visage puis je m’ai enfournée dans ma bouche déformée par la taille de l’engin. D’une main je la branlait, de l’autre je jouais avec ses couilles. Il me disait :
- Vas y petite salope, suce bien la queue de Philippe. Elle est bien plus grosse que celle de ton con de mari. Je veux que tu me dises du mal de lui, que tu me dises que tu le méprises depuis que tu m’as rencontré.
Mais j’étais trop absorbée par ce que je faisais pour lui répondre. Je l’avais prise entièrement en bouche ce qui me dispensait de répondre. Je léchais, engloutissait, aspirait pour lui pomper sa semence. Il m’a ordonné de me caresser la chatte en écartant bien les jambes. J’étais accroupie, ma chatte bien ouverte. Il ne m’a fallu que quelques minutes pour avoir un premier orgasme. Enorme orgasme. Alors il m’a prise aux cheveux pour me plaquer contre son ventre et m’empêcher de reprendre mon souffle. J’ai eu des hauts le cœur, des hoquets, mais il me maintenait. Un moment j’ai même paniqué car j’ai imaginé qu’il pouvait me . Puis il m’a libérée, m’a redressée, m’a à nouveau plaquée contre le mur. Il a pris une jambe, l’a levée très haut pour m’ouvrir. Je me suis accrochée à son cou, mon autre jambe, sur la pointe du pied, touchait à peine le sol. Là, il m’a pénétrée d’un seul coup, sa bite plantée jusqu’à la garde.
Je ne me souvenais plus d’avoir été autant remplie. Je sentais son sexe dur, tendu, énorme en moi. Il s’est mis à me limer le vagin tout en vomissant des mots orduriers. »
- Dis-moi ce qu’il te disait
Je voyais bien qu’elle s’excitait de plus en plus en me parlant. En fait elle revivait en pensée ces moments en me les racontant. Et cela m’excitait aussi. Elle reprit aussitôt :
« - Putain que t’es bonne ! Ta chatte est bien étroite ? Ce n’est pas ton cocu avec sa petite bite qui peut te dilater le con comme moi.
C’était vrai que je me sentais écartelée et que les frottements de sa queue me brûlaient les muqueuses vaginales. Il n’arrêtait pas non plus de me parler pour me déstabiliser.
- Tu sens bien mon bâton comme il est dur et qu’il te ramone bien ta chatte. Ce n’est pas ton cocu de mari qui peut le faire.
J’ai eu presque immédiatement un premier orgasme, très fort. Puis quand j’ai repris mes esprits il s’était retiré, m’a prise par la taille, m’a poussée sur le lit, m’a couchée sur le dos, a passé mes cuisses sur ses épaules et là, il s’est introduit à nouveau en moi d’un seul coup. Et tout au fond. Je me sentais entièrement remplie. Je retrouvais les mêmes sensations que quand il me baisait chez nous avec Jacques. »
- Tu penses encore à Jacques ? Tu es toujours amoureuse ?
Je réalise qu’elle a prononcé involontairement son prénom. C’est ce qui a éveillé mes soupçons. Elle affichait une mauvaise fois évidente dans réponse.
- Non, pas du tout. C’est un imbécile et je ne veux plus entendre parler de lui sinon avec sa femme, en copains. Je l’ai complètement sorti de mes pensées.
- Et Philippe alors ?
- Lui, ce n’est pas pareil. C’est uniquement une histoire de sexe et de baise. Il me subjugue et me rend folle de désir. Je ne sais pas comment me libérer de son pouvoir sur moi. Tu m’y as aidé et s’il ne s’était pas manifesté, je crois que cela me serait passé.
Cette allusion à cette période m’a fait mal.
Mais je n’en fis pas la remarque. Elle poursuivait, la main sur ma queue toujours tendue. C’était pour elle comme une garantie que j’acceptais ses aveux.
« Allongée, entièrement offerte, j’entendais le bruit que faisait ma mouille mélangée à la sienne, à chaque fois que sa bite entrait ou sortait de moi. Très vite il m’a crié qu’il allait me remplir de sa semence pour m’engrosser. C’est à ce moment que j’ai réalisé pour la première fois que j’avais arrêté la pilule, comme mon gynécologue me l’avait conseillé. Je calcule rapidement et je réalise que je ne suis pas dans une période de fécondation. Mais comme je ne suis jamais sûre des dates, je panique et je lui demande de sortir pour éjaculer. Ce salaud refuse ! Il me dit :
- Il faut assumer ma salope ! Et ton mari aussi ! Il suffira de lui faire croire qu’il est le père.
- Non ! S’il te plait, c’est trop grave. S’il l’apprend, il te a !
Cet argument a porté ses fruits. Il est sorti et a éjaculé une quantité énorme de sperme sur mon ventre, mes seins et j’ai même reçu des giclées sur le visage ! Moi, cette fois je n’ai pas joui. La peur a été la plus forte. »
Sa main cette fois allait et venait très vite le long de ma queue. Je n’ai pas pu résister et j’ai senti monter le sperme le long de ma tige puis jaillir avec une intensité que je ne me connaissais pas. Chantal aussi a poussé des petits cris de jouissance. Nous étions à l’unisson dans cette explosion de plaisir. Il nous a fallu plusieurs minutes pour récupérer.
J’en avais assez entendu. Je voulais dormir, même si je savais que je ne trouverai pas facilement le sommeil. Elle a éteint sa petite lampe de chevet, s’est blottie amoureusement dans mes bras avant de s’endormir assez vite.
J’ai fini par éteindre la mienne…
A suivre, si vous le souhaitez.

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