La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1036)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1035) -
Malgré mes accessoires buccaux qui mempêchaient de fermer la bouche, je pus enfin me désaltérer à souhait
Durant les horaires douverture du restaurant celui-ci ne désemplissait pas, mais paradoxalement, le parc ne se vidait pas non plus, et chiennes et chiens soumis en attente dun Dominant, dune Dominante ou dun curieux ne restaient pas longtemps inoccupés. Jusquà la fermeture du restaurant, aucun esclave chien, aucune esclave chienne neut le droit de se sustenter, sauf ceux qui se retrouvaient au service dune personne déjeunant et ayant la bonté de leur donner quelques bouchées de leur repas. Jeus droit à un autre type de nourriture que celle présentée sur la carte. Létablissement servait aussi de lieu de réunion pour des hommes daffaires voulant en même temps se divertir et faire avancer leurs dossiers. Cest donc un groupe dune dizaine de personnes qui me réclamèrent pour les servir. Ils voulaient réellement que je fasse le service, mais à genoux. Des sortes de baguettes, se terminant par des pinces à un bout, qui furent posés à mes tétons, et à lautre bout se terminant par des chaines qui furent accrochées également par des pinces à mes lobes doreilles, soutenaient un plateau sur lequel un maître dhôtel déposait les plats que je devais leur présenter. Tandis quils mangeaient et sans que lon môte le plateau, je devais passer sous la table, et les sucer les uns après les autres, sans avoir lobligation de les faire juter. Ce qui arriva tout de même au moins une fois chacun, et se fut tout ce que jeus à manger, tant que je devais « travailler » pour eux. Mon repas se constitua donc de plusieurs gorgées de spermes chauds
Durant quinze minutes, on vint nous chercher et tous les soumis et soumises furent réunis dans une pièce où des gamelles de nourriture et deau nous attendaient, et pendant ce temps nous fûmes débarrasser de nos écarteurs de bouche.
Au bout dun long moment de lecture, sa main baladeuse sapprocha de ma taille et le bout de ses doigts effleura lintérieur de ma cuisse, laquelle je maintenais écartée, elle remonta ensuite lentement depuis mon genou, redescendit vers celui-ci pour revenir vers mon sexe quand ses doigts me branlèrent doucement le clitoris et répétèrent inlassablement ce lent va et vient. La jeune Domina lisait toujours son livre, perdue dans sa lecture tout en me masturbant. Jen mouillai de plaisir. Lentement jécartais encore plus mon entrejambes, ce qui arrêta son mouvement masturbatoire un instant. La main reprit son va et vient lent et si excitant. Je soulevai un peu le bassin, remonta le haut de mon corps sous mes fesses.
Puis elle se leva et un claquement de doigts me fit comprendre de la suivre en quadrupédie jusquà son lit auquel elle mordonna de me coucher. Elle se déshabilla totalement et vint se coucher à mes côtés quand son épaule se dégagea, ses deux mains sur mon visage me redressèrent la tête, son souffle sur ma bouche, ses lèvres sur les miennes, si chaudes, sa langue qui ouvrit les miennes. Elle me serra dans ses bras, me colla à elle autant quelle put. Je me sentis envahie, soulevée par son amour, sa tendresse lesbienne tant exprimée. Elle sécarta un peu. Ses mains glissèrent sur mon visage, ses doigts se glissèrent dans mes cheveux, elle me repoussa doucement sur le lit. Du dos de sa main droite elle caressa ma joue, mes lèvres, glissa un doigt replié entre mes lèvres qui souvrirent pour embrasser son doigté. Sa main gauche se glissèrent entre mes jambes, se faufila au pli de mon genou, souleva et tira ma jambe vers elle, colla mon genou à ses seins. Elle repoussa lautre jambe du dos de la main, mécartant grand les cuisses, me laissant béante et offerte. Je gémis et mordillas son doigt quand son autre main se pressa fort sur mon sexe, lécrasa de la paume de ses doigts.
Sur son ordre, je me redressai et me serrai contre elle à pleins bras, haletante comme une chienne en chaleur en demande de sexe (ce que jétais dailleurs). La tension se relâcha, je me sentais bien, je me sentais aimée, désirée et mon souffle sapaisa, mes muscles se détendirent, les contractions sespacèrent. Elle mordonna de moccuper delle, alors je collai mes lèvres au creux de son cou, donna de petits baisers mouillés. Je me noyai dans son sublime parfum
jétais bien, tendrement bien avec cette femme qui voulait tant damour et me donner tellement damour aussi
alors ne plus bouger
rester là longtemps
longtemps
savourer ces moments rares de saphisme tendre dans ses bras tendit que je la caressai de partout et lembrassais également de partout
Sa main glissa alors de nouveau entre mes jambes, mes cuisses souvrirent à nouveau, offrirent un passage, appelèrent sa caresse. Ses doigts se firent légers. De son majeur tendu elle effleura, caressa doucement du clitoris tendu au périnée, parcourut lentement ma fente de haut en bas, lentement, sattarda en remontant à lentrée de mon vagin trempé, poussa à peine, comme timide alors quinondé comme il était, il laccueillerait si bien
petits bruits mouillés, odeur sucrée
Mes reins se creusèrent encore plus et avancèrent au-devant de sa caresse
Son majeur remonta sur mon clitoris, bouton gonflé et palpitant, ce doigt jouant avec le capuchon en tournant doucement évitant dabord mon bouton rose, le contournant
impatiente que je suis dans ma tête quil me branle plus
je le désirai plus fort, plus vite.
Sa bouche contre ma bouche, son souffle dans ma bouche. Je gémis doucement, dattente, du plaisir que je sentais monter encore et encore. Jétais tendue vers lui tremblante denvie. Le doigt se fit plus pressant, plus rapide et sarrêta brusquement, me quitta de nouveau pour enfin revenir et se glisser à lentrée de ma fontaine
deux doigts puis trois, entrant entre mes lèvres intimes trempées, plus profondément à chaque fois, appuyant, fouillant, remontant, et reprenant leur danse affolante sur le clitoris gonflé et dans mon vagin, mélangeant ainsi masturbation clitoridienne et vaginale
Et les sensations se mélangèrent alors telle une vague de plaisir encore plus intense qui montait plus forte et plus profonde
Et je compris alors que la main qui ma portée là, à ce niveau de plaisir, cette main qui maccompagnait, était là pour moi ! Moi une simple petite chienne habituée à donner du plaisir aux autres, je compris que cette Domina voulait tout dabord me donner du plaisir
comme si elle me connaissait si bien, aussi bien que moi, et mieux en même temps, quelle mamenait plus haut et plus loin, parce quelle le voulait, tout simplement. Pour la deuxième fois, mes cuisses se tendirent, se contractèrent, tremblèrent de toute la tension de la montée inéluctable de la vague de plaisir qui montait, montait
Ses doigts de son autre main se plantèrent dans mon sein, serrèrent, pincèrent, écrasèrent mon téton durci qui sétirait entre son doigté ferme
Maintenant, elle me pénétrait profondément dans un fist imposé mais si bon tout en me maltraitant mon téton quand lordre tomba net et sans équivoque :
- Jouis, petite chienne, jouis, et cries ton plaisir, je lexige.
Alors le plaisir éclata, violent, et libérateur, me projeta en avant au rythme des élancements, me secoua de contractions, de spasmes jouissifs forts, puissants et je criai mon plaisir dans sa bouche, cognant ses lèvres de mes lèvres crispées. Mes cuisses se referment violemment
prolongeant cet éclatement de jouissance, plus fort, plus accompli. Ses doigts arrêtèrent alors leur danse folle, doigts posés, inertes mais profondément plantés en moi, quand ils reprirent brusquement leurs mouvements masturbatoires. Je neus pas le temps de reprendre mon souffle de me remettre de cet orgasme dévastateur, quune nouvelle pointe de plaisir, jouissive et douloureuse mais attendue, voulue par cette femme Domina me transporta dans de nouvelles jouissances à en hurler à pleins poumons. Puis sa main se calma, se posa index et majeur de part et dautre de mon clito, tout doucement, attentifs aux palpitations saccadées qui sapaisèrent. Ses doigts massèrent tendrement en petits va et vient légers qui me provoquèrent de doux spasmes jouissifs
Nous fîmes lamour durant des heures quasi jusquà épuisement où je dus la faire jouir mainte fois, où elle me fit jouir aussi souvent, mélangeant douceur, tendresse et sexe jusquà ce quelle menvoie me coucher dans une panière à lautre bout de la pièce avec lautorisation de mendormir, ce que je fis avec bonheur une fois quelle me remit lécarteur buccal et tout mon attirail
Je fus tiré de mon sommeil par les lanières dun martinet tenu par Edouard, le filleul de Monsieur le Marquis dEvans. La nuit était tombée, les spectacles, ainsi que les animations du soir, allaient commencer, et il fallait me préparer
Au fond du parc, il y avait de grandes plaques métalliques posées au sol. Des hommes vigoureux les déplacèrent, découvrant une fosse peu profonde. Du bois y fut enflammé en un beau feu de joie. Pendant ce temps, quelques soumises, dont moi, furent réunies. On nous enleva les écarteurs ainsi que les pinces nous maintenant la langue sortie, puis on nous donna abondamment à boire, avant de nous mettre des groins de cochons quon fit maintenir sur notre visage par des élastiques. On nous enleva nos plugs terminés par des queues de chien, pour nous en mettre des petites de cochon en forme de tire-bouchon. On nous attacha les poignets et les chevilles et on nous attacha tout le long dune longue barre métallique, et on nous amena près du feu. On nous déposa par terre et on nous laissa là une bonne heure, le temps que le feu devienne braises. Nous étions cinq. On attacha solidement et plaça les barres sur des piquets, au-dessus des braises mais assez haut afin de ne pas nous brûler et ainsi éviter tout risque daccident. On nous mit une pomme dans la bouche avec interdiction de la faire tomber. Des manivelles furent également installées. Les cochonnes grillées annoncées sur les affiches cétait nous ! En guise de sauce, des hommes et des femmes (pour elles à laide dune sorte dentonnoir relié à un tuyau pour pouvoir en diriger le jet à leur convenance) nous arrosèrent de leurs urines. Durant quatre longues heures, la fête battait son plein.
Il y avait des danses de soumis lascives et excitantes, des démonstrations de fouets, du dressage même, tels de vrais concours canins. Durant ce temps un réel repas était également servi. La chaleur au-dessus des braises était difficile à supporter, malgré la hauteur de sécurité. Parfois lon nous donnait à nous aussi des coups de fouet, léger, mais essayant de nous perturber pour nous faire lâcher la pomme ce qui arriva pour lune dentre nous. Immédiatement, elle fut retirée de la fosse, exposée sur un chevalet, et les coups de toutes sortes dinstrument se mirent à pleuvoir sur elle, par toute personne qui voulait samusait un peu, jusquà ce que nous fussions « cuites », cest-à-dire la peau rougie par le fouet dune manière qui leur convint car inévitablement nous échappâmes tous la pomme à un moment donné ou à un autre, ce qui eut pour conséquence de tous se faire fouetter. Nous nétions donc plus que quatre. Quatre soumis furent alors désigner pour nous lécher tout le corps afin de nous nettoyer et nous rendre plus agréable à utiliser, avec interdiction de nous faire jouir. Dailleurs nous fûmes tous privé dorgasme toute la soirée !
Une course fut alors organisée. Ceux qui voulaient participer devaient choisir un chien ou une chienne et lamener sur la ligne de départ. Je fus choisie par un homme dune trentaine dannée qui murmura à mon oreille que javais intérêt à le faire gagner si je ne voulais pas le regretter. Et malgré lépisode de la cochonne grillée, je trouvais la force de lui obéir. Je crus alors que jallais pouvoir me reposer un peu, mais en fait la gagnante était destinée à monter sur une estrade, à être mise au pilori, et à se faire de toutes les façons, par tous les orifices, possibles. Lassemblée était nombreuse, et à la fin de la soirée, je ne pouvais plus être capable de dire combien de queue ou de chatte javais léchée, combien de queues mavaient pénétrées, combien de spermes, durine ou de cyprine différentes javais bien pu goûter ! jen étais même venue à me demander sil naurait pas mieux valu perdre et être soumise à la sentence de lhomme pour qui javais concouru que dêtre nommée grande gagnante de la soirée !
Quand celle-ci se termina, que les personnes présentes furent rentrées chez elles ou quelles eurent regagnées leur chambre, Edouard, le filleul du Maître, me détacha enfin. Tous les soumis furent de nouveau réunis pour un repas, avant dêtre enchainés dans une pièce à peine assez grande pour nous contenir tous entassés les uns contre les autres, couchés en chien de fusil pour la nuit. Mais tous fatigués par la journée qui venait de sachever, nous tombèrent tous dans un profond sommeil dont aucun nen sortit jusquau petit matin. Après un rapide repas, alors que les autres furent ramenés à lentrée du parc, quelquun vint me chercher pour me ramener dans le bureau dEdouard. Après avoir exigé que je le suce jusquà ce quil se soit vidé au fond de ma gorge, il me rendit mes vêtements et me tendit une cinquième adresse, je devais donc quitter de suite les lieux
(A suivre
)
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