Leçon De Sexe Par Graziella

L'été 85, la famille est partie visiter une cousinne italienne. Ils élévaient des moutons dans le Piémont. Mon frère jumeau et moi, venions juste de fêter nos 18 printemps. La propriété était immense, au vu de notre appartement parisien. La cousine demanda à sa fille de nous faire visiter le domaine.
Graziella, c'est son nom, était une fille super jolie. De grands yeux brillants, et des formes ! Des hanches biens marquées, la taille fine, des seins volumineux, et des fesses, mon dieu ! Rien qu'à les voir, on avait envie d'y toucher. Elle le savait, parce que rien que sa façon de marcher était une invite. Arrivés dans la grange, elle, nous embrassa surr la bouche, mon frère et moi.
- Des jumeaux, rien que pour moi !
Elle commença à dégraffer son jean. Le frangin avait déjà les mains sur sa poitrine. Ses gros seins, bien gonglés de plaisir devenaient durs tandis que gibert les pétrissaient, les suçaient, les mordaient. Graziella roucoulait de plaisir.
Moi, j'étais un peu plus timoré. Quand elle a baissé son pantalon et que j'ai vu apparaître sa culotte, je me suis précipité. Je lui ai arraché le frêle morceau de tissu. j'ai glissé ma main entre ses cuisses.
- Putain, Gilbert, elle est déjà trempée !
Gilbert avait ouvert le corsage de Graziella. Il tétait déjà les nichons de la cousine. Pendant ce temps, elle déboutonnait mon pantalon et le glissait sur mes chaussures. Quand elle fit de même avec mon slip, ma queue devenue raide à la vue de son cul magnifique, bondit vers son visage.Elle ouvrit la bouche et referma ses lèvres sur le gland. Sa langue étala sa salive sur le membre, et, lentement, elle engloutit ma bite jusqu'à la garde. Pendant ce temps, elle frottait son cul contre celle de Gilbert. Celui-ci ne se fit pas prier. Passant ses jambes entre celles de Graziella, il la prit par les hanches et s'enfonça dans sa chatte. Graziella lâcha ma bite et murmura à mon oreille :
- Prends-moi par derrière, j'adore ça !
Mon frère s'était couché dans la paille, Graziella couchée sur lui.

Pendant qu'il lui mangeait les seins, la moule de Graziella lui lubrifiait sa queue. Et moi, je lui pilonnait son joli cul. Elle commença à gémir. Elle passa un bras dans le cou de Gilbert, et tourna la tête vers moi.
- Allez, mes chéris, dit-elle, la voix rauque, plus vite et ensemble.
Au bord du plaisir, elle glissa ses mains sous les fesses de Gilbert et cria :
- Défoncez-vous, les mecs !
Gibert et moi, lui avons administré un énorme coup de reins. Nous avons joui tous ensemble. Graziella émit un râle, et s'abandonna entre nos deux bites. Son corps se relâcha. Oh, pas longtemps ! La bête de sexe qu'elle était se releva bien vite. Debout, ses cuisses dégoulinantes de notre spermes, elle nous remit sur nos pieds et entreprit de nettoyer nos bites. Ses mains sur nos fesses, elle nous rapprocha, face à face. Nos bites étaient collées l'une à l'autre. Graziella s'employa à les nettoyer avec sa langue. Quand elle eut fini, elle releva sa tête, et nous regarda avec un sourire de gratitude. Elle était à genoux, les deux membres devant se yeux gourmands.
- Eh, les garçons, dit-elle, c'était génial, mais trop court ! Ca vous dirait de remettre ça ? Mais chacun donne sa place à l'autre ! D'abord, parce que j'en ai pas eu assez, et aussi parce qu'il faut que vous vous entrainiez ! On va venir habiter à Paris pour trois mois. Il y a un séminaire agricole, et je compte sur vous, pour m'alimenter.
Nous avons remis ça. Gilbert s'est occupée de son cul, et moi de sa moule. La tête entre ses seins, je respirais son odeur naturelle, mêlée avec celles de nos spermes. Envoûté, j'ai mordu cruellement ses seins. Elle ne s'est pas plainte. Elle s'est seulement tortillée sous l(effet de mes dents.
- Merci.., a-t-elle soufflé.
Quand Gilbert a joui au fond de son cul, et moi dans sa chatte, Graziella s'est relevée et a fouillé dans la paille.
Elle en a sorti un manche à balai, avec des lanières au bout.
- Les garçons, je sais que j'ai pas été sage. Je vous ai pas bien sucés. Chacun votre tour, je vais recommencer, pendant que l'autre me punira.
Les lanières étaient en soie. Il n'y avait aucun danger de lui faire mal. Sur le coup, je n'ai pas compris le truc. Mais quand on a obéi, tout devint clair.
Graziella se tordait de plaisir, se roulant dans la paille. Gilbert et moi, revigorés, lui avons fait sa fête une nouvelle fois.
Sa chatte et son cul étaient accueillants, comme si rien ne s'était passé. Graziella était vraiment un animal sexuel. Elle nous reprit, dans sa chatte et dans son cul. Sauf que cette fois, Gilbert et moi, avons retenu la leçon. Nous l'avons littéralement violée. Nos violents coups de boutoir dans ses deux orifices, ont fini par calmer ses ardeurs. Epuisés, mon frère et moi, avons rejoints le cercle familial.
La mère de Graziella, le sourire aux lèvres, nous demanda :
- Graziella vous a tout montré ? dit-elle, en jetant un regard amusé à notre mère. Ca vous a plu ?
Toutes les deux riaient en silence.
- Vous savez qu'on va venir habiter chez vous à Paris, pendant trois mois. Je vous conseille de vous entraîner et de prévenir vos amis. Graziella adore la compagnie.
J'étais en train de me demander, si les parents n'étaient pas au courant des petites habitudes de Graziella. Pas un jour des neuf semaines parisiennes de Graziella, ne se passèrent sans que Gilbert, moi, et "quelques amis" refirent la visite des lieux de plaisir du corps de Graziella.

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