Une Tranche De Vie 19
Dimanche 20 septembre 1981 Jean raconte
Nous étions arrivé de bonne heure à la plage et pratiquement les premiers de la bande. Véro et B nétait pas encore là. Comme habituellement je partis nager, en général jallais vers le large jusquà une certaine bouée et revenez. Cette fois-ci, je revenais en passant au niveau dun cabine cruiser appartenant à un expat installé depuis longtemps dans le pays et qui possédais ce bateau.
Et le gros de la troupe, enfin ceux qui avait fini tard au club, arriva dont, Véro et B. Les uns allant nager, dautres péchant au fusil harpon enfin dautres faisant une partie de volley,
Al était une fervente adepte de ce sport et était souvent sollicitée, enfin chacun pratiquant ses divertissements favoris. Usant de patience et surtout les uns et les autres sétant éloignés, je me retrouvais assis sur ma serviette de bains en compagnie de Véro, ce qui navait rien danormal, les uns et les autres tournant et discutant avec ceux qui restaient momentanément sur leur serviette. Donc je me retrouvais à discuter avec Véro et lui demandais comment sétait passé la soirée au club, conversation mondaine de salon sur le sable, puis, étant seuls, je passais au sujet pour lequel javais tant manuvré.
« Je regrette de ne pas avoir pu être au club, hier soir, jespère que vous vous êtes bien amusé ? »
Véro : « Oui cela a été agréable, cétait un peu comme dhabitude, il ny a rien eu de spécial »
Moi : « Ben, si, je regrette car on aurait pu danser et jadore danser avec toi et ensuite aller faire un tour sur le parking, mais tant pis je nai pas pu et je vais te faire une proposition»
Véro : « Cest vrai, jai un peu regretté, car personne ne danse le tango comme toi, !!!! mais aller sur le parking, après ce quon avait fait le matin, je ne pense pas que jaurais pu.»
Moi : « Oh, je suis certain que tu aurais pu et surtout que tu laurais voulu »
Véro : Pourquoi, parce que je ne peux me passer de toi ? »
Moi : « Je ne dirais pas comme ça, je pense que tu aimes le sexe et tout ce quil y a autour, tu laimes physiquement, mais aussi intellectuellement.
Véro : « Tu as fini de jouer au psychologue. Tu as de drôles didées, que veux-tu faire ici ? »
Moi : « Non pas ici, mais là bas, tu vois le cabin cruiser »
Véro : « Bien sur, le proprio qui est un de nos fournisseurs mavait invité à faire une ballade en mer, avec certainement une idée autre que simplement la ballade. Il sest cassé le nez. »
Moi : « Tu connais donc comment cest fait »
Véro : « Larrière cest comme un arrière de PU 4x4, puis tu as un espèce de cabine ouverte ou il y a le poste de pilotage et une petite porte pour descendre dans la cabine elle-même. »
Moi : « Parfait, tu vas nager jusque là-bas et monter à bord grâce à une petite échelle que jai débloquée ce matin, tu ne pourras pas être vue de la plage, étant donné la position actuelle du bateau à lancre. »
Véro : « Que veux-tu que jaille faire à bord de cet engin ? »
Moi : »Tu veux un dessin,
tu enlèveras ton maillot et nue tu tallongeras au fond du bateau pour prendre le soleil en attendant que jarrive »
Véro : « Aller là-bas pour prendre le soleil nue, même en tattendant !!!! »
Moi : » Ce nest pas seulement pour prendre un bain de soleil nue, mais dès que jarriverais tu ouvriras tes cuisses pour me montrer comment ta chatte est ouverte accueillante et déjà bien humide et tu me demanderas de te bouffer la chatte. Jaurais alors une belle trique que je toffrirais à sucer car jaime tes lèvres sur mon sexe et quand en plus tu laspires cest le rêve. Jadore aussi quà grand coup de langue tu me lèches la tige et quainsi tu vois la hauteur de mon envie de te prendre.
Véro : »Tu es un salopard, tu me tentes. »
Moi : « Dis moi que tu en as envie, que tu mouilles à imaginer ce que nous allons faire »
Véro : « Tu es sur que lon risque rien je ne tiens pas faire les faits divers du journal local »
Moi : « Fais comme je te dis, on ne risque rien, je suis sur que ta chatte est en train de souvrir et même que tu coules. Penses au plaisir que tu vas avoir, penses que je vais tout faire pour te faire jouir.»
Et se penchant discrètement « Bon je te fais confiance, tu connais mon point faible, jaime entendre car ça mexcite et jaime que tu en s. Jy vais, ne me fais pas trop languir, sinon, nue au soleil à me chauffer, ce sera trop tard. Il me semble voir une protubérance dans ton maillot, vas te calmer dans leau, à toute à lheure et jen fais autant » et elle se mit à leau tranquillement direction le cabin cruiser.
Pour ma part, jy allais également vers un autre bateau, ce qui me demanderait un peu plus de temps après pour rejoindre le cabin cruiser, mais éviterait que lon me voit de la plage aller vers le cabin cruiser.
Arrivant à la hauteur du bateau léchelle avait disparu ?
Inquiet je lançais un discret appel « Y-a quelqun ?
Véro me répondit : Oui, je tenvoie léchelle, je lavais enlevé pour éviter quun curieux monte »
Je grimpais les 3 ou 4 échelons et je remontais léchelle, sage précaution, un nageur ayant lidée de monter dans le bateau et de nous observer ???
Javais une vue parfaite sur Véro. Celle-ci étalée nue sur une serviette, les bras et cuisses écartées, un petit sourire en coin : « Cest ça que tu voulais ? » Effectivement, elle savait jouer de son corps, on ne pouvait pas rêver image plus érotique, plus sensuelle je dirais plus sexuelle.
Je réussis à monter à bord est elle me dit en riant « Tu es un peu trop habillé ». Jenlevais mon short de bain et pendant ce temps Véro repliant ses jambes souleva ses hanches, « Viens ma grotte damour est à ta disposition, elle est ouverte, elle tattends, elle coule de désir, ne me fais pas attendre » Je me glissais entre ses cuisses et commençais à moccuper de son abricot qui était tellement mur quil en suinté de plaisir.
Véro se laissa tomber à plat dos et me dit : « Viens contre moi, allonges toi à coté de moi » Ce que je fis. Puis elle se mit sur moi de toute sa longueur et posa ses lèvres sur les miennes et les lécha, « jaime cette odeur, jaime mon odeur » et elle glissa sur moi en descendant puis remontant, elle se frottait entièrement à moi, descendant jusquà mon sexe quelle prenait en bouche légèrement, léchant le gland puis remontant, pendant que je la caressais, ce manège dura un certain temps et je sentais que je ne tiendrais pas longtemps si elle continua. Avait-elle senti que jallais exploser, elle se laissa glisser à coté de moi, mais resta bien collée et elle me dit : « Tu sais, jaimerais passer une nuit toute une nuit avec toi. Prends moi »
Sur le coup de la surprise ma seule réaction fur : « Mais,
» Elle mit sa main sur ma bouche et me dit : « Tais-toi, on a bien le droit davoir des idées folles, maintenant fais ce pourquoi on est là, ma chatte attends ta langue et tes doigts, je suis prête,
jen ai envie, fais moi jouir,
de baiser,
»
« Tournes toi » Sans hésiter elle se mit en levrette, ses fesses rondes et arrondies par la position, et elle écarta les cuisses. Je me couchais entre celles-ci, je cramponnais ses hanches pour mélever au niveau de sa chatte et elle même se redressait et écartait les cuisses pour sapprocher de ma bouche et de ma langue et ce qui lui permettait de jouer avec ses seins en les massant avec tendresse et sensualité Jentreprenais de pénétrer son minou avec ma langue et den jouer à lintérieur, puis jy enfonçais deux doigts, ce qui se traduit par : » Oooohhhhh,
ouiIIIIII,
. » Au bout dun moment je décidais de changer de tactique, afin quelle demande, ce qui la rendait plus accessible, plus disponible, jenlevais mes doigts ce qui se traduisit par « : Non, .
Moi : « Je maméliore, merci pour le compliment. Tu mas bien eu, je voulais ton cul, enfin cétait bon et tu as eu ce que tu voulais tu es quand même une belle garce »
Véro : « Oui, tu peux dire que je suis une garce et même une salope si tu veux, mais cest ça que tu aimes baiser. Je suis certaine que tu as de la réserve et que si nous avions un peu plus de temps, je pourrais te remettre en forme, te faire avoir une belle trique, comme tu dis, que tu pourrais menculer et me faire jouir. Si tu veux, passes, un jour, en fin de matinée au magasin, je devrais bien trouver un moment pour te satisfaire et me faire plaisir. Mais je crains, que maintenant, il faille rentrer. » Elle remit son bikini et plongea coté océan, quelques minutes après je fis de même, mais ne rentrais pas, sur la plage, du même coté que Véro. Personne ne semblait sêtre aperçu de notre absence.
En fait le lundi comme tous les lundis, le démarrage des équipes des différents chantiers étaient difficiles ; il fallait pousser un peu tout le monde, mais bon, cétait lhabitude, quant au Mardi, je fus occupé par le maître duvre. Ainsi le Mercredi en fin de matinée, je me dirigeais vers le magasin de Véro. Accueil, puis secrétariat ou la jeune femme me dit que Mme Véro était occupé. Jinsistais lui demandant simplement de linformer de ma présence. Accord fut donné pour que je rentre dans le bureau. Effectivement Véro était avec un représentant de produit chinois. Après les présentations Véro mexpliqua que sa journée serait consacrée à son visiteur. Laffaire était entendue. On se donna rendez-vous pour le samedi, personnellement étant bloqué les jours suivants.
Samedi 26 septembre 1981 Jean raconte
Nous nous étions retrouvé une douzaine de personnes pour diner dune pizza. Il y avait tous les habitués dont Véro et B. On sinstallait au fur et à mesure que lon arrivait sans protocole. Le diner se passa sans problèmes spéciaux et vers 10,00 du soir direction le Club. Là comme dhabitudes, on commençait à danser avec son épouse puis on changeait de cavalières. Jarrivais enfin à inviter Véro, qui aussitôt sur la piste se colla à moi. « Mercredi, je suis désolée, mais il métait impossible de me débarrasser de mon fournisseur qui est arrivé sans prévenir »
« OK, quand lambiance sera plus chaude, on se retrouve sur le parking et on va pouvoir rattr le temps perdu »
Et tout en continuant sa danse des hanches, ce qui nétait pas sans effet « On verra, attends un peu » La série était terminée, je la raccompagnais et jenchainais une autre série avec AL .
AL « Occupes toi un peu de moi. Tu as lair contrarié ?» Puis se collant un peu plus à moi et jouant des hanches elle sapprocha de mon oreille « Si, au lieu de rentrer à la maison tout à lheure, tu memmenais à la plage »
Moi : « Tu as un maillot ? »
AL : « Pourquoi faire, je nai déjà que ma robe, je ne vais pas mencombrer dun maillot pour me baigner la nuit et tu naimerais pas. Penses-tu que cest une bonne idée ? »
Moi : « Ça me paraît une excellente idée » et nous revenions à notre table quand le responsable de la musique mit un tango. Véro se leva et avant que je nai le temps de masseoir « Tu minvites pour cette série ? » et nous voilà parti pour un nouveau tour.
Moi : « Alors, ce soir cest le grand calme ? »
Véro : « On dirait que tu es un peu nerveux ! »
Moi : « Disons que jespérais rattr le temps perdu et je maperçois que je me suis trompé »
Véro : « Tu sais le parking !!! Jai un peu limpression de prendre le travail des filles qui attendent le client et je me demande si tu as encore envi de moi, je ne sens rien » et se collant à moi elle se mit à rouler des hanches et quand elle le pouvait à frotter son entrejambe contre ma cuisse. Le résultat ne se fit pas attendre.
Véro : «Ahhh, il y a de la réaction. Sois patient, je te lai dit, jaimerais passer une soirée et une nuit avec toi »
Moi : « Wouah, le rêve, une soirée guêpière et escarpins »
Véro : « Oui, pourquoi pas, jaimerais assez »
Moi : « Avec une femme prête à toutes les folies de son corps ? »
Véro : « Un peu ça »
Moi : « La série est finie, dommage, le rêve est en train de sarrêter »
La danse se terminant, je raccompagnais ma cavalière à notre table et AL annonça à la ronde: « Je pense que nous allons partir »
Aussitôt Véro prenant B par le bras dit « Nous aussi, nous allons partir »
En sortant nous nous sommes dirigés vers nos voitures respectives qui étaient presque lune à coté de lautre. Avant de nous séparer, Véro sarrêta et dit : « Je pense que pour rentrer ce soir nous allons changer de cavaliers »
Lensemble : « Quoi ?»
Véro : « B quand nous étions en garnison en France tu as couché avec la femme du capitaine, il est vrai tous les lieutenants et sous lieutenants sont passés dans son lit »
Bernard : » Que racontes-tu ? »
AL et moi étions surpris et coincés. Il était difficile de sinsinuer dans ce dialogue complètement fou.
Véro : « Laisses moi finir, je tavais dit que je naccepterais pas un autre coup de canif dans le contrat, tu nen as pas tenu compte puisque Al est ta maîtresse, très bon choix dailleurs, désolée Jean de tapprendre cette nouvelle. »
Surprise générale ? Hésitations à la tenue à tenir ?
Véro : « Laissez moi terminer, au lieu de divorcer, comme AL est ta maitresse et que Jean est un bel homme, je vais le prendre comme amant, je pense quil ne refusera pas »
Et ouvrant sa robe portefeuille elle apparut toute nue, en disant : « Je pense que jai de quoi satisfaire un honnête homme et que Jean étant un homme courtois il ne saurait refuser ce que je lui offre »
AL me regardait étonnée, jen faisait autant, seul B essayait de réagir, mais visiblement était dépassé par ce qui se passait, comme nous tous dailleurs.
Et Véro me prenant le bras dit : « Laffaire étant entendue, Jean tu viens à la maison, Bernard tu vas chez AL et nous nous retrouvons demain 10,00 h ici pour changer de cavalier, avant daller à la plage, aucun dentre nous ne veut faire la une des faits divers. Bonne nuit à demain »
FIN
PS je remercie toutes les lectrices et tous les lecteurs qui mont fait lhonneur de me suivre dans la narration de cette « tranche de vie », récit légèrement aménagé tiré de faits réels. Merci
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!