Kary-25
Madame na pu sempêcher de samuser avec moi immédiatement avec son nouveau jouet. Elle ma fait placé debout et après mavoir installé deux bracelets de cuire aux poignets elle ma suspendu au milieu du donjon. Elle a ensuite pris soin de placer une barre décartèlement à mes chevilles. Je lai vu enfiler les gants. Elle semblait hypnotisée par ses nouveaux jouets. Elle me regardait différemment qua lhabitude. Son regard était pétillant, sa bouche arborait un sourire sadique. Elle a placé délicatement sa main sur ma vulve et ma regardé droit dans les yeux. Jétais terrifiée.
-Alors petite salope tu es prête à me faire plaisir et me montrer comment tu es toute dévouée pour moi?
-Heu
Oui Madame
-Malheureusement pour moi javais hésité à répondre et cela avait frustré Madame.
-Tu hésites petite pute.
Madame a aussitôt resserré la main sur ma vulve et jai senti les pointes dans ses gants sen prendre à mon sexe. Cétait tellement douloureux. Jai compris à ce moment-là que carpette était habitué et endurci face à ces instruments diaboliques. Carpette avait dû avoir un long entrainement pour supporter ce supplice. Jai fait onduler mon corps face à cette douleur, mais cela nétait pas une bonne idée, cela na fait que remuer les pointes sur ma vulve pour accen la souffrance davantage.
-Ouchhhhh! Maadaaaameee
Pitié
..
-Hummmm, ma petite salope renonce déjà, moi je commence juste à mamuser.
-Sniffff, snifffff.
-Tu as intérêt à ne plus hésiter petite sotte.
-Oui Madame.
-Alors kary tu veux me faire plaisir
Tu veux me montrer que tu es prête à souffrir pour moi, jaime tellement te voir te tortiller devant moi.
-Oui Madame.
-Bien, alors rend moi fière de toi maintenant.
-Oui Madame.
Cest alors quelle a commencé à malaxer ma vulve avec intérêt. Elle prenait bien soin de regarder ma réaction suite à chaque mouvement.
-Ha que tu es belle quand tu pleures kary
Cest tellement un beau cadeau que tu me fais. Tu aimes souffrir pour mon plaisir?
-Oui Madame. Snifff.
-Jaimes tellement tes grimaces, tes larmes et tes ondulations que tu fais avec ton corps face à la souffrance.
Madame samusait comme une chef dorchestre qui dirige ses musiciens, elle contrôlait mes mouvements et mes grimaces à sa guise. Finalement après un certain temps elle a retiré sa main de ma vulve. Jai senti comme un courant dair frais envahir mon entre jambe. Madame sest collé sur mon corps et ma embrassé goulument. Puis sans crier gare elle a empoigné mes fesses avec fermeté. Jai retiré mes lèvres rapidement des siennes pour ouvrir grande ma bouche et lâcher un cri de douleur. Jai senti les pointes entrer dans ma chair.
-Ne tarrête pas salope, embrasse-moi.
-Oui Madame
Jai alors reposé mes lèvres sur celle de Madame et je lai embrassé goulument. Mes mouvements de langue étaient rythmés avec le massage sadique de mes fesses. Je sentais le corps de ma tortionnaire se presser contre moi. Je sentais cette chaleur menvelopper. Ma vulve était aussi humide que ma bouche et mon corps ondulait dans un ballet sensuel, quoique rythmé et saccadé. Les larmes coulaient sur mes joues. La douleur disait à mon corps que tout devait sarrêter, mais mon esprit, cette petite voix masochisme, en redemandait encore. Je souffrais, mais jétais bien.
Lorsque Madame a eu finit de tester et de samuser avec son nouveau jouet elle ma fait faire de petits exercices dobéissance du genre aux pieds, va chercher la balle, à genoux, saute sur place etc
Javais lair dune vraie chienne savante. Jexécutais toutes ses commandes avec soins. Jétais fière quelle me possède dans tous les sens du terme et dêtre son objet de plaisir.
À partir de cette rencontre avec Maitresse Amanda, Madame sest mise à changer. Elle est devenue plus stricte et exigeante. Ce qui ma semblé être un jeu excitant au début de notre relation est devenu un mode de vie. Karine sest effacée tout doucement. À part sur mon lieu de travail jétais à présent toujours kary. Les passages à mon condo se sont faits de plus en plus rare avec le temps. Tous mes uniformes de travail étaient chez Madame à présent et cest Carole la femme de ménage de Madame qui faisait mon lavage.
Madame a continué à voir Maitresse Amanda et son soumis afin de prendre de lassurance dans son rôle de Maitresse et de connaitre ses besoins afin de pouvoir mutiliser pour sa convenance. À chaque semaine je devais faire des exercices dobéissance et je devais apprendre à obéir à Madame sans quelle nait besoin de dire un mot.
Pour cadeau des fêtes elle ma offert un bijou. Je me souviens très bien du jour où nous sommes allez le chercher. Cétait un vendredi de décembre juste avant Noel. Après mon petit déjeuner, à quatre pattes sur le plancher de la cuisine bien entendu et sous les regards de Madame, Sylvie et Carole, Madame a ordonné à ses deux domestiques de me passer les bracelets de cuire aux poignets et aux chevilles. Puis Madame ma ordonné de mettre un imperméable gris quelle avait sorti du garde-robe dentrée. Nous sommes allez au garage et jai pris place côté passager dans sa voiture. Je minterrogeais sur notre destination. Jétais pieds nus et avec pour seul vêtement cet imper. Madame a pris la direction du centre-ville de Montréal. Finalement elle sest stationnée dans une petite ruelle.
-Descend de la voiture petite salope.
Jétais pieds nu et nous étions au centre-ville.
-Bonjour Madame
-Bonjour Mademoiselle, nous venons pour la petite cérémonie.
-Bien sûr, veuillez me suivre.
Javais les pieds gelés, mais mon cerveau bouillait dinquiétude. Quétait-ce cette cérémonie? Quallait-il se passer? Madame ma dirigé, me faisant suivre la caissière du magasin. Jai eu droit à quelques regards des clients qui magasinaient quelques jouets. Juste avant de passer la porte qui nous faisait face la caissière a placé un bandeau sur mes yeux. Puis nous sommes entrées dans larrière-boutique. Jai traversé une pièce pour me retrouver face à un mur.
-Je vais enlever ton bandeau et tu vas rester le nez collé sur le mur ta compris.
-Oui madame.
Elle a libéré mes poignets et a retiré mon imperméable, pour ensuite ré attacher mes poignets dans mon dos. Jétais donc nue, face au mur et les mains dans le dos dans cette arrière-boutique de magasin. Je grelottais, quand soudain jai entendu des voix, dont une que jai reconnue.
-Beau bonjour Pénélope
-Bonjour Madame Amanda
Bonjour
-Je suis heureuse que vous soyez venu pour assister à cette nouvelle étape de la vie de kary.
-Je ne voulais pas manquer cela, je suis tellement fière de vous et de votre petite chienne.
-Merci beaucoup.
-Que de progrès en quelques semaines seulement.
-Vous Mavez tellement aidé cher Amanda et grâce à vous je vois tout le potentiel de kary à présent.
-Vous allez voir, vous allez être très heureuse avec cette acquisition une fois bien programmé.
-Je le suis déjà, alors imaginez
Ce lieu inconnu, les voix de madame et de Maitresse Amanda derrière moi, cet orage dans ma tête, les scénarios qui sentre choc, ce puissant sentiment de honte qui menvahi. Mais ce plaisir qui me transperce en même temps, ouf, je perds mes moyens, je perds le contrôle, mon cur bat sans compter, je sens mes veines se dilater.
-Tourne-toi à présent kary.
Je me tourne lentement, mon cur sarrête. Il y a Madame, Maitresse Amanda et son soumis, La caissière et un inconnu. Tout ce beau monde me regarde avec intérêt.
-Viens ici et met toi à genoux
-Oui Madame.
Il y a une petite table au milieu de la pièce sur la quelle il y a une boite. Lhomme inconnu ouvre la boite et la montre à Madame.
-Hum
Oui, très beau travail Monsieur
-Merci
Madame en sort une sorte de collier quelle dépose sur la table. Puis un autre objet. Elle approche celui-ci de mon visage et dit.
-Allez, li linscription de ce côté
-Propriété de Madame Pénélope.
Cétait tellement beau, un petit cur avec cette inscription. Tout compte fait jétais heureuse. Puis elle retourne le petit cur pour me montrer lautre face. En fait, cétait un cadenas. Et avec les manuvres suivantes jai compris que le bijou en question était un collier. Elle ma donc passé le collier autour du cou. Il était assez juste. Cétait un collier rigide en stainless steel terminé de chaque côté par un anneau. Bien entendu cétait pour recevoir le cadenas de Madame. Le collier a une forme un peu bizarre, il épouse un peu la forme de mes épaules, le cadenas qui le ferme se trouve vis-à-vis ma clavicule gauche et au centre du collier à lavant il y a un anneau ainsi quun deuxième derrière au centre du dos.
-Voilà petite chienne, tu as ton collier permanent à présent.
-Merci Madame
-Maintenant il ny a plus derreur tu mappartiens.
Elle avait bien dit collier permanent. Soudain jai eu une pensée pour mon travail et ma famille. Un autre terrible frisson ma envahi. Les personnes présentes se sont misent à applaudir. Jai dû embrasser les pieds de toutes les personnes présentes, puis Madame à sortie une laisse de sa sacoche et la fixé à mon collier. Elle a à peine déposé limper sur mes épaules et elle ma tiré hors de larrière-boutique, jai traversé le magasin avec limper ouvert montrant aux clients une partie de mes seins et ma vulve glabre. Cest rouge de honte que je suis sortie sur le trottoir faisant face aux multiples passants. Javais froid et javais hâte de regagner la voiture. Je me suis assise côté passager, après que Madame est retiré limper qui me couvrait à peine et a bouclé ma ceinture parce javais toujours les mains liées dans le dos et nous sommes retourné à la résidence de Madame.
Chez Madame cest à quatre pattes que jai fait le trajet entre le garage et le salon. Madame ma fait placer à genoux au centre, et jai attendu patiemment quelle revienne. Elle sest assise dans le fauteuil devant moi tout en prenant son temps pour déguster une boisson alcoolisée. Elle me regardait avec un air étrange, un air de satisfaction, de victoire. Elle savourait le moment comme un accomplissement.
-À partir daujourdhui kary tu peux dire adieu à Karine, elle nexiste plus. Doré navant tu es kary 24 heures sur 24, tu mappartiens et tu dois toujours mobéir sans hésiter. Ta bien compris.
-Oui Madame
-Le collier que tu as reçus aujourdhui fait désormais parti de toi, jamais il ne te sera autorisé de lenlever
De toute façon cest moi qui garde la clé, et soit rassurée, il est très solide.
-Mais Madame
Jai à peine eu le temps de finir ma phrase quelle sest levée et ma giflé à trois reprises de façon très violente. Puis elle a saisi le bout de mes seins en les pinçant très fort et fait un mouvement comme pour me soulever.
-Ne tavise plus jamais de me contredire ou de discuter mes ordres parce que tu vas être punit très sévèrement petite salope.
Les larmes sont venues très rapidement à mes yeux. Javais très mal. Madame serrait toujours et mettait une pression vers le haut. Elle me regardait avec un air très sévère comme je ne lavais jamais vue.
-Écoute bien petite pute, tu es à moi, tu es ma chose, linstrument de mon plaisir, tu es tout ce que je veux que tu sois, cest bien clair dans ton esprit ça?
-Snifff
Ouiiiuiiii Mmaaaadaaammmeee.
Cette journée de décembre lan dernier a été le point tournant dans ma relation avec Madame Pénélope. Je savais quà partir de là ma vie ne serait vraiment plus pareil comme avant. Je pouvais sûrement encore me servir de mon véto pour sortir de cette relation avant que cela naille trop loin, mais si josais seulement lévoquer peut-être que Madame y mettrait fin. Tout cela me faisait peur, mais les sensations profondes qui mhabitaient et le bonheur que je retirais de cette situation hors du commun qui menivrait au plus haut point me forçait à accepter ma place auprès de Madame. Je nenvisageais plus de vivre une seul journée de ma vie sans toute cette intensité qui caractérisait le rapport de pouvoir entre moi et ma déesse. Elle a finalement lâché mes seins et est retourné sassoir.
-Merci Madame de me permettre de devenir meilleur pour vous
Je vous appartiens et je vais me dépasser pour votre plaisir. Je vous aime Madame.
Les yeux de ma Maitresse se sont illuminés. Jai senti sa fierté, son bonheur de me posséder. Du coup jétais heureuse de lui faire ainsi plaisir. Oui, jétais heureuse quand je lui faisais plaisir et je ressentais une forme de bien être lorsquelle me donnait un ordre ou me faisait faire un nouveau défi. Jétais heureuse lorsquelle mhumiliait, me procurait de la douleur ou quelle se servait de moi. Je suis incapable de comprendre pourquoi, mais jaime être soumise. Encore plus, jaime être une esclave et tout simplement obéir, souffrir, nêtre quun objet que lon utilise. Combien de fois je me suis demandé si jétais normale. Mais jai arrêté de me poser la question. Cest comme cela, cest tout. La seul chose dont je suis certaine et que je comprends, cest que si je mets fin à ma relation avec Madame je ne serai plus jamais heureuse. Alors même si parfois cela est difficile, je veux continuer dappartenir corps et âme à cette femme que jaime plus que tout au monde. Jaime tout simplement être à elle
Et elle ma fait un petit discourt pour me donner les nouvelles consignes en accord avec mon nouveau statut de soumise total. Entre autre les domestiques étaient averti que pour eux jétais ni plus ni moins quune petite chienne, un animal de compagnie pour Madame et quil devait me traiter comme-t-elle. Moi je devais leur témoigner du respect au même titre que Madame, sans aucune familiarité. Avant lorsque je venais chez Madame à titre de Karine les domestique avaient pris lhabitude de me vouvoyez et de mappeler Madame. Mais ce temps était révolu
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