La Pute De L'Entreprise - Chapitre 2

Elle s’enfonça dans son fauteuil, essayant de pousser le plug plus loin. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à ce moment passé dans la salle de conférence avec M. FOUCHER. Elle aurait voulu être offensée et en colère pour ce que les gens appelleraient un viol la plupart du temps. Mais elle ne pouvait pas. Elle en voulait plus. Elle voulait qu’on remplisse tous ses trous. Elle avait été privée d’orgasme au dernier moment et ça lui manquait. Elle savait que tous les hommes dans ces bureaux s’en foutait qu’elle jouisse ou non. Elle était seulement là pour qu’ils se vident en elle. Le vieux directeur s’était masturbé avec ses seins puis l’avait sodomisé et éjaculé en elle. Si c’était cela de travailler chez
DUPONT, MARTIN et FOUCHER, elle avait découvert qu’elle était assez chienne pour en profiter. Avant ces deux derniers jours, elle ne se considérait pas comme une salope, ayant seulement couchée avec son ex-petit ami avant de prendre ce poste de secrétaire. Elle rit en elle-même en relisant la plaque sur son bureau : PUTE DE L’ENTREPRISE.
- SALOPE !!
Son patron, M.DUPONT interrompit ses pensées en l’appelant dans son bureau :
- Rampez jusqu’ici que nous puissions continuer votre éducation.
De suite, elle quitta son fauteuil, et sur les mains et les genoux, elle avança sur la moquette du grand bureau de son patron. Elle était soulagée que cette partie du bâtiment soit vide et protégé par des codes d’accès, de sorte que personne ne pouvait la voir se comporter comme une chienne en marchant à quatre pattes. Surtout qu’elle avait un gros plug noir qui sortait de son cul sous sa mini-jupe, que les lèvres de sa chatte étaient mouillées d’un fluide qui lui coulait le long des jambes.
Alors qu’elle avançait dans le bureau, M. DUPONT fit pivoter son fauteuil vers l’angle de son bureau, bras appuyé sur le plateau d’acajou.
- Voilà une obéissante petite poupée Salope ! Continuez à avancer petit jouet sexuel ! ici ! à la droite de votre maître.


Il tapota son genou comme il le ferait pour un chien.
- Je suis content de voir que vous avez accepté votre condition, Chienne !
Les genoux d’Ingrid commençaient à la brûler alors qu’ils frottaient sur la moquette. Alors elle releva un peu son cul pour mieux se déplacer. Enfin elle arriva et posa son visage sur les genoux de son patron. Serait-elle assez audacieuse pour frotter ses lèvres et ses joues contre l’entrejambe de l’homme afin de sentir la bite de l’homme qui grossissait à travers le pantalon ;
La voyant regarder sa queue, M. DUPONT murmura, plus pour lui-même que pour elle :
- Merde ! j’ai bien embauché une vraie Salope !
D’une voix plus forte en direction d’Ingrid, il continua :
- Cela fait deux jours que j’ai envie de vous baiser…… et c’est mon tout maintenant !
En tant que Directeur Général, M. FOUCHE avez toujours eu le premier tour sur les embauches qu’ils prévoyaient d’utiliser comme putains. Il fallait toujours une patience extrême à M. DUPOND pour attendre son tour.
- Allez ! Demandez !
Ingrid glissa ses lèvres sur l’entrejambe, sentant la longueur de la bite à travers le tissu du pantalon. Elle ne savait pas ce qu’il voulait qu’elle demande. Elle leva les yeux vers lui :
- Monsieur ??
- Maudite putain !!!!!!
M. Dupont grogna, poussant le visage de la jeune fille loin de lui, si bien qu’elle tomba à la renverse, ses énormes seins ballottant dans son chemisier. Son patron explosa de colère et criant :
- Hier je vous ai précisé quelle Salope vous êtes ! et aujourd’hui vous ne comprenez pas ce que je veux ! Merde ! Je vais vous le dire gentiment et lentement, stupide sac à foutre…… Demandez-moi de vous enculer, demandez-moi de vous baiser tous les trous, demandez-moi de maltraiter vos seins ! Demandez-moi !!!!!!
Il se leva de sa chaise avec fureur et la domina la main levée, prête à la frapper. Face à une telle colère Ingrid tremblait. Elle n’avait pas réalisé le tempérament qu’il avait.
Le regardant avec des yeux craintifs, elle le supplia :
- Oui, s’il vous plaît Monsieur, baisez-moi ! Baisez ma bouche et tous les trous que vous voulez ! s’il vous plait Monsieur, utilisez mon corps de pute !
M. DUPONT aimait que les femmes le supplient. Il se calma immédiatement. Puis il baissa son pantalon et retourna s’asseoir dans son fauteuil de cuir ;
- Voilà j’aime mieux ! C’est bien de me dire que vous avez besoin de mon sexe. Venez me sucer Salope !
Ingrid se remis à quatre pattes, avança en jugeant la longueur de la bite de l’homme. Après avoir caressé le membre avec sa joue, elle glissa ses lèvres tout du long étalant son rouge à lèvres. Puis elle pris ses couilles dans son autre main alors qu'elle tournait la bite sur l'autre côté de son visage et se giflait avec. Son clitoris chauffa alors qu'elle sentait le velouté de la peau du membre sur son visage.
- Sucez-moi ! Ordonna le patron.
Elle lécha une petite goutte de liquide pré-éjaculatoire sortant de la queue. Puis tourna la langue autour de la tête de la bite. Et alors qu'elle commence, centimètre par centimètre, à avaler ce membre, une partie de son esprit commence à ,protester. Que fait-elle ? Mais certes, elle ne pourrait pas trouver un emploi qui ne l'oblige à cette dégradation, à l'utilisation de son corps de pute.
A ce moment, M. DUPONT pousse l'arrière de sa tête, forçant sa bite à venir taper le fond de la gorge de la jeune fille.
Ingrid lutta pour se relever mais la main de son patron était ferme et lui tenait bien la tête. Bâillonnée, étouffée, elle agita ses mains, saisissant ses cuisses puis les cotés du fauteuil, essayant de reculer afin de pouvoir respirer plus librement. L’homme la regardait lutter tout en tenant ses mains sur sa tête :
- vous pouvez vous débattre tant que vous voulez mais j’enfoncerai ma bite tout au fond de votre gorge car vous êtes un chienne !
Ingrid ne pouvait plus respirer mais en entendant ses paroles elle sentit la chaleur monter dans sa chatte et su que c’est ce qu’elle voulait.
Elle voulait lui faire plaisir, sentir sa queue tout au fond de sa gorge. Elle voulait être usée et abusée.
Repoussant les pensées qui lui suggéraient qu’elle ne méritait pas cela, elle se détendit et permis au membre de s’enfoncer plus profondément. Sa vision commença à s’obscurcir alors qu’elle commençait à manquer d’air.
Pourtant l’homme lui souleva la tête, lui permettant de reprendre une bouffée d’air puis appuya de nouveau. Cette fois ci, elle permit à la queue de s’enfoncer facilement jusqu’au fond de sa gorge.
- Voilà grosse suceuse, je baise votre visage
Et il continuait le mouvement de haut en bas avec sa tête sur sa verge. A chaque fois, sa bite glissait jusqu’au fond, le nez de la jeune fille s’écrasant sur son ventre. Alors qu’Ingrid avait trouvé le bon rythme, elle entendit des pas masculins derrière elle qui lui firent stopper net sa fellation e
- Vous ai-je dit d’arrêter espèce de salope ?
Son patron la gifla.
- Continuez de me sucer jusqu’à ce que je vous ordonne le contraire ! c’est la seule chose qui doit vous intéresser !
Ingrid repris sa fellation, mais son attention était axée sur ce qui se passait derrière elle. Consciente du plug dans son cul, elle se rendit compte que le nouvel arrivant pourrait le voir sous sa jupe. Elle espérait que c’était M. FOUCHER, qui l’avait déjà sodomisée plus tôt dans la journée. Elle ne pouvait supporter qu’un autre étranger la voie dans cet état de dégradation. Puis le nouveau venu parla mais, avec les bruits de succion, elle n’arriva pas à reconnaître cette voix.
- Albert ! Je vois que vous êtes ……… occupé !
La voix se mit à rire et M. DUPONT rit avec lui.
- Cette salope ne pouvait pas attendre, elle voulait me sucer. Que voulez-vous que je fasse ? Mais n’hésitez pas à profiter de ses autres trous si vous le souhaitez Benjamin.
Benjamin ? Bon sang, quel était le prénom de M. FOUCHER ? Ingrid ne se souvenait pas mais elle savait que ce n’était pas Benjamin.
Elle sera les fesses sur le plug alors que des mains soulevaient sa jupe. Ensuite ces mains se posèrent sur son cul nul et s’appuyèrent dessus alors que le nouvel homme s’agenouillait derrière elle. M. DUPOND la regarda, sa queue dans sa bouche puis regarda Benjamin et sourit :
- Je pense que je dois faire les présentations. Ceci est ma nouvelle chienne ; Vous pouvez l’utiliser comme vous le voulez. Elle aime se faire baiser même si elle le nie parfois. Comme la plupart des putes aux énormes seins, elle est un peu lente à comprendre parfois. Salope, voici M. MARTIN, Directeur du contentieux de notre société.
Ingrid ne voyait pas ce nouveau directeur mais elle le sentait derrière elle. Soudainement, il retira le plug de son cul et dit :
- Je suis toujours heureux de rencontrer un nouveau jouet !
La jeune fille gémit, la bouche pleine, en sentant son trou du cul vide tout d’un coup. Elle tortilla ses fesses, espérant que le nouveau venu s’amuse avec son clitoris. Alors que sa tête continuait ses vas et viens et que son nez tapait le ventre de M. DUPONT, M. MARTIN passa sa main à l’intérieur des jambes de la femme, récupérant le jus de la chatte dans ses doigts :
- Je n’arrive pas à croire comment elle mouille cette chienne ! elle aime vraiment ça !
Ingrid grogna et gémit, la bouche engloutissant le membre de son patron. Elle aurait souhaité qu’on la soulage, qu’elle puisse jouir.
M. MARTIN essuya sa main sur l’anus de la jeune fille puis y enfonça son index. Puis il y mit un autre doigt.
- Bon sang ! Même son trou du cul est mouillé !
Il introduit un troisième doigt.
M. DUPONT souleva la tête d’Ingrid, sa bite de sa bouche et lui demanda :
- Pouvez-vous dire à M. MARTIN pourquoi votre trou du cul est humide, petite traînée ?
Ingrid se racla la gorge, avala sa salive et répondit !
- Oui Monsieur ! Mon trou du cul est humide car il a déjà servi et il est rempli de sperme.
M. MARTIN s’esclaffa :
- ha ha ! Comme un sac à foutre ! je suis heureux de pouvoir vous aider et ajouter une autre décharge dans votre cul Salope
Alors Ingrid sentit le gland de l’homme pousser son trou et entrer facilement tellement son trou avait était élargi avec le plug et la bite de M. FOUCHER. Elle essaya de reculer son bassin afin qu’il la pénètre le plus profondément possible. Elle le sentait plus long et plus large que ce qu’elle avait déjà eu. Elle aimait ça. L’homme commença ses vas et vient, agrippant les hanches de la fille, s’enfonçant le plus profondément possible. Sans même y penser la jeune fille se balançait afin d’accompagner la queue.
- Oui s’il vous plaît ! baisez-moi ! enculez-moi avec votre grosse bite Monsieur !
Ingrid gémit. Elle se sentait si sale. Sodomisée deux fois dans la journée et une fellation, elle avait déjà servie à trois queues depuis son arrivée aujourd’hui. Dire que son ex-petit ami devait la violer pour pouvoir la sodomiser. Il devait la tenir pour pouvoir introduire son membre. Et elle essayait de se sauver en se débattant. Et maintenant, dans ces bureaux, elle mendiait pour être baisée. Elle ne comprenait pas ce changement. Peut-être que M.DUPONT avait su lui montrer quel Salope elle était. Il lui avait démontré qu’une femme qui se faisait gonfler les seins n’était vue par les hommes que comme une pute. Quoi qu’il en soit elle était reconnaissante à son patron de son embauche. Elle sentait les couilles de l’homme venir taper sa chatte alors qu’il l’enculait. Elle accompagnait le mouvement de plus en plus.
Et puis M. DUPONT attrapa ses cheveux pour la tirer en avant. Par réflexe, Ingrid essaya d’agripper les mains qui lui blessaient le cuir chevelu, criant un peu de douleur, et agacée qu’il interrompe la sodomisation. M. DUPONT tira encore sur les cheveux, la forçant à le regarder :
- Vous n’oubliez pas quelque chose alors que vous vous faites enculer stupide chienne ? Me SUCER !!!!
Il lui cracha au visage.
Alors que la salive coulait le long de sa joue, Ingrid recommença sa fellation. M. MARTIN ,lui, repris son enculage :
- C’est vrai ! vous n’êtes qu’un jouet sexuel, une putain ! Prenez ces bites dans vos trous !
A chaque fois que la queue de M. MARTIN arrivait au fond de son cul, elle était poussée en avant jusqu’au fond de la gorge sur la bite de M.DUPONT. Elle était prise par les deux bouts et elle aimait ça, n’arrêtant pas de gémir autour du sexe se son patron.
Soudainement celui-ci retira sa grosse bite de la bouche de la jeune fille :
- Je veux vous voir prise par les deux trous sale putain. Si vous pouvez tenir un petit moment sans une bite dans votre cul rampez jusqu’à mon canapé, Salope
Et au directeur du contentieux il dit :
- Benjamin, ne seriez-vous pas plus à l’aise assis sur le canapé, laissant cette chienne travailler ? Nous la payons après tout !
Benjamin retira sa bite du trou du cul maintenant béant et se leva pour aller prendre place sur le canapé. Il entendait la fille le suivre lentement à quatre pattes, son maquillage complètement défait et étalé sur son visage, de la salive sur la joue et de la bave au menton.
- Asseyez-vous sur ma bite ! vite !
- Oui Monsieur !
Ingrid n’eut qu’un simple coup d’œil à M. MARTIN, assis sur le canapé, caressant son gros bâton dans une main, l’autre bras sur le dos du siège, les yeux noirs fixés sur elle.
- J’espère que vous savez dans quel trou je veux mettre ma queue, Salope ?
Ingrid avait été sur le point de glisser la bite dans sa chatte, mais maintenant elle doutait. Comme elle se retournait pour présenter son cul à sa queue, elle répondit :
- euhhhhhhh ….. mon cul Monsieur ?
Il rit.
- Parfois vous n’êtes pas aussi stupide que vous le semblez chienne. Oui, baissez votre cul sur mon sexe et montrez-moi vos talents de prostituée.
Elle le fit. Puis elle commença des mouvements de haut en bas sur l’énorme tige, faisant tressauter ses gros seins en rythme. Soudain elle remarqua le téléphone mobile que tenait M. DUPONT. Elle tressaillit. Son patron sourit :
Souriez salope ! nous allons faire de vous une star de la baise !
Ingrid rougit et sourit timidement alors qu’il filmait ses mouvements. Sa chatte se serra à la pensée de l’utilisation que pourrait faire M. DUPONT de cette vidéo et des conséquences possible. Pourtant elle continua de chevaucher cette bite en fixant le téléphone. Puis, pour plus d’effets, elle saisit ses gros nichons, soulève un sein jusqu’à son visage, lèche le téton et se met à le sucer, gémissante.
- Oh oui j’aime ça putain ! Continuez avec vos seins et continuez à enfourcher cette bite, je reviens !
En deux pas, M. DUPONT arriva à la commode, ouvrit un tiroir pour fouiller dedans. Trouvant ce qu’il cherchait il revient vers le canapé et la chevaucheuse de bite. Il tendit la main vers le sein gauche rebondissant, le caressa puis saisit le mamelon, l’étira, faisant crier la fille de douleur, et mis une pince sur son téton. De nouveau elle cria sous cette douleur. Mais M. DUPONT répéta le processus avec l’autre sein. Puis il recula et regarda rebondir les deux seins dont les tétons étaient mordus par deux pinces liées par une petite chaîne.
- J’aime voir ces seins et la chaîne les liant ! ça vous fait paraître encore plus chienne que vous l’êtes !
Puis il gifla son sein droit qui rebondit dans son sein gauche, faisant cliqueter la chaîne. Il recommença encore été encore jusqu’à ce que la peau devienne rouge et meurtrie. Elle cria et grogna à chaque gifle.
- Je vois que vous aimez ça Salope ! Chaque fois que je frappe un de vos gros seins, je peux voir votre chatte se contracter et baver.
Elle ne pouvait pas le nier. Mamelons pincés, une bite dans le cul, ses seins maltraités elle ne pouvait pas résister, ses mains s’approchèrent de son clitoris. Elle ne savait pas si son patron lui permettrait mais elle avait besoin de jouir. M. DUPONT regarda ses mains écarter les lèvres de sa chatte afin de trouver son clitoris gonflé.
- Gifle ta chatte Salope !
Elle le fit.
- Plus fort, claque ta chatte !
Elle gifla son clitoris encore plus violemment et elle trouva qu’elle aimait ça. Elle frappa sa chatte encore et encore puis en alternance elle la caressa alors qu’elle montait et redescendait sur la bite dans son cul.
Son patron recommençait à filmer d’une main alors que de l’autre il se masturbait
- Quelle chienne ! je vais pénétrer ta chatte et éjaculer sur ton visage de pute ! vous n’êtes qu’un sac à foutre ! vous allez prendre deux bites dans vos trous de salope !
Ces mots dégradants achevèrent Ingrid. Elle gicla dans sa main, arrosant le canapé, les couilles de M. MARTIN. Des vagues de plaisir la submergèrent et elle cria de désir !
- Oui Monsieur ! S’il vous plaît, baisez-moi ! Utilisez-moi ! Je ne suis pas une bonne pute sans aucunes bites en moi !
M. DUPONT repoussa légèrement Ingrid sur la poitrine de son collègue qui lui, attira les hanches de la jeune fille afin de ne pas sortir de son cul. Maintenant que les jambes de la femme étaient en l'air, écartées, sa chatte plus accessible, son patron commença à frotter la tête de son gland contre le clitoris puis pénétra son sexe dégoulinant avec sa grosse queue. Ingrid ne s'était jamais senti autant prise. Elle n'avait jamais eu deux bites en même temps dans sa chatte et son cul.
M. DUPONT la ramona, sentant la bite de son collègue à travers la fine paroi du sexe de la fille
- oui oui vous êtes une vraie chienne à gros nichons ! Nous allons vous agrandir tous ces trous à bites !
Il haletait.
- Putain ! Sale putain ! Sac à foutre !
Alors qu'elle pensait qu'elle était plus salope qu'elle ne le serait jamais, elle attrapa ses seins en les serrant, tira sur la chaîne tenant ses mamelons pour étirer ses gros nichons.
- Baisez-moi Monsieur ! Utilisez-moi comme vous le voulez ! Je suis votre sac à sperme ! Je suis votre jouet ! Enculez-moi ! Baisez-moi !
Elle gémit sans plus aucuns remords à être utilisée comme une putain.
Elle avait presque oublié la bite dans son cul quand M. MARTIN dit :
- préparez-vous à prendre ma décharge de sperme dans votre cul ! Je vais l'ajouter à celle que vous avez déjà !
Et elle le sentit éjaculer dans ses entrailles, mélangeant son sperme avec celui qui y était déjà.
Pendant ce temps, M. DUPONT continuait de sortir et d'enfoncer sa queue dans sa chatte. Il pris la chaîne et tira très fort dessus afin d'étirer les mamelons au maximum. Ingrid se tordait de plaisir et de douleur. Enfin, sans avertissement , son patron donna encore quelques coups brutaux enfonçant sa bite au fond du col de la femme et déchargea une grosse quantité de sperme dans son ventre.
En reprenant son souffle, de la sueur gouttant de son visage au corps de la femme il lui sourit :
- Comment vous sentez-vous avec tous ce sperme dans vos trous de salope ? Du sperme de trois hommes différents en seulement quelques heures ! Vous êtes vraiment une chienne je suis content de vous avoir embauché !
Il recula alors que M. MARTIN grogna :
- Barrez-vous Salope !
Ingrid baissa ses jambes en regardant M. DUPONT fouiller dans les tiroirs de la commode. Il en tira un autre plug anal, encore plus gros que celui du matin. Il le promena sur le visage de la jeune femme , le faisant glisser sur les lèvres. Il lui dit :
- Descendez de cette bite Chienne ! Mais ne soyez pas trop déçue. Maintenant penchez-vous et montrez-moi comment votre trou du cul est ouvert !
En regardant la grosseur du nouveau plug, Ingrid savait que son cul n'était pas assez ouvert. Elle descendit de M. MARTIN et se pencha sur le coussin à côté de lui, exposant son trou du cul béant, attendant le jouet avec appréhension. Elle était certaine que son patron pouvait voir le fond de ses entrailles, avec le sperme tout au fond.
La pointe du plug glissa facilement et avec peu de résistance dans le trou du cul de la jeune fille. Il ne fallut commencer à le pousser que lorsqu’il fut entré à moitié. Alors que son patron força le reste de l'objet dans son anus, elle sauta et laissa échapper un sanglot de douleur et de frustration.
- Il serait dommage de perdre tous ce que mes collègues vous ont donné .Avec ce bouchon vous allez le garder en vous. Par contre je veux voir mon sperme couler de votre chatte le reste de la journée. Vous n'êtes pas autorisée à vous nettoyer. Je veux que vous vous regardiez dans un miroir afin de voir votre visage barbouillé, que vous sentiez mon sperme dégouliner et que vous profitiez de ce plug verrouillé dans votre fondement. A la fin de la journée, vous pourrez rentrer à la maison ou tout du moins dans cet hôtel miteux qui vous sert de maison. Et là seulement vous pourrez vous laver, prendre une douche, enlever ce plug. Par contre, demain matin, vous vous ferez un lavement puis vous remettrez le jouet en place. Vous comprenez Salope ?
Malgré le sex-toy qui lui violait le cul ou peut-être à cause de cela, alors qu'elle écoutait les instructions, Ingrid voulait se toucher le clitoris. Elle était tellement excitée qu'elle ne pouvait résister à toucher ses seins et tirer doucement sur la chaîne agrippée à ses mamelons alors qu'une main descendit sur sa chatte. Elle réalisa qu'elle devait donner une réponse à son patron.
- Oui Monsieur, je vais faire ce que vous dites. Mais............ Mais........
Ingrid rassembla son courage, prit une profonde inspiration et demanda :
- Puis-je me masturber Monsieur ?
Les deux hommes commencèrent à rire :
- Tu es vraiment une chienne ! Quel sac à foutre !
M. DUPONT fouilla dans le tiroir à jouets de la commode et en ressortit un énorme gode noir assez réaliste. Il l'agita devant le visage de la femme.
- Bien sûr que vous pouvez ! Prenez ce gode, allez vous l'enfoncer au fond de la chatte et ramonez-vous avec tout en regardant mon appareil photo, je vais faire un petit film pour l'intranet de l'entreprise.
Ingrid rougit de honte mais elle avait besoin de jouir. Elle avait déjà utilisée un vibromasseur sur ordre de son ex-petit ami mais il n'était pas aussi gros. Lentement elle pénétra sa chatte avec l'objet tout en titillant son clitoris avec son autre main. Elle était doublement pénétrée avec deux gros objets noirs. Elle se sentait comme une star de porno. Elle écarta les jambes afin que la caméra puisse capturer chaque image et elle gémit. Surprise que le gros gode entre sans difficulté dans son sexe, elle se pilonna le vagin avec force. Roulant son clitoris entre ses doigts, elle haleta et gémit. Puis, les yeux fermées, elle jouit, ses fluides giclant sur le canapé et le sol , fluides mélangés du sperme de son patron. Une fois qu'elle eut fini, M. DUPONT lui demanda :
- Comment vous sentez vous chienne ?
Ingrid, fatiguée et n'ayant plus le courage de paraître embarrassée répondit :
- Comme une salope bien baisée Monsieur !
L'homme cessa de filmer et rangea son téléphone ;
- Bon ! Maintenant vous allez nettoyer ! Vous laverez ce gode puis vous enlèverez tout ce sperme, cette sueur et je ne sais quoi d'autre de mon canapé et du sol et vous retournerez à votre bureau. Oh vous pouvez enlever la chaîne et les pinces de vos mamelons. Et vous pouvez remettre votre jupe correctement afin de couvrir votre sexe et l'objet dans votre cul. Par contre vous laisserez vos seins à l'air comme toute chienne que vous êtes.
Ingrid se remis sur ses pieds et obéit. Le mélange de liquide coulait de sa chatte et glissait le long de ses cuisses. Faisant comme il avait dit, elle retira les pinces de ses mamelons un par un, gémissant alors que le sang revenait. Elle massa un petit peu ses tétons et risqua un coup d’œil dans le bureau. M. MARTIN avait disparu et M. DUPONT était absorbé dans son travail à son bureau et l'ignora complètement alors qu'elle nettoyait les dégâts. Après qu'elle eut frotté le sol et le canapé, seins ballants, pendant environ un quart d'heure, M. DUPONT leva les yeux vers elle, exaspéré :
- Salope ? L'équipe de nettoyage finira le ménage ! Foutez le camp de mon bureau et allez répondre au téléphone !
Ingrid courut pour sortir du bureau. Il regarda ses gros seins tressauter à chaque pas ainsi que le liquide luisant à l'intérieur de ses jambes. Elle avait l'air tellement chaude qu’il envisageât quelques amusements après le travail.



A la fin de la journée, Ingrid se demanda si elle était autorisée à remettre ses seins dans son soutien-gorge avant de mettre son manteau. Alors qu'elle réfléchissait, regardant son manteau, M. DUPONT arriva derrière elle et répondit à la question. Sans paroles, il glissa ses bras autour d'elle, pris les mamelles meurtries et les remis à l’intérieur du soutien-gorge, puis il lui reboutonna son chemisier.
- Vous pouvez également refaire votre maquillage avant de partir !
- Merci Monsieur ! Répondit Ingrid en prenant son manteau.
- Profitez de votre soirée, Salope ! Et n'oubliez pas que le plug doit rester dans votre cul jusqu'à la maison. Sauf si bien sur, vous devez l'enlever pour vous faire remplir un peu plus afin d'augmenter la collection que vous avez commencé dans votre cul.
Il rit et lui claqua la fesse.
- Oui Monsieur !
Il caressait pensivement le cul de la jeune fille, nu sous sa jupe :
- Vous allez être accompagnée par un chauffeur de l'entreprise jusqu’à' à votre maison. Je ne voudrais pas que vous soyer prise pour une prostituée et vous soyez violée sur le chemin du retour. Non pas ce soir !
Il sourit malicieusement.
- Peut-être un autre soir !
- Oui Monsieur. Je vous remercie Monsieur !
Il s'agissait de la seule chose que pouvait répondre Ingrid. Elle réfléchissait sur l'insinuation de ses propos mais elle aurait le temps de s'inquiéter plus tard. Par contre elle appréciait d’être ramenée à son domicile par un chauffeur. Elle doutait pouvoir gérer le métro ainsi que la longue marche dans le quartier douteux de son hôtel dans son état actuel.
Apres avoir refait son maquillage et boutonné son manteau sur sa tenue de pute, elle attrapa son sac à main et se précipita dans les couloirs et hors des bureaux de DMF. Débouchant dans la rue, elle saisit les revers de son manteau, consciente que seuls quelques boutons cachaient sa tenue dégradante à la vue des passants.
Devant l'immeuble, un chauffeur tenait la porte d'une grosse berline noire. De toute évidence il l'attendait. Il sourit.
- Bonsoir Salope !
Alors qu'elle débouchait dans la rue, Ingrid avait commencé à regagner de l'estime pour elle-même malgré le plug dans son cul. Aussi fut-elle prise au dépourvu, lorsqu’il la traita de Salope. Elle le regarda de haut. Puis elle se souvient des instructions de M . DUPONT hier. Elle ne devait jamais résister aux exigences de tout homme des bureaux de DMF. Cela voulait-il dire que c'était seulement à l'intérieur des bureaux ? Ou alors que c'était pour tout employé de l'entreprise ? Ses instructions ce soir indiquaient qu'elle pouvait encore se faire sodomiser. Elle était en grande confusion. Aussi, elle sourit distraitement au chauffeur et marmonna
- Bonsoir
Alors qu'elle s'assit sur la banquette arrière de la voiture, le chauffeur ferma doucement la porte et contourna le véhicule pour s’asseoir sur le siège du conducteur. Il ajusta le rétroviseur afin de voir la femme puis il sortit du garage. Il roula pendant quelque temps en silence, les phares des autres voitures et les lampadaires éclairant alternativement l'intérieur de la voiture. Puis soudainement il dit :
- Ouvrez-moi ce manteau Salope ! Que je puisse voir l'énorme poitrine dont j'ai entendu parler.
Ingrid regarda fixement la nuque du chauffeur, voulant résister au commandement étant donné qu'elle était à l’extérieur des bureaux de DMF et que lui n'était qu'un employé au bas de l'échelle de l'entreprise.
- Hé bien ! Je savais que vous n'étiez pas un génie mais je ne vous pensais pas sourde. Écoutez-moi bien ! Aucune femme n'obtient un poste de salope sans montrer ses seins. Et ils m'ont dit comment vous étiez chienne. Cessez donc de résister comme une pucelle. J'ai le droit de me servir de vous.
Hébétée, la jeune fille hocha la tête et baissa les yeux. Elle déboutonna son manteau, et en ouvris les pans afin de montrer son décolleté. Le conducteur regardait dans le rétroviseur et lui dit :
- Malaxez vos seins !
Elle le fit, sans enthousiasme, suivant les instructions sans réfléchir.
- Je sais que vous aimez ça Salope ! Montrez-le moi !
Elle serra ses seins plus fortement, frottant ses pouces sur les mamelons à travers son chemisier. Mais elle gardait les yeux baissés et montrait une absence totale d'empressement à se conformer aux ordres. Le chauffer déplaça ses mains sur le volant.
- Ouvrez votre chemise ! Laissez-moi voir votre soutien-gorge.
Les mains de la jeune fille s’immobilisèrent et son esprit se révolta. Non, elle était en congé, elle était sortie des bureaux. Elle n'avait pas à se soumettre à cet homme.
Elle leva les yeux sur l'arrière de la tête de l'homme, pinça les lèvres, ferma son manteau et croisa les bras sur sa poitrine. Puis elle regarda par la fenêtre, essayant d'oublier le chauffeur.
Celui-ci freina brusquement, faisant crisser les pneus.
- Espèce de pute ! Vous croyez être meilleur que moi ? Vous n'êtes qu'une putain. Si je veux voir vos seins, vous me les montrez. Attendez que je parle de votre attitude aux directeurs de DMF.
Une voiture klaxonna derrière la berline alors le chauffeur redémarra, accéléra, roulant plus vite qu'il ne le devait, en colère.
Ingrid commença à douter de sa détermination. Et si M. DUPONT s'attendait à ce qu'elle soit disponible pour tout employé de DMF ? Que faire s'il la renvoyait pour ne pas avoir obéi au chauffeur ? Mais si elle devait simplement se faire baiser au bureau, que dirait-il si elle le faisait ailleurs ? Elle détestait se sentir aussi stupide à ne pas savoir que faire. Le conducteur accéléra, énervé. Elle ne voulait pas qu'il soit en colère contre elle. Alors, les mains tremblantes elle ouvrit à nouveau son manteau et dit d'une voix à peine audible :
- Je suis désolée, bien sur vous avez raison. Je ….. ne sais pas à quoi je pensais
- Voilà ! C'est mieux Salope !
Il ralentit puis tourna dans une ruelle entre deux bâtiments sombres. Ingrid baissa les mains et regarda par la fenêtre.
- Où sommes-nous ? Je suis désolée mais je pense que vous avez du vous tromper de route !
- Vous croyez que je ne le sais pas Salope !
Le chauffeur stoppa la voiture et enleva sa ceinture de sécurité. Il sortit de la berline puis il vint ouvrir la portière d'Ingrid.
Sors !
Alors que la jeune fille hésitait, il la prit par le bras pour la tirer hors de la voiture, la jetant contre le mur de brique d'un bâtiment dans la ruelle. Le visage de la femme percuta le mur, se coupant légèrement sa lèvre inférieure avec ses dents. L'homme lui tenait le bras plié dans le dos alors que son autre main se baladait sous son manteau et sa jupe, découvrant son cul nul dans l'air frais de la nuit.
- Tais toi chienne ou tu vas souffrir dix fois plus !
Ingrid serra les lèvres alors qu'il caressait sa chatte. Excitée, elle écarta les jambes pour laisser les doigts envahir son intimité. Elle voulait être baisée violemment. Elle le méritait.
- Je savais que tu étais une salope, je savais que tu aimais ça. Lui dit-il ,à l'oreille
I l la tira jusqu’à la voiture, déchira son chemisier, et la jeta à plat ventre sur le capot de la voiture.
- Remontes ta jupe Salope !
Elle lui obéit et attendit qu'il voie son plug anal. Elle se demandait ce qu'il allait en penser.
- OH ! Bravo pour le plug ! Aboya-t-il en riant.
- Je voulais juste baiser votre chatte mais comme je vois que votre trou du cul est prêt, pourquoi je n'en profiterai pas.
Il ricana puis arracha le plug. Ingrid gémit en sentant son anus grand ouvert. L'homme cracha, répandant sa salive dans et autour du cul pour le lubrifier. Si seulement il savait combien son trou est déjà humide se dit-elle.
Ingrid entendit le bruit d'une fermeture éclair. Ensuite l'homme pénétra son cul d'un coup.
- Merveilleux ! Votre trou sait prendre la bite !
La queue en question n'était pas aussi large que le plug anal, si bien que la jeune fille la pris facilement. Elle pensa même qu'elle aurait voulu une plus grosse bite ou alors une deuxième.
Alors qu'il la sodomisait avec force, la voiture se balançait sur ses pneus. Puis il sortit de son cul et enfila la chatte, faisant gémir la fille.
- haha ! Vous aimez ça !
Après quelques coups dans sa chatte il sortit et revint dans son cul. Puis il alterna les deux trous :
- J’aime les putes avec options ! Le cul ou la chatte ?
Il ricanait alors qu’il n’arrêtait pas de changer.
- La seule question qui se pose est dans quel trou je vais éjaculer ? J’ai une grosse dose de sperme pour vous Salope !
Ingrid essaya de se concentrer sur la bite qui la ramonait plutôt que sur la voix de l’homme. Elle dirigea lentement sa main vers son clitoris espérant qu’il ne le remarque pas. Soit il n’avait rien vu, soit il s’en foutais mais elle put masser son petit bouton sensible. Il cogna dans son cul encore deux ou trois fois puis retira sa queue, la laissa reposer juste au bord du trou béant, se branla et déposa tout son sperme à l’intérieur du cul.
- Chienne ! prend ça ! prend tout dans ton cul !
Alors qu’il finissait, ces paroles ont fini d’exciter Ingrid. Et en frottant ses doigts sur son clitoris elle jouit. Alors qu’elle haletait, elle cria lorsque qu’il lui remit le plug dans le cul. Il rigola :
- Garde tout au chaud !
En tremblant , elle se releva du capot, tirant sur sa jupe pour la remettre en place. Puis elle entendit un tas d’appels, de sifflements et applaudissements d’un balcon deux étages au-dessus. Ils avaient eu un public tous le temps ! Les voix disaient :
- C’est combien Salope ? Venez nous voir et vous passerez du bon temps !
Le chauffeur se tourna vers eux, levant les deux pouces.
- Une autre fois les gars !
- Quelle nous montres ces seins alors ?
Ingrid était mortifiée. Le conducteur la tira vers lui.
- Montrez leur Salope !
Soudain, l’idée de montrer ses seins à de parfaits inconnus ne lui semblait pas si mal à coté de ce qu’ils avaient déjà vu. Alors elle retira ses nichons du soutien-gorge et secoua les épaules pour les faire balancer. Les sifflets reprirent de plus belle :
- Quels seins magnifiques ! Merci Mademoiselle ! Revenez quand vous voulez !
Le chauffeur lui jeta son manteau à la figure.
- Bien Salope, je vois que vous êtes prête à tout mais l’exhibition suffit. Je dois rentrer voir ma copine. Je me demande s’il y aura votre odeur lorsque qu’elle me sucera ce soir.
L’homme se dirigea directement vers son siège, sans prendre la peine d’ouvrir la porte à Ingrid. Celle-ci haussa des épaules, ouvrit et grimpa sur le siège arrière, s’asseyant sur son cul douloureux. Elle se sentait vraiment devenir une Salope mais peut-être l’avait-elle toujours été. Après tout, n’avait-elle pas laissé son ex-petit ami jouer de son corps tant qu’il finançait le couple. Cela ne fait-il pas d’elle une pute ? elle était pressée de rentrer chez elle et de voir la quantité de sperme qui allait s’échapper de son cul sous la douche. Oh mon dieu ? trois éjaculations dans mon cul. Je crois que je vais encore me masturber ce soir.


Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur Notsoliteral.

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