La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1037)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1036) -
Après avoir exigé que je le suce jusquà ce quil se soit vidé au fond de ma gorge, il me rendit mes vêtements et me tendit une cinquième adresse, je devais donc quitter de suite les lieux
en regardant ladresse, jeus un moment de surprise. Je devais me rendre à laéroport de Roissy Charles de Gaulle ! Rien dautre nétait précisé, aucun nom de contact, aucun numéro de vol, aucun horaire, et laéroport est tellement grand ! Toujours aussi peu vêtue, jarrêtais un taxi, dont le chauffeur ne cessa de me reluquer via le rétroviseur. Sachant que je navais pas dargent sur moi, jétais sûre, vu sa façon de mobserver, que je naurai pas trop de mal à le convaincre de me laisser le payer dune manière plus naturelle.
Je ne me trompais pas. Je lui demandais de se garer dans le parking souterrain de laéroport. Il me regarda étonné, je lui souris, il comprit. Quand le moteur sarrêta, il resta assis derrière son volant, lair hésitant. En fait en y regardant de plus près, il faisait assez jeune, et il ne devait pas se retrouver dans ce genre de situation très souvent. Je lui demandais sil voulait que je fasse certaines, choses, sil avait certaines envies. Il balbutia quelque chose mais rien daudible, ni de compréhensible. Jouvris la porte arrière du taxi pour passer à lavant. Je navais pas lhabitude de prendre linitiative dans un rapport sexuel, même du temps où je navais quune vie vanille. Mais je voyais bien que le jeune chauffeur noserait pas faire le moindre geste. Alors je pris une profonde inspiration et je me penchais vers lui et je pris son visage entre mes mains, je le tournais vers moi, et je posais délicatement mes lèvres sur les siennes. Je reculais un peu pour regarder sa réaction. Il avait fermé les yeux et un petit sourire se dessinait sur ses lèvres. Passant une main derrière sa tête, je le rapprochais de moi pour quil décolle son dos du dossier, et jen profitais pour labaisser au maximum, en position horizontal, lappui tête reposant sur la banquette arrière.
Je me mis alors à califourchon sur lui. Mes mains vinrent agripper son t-shirt, le sortant de son pantalon, et, tout en effleurant ses flancs, je le remontais en suivant le parcours du tissu sur sa peau avec mes lèvres, qui déposaient des centaines de baisers papillon, lui faisant apparaître la chair de poule. Lorsque jarrivai à ses tétons, je les suçotais chacun leur tour, les mordillais légèrement. Quand je ne pus plus faire avancer le t-shirt, le chauffeur me repoussa légèrement, se redressa, et lenleva, attrapant ma bouche au passage avec la sienne, et il se rallongea, tout en prenant garde de ne pas laisser ce contact se rompre. Il commença à se lâcher un peu, ne voulant pas garder sa langue prisonnière. Celle-ci se fit inquisitrice et ne tarda pas à venir rejoindre la mienne, découvrant une cavité chaude et accueillante, les deux appendices dansant une lente danse langoureuse et sensuelle. Je marrachais à ce chaud baiser, et je redescendis jusquà sa ceinture avec mes mains, et autant que possible avec ma bouche, que jouvris. Là je fus gênée par le volant. Alors je retournai sur le siège passager, lui conseillant de profiter de ce moment pour baisser son pantalon sur ses chevilles. Puis, je le chevauchais, mais dans lautre sens, amenant mon entre-jambe au niveau de son visage, me donnant libre accès à son sexe qui sortit de son boxer avec force tant il était déjà bandé comme un arc. Dabord à quatre pattes au-dessus de lui, je parsemais son ventre de baisers, me rapprochant de plus en plus de son pieu bien droit et épais. Je passais dabord ma langue sur toute sa longueur, tétant son gland violacé qui laissait apparaître quelques perles de son désir, que javalais avec délectation. Puis en même temps que ma bouche descendait sur ce bâton de chair, je mallongeais complètement sur lui, le forçant à sentir mes odeurs féminines de chienne en chaleur excitée.
Je commençais alors une très lente fellation.
Nous restâmes de longues minutes ensuite immobiles, reprenant comme nous le pouvions notre souffle, en coït anal profond. Quand son sexe perdit trop de sa vigueur pour pouvoir rester ficher en moi, il déposa une pluie de baisers dans mon cou, avant de sasseoir sur la banquette et de me faire venir sur ses genoux, me prenant dans ses bras.
- Bonjour, en quoi puis-je vous aider ?
- Bonjour, je sais que je dois me rendre ici, mais je ne sais pas qui je dois voir, où je dois aller, ni même si je suis censée prendre lavion
Son sourire sélargit se faisant légèrement moqueur.
- Et pourquoi devez-vous venir ici ?
Me sentant un peu confuse, je lui tendis la petite carte quEdouard (le filleul de Monsieur le Marquis) mavait remise ce matin. A ce moment-là, un homme sapprocha de nous, et dit à lhôtesse, qui était visiblement sous ses ordres, quil allait soccuper de moi. Je le suivis alors jusque dans le bureau de la sécurité, où je vis que lun des écrans était fixé sur la personne qui mavait accueillie et son comptoir. Je compris alors que lhomme que je suivais devait attendre que je me présente.
- Bien, pour commencer, jexige le silence complet, je ne veux pas entendre le son de ta voix, même pour te justifier ! Eh bien, tu nes pas en avance, dis-moi ! Je me demande bien ce qui a pu te retenir si longtemps ! Heureusement pour toi, le chargement en soute nest pas terminé et lavion na pas décollé ! Donc je vais prendre le temps de te sanctionner pour ton retard. Penche-toi donc sur le bureau, ton torse bien plaqué au plateau, jambes écartées, après avoir retiré ce ridicule petit morceau de tissu, la chienne !
Je mexécutais rapidement et docilement, comprenant que je me trouvais devant un Dominant auquel le Maître avait dû déléguer tout pouvoir sur moi. Je reçus sur chacun de mes globes fessiers et sur le sexe, vingt claques dune force magistrales, qui me firent très vite monter les larmes aux yeux sous la douleur.
Lorsque nous fûmes seuls, il se dirigea vers une caisse qui comportaient de petits interstices, permettant la circulation de lair sans toutefois que lon puisse y distinguer ce quelle contenait lorsquelle était fermée. Dedans il y avait une cage pour chien de moyenne taille. Il my fit rentrer en position ftal, le papillon appuyant plus que jamais sur mon clitoris sensibilisé. Puis il referma la porte de la cage et la caisse en bois.
- Tu vas faire le voyage comme une petite chienne, ordre du Maître auquel tu appartiens ! Bon voyage, et noublie pas, même si tu ne la voies pas, une caméra te surveille ! Et reste silencieuse, il serait dommage quun des employés de la compagnie te trouve dans cette position !
Et il partit en ricanant, me laissant très vite seule dans le noir. Peu de temps après, les deux hommes qui soccupaient du chargement revinrent et se remirent au travail. Je faisais tout mon possible pour ne pas gémir, mais jétais vraiment surexcitée et ce petit papillon en silicone qui butinait entre mes cuisses, bien plaqué sur mon clitoris, narrangeait pas les choses. Je sentis quon déplaçait la caisse dans laquelle je me trouvais. Cela ne dura pas longtemps. Les interstices se trouvaient loin de mes yeux, et la cage était bien trop étroite pour que je puisse changer de position. Je ne savais donc pas où je me trouvais. Mais lorsque japerçu une lumière vive, sentant de lair circuler, puis que je me trouvais de nouveau dans le noir, je sus que javais été amenée dans la soute de lavion. Lodeur était assez nauséabonde. Je supposais que dautres animaux se trouvaient là, car jentendis des aboiements et des miaulements, et ce que je sentais me laisser penser que certains deux avaient dû se soulager dans leurs cages de transport. Je ne sais combien de temps le trajet en avion dura, mais il me parut interminable. Javais du mal à lutter contre les vagues de plaisir qui massaillaient. Cela mépuisait de garder une concentration constante pour ne pas faillir à lorgasme. Pour me donner du courage, je mimaginais le Maître Vénéré près de moi, avec un regard encourageant et en même temps ferme et me faisant clairement comprendre que je navais pas intérêt à désobéir si je ne voulais pas subir Son courroux. Je me raccrochais à Ses magnifiques yeux bleus et profonds si bienveillant et si Dominants à la fois, qui pouvaient être froids ou si chaleureux selon la situation, et que jespérais pouvoir bientôt voir plein de fierté devant Sa petite chienne qui rentrerait enfin au Château
Au bout dun temps interminable, je sentis lavion atterrir
(A suivre
)
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