Collection Étrange Phénomène. Un Couple Dans Le Parc (1/1)
Depuis la première fois où assis sur ce banc mon cerveau sest connecté avec ces femmes que jentendais parler par télépathie expliquant ce quavait été leur vie suivie de ma fuite quand jai compris que létrange phénomène fonctionnait avec les hommes en voulant à mon fondement.
Chaque fois que je massois sur ce banc, jattends pour voir si cétait exceptionnel ou si je pourrais recevoir à nouveau les pensées les plus secrètes de personnes se promenant.
Cela a failli fonctionner une fois quand une grande femme rousse vient sasseoir, la connexion se fait, je suis certain que ce jour-là, je suis privé dune histoire croustillante, le début est prometteur, car elle pensait à la bite de son dernier amant.
Pas par lhomme qui a interrompu le processus, il était blanc alors que ses premières pensées se tournaient vers une grosse et grande bite noire.
Je lis un livre érotique où une salope aux cheveux roux suçait et se faisait sucer me faisant bander malgré le passage des passants autour de moi, jai les jambes croisées pour éviter le scandale dans le parc.
Cest à ce moment quils arrivent, elle reste une belle femme qui a dû faire tourner les têtes, lui aussi vieux, marchant sappuyant sur une canne avec des lunettes noires sur les yeux dissimulant une partie de son visage.
« Veux-tu tasseoir quelques minutes Joseph ? pour une première sortie après ton accident cardiaque. »
« Non, continuons jusquau prochain banc. »
Jai cru quils méchappaient alors que javais connecté en même temps que jentendais les mots murmurés à la distance doù ils étaient.
« Regarde, asseyons-nous maintenant, sur le banc vide une famille avec deux s vient de sinstaller ! »
Ils sassoient, lhomme regarde fixement devant lui, il a parlé du banc, cest donc quil est voyant alors quil me donne limpression dun aveugle se promenant au bras de sa compagne.
Une fois assis, il pense à sa vie et comme lautre fois jarrive à tous capter.
« Jai eu de la chance de rencontrer Joséphine quand nous avions vingt ans, elle a été une femme merveilleuse, cest grâce à elle que jai fait la carrière mamenant au sommet de la banque où jétais entré, elle a été derrière moi pour mencourager allant même jusquà me faire travailler le soir pour que je grimpe les échelons. »
Avant quelle sassoie, je capte les pensées de la vieille dame, il est étrange quau même moment où son mari pense les débuts de leur vie commune, elle refasse sa vie.
« Jai bien failli le perdre ce coup-ci, je suis rentrée juste à temps du marché pour appeler les secours son cur ayant flanché.
Ça me rappelle le moment où je lai connu, il a toujours cru que cest par les maths que je lui faisais travailler le soir quil a grimpé dans la hiérarchie.
Je dois plutôt dire merci Geneviève, la femme du patron dans ces années-là, paix à son âme.
La première fois, suite à un cocktail dentreprise où jétais invitée, elle a voulu que je vienne passer un après-midi pour prendre le thé, jétais loin de penser que je finirais les cuisses écartées pendant quelle me brouterait la minette.
Avec elle jai appris ce quune femme peut faire à une autre femme, autant Joseph aimait jouer au mâle viril, autant Geneviève était douce et savait me caresser. »
Je referme mon livre, la vie de ce couple me procure bien plus de plaisir que lhistoire un peu étrange qui y est racontée.
Un moment, il pense en même temps et je suis incapable de suivre ce quil leur est arrivé, je sens que, ce qui revient au cerveau de Joseph est plus croustillant que les galipettes entre les deux femmes.
« Si Joséphine avait su que jai sucé mon patron pour devenir responsable de la chambre forte, elle aurait divorcé, tout a commencé au cocktail où lui et sa femme Geneviève nous avait invités.
Elle discutait avec Geneviève, un verre en main et semblait bien sentendre, quand Robert ma proposé daller chercher un cigare dans son bureau, misolant des autres invités, jétais loin de penser quil avait des penchants pour les hommes.
Moi non plus dailleurs, javais failli avoir une expérience homosexuelle en fac et je men étais tiré grâce à un camarade qui était entré dans la chambre où comme Robert, il avait réussi à mattirer.
À ce cocktail, dès quil a refermé la porte, il sest directement collé à moi et sa bouche est venue sur la mienne, au début sa langue tournoyant sur la mienne ma donné une étrange impression, mais jy aie pris goût et quand il a ouvert sa braguette, cest tout naturellement que je lai pris en main.
Elle était plus grosse que la mienne et quand jai compris à la façon dont il mappuyait sur lépaule quil voulait que je le suce, sans hésiter je lai fait.
Étrange impression, jaurais dû me sentir fautif envers Joséphine, mais comme je suçais un garçon, cétait bien différent que si javais eu un rapport sexuel avec sa femme par exemple. »
Il est homo ou du moins bisexuel, un mot de Joséphine attire mon attention et je misole avec elle.
« Libertin, jai eu peur dêtre reconnu. »
Je recolle les morceaux du puzzle, Geneviève la emmené dans un club échangiste.
« Dès que nous sommes arrivées, elle a voulu danser et ma effeuillée comme une marguerite, je me revois dans une des glaces me trémoussant son corps collé contre le mien nue.
Jai eu comme un flash et jai adoré dêtre nue devant des dizaines de personnes, jétais devenue son jouet et si je mécoutais à partir de ce jour, jaime mexhiber, si jécartais mes cuisses, ce beau gosse face à nous qui lit un livre en regardant ailleurs de temps en temps remarquerait-il que depuis cette découverte, je me promène la chatte à lair ?
Non, bien sûr, jai 68 ans, il me prendrait pour une salope bien que chaque fois que jai pu me faire prendre par de beaux mâles dans ce club, jaie toujours été partante Geneviève aussi dailleurs.
Je suis folle, si quelquun me passait une main entre mon entre-jambe, il trouverait une vulve béante, je mouille encore.
Si je mattendais à cela, cette femme élégante au bras de son mari a été et reste dans sa tête malgré le poids des années une belle salope, ma vieille dame de la première fois sur ce banc et ce couple maintenant jai affaire à la vraie vie que vivent les gens dans les secrets de leur alcôve.
Jessaye quelque chose, ce qui marche dans un sens entre eux et moi, est-il réciproque entre moi et eux, je me concentre fixe intensément Joséphine, mon cerveau lui intimant lordre décarter ses jambes, mais rien narrive de mon envie.
« Jai eu de la chance quand mon amant avec qui javais un rapport sans aucune pénétration, nous nous sucions seulement, car il était friand de mon sperme, est mort quelques mois plus tard.
La direction nationale ma nommé à sa place me permettant de réaliser notre rêve avec Joséphine dêtre au sommet de la pyramide. »
Jessaye une nouvelle fois, en intimant lordre à cette femme qui malgré son âge me fait envie, extraordinaire, je vois son pied droit bouger et son gauche en faire de même après quelle eut regardé à gauche et à droite.
« Jai craqué, jai les cuisses ouvertes et le beau gosse en face de moi est obligé de voir ma chatte toute blanche depuis que jai arrêté de me faire épiler, je suis folle, il est temps de ramener Joseph, pour une première sortie, je vais le mettre au lit dès que nous rentrons. »
Ils se lèvent et reprennent leur route, jen fais de même et à distance, je les suis.
Dix mètres plus loin, Joseph malgré sa canne et le bras qui le soutient, pose un genou au sol.
Je me précipite pour les aider.
Merci monsieur, cela va aller, cest mon genou qui a flanché, jai les ligaments croisés hors service.
Et votre cur, comment va-t-il ?
Je vois Joséphine me regarder, mais cest une femme avec de léducation et elle se tait.
Vous devez habiter près dici, je vais vous accompagner.
Chacun de chaque côté le soutenant, nous parcourons un peu plus de deux cents mètres et Joséphine tape le code douverture de la porte, A52B, nous prenons lascenseur et quelques minutes après, je laide à le coucher.
Je vous offre un café, jen bois énormément.
Merci, vous êtes bien aimable.
Puis-je vous poser une question ?
Je me doute, comment jai su pour le cur de votre mari ?
Oui.
Je vais vous dire la vérité, quand je massieds sur le banc où je lisais, il marrive de lire les pensées des personnes qui sassoient sur celui den face, ça a marché avec vous et votre mari.
Que pensait-il ?
Comment lui dire la vérité sur Joseph qui suçait son patron avant de prendre sa place ?
Je vois que vous hésitez, nayez crainte, je sais que Joseph suçait la bite de son patron, je les ai surpris un jour ou avec Geneviève ; nous sommes passés les chercher, je me trompe.
Nullement, ils aimaient leur sperme.
Mais dites-moi, vous savez que nous nous gouinions avec mon amie et que nous allions.
Dans des clubs échangistes.
Vous êtes dangereux, vous savez tous mes secrets.
Oui, et jai même réussi à vous faire écarter vos cuisses.
As-tu vu ma vieille chatte ?
Il se pourrait.
Je suis parti, le rouge étant monté à ses joues, mais je suis revenu le lendemain.
Joseph sétait endormi pendant son sommeil, belle mort du moins cest ce que lon dit.
Jai accompagné Joséphine dans son deuil.
Jai résisté six mois venant tous les jours, un après-midi, nous sommes allés dans le parc, je me suis assis sur mon banc, elle sur celui den face.
« Jai envie de toi. »
« Tu es fou, je suis si vieille. »
« Je me fiche de ton âge. »
« Alors, rentrons. »
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