Mon Docteur... Chéri ?
Mon docteur
chéri ?
Richard et moi avons lhabitude de pimenter notre vie sexuelle par des jeux érotiques pour lesquels il fait montre dune imagination féconde. Il me surprend nimporte quand par des messages qui me mettent souvent dans un état dexcitation incroyable qui me transforme, lorsque nous nous retrouvons, en véritable chienne.
Lorsque je reçus, un peu avant midi le texto suivant : « Rendez-vous docteur MINET cet après midi 15H30 précises » Il ne fit aucun doute pour moi, que mon chéri me proposait un nouveau jeu et quun second texto allait suivre. Ça nétait pourtant pas le jour car javais un travail considérable. Mais bon, cétait tout là lattrait du jeu : me prendre au dépourvu et mobliger à trouver une solution car, plus proche de la nymphomane que de la frigide, je ne pouvais rater loccasion dune bonne partie de jambes en lair. Néanmoins la charge de travail me fit oublier cet intermède jusquà ce que je reçoive vers 14H00 un nouveau message très laconique : « 24 bd des Belges ». Ainsi donc le jeu était lancé ! Je me précipitai dans le bureau de mon boss pour lui signaler que je devais mabsenter.
Un problème ? me demanda-t-il.
Rendez-vous chez le toubib que javais zappé.
Rien de grave, jespère ?
Non non, la routine.
Ok. Pas de souci. Prends le temps quil faut.
Je le remerciai puis consultai ma montre. Javais une bonne heure devant moi. Je nétais pas loin du lieu de rendez-vous. Je me dirigeai aux toilettes pour parfaire mon maquillage. Je voulais être la plus sexy pour Richard. Satisfaite, jallais repartir lorsquil me vint lenvie, de moi aussi, lui faire une surprise : je retirai ma culotte et la fourrai dans mon sac. Il aimait beaucoup pouvoir mater ma petite chatte lisse en zieutant sous ma jupe ! Jétais déjà très excitée en sortant des toilettes. « Calme-toi Aline, calme-toi ! ».
A 15H15 je lisais la plaque :
Docteur A MINET
Maladies de la femme
Consultations sur rendez-vous
4ème étage gauche
« Maladies de la femme ? Toi, je te vois venir mon coco ».
Bonjour madame. Vous avez rendez-vous ?
Heu oui, à 15H30
Madame Aline IMBERT ?
Cest ça.
Si vous voulez-bien aller en salle dattente, le docteur Minet à un peu de retard.
Je poussais donc la porte « salle dattente » et, surprise ! Une femme était déjà là. Jétais un peu déroutée. Je massis dans un coin et je détaillais la pièce. Jétais vraiment dans une salle dattente. Ou alors
Chapeau Richard ! Au bout dun moment je penchais quand même pour la mise en scène, du moins jusquà ce que la porte souvrit et que nentre une autre femme. Là cétait pas possible yavait un lézard. Je traquais le moindre indice qui eut pu me mettre sur la piste, lorsque la rouquine apparut pour inviter la femme qui se trouvait dans la salle avant moi, à la suivre. Jabandonnais la mise en scène. Cétait vraiment un cabinet médical. Mais alors que ferait Richard ici ? Plus je réfléchissais plus je me perdais en conjecture. Un quart dheure plus tard la rouquine reparut :
Madame IMBERT, sil vous plait.
Ah ! jallais bientôt pouvoir démasquer mon voyou de mari. La femme me fit entrer dans une cabine en me précisant :
Mettez-vous en sous vêtements et attendez que la porte souvre. Cest automatique.
Jappréciais le modernisme puis je commençais à me déshabiller. « Merde ma culotte ! » Je nétais plus du tout sûr de tomber « directement » sur mon chéri alors dans le doute
je la remis. Juste à temps car la porte glissa sur son rail. Je fis un pas dans la pièce meublée dun bureau, de plusieurs fauteuils, et dune immense étagère supportant de nombreux ouvrages de médecine.
Bonjour madame, asseyez-vous je vous en prie.
Ouf ! Je connaissais cette voix. Cétait bien lui
Le coquin ! Mais quand il ajouta :
Je suis à vous dans une seconde.
Le timbre grave me parut inconnu. Certes, Richard avait parfois des intonations de ce genre mais le ton me parut
autoritaire ! Pas son genre du tout. A moins que
A lanimal ! il me mettait dans tous mes états. Lorsquil pénétra dans le bureau je fus soulagée. Cétait lui. Mais non idiote ! Richard ne porte pas de moustache
et puis il est beaucoup plus brun
et ses cheveux sont plus courts
Ça nétait pas lui ! Jétais prête à partir en courant lorsque je vis un éclair dans ses yeux. Un éclat que je connaissais bien. Je fouillait les prunelles bleues. Oh oui, ce sont ses yeux, jen suis sûre ! Puis je me souvins subitement combien Richard aimait se déguiser. Il avait un talent fou pour cela. Je nétais plus du tout pressée de partir. Je le laisserai abattre ses cartes. Je le détaillais encore, de la tête aux pieds et lorsque jarrivais aux mains je frissonnais. Richard a les mains beaucoup plus fines
Enfin je crois. Oh, je ne sais plus, cest lui
ou cest pas lui ? Si cest pas lui je nai aucune envie de rester. Mais si cest lui
je vais me régaler. Le « docteur » minterrompit dans mes réflexions en me posant un tas de questions dont certaines, très intimes, me mirent mal à laise. Si cétait Richard, il connaissait déjà les réponses. Si ça nétait pas lui
Alors combien de rapports sexuels par mois ?
Environ une dizaine.
Bien. Donnez-moi une note sur une échelle de zéro à cinq pour qualifier vos orgasmes.
Oui cétait bien lui pour me poser ce genre de questions. Je répondis un mensonge pour voir sa réaction.
Trois !
En réalité jaurais dû donner un 5 sur 5.
Même qualité quil sagisse de pénétration ou de masturbation ?
Je crois que mon chéri-cochon est lancé.
Oui répondis-je.
Pratiquez-vous des rapports anaux occasionnellement ?
Annaux
occasionnellement ? « Tu le sais très bien puisque tu me sodomises au moins deux fois par semaine gros cochon. Mais je vais te répondre quand même. »
Rarement.
Là le connaissant, il ne va pas pouvoir sempêcher de rectifier. Mais non, rien ! Je trouvais ça curieux. Et puis sa façon de hocher la tête. Il ne fait jamais ça Richard. Merde ! Dans quoi est-ce que je me suis fourrée !
Bien, me dit-il, la fiche de ma secrétaire indique que vous venez pour un bilan global.
Heu
Oui.
Des problèmes particuliers à me signaler ?
Heu
Non.
Douleurs pendant les règles peut être ?
Heu
Les seins un peu gonflés mais cest tout.
Vous les avez eu quand ?
Heu
Elles se sont finies ya trois jours.
Parfait.
Bon ben ça, cest un comportement de vrai médecin, non ? Pourtant cette fossette au coin des lèvres quand il sourit cest celle de Richard. Zut de Zut. Cest lui ou cest pas lui ??? Si cest pas lui il faut que je me sauve en vitesse
Mais si cest lui jai envie de voir la suite. Il me surprit dans mes réflexions.
Un problème ?
Heu
Non, non.
Bon alors on va passer à côté.
Je le suis et il me fait allonger sur la table dexamen. Contrôle de la pupille
de la gorge
palpation du cou
examen des oreilles. Tout y passe. Et il sait se servir des instruments ! Idem pour la prise de tension.
Asseyez-vous.
Jai senti son ton autoritaire et je frissonne en masseyant. Il mausculte
comme un vrai médecin. Je commence à être excitée
Et ça se complique lorsquil me palpe le ventre.
Enlevez votre soutien gorge sil vous plait.
Mon soutien gorge ? Je ne vais quand même pas lui montrer mes nichons si cest pas Richard. Ça suffit bien que mon gynécologue les voit de temps à autres.
Votre soutien gorge !
Lordre tombe, impérieux, et je frisonne
Je sens des fourmillements entre mes cuisses. Merde, il mexcite sérieusement ce (faux ?) Richard. Je crois que je commence à perdre les pédales. Je dégrafe mon soutien gorge et je vois aussitôt une lueur lubrique dans ses yeux
Comme sait en avoir mon chéri. Daccord, cest vrai je fais un bon 90 D de quoi (enfin je crois) faire dresser lengin ! Il me fait mettre les bras derrière la tête pour les palper alternativement. Très professionnel. Puis il me fait asseoir pour reprendre la palpation. Hou !!!! il me pince les tétons. Ça ne me fait pas mal, ça mexcite juste un max et je sens que je commence à couler
dans ma culotte. A partir de ce moment là je lâche totalement prise et je me fous de savoir qui est ce médecin. Ce qui mintéresse maintenant cest de voir la suite. Et tant pis pour Richard, si cest pas lui. Jai encore envie de me faire peloter les mamelles. Heureusement, lui aussi ! Il me fait descendre de la table.
Penchez-vous en avant.
Il tire un tabouret, sassied devant moi, me saisit un nichon dans chaque main et les presse en les tirant vers le bas comme sil voulait
me traire ! Ça on ne me lavait jamais fait. Mais la sensation est agréable et malgré moi je regarde par terre pour voir sil ne tomberait pas quelques goutes de lait ! Alors là, cest sûr, je perds les pédales, et en plus je débloque !
Excellent. Vos mamelles sont bien souples et vos tétons très réactifs.
Réactifs ? Tu parles, jai les bouts dressés depuis que jai retiré mon soutif.
Venez vous mettre devant le miroir et retirez votre culotte.
Ma
?
Oui, votre culotte, dépêchez-vous !
Il a encore cette voix autoritaire qui me fait à nouveau frissonner. Je fais glisser mon slip au sol puis je me positionne face à la psyché. Cest un truc de vicelard, ça ! Comme ça il peut me reluquer en même temps devant et derrière
et moi je le vois scanner mon corps sublime. Oui bon, je suis peut être pas un top modèle mais jai pas de graisse et mes formes sont très bien proportionnées. Je sens ses pouces qui suivent la ligne de ma colonne puis ses mains sarrêtent sur mes fesses. Il les palpe longuement. Sans un mot. Je sens même un doigt qui saventure.
Pas de douleur à lanus ?
Heu
Non.
Même lors des sodomies ?
Heu
Non.
Jai presque envie de lui dire que ça doit dépendre sans doute de la taille de lengin quon y introduit. Je nai été sodomisée que par Richard et comme il na pas une grosse queue ça passe tout seul. Je ne dis rien bien sûr mais toutes ces questions me mettent en effervescence et je sens un peu de liqueur lubrifier ma chatte. Richard
ou pas Richard ?
Je men fous à présent totalement et je veux juste me concentrer sur le plaisir que jéprouve à moffrir impudiquement à la vue de ce
médecin ?
Mettez les pieds dans les marques.
Toujours le même ton excitant ! Je repère les traces. Un peu trop lentement et il me claque les fesses. je frissonne.
Dépêche-Toi !
Oh mon Dieu ! Il est passé à la vitesse supérieure et son tutoiement mélectrise. Il place une sorte de miroir au sol, entre mes jambes. Soudain je vois le reflet dun écran dans la psyché. Je vois limage grossir. Cest ma chatte qui apparait. Elle grossit encore et je peux distinguer le voile humide qui la recouvre. Je me sens un peu honteuse de me dévoiler ainsi
Mais cest un docteur, non ?
Bien, vos lèvres sont bien dessinées. Je vois juste un petit problème au niveau de votre clitoris.
Mon clito ? Il fonctionne très bien mon clito ! Je lance :
Ah bon ?
Rien de grave je vous rassure. Il y a juste que le capuchon me semble un peu étroit.
Cest grave ?
Non ne vous en faites pas.
Zut il a abandonné le tutoiement. Il poursuit :
Je vais regarder si je peux lassouplir.
Heu
Cest nécessaire ?
Oui, cest nécessaire, vos sensations seront décuplées.
Soudain il me claque les fesses.
Penche-toi en avant je veux voir la forme de ton abricot.
De mon quoi ? Je nai pas le temps de réfléchir. Je reçois une nouvelle claque.
Obéis !
Lordre claque comme une caresse. Je me courbe en avant.
Bon, il est parfait. Vous pouvez vous redresser.
Il inscrit quelque chose sur son bloc et moi jattends les bras le long du corps et je sursaute lorsquil me demande :
Tu mouilles ?
Bien sûr que je suis toute mouillée après ce que tu viens de me faire subir mon cochon. Je tarde trop à lui répondre.
Alors ?
Heu
Oui, je crois.
Approche.
je fais trois pas et il passe la main sur ma chatte.
Tu es trop mouillée. Tiens essuie-toi.
Il me tend un rouleau de papier absorbant. Je méponge
et je remouille aussitôt.
Heu
Docteur, je crois que
Vous remouillez ?
Je rougis comme une pivoine.
Heu
Oui.
Bon. Approche.
Je fais encore deux pas.
Pose une jambe sur la chaise et masturbe-toi. Lorgasme va permettre dévacuer la tension et en plus ça me permettra den apprécier la qualité.
Je bafouille :
Heu
Là, devant vous ?
Oui, là, devant moi.
Le ton est toujours autoritaire. Jabdique et je pose un pied sur la chaise. Il rectifie ma position.
Ouvre-toi bien.
Je pose les doigts sur ma chatte. Elle est en feu. Je sens mon clitoris rouler sous mes doigts. Je ferme les yeux.
Non regarde-moi. Je veux pouvoir mesurer lévolution de ton plaisir sur ton visage.
Cest dur de garder les yeux ouverts. Mes doigts sactivent. Mon clito senflamme. Ma respiration saccélère. Je soupire, je grogne
je me mords la lèvre pour ne pas crier. Puis je crie. Fort ! Lorsque jexplose.
Parfait. Essuie-toi et allonge-toi sur la table les pieds dans les étriers.
Jobéis. Il enfile des gants. Je sens ses doigts se poser directement sur mon clitoris. Il le presse
létire
le presse à nouveau. La sensation est étrange. Puis soudain je sens comme une petite brulure, très brève.
Bon, cest parfait. Tu devrais avoir davantage de sensations à présent.
jose lui répondre :
Jen avais déjà pas mal docteur.
Alors ça sera un bonus.
Il se retourne et prend un spéculum quil introduit
puis écarte.
Bon, vous avez un utérus de jeune fille.
Il retire lappareil puis il introduit les doigts.
Vous êtes très étroite. Rappelez-moi la fréquence de vos rapports .
Heu
Environ une dizaine par mois.
Daccord.
Soudain je sursaute.
Reste tranquille. Je cherche juste à stimuler ton point G.
Je sens que la machine repart. La chaleur
les frissons. Heureusement il ninsiste pas.
Bon, cest parfait tout fonctionne bien.
Il laisse une main en contact avec mes cuisses puis il remonte jusquà mon ventre quil palpe à nouveau. Soudain je sens le contact de sa blouse sur ma main. Sans réfléchir je bouge les doigts. Ils sont à hauteur de son sexe. Je ne peux pas me retenir. Je cherche un passage. Merde, il est à poil sous sa blouse. Pourquoi ne lai-je pas vu avant ? Quand a-t-il retiré son pantalon ? De toute façon je men fous. Cest bien quil soit comme ça. Je prends de lassurance. Je glisse les doigts sous ses bourses. Elles sont lourdes. Jai envie quil retire sa blouse. Quil me montre sa bite ! Je membrase et de mes doigts fébriles jarrive à déboutonner le bouton du bas. Sa queue jaillit. Et là, je sais. Ça nest pas Richard ! Celle-là est trop grosse, trop épaisse
trop belle ! Je vais tromper mon chéri. Cest mal. Immoral. Mais jai perdu pied depuis trop longtemps pour parvenir à me ressaisir maintenant. Dailleurs je nen ai pas envie. Je veux subir tout ce qui mattend. Le « docteur » me saisit les mamelles. Oh oui, vas-y pelote moi bien. jadore ça et cest la meilleure façon de bien me chauffer. Le sait-il ? Il me malmène les tétons
Délicieux ! Allez, approche encore un peu. Il a dû mentendre car il est maintenant à ma portée. Je tourne la tête et sans préambule je gobe son gland. Il est chaud, humide
savoureux
un peu gros peut être pour ma petite bouche. Je nai pas lhabitude mais je vais my faire. Je fais des mouvements de succion et je sens son plaisir dans les spasmes de sa queue. Je lèche le gland puis je descends la langue le long du frein
Jusquaux couilles que je lèche et que jessaie de prendre dans la bouche : trop grosses. Je les embrasse
puis je remonte très lentement pour, dun seul coup enfoncer toute sa bite. Je manque de m. Mais ça ne fait rien. Je veux lui faire une gorge profonde
puis deux
puis trois
Il soupire, il râle
Ah, tu mas bien excitée mon cochon. Maintenant cest à toi de de subir. Soudain je me mets à pomper. Presque frénétiquement. Jai une furieuse envie de lui vider les couilles
. pour lui apprendre à mavoir trait
à mavoir obligée à me branler devant lui
je vais te faire cracher mon salaud ! Mais il se retire. Non ! Japerçois la blouse tomber. Il glisse jusquau bout de la table. Je le vois déchirer un emballage de capote du bout des dents. Il se la met, matt les chevilles et me tire puis il me croise les jambes et dun mouvement de rotation me retourne sur le ventre.
Et maintenant je dois voir si cest bon de vous baiser madame Imbert.
Sa phrase à peine achevée il me pénètre dun grand coup de reins. Jai du mal à sentir la chaleur de sa bite à cause de la capote. Mais tout le reste je le sens bien. Il entre
me pilonne
ressort
plus vite
plus vite
jusquà me rendre folle et je pète les plombs ! Je deviens grossière. Je lui dis que sa bite est bonne
quil me baise bien. Et cest vrai ! Je veux encore lencourager mais cest lui qui sy colle :
Tu as lair de beaucoup aimer la queue toi.
Oh oui, continue, continue à me parler. Il le fait :
Tu en as déjà eu des grosses comme ça ?
Je réponds, ou pas ? Aller, tant pis, je réponds.
Oui.
Ton mari bien sûr.
Heu
Non.
Ha ha !
Quest-ce quil va simaginer ? Je dois rectifier tant que je le peux encore.
Cétait avant lui.
Sil me répond je nentends pas car je me mets à hurler en jouissant.
Bon, ta chatte fonctionne bien. Je vais voir derrière.
Derrière ? Je mets quelques secondes de trop à comprendre. Je sens son gland appuyer. Je crie :
Non pas là docteur !
Calmez-vous. Je suis obligé de voir si vous fonctionnez bien comme ça aussi.
Je le supplie :
Non doc
Je ne peux terminer le mot. Son gland force ma rondelle et je crie. Il tente de me calmer :
Calme-toi, maintenant ça va aller.
Il commence à coulisser dans mon étroit fourreau. La douleur sestompe. La sensation est incroyable. Je nai jamais connu ça. Je me cramponne à la table pour ne pas basculer pendant ses assauts. Je lâche quelques râles.
Bon, tu as lair de très bien fonctionner comme ça aussi. Dommage que tu ne tautorises pas à te montrer davantage salope.
Pas salope moi ? Attends tu vas voir. Je mimprègne du rythme puis je viens au devant de sa queue. Il apprécie.
Oui, cest bien, je vais te laisser continuer toute seule.
Quest-ce quil veut dire ? Je ne tarde pas à comprendre. Il simmobilise, la queue toujours fichée dans mon cul. Alors je prends le relai. Je menfonce
je me retire
presque complètement. Je sens son gland au niveau de ma couronne. Je me retire encore puis lorsque je nai plus quune légère sensation je pousse un grand coup en arrière. Et je crie
De plaisir !
Tu as lair daimer te faire enculer ma salope.
Je continue sans répondre. Il me claque violemment la fesse.
Réponds !
Oui.
Alors dis-le.
A ce moment là je me sens salope jusquau bout des ongles et je réponds :
Oui, jaime me faire enculer. Et jen rajoute. Par vous docteur !
Tu as déjà joui comme ça ?
Non docteur.
Tu aimerais ?
Idiote sa question, non ? Il répète :
Tu aimerais ?
Oui, si cest possible.
Bien sûr. Ton anus compte plus de terminaisons nerveuses que ton clitoris. On verra ça tout à lheure.
Sur ces mots il se retire, et va sasseoir sur le tabouret.
Viens ici.
Je saute de la table. Il me tends une nouvelle capote.
Mets-la !
Sa bite est toujours aussi raide et je déroule le préservatif sans difficulté. Jen profite pour lui toucher les boules.
Elles te plaisent ?
Oui docteur.
Il sourit puis me fait asseoir à califourchon sur lui. Je nai pas fini de minstaller que sa bite est déjà rentrée.
Cest facile avec toi, tu mouilles vraiment bien.
Je suis flattée et jai envie de lui dire que sa grosse queue y est pour beaucoup. Je mabstiens car il commence à rallumer le feu dans mon ventre.
Je veux que tu gardes les yeux ouverts.
Ça va être dur. Mais je vais essayer. Jy arrive. Et cest bien de le regarder. Jaime voir son plaisir et lui offrir le mien. Il place ses mains sous mes cuisses pour imposer son rythme. Je nai pas lhabitude de cette position. Sa bite appuie sur des points inhabituels et je jouis vite. Vite et fort. Il attend quelque seconde puis me murmure à loreille.
Aller petite salope retourne toi, je vais tenculer. Et tu vas jouir.
Je suis encore dans les brumes de mon orgasme. Je ne sais pas si cest lui qui me positionne ou si je le fais moi-même mais je me retrouve de dos, sur ses cuisses. Je sens sa queue qui cherche son chemin
et le trouve. La douleur cette fois est infime. Jai envie de diriger les opérations. Il me laisse faire. Je me trémousse sur sa grosse bite et cest bon de la sentir me fourrager. Puis je prends appui sur ses cuisses pour me soulever et
mempaler. Lentement, puis de plus vite. Il marrête et me préviens :
On va glisser au sol, je peux pas te défoncer dans cette position.
Il reste enfoncé et je me retrouve à quatre pattes.
Maintenant relève toi doucement en restant penchée en avant.
Il menserre de ses bras pour maintenir son bassin contre mes fesses.
Garde les jambes tendues et penche-toi encore un peu.
Je suis souple et je prends facilement la position.
Att tes chevilles. Voilà parfait, je vais pouvoir te défoncer.
Et il le fait
et je narrête pas de hurler comme une chienne. Il sen donne à coeur joie
me pilonne et senfonce comme sil voulait chercher à rentrer ses couilles. Je jouis plus fort, bien plus fort que lorsquil ma baisée dans la chatte. Je sens aux palpitations de sa bite quil ne va pas tarder à jouir alors je hurle :
Dans ma bouche
dans ma bouche docteur.
Il se retire précipitamment, viens devant ma bouche, arrache la capote et
entre pour jouir. Plusieurs jets puissants que javale avec délectation. Je le nettoie avec la langue puis sans un mot il va récupérer sa blouse. Et moi, je me rhabille. Maintenant que le plaisir sest estompé jai quand même un peu mal au cul. Assise à son bureau je demande :
Je vous dois combien docteur
Cest cadeau !
La voix
lexpression
le ton chantant. Cest tout Richard ça ! Merde cétait pourtant pas sa bite. Si ? Oh je sais plus ! Il ma tellement excitée ce « docteur ».
Je me retrouve bientôt dans la rue presque hébétée.
Lorsque Richard rentre, le soir, je ne le quitte pas des yeux. Je veux le mater sous la douche. Je crois que ça lui plait ! Je détaille sa queue. Non, elle nest pas si petite que ça, en fait. Il faudrait quil bande. Ça ne tarde pas et alors là je ne sais plus ! Celle du docteur mavait parue énorme mais peut-être quelle ne létait pas tant que ça ! Ça magace, et plus tard, lorsquau cours du repas Richard me demande :
Ça été ta journée ?
Oui.
Je le regarde. Il me semble attendre quelque chose. Alors je lance :
Je suis allée chez le toubib.
Tes malade ?
Heu
Non, une convocation.
Médecine du travail ?
Heu
Oui.
Et là je me demande soudain si les textos émanaient bien de son portable. Merde ! Je suis tellement accro à nos jeux que jétais certaine que cétait lui.
Et quest-ce quil a dit ?
Que je suis en pleine forme.
Il ta fait un examen complet ?
Tiens-tiens, habituellement il ne me demande jamais ce genre de choses. Je pourrais peut-être le pousser à se démasquer, alors je lance :
Oui, il ma fait mettre à poil.
Complètement ?
Oui.
Ah bon, ils font comme ça dhabitude à la médecine du travail ?
Je sais pas mais jai pas osé refuser. Cest un docteur.
Oui bien sûr.
Il ma semblé percevoir une lueur dans ses yeux.
Et il ma longuement palpé les seins.
Ha.
Dans toutes les positions.
Ok.
Rien à faire il ne se trahit pas. Après tout, finalement
jai passé un bon moment. Cest quand même là lessentiel.
Les assauts fougueux du docteur mont épuisée et une fois sous la couette je mapprête à rejoindre Morphée. Richard entre dans la chambre. jespère quil ne va pas vouloir me prendre ce soir. Il ne se couche pas. Il fait le tour du lit, me dépose un baiser sur le nez et murmure :
Jai envie de te baiser dans la bouche.
Il aime ça, et je ne déteste pas ses assauts virils entre mes lèvres. Toutefois ce soir je nen ai pas très envie, mais puis-je lui dire que cest parce que jai déjà eu mon compte cet après midi avec le docteur ? Non bien sûr, alors jouvre la bouche et je cherche à comparer. Elle est bonne mais celle du docteur létait aussi. Je laisse mon chéri me baiser puis javale son nectar. Il me semble plus doux
plus crémeux
Puis je mendors, heureuse.
Ce nest pas tous les jours que je suis baisée dans tous les trous !
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