La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1038)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) (suite de l'épisode précédent N°1037) -
Au bout dun temps interminable, je sentis lavion atterrir
et je ne tardais pas à être déchargée, puis il me sembla avoir été oubliée, car javais limpression davoir attendu un long moment avant de sentir de nouveau la caisse bouger. Aux voix que jentendais, je compris que des personnes venaient chercher la caisse pour lemporter à bord dun camion. On me débarqua de nouveau. Le papillon était devenu douloureux ainsi que mon bas-ventre, la non jouissance devenait une vraie et jespérais quon allait rapidement me libérer. Lorsquon enleva lun des panneaux de bois, je fus éblouie par une lumière artificielle. Je me trouvais dans un hangar. Une femme forte, lair sévère me regardait avec un sourire pervers.
- Eh bien ! Voilà une chienne qui a lair bien fatiguée ! Je pense quune bonne douche devrait la réveiller. Quon la sorte, quon lemmène dans une salle deau et quon soccupe de la remettre en état !
Un homme à lallure carrée, élégamment vêtu, mais portant un collier ras de cou avec un anneau, vint me sortir de la cage. Cela fut très douloureux de devoir me déplier après avoir passé un temps indéfinissable dans cette cage étroite tel un contorsionniste. Mais il ne me laissa pas prendre le moindre temps pour métirer et me tira par le bras derrière lui. Nous arrivâmes dans une pièce entièrement carrelée, sol, murs et plafond. Il y avait seulement deux choses dans cette pièce : un tuyau relié à un robinet, et un trou dans le sol près de lun des murs, où le sol se creusait. Il me fit signe, sans un mot de me dévêtir, denlever les lanières qui tenait le papillon toujours vibrant contre mon clitoris douloureux, et de me plaquer au mur dos à lui dabord. Il ouvrit alors le robinet au maximum et dirigea le tuyau vers moi, doù sortit un fort jet deau qui me parut glacé et qui me plaqua encore plus contre la paroi.
Je fus ensuite conduite dans une sorte dhôtel, du moins vu de lintérieur. Je sus très vite que plus quun hôtel cétait une véritable maison close. Lhomme qui mavait « douchée » memmena dans une chambre à la propreté évidente mais minimalement équipée. Il mordonna de me reposer un peu. Je mallongeais donc sur le lit et me laissais bercer par le silence qui régnait et massoupis. Il revint, à ce que jévalue être une bonne heure après et il me tendit ma tenue « de voyage » quil me rendit une fois que je fus jugée reposée. Je nattendis pas longtemps. Très vite un homme arriva, bedonnant, grisonnant, à lhaleine chargée. Je navais pas eu loccasion de voir la lumière du jour depuis que javais été encagée. Et la chambre navait pas de fenêtre. Je ne savais donc absolument pas lheure quil était. Mais je navais, une fois de plus, pas eu de petit déjeuner le matin avant de partir de chez le filleul du Maître, juste une gamelle deau. Et je commençais à avoir faim. Cependant, je neus pas le temps dy penser longtemps car lhomme baissa son pantalon, exigea que je me déshabille et me mette en levrette sur le lit, et me prit sans plus de préambule. Comme un porc, il me monta avec des couinements, visiblement affamé de sexe
L'homme derrière moi, plaqua alors son torse en arc-boutant, épousant ainsi mon dos arrondi afin de bien me prendre la chatte le plus profond possible tout en ayant passé ses bras autour de ma taille pour venir triturer mes mamelons pendants. Toujours en couinant comme un cochon, il les fit rouler entre ses doigts, les tira en avant, je gémis de plaisir et un peu de douleur. Je sentais son souffle et sa mauvaise haleine menvahir les narines ainsi que les sensations brûlantes qui se diffusaient dans mon corps.
Il me besogna longuement, ayant visiblement du mal à approcher de la jouissance encore une fois, malgré et toujours avec ses grands coups de boutoirs au plus loin de mes entrailles quil pouvait senfoncer. Ses grosses couilles cognant contre mes fesses. Alors il se retira de nouveau après donc avoir goûté mes deux orifices et il me fit mettre à genoux et exigea que je me débrouille pour le faire juter dans ma bouche. Je mis alors tout le savoir-faire que mon éducation aux pieds du Maître Vénéré mavait conféré. Mais il me fallut de très longues minutes, le nez contre un pubis poilu et malodorant, pour réussir à recueillir finalement une assez maigre « récompense ». Il se rhabilla alors et avant de quitter la chambre, déposa dans une urne près de la porte 50 euros en précisant quil était content davoir découvert les fkk (Frei-Körper-Kultur, ou culture du corps libre) de Düsseldorf. Je compris donc que je me trouvais en Allemagne, où ce terme qui normalement désigne le naturisme, était ici utilisé pour parler des maisons closes. Je sus bien plus tard que dans ce type détablissement, on proposait pour 50 euros la journée les repas, un accès libre au bar et à la piscine, ainsi quun catalogue de femmes se trouvant là pour agrémenter la visite des clients, soit en tant quaccompagnatrice, et plus si affinités, soit purement pour être baisée et ne quittant pas les chambres.
Je sus également plus tard que jétais restée douze heures dans cet établissement. Durant douze heures, je fus pénétrée, besognée, salie, humiliée par tous mes orifices. Comme si un message avait été passé prévenant que je nétais quun morceau de viande, juste bonne à vider les couilles de qui le voudrait, de toutes les manières possibles et inimaginables ! Je navais de répits que les quelques minutes que prenait un client pour se rhabiller, ou seulement se réajuster car certains ne faisaient que sortir leur bite de leur pantalon, se vider et repartir, jusquau moment où un autre prenait sa place. Et je neus pour toute nourriture que du sperme ou même de lurine à avaler. Certains en profitaient pour assouvir leurs fantasmes. Ainsi je me retrouvais masseuse, chienne (ça ce nétait pas une nouveauté pour moi !), serveuse, attachée aux montant du lit la tête en bas, attachée en étoile, devant prendre des positions du Kâma-Sûtra que je ne connaissais pas mais qui, à mon sens, auraient pu paraître en gymnastique olympique
Mais ce qui me marqua le plus, et que jespérais ne plus jamais avoir à revivre fut ce moment-là. Larrivée dun homme, à peu près 35 ans, très classe, costume, cravate. Il me regarda longuement. Jétais assise sur le lit, face à la porte. Il avait un air étrange, lair de quelquun qui nest pas sûr de savoir ce quil voulait vraiment. Jétais déjà nue. Dans ce genre dendroit, quand on ne se trouve pas à racoler les gens dans les parties communes, être vêtue est un inconvénient et une perte de temps. Il finit par bouger. Il enleva chacun de ses vêtements, lentement comme sil voulait repousser le moment qui allait finir par arriver, les pliants chaque fois soigneusement. Puis il ouvrit la mallette quil avait apporté avec lui et en sortit un martinet. Il le regarda, me regarda, puis exigea que je me mette à quatre pattes par terre, et il commença à jouer des lanières sur mon dos, mon fessier, mon sexe, mes jambes, partout où elles pouvaient se poser.
Comme je ne bougeais toujours pas, il me supplia dutiliser le martinet sur lui. Je commençais alors timidement à laisser les lanières claquées sur lui, mais il mimplorait toujours dy aller plus fort, de me lâcher. Jessayer au mieux de le satisfaire, mais Dominer nétait vraiment pas ma nature, et jétais très mal à laise. Quand je marrêtais finalement, malgré ses supplications, mais commençant à avoir mal au bras et au poignet, nayant pas lhabitude de cet exercice, il se prosterna devant moi et vint me baiser les pieds, des larmes coulant abondamment sur ses joues. Je ne le laissais dans cette position que le temps de revenir de mon étonnement, et je le relevais très vite. Il finit par me parler. Il avait dans sa vie professionnelle et privée de nombreuses responsabilités, qui finissaient par l. Il se détendait donc en lisant des récits, dabord tous les styles, mapprenant quil avait lu les « Dix petits nègres » dAgatha Christie, ou énormément de Molière. Mais que depuis peu, cétait un tout autre genre de littérature quil avait commencé à découvrir. Disant cela, il me tendit un livre quun ami lui avait prêté. En regardant la couverture, je souris franchement. Il sagissait de
« La Saga des esclaves
» de Monsieur le Marquis dEvans.
Il mavoua quil sétait retrouvé tellement excité en le lisant quil avait commencé à se poser des questions, et quil avait voulu tester, brièvement avec moi, les deux côtés du manche du martinet, et que ce quil craignait cétait réalisé. Il ne pouvait pas en effet cacher son sexe qui sétait tendu à lextrême lorsque cétait moi qui le maniait, alors quil navait pas réagi en me frappant. Sachant que le Maître étudiait toute proposition quil recevait avec beaucoup dattention et de respect pour la personne, javouais alors à celui qui mapprit sappeler Jean, que jappartenais à lauteur du livre quil tenait dans sa main, que jétais Sa soumise, et je lui conseillais de le contacter via le site dont ladresse se trouvait dans la biographie. Je pensais avec raison, que dici peu de temps le Maître Vénéré recevrait une nouvelle candidature pour intégrer Son Cheptel.
Ce fut le seul moment où mon corps ne fut pas massivement, abusivement sollicité. Et toujours sans la moindre alimentation solide, à la fin de la douzième heure, alors que je me tenais penchée en avant, mes mains tenant mes chevilles, me faisant pénétrer brutalement, je finis par perdre connaissance dépuisement ! Lorsque je rouvris péniblement les yeux, je supposais que je rêvais, que je délirais, car il me sembla reconnaître la chambre du Maître, mais épuisée, je refermais rapidement les yeux et plongeais dans un profond sommeil
(A suivre
)
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