L'Éducation Sexuelle De Stéphanie.
Continuant de fouiller dans mes souvenirs de libertin, je me remémore une période qui remonte à une quinzaine dannées. Elle me revient en mémoire (je lavais quelque peu occultée, vous comprendrez pourquoi en lisant la suite) car elle sest produite à la même époque de lannée.
Veuf depuis quelques années déjà, je navais plus que quelques années de travail avant darriver à lâge de la retraite. Les s et petits s dispersés en divers endroits de France, je mefforçais de venir chez les uns et les autres pour fêter les anniversaires.
Un weekend prolongé auquel javais ajouté quelques jours de congés me permettait cette année-là de passer quelques jours dans la région de Royan chez lex dun de mes fils et ses s dont la fille aînée, Stéphanie fêtait ses 18 ans. Le séjour se passait dans la bonne humeur et la joie des retrouvailles. Javais toujours été complice avec Ingrid, lex de Louis, mon fils aîné. Et des années plus tard, elle me remerciait encore de navoir pas pris parti pour lun ou lautre au moment de la séparation.
Ingrid, comme son prénom peut le laisser supposer, a des origines nordiques. Elle est la fille naturelle dune suédoise qui, jeune étudiante de 20 ans, sest fait faire un lors dun voyage en Egypte. Le mélange des gènes a donné un résultat plus que séduisant. De ses origines scandinaves, elle a pris une silhouette longiligne avec une taille étroite, des cheveux blonds très pâles mais des yeux dun noir profond, ses hanches juste un peu larges et une poitrine opulente mais bien ferme sont indiscutablement dorigine levantine.
Je ne comprenais toujours pas comment mon fils avait pu en arriver à la tromper outrageusement et à se comporter grossièrement avec elle, faisant preuve dun manque déducation (quil navait pas) en sa présence. Je vous passe les détails.
Lavant dernière soirée du séjour, je lai passée à bavarder avec Ingrid alors que les s étaient couchés depuis longtemps.
Sans trop entrer dans les détails, je lui ai avoué que depuis bien longtemps, jétais un libertin convaincu fidèle à mon épouse qui ne partageait pas mes penchants mais qui était suffisamment ardente au lit. Depuis, sans loublier, je multipliais les liaisons et aventures plus ou moins longues et fréquentais les clubs échangistes. De son côté elle ma avoué sans aucune fausse pudeur quil lui arrivait de se caresser sous la douche ou dans son lit. Elle navait jamais osé acheter des jouets de peur que les s les trouvent
Bref, lorsque vers une heure du matin, nous sommes allés nous coucher, je pense que lun et lautre nous étions passablement excités. En moi-même, je me suis dis que dès mon retour chez moi, je me rendrais dans ce club que je fréquente assez régulièrement dans la périphérie de Bordeaux et jen profiterais pour moffrir une belle partie de baise avec celle qui voudrait bien se laisser faire.
Je dormais profondément lorsque jai senti la couette sous laquelle je dormais nu, se soulever et un corps chaud se glisser près de moi. Cétait Ingrid qui me rejoignait :
Je narrive pas à dormir ! Prends-moi dans tes bras, cela me calmera.
Quelle surprise ! Complètement éveillé, je lai prise dans mes bras. Au travers de sa nuisette, je sentais les courbes de son corps et soudain, je me suis mis à bander comme un cerf en rut.
Je navais pas baisé depuis une quinzaine de jours et la conversation que nous avions eue en soirée ont vite fait de mexciter. Elle la senti car presque aussitôt sa main est venue se poser sur mon sexe et une douce masturbation a commencé.
Fais-moi lamour ! Jai envie que tu me baises ! Ce sera notre secret !
Je me suis fait un peu prier
nétait-elle pas lex de mon fils ??? Finalement, je lui ai dit :
OK. Si cest ce que tu veux, je suis partant !
Oui baise-moi ! Ne te prive pas, inonde ma chatte de ton jus ! Tu peux y aller !
Ce bref échange de paroles avait fait son effet ! Ma bite était désormais complètement bandée, dure comme du bois, prête à lestocade. Ingrid ma ouvert les bras et les cuisses et je me suis introduit dans sa chatte ! Waouh, quelle était humide et chaude ! Aussitôt elle a noué ses jambes dans mon dos en me soufflant :
Vas-y, baise moi, je suis à toi !
Et là, cest une véritable tornade qui sest emparée dIngrid qui sest agitée comme une furie sous mes coups de boutoirs qui faisaient claquer nos pubis lun contre lautre, essayant tant bien que mal de maitriser ses soupirs et râles de jouissance au fur et à mesure que celle-ci montait en elle. De mon côté, je me retenais daller trop vite à la conclusion
Mais cest Ingrid qui est partie la première, lâchant plusieurs cris de plaisir au moment où je sentais son sexe palpiter autour de ma bite, fichée en elle au plus profond de ce que je pouvais :
Ouiiii ! Je jouiiiisss ! Cest booon !
De mon côté, je navais pas encore pris mon plaisir, tout à lidée de bien faire jouir ma partenaire qui dès que le calme est revenu, ma désarçonné en me faisant rouler sur le dos. Dans le clair obscur de la chambre aux volets entrouverts, je lai vue faire voler sa nuisette par-dessus sa tête puis plonger vers ma queue dressée comme un « I » et lemboucher pour quelques va-et-vient.
Vous connaissez mon attirance pour les poitrines des femmes. Une main sur chaque sein, le téton au creux de ma paume, jai commencé un massage de ses globes doux et souples pour les faire dresser. Dès quils ont été un peu sortis, je les ai fait rouler entre mes doigts :
Oh oui ! Cest bon ce que tu me fais ! Continue !
Pendant ce temps elle remuait de la croupe pour faire aller et venir mon sexe dans sa chatte. Bientôt les tétons ont été sortis et ressemblaient à une petite fraise des bois ! Vision oh combien érotique qui montrait son excitation. Jai laissé glisser mes mains le long de son corps et les posant de part et dautre des hanches, Ingrid a ainsi pu faire les mouvements de bas en haut sur me queue, se baisant elle-même de plus en plus vite au fur et à mesure que sa jouissance montait.
Pris dans notre folie sexuelle, nous ne nous étions pas rendu compte quen plus des soupirs et cris de jouissance, le lit faisait du bruit
si bien que la porte de la chambre sest entrouverte, laissant apparaître le minois oh combien étonné de ma petite fille !
Sa mère ne sest aperçue de rien car elle tournait le dos à la porte si bien que Stéphanie pouvait nous mater tout à loisir. Jétais bien évidemment excité mais aussi, gêné dêtre surpris ainsi !
Jai laissé Ingrid jouir empalée sur mon sexe qui a lancé une nouvelle fois quelques beaux jets drus au fond de sa chatte. Stéphanie sest exclamée :
Oh Maman ! Comme cest beau de te voir faire lamour ! Montrez-moi comment vous faites !
Ingrid sest retournée vers sa fille en lui demandant :
çà fait longtemps que tu nous regarde ?
Oh oui ! Depuis que grand père a descendu ses mains sur tes hanches. Cest le bruit qui ma réveillée !
Veux-tu te sauver ! Nous en reparlerons tout à lheure !
Non ! Je veux que tu me montres comment on fait lamour ! Je ne lai jamais fait, tu dois bien ten douter puisque je nai pas de copain !
Gêné mais aussi excité par cette situation, jai dit alors :
Maintenant que Stéphanie nous a surpris, pourquoi ne pas lui expliquer ? Çà ne peut pas lui nuire.
Oh oui ! çà je le sais ! Lorsque mes copines de lycée parlent de çà, je me trouve bête car jignore lessentiel.
Bon ! Puisque vous êtes tous les deux contre moi, approche !
Stéphanie est venue nous rejoindre sur le lit et je me trouvais entre deux femmes désirables, lune dans la maturité de ses 42 ans et lautre, jeune jouvencelle aux formes bien dessinées, visibles sous sa chemise de nuit quelle a ôtée en nous rejoignant. Elle avait des seins pointus comme des demi-citrons, des hanches étroites et une toison à peine développée qui découvrait sa fente plus quelle ne la masquait... Sa mère pris la parole :
Puisque tu veux apprendre, je vais te montrer une caresse qui tévitera de faire lamour avec un garçon tout en lui donnant du plaisir. Les hommes aiment beaucoup cela !
Ingrid sest penchée vers mon bas ventre où ma queue, à moitié bandée paressait doucement. Elle la prise entre ses mains et montant et descendant le long de la hampe, elle a commencé à me masturber en donnant de temps à autre des coups de langue sur mon gland :
Voila, tu peux commencer de cette manière, ensuite tu peux la prendre en bouche pour la sucer, je vais te montrer !
Aussitôt Ingrid a plongé ma bite dans sa bouche où, après lavoir copieusement enduite de salive, elle a commencé une caresse buccale faite de va-et-vient profonds et daspirations plus ou moins fortes qui me rendirent rapidement une superbe érection :
Tu vois Stéphanie, si ta mère continue ainsi, je vais jouir dans sa bouche ou alors, si elle ne veut pas, elle pourra me masturber à la fin pour me faire gicler à lextérieur, dans le vide ou sur les seins... Pour lhomme, cest très jouissif et excitant car cela peut se faire rapidement dans une cachette improvisée. En même temps que tu suces, tu peux aussi caresser les bourses pour faire rouler les testicules mais ne serre pas trop car ils sont sensibles. Tu verras, si tu sais y faire, tu rendras les garçons aussi heureux que sils te faisaient véritablement lamour
Stéphanie sest encore approchée et dune main timide, elle a commencé à caresser mes bourses et suivant mes indications griffé doucement la peau ! Waouh que cest si bon ! La mère et la fille qui me font une gâterie en même temps, que joublie qui sont ces deux femmes
si bien que je dois arrêter Ingrid :
Arrête Ingrid, tu vas me faire juter. Je pense que Stéphanie a compris le principe. Aller plus loin ce serait de le
Elle nous a vus baiser en amazone, maintenant on va lui montrer autre chose.
Oh oui, Maman, montre-moi vraiment comment on fait lamour.
Je vais baiser ta mère en levrette et texpliquer quil peut y avoir une variante.
Ingrid a pris aussitôt la position souhaitée, les mains en appui sur la tête de lit, la tête relevée et tournée vers le grand miroir du placard. Quelle était elle ! Javais sous mes yeux un dos à la taille étroite qui sélargissait en montant vers les épaules et sévasait pour former des hanches pleines qui soffraient ainsi, fendues par le sillon fessier où palpitait son illet plissé.
Je glissai aussitôt mon sexe dans le vagin dIngrid et je commençai à la baiser doucement. Elle mavait tellement bien sucé que si je ny prenais pas garde, jallais jouir rapidement :
Approche-toi Stéphanie, je vais te montrer autre chose. Tu as certainement entendu parler de sodomie ! Cette position en levrette est la plus facile pour sodomiser une femme. Tu vois le sphincter ? Et bien quand il est préparé correctement, les sensations sont encore meilleures que dans le vagin. Mais quand un garçon veut passer par là, il doit impérativement mettre un préservatif pour des raisons dhygiène. Dailleurs, même si tu prends un contraceptif, oblige-toi à utiliser une capote à chaque fois pour me pas être contaminée par une maladie sexuellement transmissible.
Tout en expliquant cela à Stéphanie, je furetais avec mon index droit dans la raie culière dIngrid, frôlant son anus mais il était impossible dy entrer ne serait-ce que la première phalange. Visiblement, le passage arrière navait jamais été ouvert. Cette coquine de Stéphanie se masturbait en nous regardant ! Elle avait au moins deux doigts qui allaient et venaient dans sa chatte et son autre mains caressait ses seins, faisant rouler les tétons entre ses doigts comme elle me lavait vu faire à sa mère.
Pendant ce temps je continuais daller et venir dans le sexe de sa mère qui faisait travailler ses muscles intimes autour de ma queue quand elle était bien au fond. Elle devait avoir une chatte profonde et ma bite plutôt courte mais trapue ne venait jamais frapper sa matrice. Cela ne la pas empêchée de prendre une nouvelle fois un pied denfer, rugissant de plus belle au moment où le plaisir déferlait en elle. Comme je me retenais, je me suis lâché immédiatement, lâchant quelques giclées dans sa chatte mais surtout, jai achevé de me vider sur ses reins. Je crois que Stéphanie nattendait que cela car elle sest précipitée sur le dos de sa mère pour lécher ce que jy avais répandu.
Je dois avouer que cette séance dinitiation à trois nous avait bien échauffé les esprits et les corps. Au lieu de nous séparer comme nous aurions pu les faire, nous nous sommes mis à bavarder tous les trois, parlant de lamour, des pratiques diverses, minant avec Ingrid certaines positions en disant quels avantages on en retirait, mais à aucun moment je nai touché le corps de Stéphanie. Lui montrer ou lui décrire les choses était suffisant. En fait, cétait une demi vierge car son hymen était déjà déchiré : cétait arrivé lors dune séance déquitation, le soir en se déshabillant elle avait trouvé des traces de sang dans le fond de sa culotte. Ce sont des choses qui arrivent dans certains sports. Il ne reste plus à Stéphanie quà trouver le copain qui fera delle une femme à part entière : Désormais, elle sait comment faire et à 18 ans, elle ne sen privera pas
Jen suis certain !
Chacun a regagné discrètement sa chambre au petit matin et plus jamais nous navons reparlé de cette nuit mémorable. Après la route de Royan à chez moi, jai rapidement pris un bain relaxant puis je me suis rendu dans ce club où jai mes habitudes. Jétais dans un des jacuzzis quand une métisse sculpturale est venue my rejoindre. Nous avons batifolé quelques instants avant quelle ne me propose une séance des massages. Très douée, elle a achevé de dénouer tous mes muscles par de savants attouchements avant quelle ne me demande de la sodomiser aboutée sur la table de massage.
Jai ensuite quitté le club et moins dun quart dheure plus tard, jétais dans mon lit et je sombrais dans un sommeil sans rêve.
(les prénoms ont été changés
)
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