Jérémy
Voilà un mois que je suis affecté dans cette unité, jadore ma nouvelle vie ; nouvelle habitation, nouveaux collègues, nouveau rythme, je vibre de tout mon être grâce à ce changement. Dans lunité, 4 filles, 5 mecs : 2 mariés avec gosse, un jeune de mon âge, un dune cinquantaine d'année divorcé et lui. Jérémy, en instance de divorce, 3 s, séparés depuis bien avant mon arrivée et assez mystérieux.
Je ne parviens pas à le cerner mais quelques subtilités mattirent vers lui, je ne saurai lexpliquer peut-être est-ce son côté « je men foutiste » ou son côté sentimental. Sans rire cest la première fois que je croise un homme qui parle de son ex-compagne qui la quitté avec le terme « ma femme », ça ne fait aucun doute quil doit encore laimer et je trouve ça beau.
Bref jai commencé à parler avec lui il y a environ deux semaines via Messenger. Dabord de manière totalement innocente, on sest découvert un bon feeling et on sest surpris à parler jusquà des heures tardives la nuit. Il est venu manger une fois et est venu regarder une ou deux fois un film à la maison sans quaucun truc ne soit tenté malgré mon envie quil se passe quelque chose. Je ne sais plus si cest lui ou moi qui ai commencé mais une longue conversation bourrée de sous-entendue sen est suivie durant plusieurs soirs, on se proposait des câlins, on parlait plus ou moins directement de sexe et, il faut lavouer, on se cherchait.
Jen ai eu marre de tournée en rond et, apparemment, lui aussi puisquil ma demandé en premier ce que jattendais dans un « câlin ». Et une porte ouverte, il ny a plus qua foncé maintenant, je fus claire, concis et explicite bref fidèle à moi-même. Il était hésitant, sen était mignon, peur de ce que les collègues diraient sils apprenaient et, surtout, peur que je mattache à lui. Je tâchais de le rassurer et, pour lui donner envie de me rejoindre, lui envoyais quelques-unes de mes photos de lépoque où jétais modèle photo de charme.
Je suis à présent dans mon lit, nue et je lattends avec impatience, ça fait des jours que je lui tourne autour et, enfin, ce soir il est à moi pour quelques heures. Jentends la porte souvrir, il approche et entre dans ma chambre. Je suis caché sous la couette, à ce moment jai peur de ne pas lui plaire nue car je le trouve vraiment mignon avec ses cheveux noirs parsemés de quelques cheveux blancs, son large sourire et ses yeux marron à la limite du noir. On a quelques années décart et pourtant je pourrais facilement mimaginer, un petit instant, ce que pourrai donner dêtre en couple avec lui. Je stop mon imagination, Il a lair gêner, visiblement les histoires dun soir ce nest pas son truc, et avec une collègue encore moins.
Nous parlons un instant puis je me lève pour sortir le chat de la chambre et nous enfermer, il me regarde rapidement et sur un « bon bah je me mets à laise » se déshabille. Il est exactement comme je lavais imaginé et jai vraiment envie de lui. Je mallonge à ses côtés, on se regarde un moment puis je me lance et lembrasse. Il se montre dabord hésitant comme si ça faisait longtemps, je lui demande, curieuse, depuis combien de temps il navait pas touché une femme et, effectivement, il me répondit que ça faisait un an.
Seconde tentative, on sembrasse de nouveau. Rien à voir avec le premier baisé, celui-ci est plus brutal, plus charnel, comme si le manque accumulé explosait dun coup : il me caresse le corps, empoigne mes fesses avec fermeté, me mord la lèvre, embrasse mon cou. Je suis littéralement surprise par sa manière de faire, il me dévore littéralement et avec passion, je nai jamais rien connu de tel. Nos souffles saccélèrent, on se caresse, se découvre, sembrasse, se mord. Cest fort, à la fois doux et violent, je ne sais quoi faire et naturellement, me laisse porter par ses envies.
On éteint la lumière, je descends plein sud, je caresse son entre jambe et empoigne son sexe en commençant de léger aller-retour avec ma main. Je lobserve un moment, cherchant à savoir sil aime, puis, jouvre la bouche et commence à jouer de ma langue sur son gland. Doucement, légèrement avant de le prendre entièrement en bouche. Je fais tourner ma langue autour de son membre, jen att la base et synchronise les mouvements de ma main et ceux de ma tête. Parfois en allant doucement et parfois en accélérant et en suçant plus fort. Il se redresse pour me caresser les cheveux, je continue plus fort, il serre son étreinte avant de me faire basculer sur le dos.
Il se positionne sur moi, membrasse, me mord la lèvre puis descend dans mon cou et vers ma poitrine. Il sy attarde un peu pour y pincer, embrasser et lécher mes tétons et reprend sa descente vers mon entre jambes. Il écarte mes cuisses et me dévore littéralement ; il commence par me donner de grands coups de langue sur mon clitoris, puis enfonce celle-ci dans ma vulve et fait de fort suçons sur mon clito. Ouah ! Cest intense, à la fois tellement bon et parfois douloureux, jamais on ne mavait mangé de la sorte.
Je me relève, je ne tiens plus, jai envie de lui, je le désire, je le veux là de suite. Il me renverse sur le lit, se positionne sur moi et, dun geste sûr et précis, me pénètre entièrement. Oh putain ! Ce cri s'est échappé tout seul, cest si bon, il me serre fort contre lui, un bras menlace et son autre main empoigne ma cuisse. À ce moment jai vraiment la sensation de lui appartenir, je moffre à lui et mabandonne à ses envies. Il fait de long aller retours profond et intense, je sens son souffle dans mon cou, membrasse langoureusement et resserre létreinte sur ma cuisse. Il passe son bras sous ma jambe quil remonte pour me pénétrer plus fortement. Il accélère, ses mouvements sont de plus en plus rapides et violents, il att mes poignets et les retiens fermement au-dessus de ma tête.
Il me retourne, me positionne à quatre pattes et me prend de nouveau avec fermeté. Je me cambre au maximum pour lui procurer plus de plaisir, dune main il me tient le poignet de lautre il me donne quelque à fesser. Cest délicieux, intense, ses mouvements sont fermes et sans pitié, je geins sous cette douce . Il gémit aussi, discrètement mais je sens quil prend son pied, je contracte mon vagin et renforce ma cambrure. Je veux lui donner le plus de plaisir possible. Une nouvelle fois il finit par se retirer, il lâche mes poignets et me dépose un doux baiser sur mon dos. Je frissonne
Il sassoit sur le lit, je mapproche de lui et me positionne sur lui en position du Lotus, je suis assise sur lui au plus proche, je lenlace de mes jambes, passe mes bras autour de son cou. Il me pénètre de nouveau mais cette fois doucement, avec passion, mon souffle se coupe. Je resserre létreinte de mes bras et positionne ma tête dans le creux de son cou. On synchronise nos mouvements de bassin, cest intense, passionné, doux. Jamais on ne ma fait lamour avec autant de passion. Il menlace et me serre fort contre lui, je sens son souffle contre mon oreille. Il msenfonce profondément en moi et nos corps décrivent de petits mouvements qui rendent ce moment encore plus plaisant. On sembrasse, passionnément, langoureusement, cest plein de promesses. Jai limpression, à ce moment-là, dêtre précieuse pour lui, comme si le manque de câlin et de sexe lavait consumé au point den être avide. Nous continuons comme ça un moment, allant de plus en plus vite et de plus en plus fort, le plaisir monte encore et encore jusquà ce que jimplose dans un intense orgasme.
Au bout de quelques minutes, il se retire, sallonge sur le dos, je me place à côté de lui. Il me prend dans ses bras et nous restons un certain temps, comme ça à se regarder, je pense voir un sourire sur son visage mais je rêve peut-être. Il me caresse doucement le dos, je lui réponds en caressant son visage, je lembrasse avec douceur comme pour le remercier de toute la passion quil ma donnée. Je regarde lheure, merde déjà 2 heures du matin, on se lève dans 5 heures, je nai pas envie quil parte mais si on veut rester discrets, on ne doit pas dormir ensemble. Il se rhabille, je le raccompagne à la porte, lembrasse une dernière fois avant quil parte, demain il faudra jouer les simples collègues. La porte claque et me voilà de nouveau seule
Je me glisse dans mes draps encore chauds, me recroqueville sur moi-même. Je sens son odeur sur ma couette, je la serre contre moi et mendors comme ça, encore enivrée par lui
Horizon
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