Debut Juillet, Je Fais La Salope 1.
Cela fait maintenant 3 semaines que Bruno est rentré. Je mennuie prodigieusement et je suis plus quen manque et plus que frustrée.
De plus jessaie dappeler Didier mais sans succès. Il ne décroche pas son téléphone. Jai essayé dappeler Pascal, il devait me rappeler.
Nous sommes début juillet, cest le début des vacances, les effectifs sont réduits. La brasserie où jai lhabitude de déjeuner est bien entendu fermée, je décide de pousser un peu plus loin.
Je ne sais pas si cest le fait dêtre en manque et de me sentir frustrée, lié au fait que je vais dans un endroit que je ne fréquente jamais, jallume les hommes, je les regarde droit dans les yeux, avec un regard de salope tout en me dandinant.
Une fois arrivé dans une autre brasserie, je minstalle en terrasse, les jambes bien dégagées de la table et ma jupe remonté à mi cuisse ; je vois bien que les hommes me regardent, je ne fais rien pour les en dissuader.
Lorsque le serveur arrive, cest un jeune, même très jeune. Je le regarde droit dans les yeux en le questionnant sur la carte. Je vois bien quil est troublé.
Jexagère vraiment car il doit avoir une vingtaine dannée.
Je déjeune en continuant à allumer tous les hommes.
Je me fais inviter à prendre un café par un homme, pas mal, classe, mais un peu agé à mon gout, il doit avoir dans la soixantaine. Jallume le serveur comme une chienne en manque.
Je poursuis les jours suivants, en lui demandant de mexpliquer la composition de certain plat proposé. Mes questions sont ambigües, je le fais exprès, et lorsquil ne comprend pas, je lui montre sur la carte pour quil se penche plus sur moi ; Je profite de ces moments pour croiser et décroiser mes jambes en les écartant plus quil ne faut, avec la jupe à mi cuisse, il rougit à chaque fois. *
Jai fait une reconnaissance des toilettes qui sont au fond du restaurant, sur le passage en cuisine et au sous sol, une position presque idéale pour faire des bêtises.
Il faut que je passe à laction. Nous sommes jeudi et le petit jeu dur depuis lundi.
Je décide de mettre une jupe plissé mi cuisse, des talons hauts, des bas, malgré le temps chaud, un chemisier, un soutien gorge à balconnets, pour bien mettre ma poitrine en valeur.
La matinée se passe, et je pars excitée comme une qui va faire des bêtises.
Je continue à allumer tous les hommes que je croise.
Je passe devant une pharmacie, où il y a un distributeur de préservatifs à lextérieur, jen prends deux au cas où. Je me comporte comme une véritable salope, il faut que je me fasse le serveur.
Jarrive en le saluant et en le regardant bien droit dans les yeux. Il maccueille avec un grand sourire mais reste toujours un peu gêné.
Je me comporte comme depuis le début de la semaine. Mes jambes sont décalées par rapport à la table, jupe plissée, remontée bien haut à la limite de mes bas. Je fais de leffet, il y a même un homme en voiture qui a klaxonné.
Lorsquil vient mapporter la carte, jen profite pour lui demander « quest ce que vous me conseillez aujourdhui »
Le serveur me conseille le plat du jour. Je fais celle qui ne voit pas et lui dit « montrez moi sur la carte »
Il sapproche de moi, je me tend au maximum pour être le plus proche de lui. Je fais celle qui ne comprend pas en lui disant « venez à coté de moi, je ne vais pas vous manger »
Lorsquil se positionne sur ma droite, jen profite pour me frotter cotre lui, il est plus que troublé et devient tout rouge. Je le regarde avec un regard de chienne, la bouche à moitié ouverte.
Jen profite pour décroiser les jambes en les écartant bien, à un tel point que le haut de mes bas ont été découverts. Jai cru quil allait avoir les yeux qui lui sortaient de la tête. Je nai pas arrêté de tout le repas. Je sentais la pression monter car je voulais conclure. Je voulais me faire sauter comme une traînée.
Jai prit mon sac à main, je lai posé sur mes genoux, ai mis en évidence le préservatif.
Je me suis lever en le fixant bien droit dans les yeux et lui disant « surveiller mes affaires, je reviens ». je me suis dirigée vers les toilettes en tortillant bien mes fesses. Au moment de descendre lescalier, je me suis retournée pour vérifier quil me regardait, ce quil fit. Je lui lançais un dernier regard qui était un appel au viol consenti.
Une fois arrivé, le constat est sans appel, je suis plus que trempée. Mon string est à tordre. Je décide de le retirer et de me donner du plaisir. Mon clitoris est dur comme de la pierre et lorgasme arrive très rapidement ; Je me mords les lèvres pour ne pas ameuter le quartier car le plaisir est intense.
La tension diminue mais je nai pas assez joui. Je le mets dans mon sac et je décide de forcer le destin. Je remonte les escaliers doucement, jattends que le serveur passe.
Ce quil fait en 5 minutes. Je linterpelle « vous pourriez descendre, il ny a plus de papier, sil vous plait » avec une voix de chienne.
Il descend, je le suis, il entre dans les toilettes, jentre à mon tour, je le plaque contre le mur, je lembrasse tout en commençant à le masturber à travers son pantalon. Il bande rapidement, nous nous embrassons à plein bouche. Je lui dégrafe sa ceinture, lui ouvre sa braguette et lui je lui sors son sexe. Je le masturbe directement ; Il pousse des soupirs. Je me mets à genoux et je lengloutis comme une affamée. Je sors le préservatif de mon sac, lui applique. Je me relève, tout en continuant à le masturber, en lui disant « prend moi, prend moi fort ».
Je me retourne, lève une jambe en appuyant mon pied sur le bord de la cuvette, lui dirige son sexe dans mon vagin. Il entre facilement tellement je suis trempé. Il pousse un grand soupir. Je lui dis en tendant mon cul comme une chienne « vas y fort vas y ».
Il me prend par les hanches, et commence à aller et venir en moi. Je bouge mon cul pour quil me prenne bien tout en lui disant « prend moi plus fort oui »
Il accélère le mouvement.
Jétais tellement excitée que jai eu plusieurs orgasmes de suite. Lorsque jai senti quil se raidissait et quil commençait avoir des palpitations sur son sexe , jaccentuais le mouvement pour arracher un dernier orgasme qui est arrivé rapidement. Il se vidait avec de bonnes contractions. Pour accen son plaisir je me dégage rapidement avec son sexe en main ? je me mets à genoux, je le décapote et lengloutis en le dévorant. Il essaie de mimmobiliser la tête en se tordant dans tous les sens. Jai du sperme dans la bouche, je lavale. Je me relève, jai un peu la tête qui tourne en lui disant « cétait bon » tout en lui mettant mon string dans sa poche. Je le laisse sortir en premier attends quelques minutes. Je suis remontée et ai regagné ma place. Jai payé et suis sorti en me retournant en lui faisant un geste de la main.
Jai regagné le bureau en me disant que jexagérais et que je me comportais très mal.
Cette aventure, au lieu de me calmer, mavait plutôt excité.
En rentrant au bureau, jessayais dappeler Didier et Pascal mais sans succès.
Mon moral était au plus bas.
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