La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1039)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE)" -
Avant que ne se serve le Maître qui a bien voulu, dans sa grande bonté, faire de moi Son esclave et Sa propriété, Lui, de la grande aristocratie française descendant dune lignée de Marquis depuis 1625, moi, mannequin connu, nous nous étions rencontrés au cours de diverses soirées mondaines dans les hautes sphères du milieu financier et de fait dans de riches lieux tels des châteaux, ambassades ou ministères, etc... De par ses hautes responsabilités, et moi les miennes, nos rencontres se faisaient souvent et, assez vite nous nous sommes liés dune sorte damitié dont les racines semblaient plus proches dune éducation stricte et identique que par réelle affinité. Nous nous sommes perdus de vue mais un jour, (les hasards de la vie) nous sommes à nouveau « tombés » lun en face de lautre. Cette fois-ci, ce fut au cours dune soirée parisienne se passant dans la riche demeure dun fortuné mécène passionné dArt où suite à un luxueux vernissage dune galerie dexposition dans un célèbre musée parisien, jétais conviée à ladite soirée. Moi et quelques-unes de mes collègues mannequins, devions défiler lors de ce vernissage tout en arborant de somptueux bijoux, bracelets et colliers de pierres précieuses, de la Joaillerie Cartier. Lors du cocktail qui suivit chez le mécène, ce Marquis me donna du :
- Madame, je vous retrouve telle quen vous-même vous fûtes !
Cela me fit un « déclic », quelquun qui manie avec tant daisance limparfait du subjonctif (mode que jadmire et qui était communément usité à la Cour, ne pouvait être, à mes yeux, que bien né et de plus est, Noble. Fille unique de parents Hauts fonctionnaires du Ministère de lEconomie, je fus élevée selon des principes très stricts, par une nounou, et ce pendant plus de six années. Dans mon monde du mannequinat, où tout nétait par définition, que superficiel, sans oublier mes racines, je parlais la langue de tout le monde.
Comme nous avions des points communs, nous nous sommes vouvoyés pendant deux années, au cours desquelles, nous avons appris, Lui et moi à nous connaître, à nous explorer mutuellement, à nous apprécier même finalement. Javais vingt-cinq ans, jétais connue, allant de défilés en défilés, ayant même failli faire un film avec Monsieur Alain Delon qui mavait réclamée comme partenaire, lors dun tournage Passage Choiseul à Paris. La célébrité métait montée à la tête, je tenais tous les hommes à mes pieds, jétais devenue hautaine, et pour tout dire capricieuse et imbuvable
Au cours dune énième soirée, cest donc dans cette riche demeure du fortuné mécène et alors que je déambulais parmi les invités, que ce fameux Marquis me rejoignit
Le vernissage et le défilé étant terminés, et après avoir quitté le célèbre musée, ayant perçu la fraicheur du soir javais mis un luxueux châle de soie sur mes épaules afin de couvrir mes épaules nues.
- Madame, vous avez osé cacher le sublime collier de bijoux que vous portez par un vulgaire morceau détoffe. Sachez que ce collier vaut un prix dor et même si le défilé est finit, vous offensez la Maison Cartier en le couvrant du regard des autres
Veuillez me suivre, sil vous plait, jai autre chose à vous dire
Il est vrai quayant eu froid aux épaules, et par le fait de me les couvrir, javais volontairement occulté le fait que je portais un collier lequel je me devais darborer afin de valoriser la célèbre Joaillerie qui avait sponsorisé le vernissage
Blessée de son ton vexant, cest très hautaine et condescendante, que je lui en fis la remarque devant tous les invités :
- Monsieur, le ton que vous employez ne me sied pas, je ne suis ni votre obligée, ni votre esclave !
Javais dit cela, sans arrières pensées aucune et de bonne foi, mais tout à la fois, impulsive et capricieuse. La réponse, Sa réponse, ne se fit pas attendre. En pleine soirée mondaine, je reçus deux aller-retour en plein visage, gifles qui me coupèrent le souffle, à la fois par leur force mais qui me choquèrent par loutrecuidance de ce Monsieur qui, cependant navait pas hésité une seule seconde à me traiter comme celle que je ne connaissais pas encore que jétais. La sécurité se précipita mais dun geste, fixant dans les yeux du Noble, je fis comprendre aux vigiles, de se retirer. Le riche propriétaire mécène, très gêné par le geste de ce malotrus, ne savait ni quoi dire, ni quoi faire car visiblement il avait lair dêtre un ami proche du Marquis. Dun sourire enjôleur je le rassurais et lincident fut clos ! Je me tournais vers le Noble et lui dis sur un ton méprisant :
- Monsieur, vous avez peut-être étant donné votre titre de noblesse, lhabitude de donner des ordres mais je, ne fais pas partie de vos servants, et on ne me parle pas ainsi, et me gifler aux yeux de tous est un outrage auquel jexige des excuses, sachez-le ! Néanmoins jaccède à votre demande et je vous suis
Le Marquis mentraîna sur la terrasse de la somptueuse demeure.
- Madame, je vous respecte et vous respecterai toujours, mais demandez-vous pourquoi je vous respecte autant et pourquoi je ne vous prierai de ne pas mexcuser !
- Pour ce que je suis, Monsieur, je présume. Mais me gifler ainsi devant tout le monde, sans même vous en excuser, cest ce que vous appelez me respecter ?
- Oui Madame car je vous ai giflé pour ce que vous êtes
mais vous ne vous connaissez pas encore Madame !
- Et qui suis-je, Monsieur je sais tout !
- esclave Madame, vous êtes une esclave née, mais vous lignorez encore ! Et il y a longtemps que jai décelé en vous, cette inévitable réalité...
- es
escla
ve ? êtes-vous devenu fou Monsieur ? Complètement dérangé !
- Que nenni, me répondit-il avec un large sourire, que nenni, mais je lis en vous comme dans un livre ouvert, le livre de votre vie, Vie et Destinée que vous semblez ignorer !
Je suis très réactive de caractère et me reprenant immédiatement bien que très surprise par les propos tenus, je répondis sèchement :
- Vous voilà bien sûr de vous, Monsieur le Marquis, apprenez quil nest pas encore né celui qui me mettra à sa coupe !
Je le fixais intensément !... Et lui aussi quand il se mit à rire, dun rire pur, cristallin et son rire me désarçonna quelque peu je lavoue. En riant, il se rapprocha de moi, son rire se fit moins présent, tandis que ses mains commençaient de faire tomber le châle et la sublime robe de soirée à épaules nues créée par Dior, que je portais ce soir-là. Je navais pas de sous-vêtements aimant me vêtir ainsi naturellement. Je me retrouvais très vite les seins à lair juste avec le collier de pierres précieuses au cou qui brillait de tous ses éclats, tandis quil me dit sur un ton nautorisant pas la réplique :
- Fais tomber toi-même le reste de ta robe !
Son ton avait changé et ne souffrait plus de politesses sentendant plus comme un ordre que comme une demande.
- Ne bouge pas, mets tes mains derrière ta nuque, laisse-moi te regarder et prendre possession par les yeux de ton magnifique corps mettant en valeur les belles pierres précieuses de ce magnifique collier...
Ses mots eurent comme mérite de déclencher en ma tête des décharges électriques, médusée que jétais. Tandis que par la situation de me trouver ainsi exhibée à son regard intense, mes tétons commençaient à se durcir et que bien malgré moi, mon bas-ventre me trahissait. Je ne comprenais plus rien, je ne me reconnaissais plus du tout, ma respiration était devenue haletante, mon cur battait la chamade. Moi, le mannequin hautain devenant le jouet de cet homme. esclave dit-il ! A quelle sorte de mythomane ai-je à faire ? Néanmoins, je ne bougeais pas du tout sentant son regard bleu et profond parcourir mes formes. Il me fit rester ainsi un assez long moment, puis sa main se posa sur ma nuque, se fit plus lourde mais imposante, ce qui me fit comprendre de me pencher en avant, ce que je fis, obnubilée par son autorité qui sinfiltrait dans mon esprit bien malgré moi. Instinctivement et ainsi penchée, pour assurer ma stabilité, juchée que jétais sur des talons de 15 centimètres, jécartai mes jambes
Les mains baladeuses du Noble me caressaient les fesses, ma courbe des reins, remonta pour redescendre sur toute mon échine, avec je suis obligée de le reconnaître, une douceur inconnue de moi avant ce moment. Puis, ses doigts parcoururent mon sillon fessier, effleurant lentrée de lanus ce qui me fit me serrer dabord puis, lentement me détendre, laissant entrer doucement mais fermement un début de doigt. Subitement, le doigt se retira, tandis que lautre main caressait par devant mon bas-ventre, commençant dexplorer la zone sensible de mon sexe, mes lèvres intimes fortement humidifiées et surtout ma région clitoridienne qui chez moi est très réactive. Il me branlait avec Art, lentement, et immanquablement, de ma vulve bien ouverte, commença de sourdre au début, un filet de cyprine devenant abondant au fil de sa masturbation agile, allant ensuite en un véritable torrent, trahissant à ses yeux à la fois mes envies corporelles et une sorte évidente dacceptation à Ses ordres
Tandis quun doigt dabord, puis deux, et enfin trois travaillaient méticuleusement ma vulve me faisant perdre toute retenue, il me dit sur un ton autoritaire :
- Ques-tu en en ce moment même? Je réagis à son tutoiement mais ne répondis pas sur ce point, essayant de canaliser ma respiration qui semballait de plaisirs.
Comme je restais muette et tandis que ses doigts forçaient leur cadence en mon sexe :
- Je nai pas pour habitude de me répéter, sache-le et une tape sèche, fulgurante sabattit sur ma fesse droite. Elle fut cinglante et dut sûrement me faire rougir mon fessier
Je sursautais mais il continuait de me travailler mais je ne répondis nullement, me laissant envahir par les bienfaits de ses doigts si délicieux, dois-je avouer
Une seconde tape, plus forte encore tomba, puis une autre, et encore. A chaque fessée, je devais encore plus mouiller sans men rendre compte tellement je me sentis excitée dêtre ainsi traitée
Je cédais enfin :
- Une
Une ca
Une catin, Monsieur
Brutalement, il retira ses doigts me laissant avec mes envies. Il me fit me redresser, mettre mes mains à nouveau derrière la nuque, me disant :
- Droite devant moi, jambes écartées et fière, et lèche ta mouille de chienne laissée sur mes doigts !
Jobéis immédiatement comme affamée de son traitement si envoutant. Bien droite, je passais ma langue sur chacun de ses doigts quil me présentait à ma bouche, noccultant aucune partie et avalant toute ma cyprine
Il était redevenu calme et affable, me caressant les seins de son autre main, pétrissant doucement mes tétons, un par un, tétons quil attirait avec douceur à Lui et me dit :
- Tu peux te rhabiller. Je viens de te montrer très succinctement ce que tu es réellement.
- Ce que tu viens de vivre nest strictement rien à côté de ce que tu vas vivre, si tu lacceptes librement. Nous sommes aujourdhui samedi, je te donne jusquà samedi prochain, (il regarde sa montre) même heure, (2h du matin) pour venir en Ma Demeure
Ce fut les derniers mots que jentendis de sa part cette soirée-là. Il plaça sa carte de visite au nom du Marquis dEvans, entre mes lèvres vaginales et sen retourna auprès de la soirée, me laissant entièrement nue sur la terrasse comme si je ne lintéressais plus du tout.
Je me rhabillais rapidement, revenais auprès des invités, tentant de retrouver ma superbe, mais de temps en temps, mon regard croisait celui du Noble en train de deviser avec dautres convives. Il ne me regardait même plus
. A la fin de la soirée, mon chauffeur me raccompagna chez moi en mon hôtel. Mes idées étaient totalement embrouillées. Qui est cet homme ? Qui suis-je vraiment ? Non je nirai pas le revoir ! Ressaisis-toi ma belle me disais-je, tu as à faire à un malade. Moi esclave ? Sûrement pas ! Je me fis couler un bain très chaud, y plongea et mendormis. Ce fut le froid de leau qui me réveilla
Les jours passaient, jétais devenue furieuse vis-à-vis de moi, exécrable pour tout dire vis-à-vis de mon entourage, capricieuse au possible au point que lon men fit la remarque et le reproche. Mon agent me convainquit de prendre quelques jours de repos, ce que je fis. La date butoir approchait à grands pas et nayant pas le caractère à fuir, à me défiler, je me dis :
- Je vais, effectivement voir ce Marquis dEvans, voir où il vit et lui dire son fait.
Jessayais de métourdir, sortant avec des amies, en discothèque. La date arriva. Le jour avançait lentement, les heures inexorablement sécoulaient, lheure limite était 2 heures du matin. Vers minuit, jétais à la fenêtre, je vis arriver une imposante Rolls-Royce qui se gara. 1 heure du matin, je remarquai quelle était toujours là. Je mhabillais prestement, fis appeler un taxi et descendis. Arrivée dans le hall de lhôtel, jallai entrer dans le taxi, garé à côté de la Rolls, quand subitement la portière de celle-ci souvrit, un homme (je sus plus tard quil sagissait de Walter, le Majordome de Monsieur le Marquis dEvans) en tenue de chauffeur en sortit, ouvrit la portière arrière et me dit :
- Veuillez prendre place Madame, Monsieur le Marquis vous attend !
Interloquée, je restais coite, puis me ravisant, renvoya le taxi qui maugréait pour une course manquée. Le chauffeur le dédommagea, me fit prendre place, referma la portière et démarra. Pas un mot, seuls ses regards dans le rétroviseur me donnaient à penser que je lui donnais du plaisir à me regarder (ah tous les mêmes ces hommes) Tandis que nous roulions sortant de Paris, je lui demandais où nous allions. Pas de réponse. Je renouvelais ma question, toujours pas de réponse, seul un sourire dans le rétroviseur marriva. Enfin nous arrivâmes en vallée de Chevreuse et nous arrêtâmes en face dune demeure cossue. Je sus plus tard que cétait une des nombreuses propriétés foncières du Marquis dEvans sur le territoire français. De cette demeure, plus exactement un petit château, plusieurs heures plus tard, mon sort desclave se vit scellé définitivement. Mon éducation commença le soir même et fut un long parcours initiatique car étant donné mon caractère de frondeuse, Le Maître dut utiliser plusieurs fois tous les moyens à sa disposition pour que je comprenne enfin et surtout, accepte de mincliner définitivement à Ses pieds. Cela passa par des corrections sévères, des mises au cahot me faisant me découvrir telle que jétais réellement. Jai été littéralement dressée, non pas à devenir esclave, mais à découvrir quen fait je létais inconsciemment mais que je devais ladmettre. Et je me surpris à en trouver un plaisir immense, une excitation quasi permanente, je me sentais incroyablement bien à ma place. Ce fut tout le travail du Maître. Aujourdhui, et depuis longtemps déjà, jai trouvé cette véritable place, au point que Le Maître a pris entièrement possession de ma vie, de mon corps, faisant de moi, pour ma plus grande joie, mon plus grand bonheur et le Sien, Son esclave, Sa propriété, Sa chose
. Mais voici comment mon sort desclave se vit scellé définitivement, comment cela se passa, cette nuit-là :
(A suivre
)
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