La Fille De Ma Belle-Mère.

Cette année, mon père a décidé de louer une grande maison avec piscine dans l’arrière pays de Montpellier pour y passer les vacances en famille.
C’est exceptionnel que nous nous retrouvions ainsi pour passer une quinzaine de jours dans le midi, aussi ai-je été surpris quand j’ai reçu cette information : J’étais en Espagne où je poursuivais mes études à Barcelone et je comptais bien profiter de l’interruption des cours pour visiter le pays !

Avec moi, nous serions sept en tout : Hervé, mon père et Martine, sa seconde épouse avec ses deux s, Mélanie et Corentin, mon petit frère Jean et sa jumelle Janine. Nous devions profiter d’être tous ensemble pour fêter la réussite au bac de Mélanie et ses 18 ans…

Lorsque ce samedi de début août, je suis arrivé avec ma petite Twingo, tout le monde était déjà installé depuis peu…
Le monospace et sa remorque étaient garés devant la maison et comme d’habitude, les jumeaux se chamaillaient avec Corentin qui avait sensiblement leur âge… Ils étaient en pleine adolescence !
Lorsque mon père m’a accueilli, il m’a dit que tout le monde avait déjà trouvé ses marques et qu’il ne me restait plus que le studio aménagé dans une partie du sous-sol de la maison.
• C’est très bien… comme cela je serai tranquille et je n’entendrai pas les chamailleries des ados.
• Je l’avais bien compris ainsi… Ils sont de plus en plus pénibles ! Ils savent jouer sur les deux tableaux !
Mon barda n’était pas très conséquent, quelques jeans ou pantalons de toile, de polos et sous vêtements et des sandales… L’Espagne a du bon, on n’a pas besoin d’encombrer les placards… En plus, je n’ai guère de place dans ma chambre d’étudiant !

Cependant, j’étais heureux de retrouver toute cette famille recomposée… le séjour pour les fêtes de fin d’année avait été bien trop court…
J’avais beaucoup de complicité avec Martine qui m’avait adopté comme un fils déjà grand lorsqu’elle est entrée dans la famille quelques années après le veuvage de mon père… Veuve également, elle ne remplacera certes jamais ma mère mais nous nous entendons bien.





Le premier soir, nous avons diné tous ensemble sur la terrasse qui dominait Montpellier au loin au sud-est et la Méditerranée encore plus loin… Les hirondelles volaient haut dans le ciel… demain, il ferait beau !

Quelle n’a pas été ma surprise quand j’ai revu Mélanie… La dernière fois, elle ressemblait plus à une ado montée en graine, avec des formes à peine dessinées, le visage barré par une paire de lunettes à grosse monture…
Un peu plus de six mois plus tard, je découvrais une jeune fille, certes avec des formes menues mais bien dessinées que j’ai pu contempler à loisir quand après le petit déj’ du dimanche nous nous sommes retrouvés au bord de la piscine.
Elle venait d’avoir 18 ans (anniversaire qu’il était prévu de fêter lors du repas du déjeuner) et je la taquinais gentiment en lui disant qu’elle devait avoir un amoureux planqué quelque part… qu’elle était bien jolie…

Le séjour était organisé entre les matinées au bord de la piscine, des excursions dans l’arrière pays pour visiter les châteaux cathares et quelques séances au bord de la mer.
Après la vie trépidante de Barcelone, j’appréciais ce calme relatif parfois troublé par les cris des plus jeunes.
Un après-midi, pour y échapper, je me suis éloigné dans la garrigue avec une couverture, mon « I-phone » et un livre trouvé dans le studio et dont le titre m’avait attiré.
Mon « refuge » était constitué d’une surface d’herbe entre quelques pins parasol qui donnaient un peu d’ombre en ce début d’après midi torride.
Les cigales s’en donnaient à cœur joie et la stridence de leur chant finissait par prendre le pas sur la musique que j’écoutais, les écouteurs vissés dans les oreilles.
Soudain :
• Je ne te dérange pas ?
• Euh… non…
J’avais répondu instinctivement en me retournant su le dos pour découvrir Mélanie avec une couverture sous le bras…
• Je peux m’installer près de toi ?
• Mais bien sur… la place est à tout le monde…
• Merci… tu es chou !
Contrairement aux autres jours où elle portait un maillot une pièce qui cachait plus ses jeunes formes qu’il ne les mettait en valeur, Mélanie arborait un paréo de couleurs sous lequel elle portait un maillot deux pièces assorti très joli.

Toujours galant et flatteur, je lui fis le compliment… et elle répondit :
• J’en ai assez de ma mère… Avec elle, je ne peux porter que des vêtements qui ne me plaisent guère… Je ne sais pas de quoi elle a peur !
• Mais c’est normal, elle veut protéger sa fifille chérie du grand méchant loup !
• Oh, le loup… Si elle savait… il y a déjà quelques temps qu’il m’a croqué !
• Je n’aurais pas cru cela de toi… Je te prenais pour une fille sage !
• Oh, çà s’est passé un peu sans que je le cherche… Avec ma classe de première, nous étions partis en séjour d’une semaine en Ecosse… Cette nuit-là, je n’arrivais pas à dormir aussi suis-je sortie sur la terrasse de la maison où je séjournais. Je ne portais qu’une nuisette assez légère et j’ai été surprise de me trouver en présence du père de ma correspondante qui prenait le frais lui aussi. Nous bavardions depuis quelques temps à mi voix quand soudain j’ai frissonné. Ryan m’a pris dans ses bras en disant qu’il allait me réchauffer… Il m’a effectivement réchauffée en me prenant ma virginité avec beaucoup de douceur…
• Ben dis donc… Et tu as recommencé ?
• Non… c’était trop dangereux !
• Et depuis un peu plus d’un an ?
• Oh… j’ai eu quelques flirts, plusieurs fois, j’ai baisé vite fait avec un bon copain mais pour l’un comme pour l’autre, je pense que c’était plus une question d’hygiène que de tendresse ! Mais je me masturbe souvent en pensant que des belles bites m’attendent quelque part…


Comme cela, Mélanie avait sauté le pas ! Cette conversation m’avait excité… d’autan qu’elle avait ôté son haut, découvrant deux petits seins bien rond et je l’avoue, très « appétissants ».
Je bandais dans mon boxer…
À 24 ans, des seins j’en avais vu de toutes les formes d’autant que les espagnoles ne sont pas très prudes lorsqu’elles se lâchent… Beaucoup d’entre elles imitent les touristes qui, elles, ne s’en privent pas ! Sur les plages, beaucoup sont les seins nus… même les femmes un peu matures qui n’hésitent pas à s’exhiber ainsi…
• Tu es devenue bien jolie !
• Merci… Je ne sais pas ce qui s’est passé mais au cours des six derniers mois, mon corps a beaucoup changé…
• Oui… tu as pris de jolies formes… Tu es plus « femme ».
Et côté « sexe » ?
• Oh… je suis tellement surveillée de près que ce n’est guère facile d’avoir une liaison ! Mais je suis curieuse et j’ai envie de découvrir. J’ai 18 ans maintenant… Je pense que j’ai du retard dans ce domaine.

Était-ce une invitation ?

J’ai toujours été très libre avec les femmes depuis qu’une jeune quadra m’avait dépucelé et presque tout appris alors que j’avais à peine 16 ans… Depuis, je papillonnais plus ou moins longuement avec des copines de lycée puis de fac’.
• Si tu sais y faire, faire l’amour t’apportera plein de bonnes choses… En dehors du plaisir de l’acte lui-même, tu verras qu’il y a plein de manières de se satisfaire et de satisfaire ton compagnon du moment !
• Je sais, je ne suis quand même pas si naïve mais je n’ose pas me lancer… Avec Ryan, çà s’est passé si naturellement qu’à peine la douleur de la défloration ressentie, le plaisir à éclaté dans mon ventre au moment où, s’étant retiré, il arrosait mon pubis de son sperme. Quant à mon copain Ludo, il pensait plus à me baiser et jouir qu’à me donner du plaisir ! Plus d’une fois, je suis restée sur ma faim !
• Quel dommage ! Mais excuse moi d’être indiscret, tu baises avec une capote ?
• Oui… bien sur, j’en ai toujours quelques unes de planquées au fond de mon sac !
• Donc, si je te comprends bien… tu n’as jamais baisé en pleine lumière ?
• Oui… avec le père de ma correspondante, c’était au milieu de la nuit et je n’ai pas vu grand chose et Ludo se contente de relever ma jupe ou descendre mon pantalon pour glisser son sexe dans le mien !
• Tu connais quand même l’anatomie d’un homme ?
• Bien sur… Entre les cours de sciences et quelques séquences X. regardées avec des copines, je sais quand même comment un homme est fait !
• Mais jamais vu de près ?
• ---- ----.----
• Si tu veux… Regarde… cette conversation m’a émoustillé… Je bande ferme… en plus ta présence me fait aussi de l’effet… Tu es très désirable !

En disant cela, j’ai fait glisser mon boxer et mon sexe s’est dressé devant mon pubis :
• Voila… un « service trois pièces » en ordre de marche !
• Dis donc… la nature semble t’avoir bien doté… ton sexe est presque aussi grand et fort qu’un de ceux que j’ai vu dans un film X.
!
• Oh… je n’ai rien d’extraordinaire… J’en ai déjà vu des plus importants ! À l’internat du lycée, nous avons fait un concours et je n’étais pas parmi les premiers !
Mélanie regardait mon sexe avec envie et je l’ai invitée à le toucher, à le prendre en mains.
• Il ne te mordra pas… Tout ce que tu risques si tu fais ce que je dis, c’est avoir mon sperme sur les mains !
• Oh tu crois ?
• Je vais t’expliquer et tu vas le faire… comment masturber un garçon pour qu’il ait très envie de toi.
C’est ainsi que je lui ai expliqué le détail de mon sexe et ce qu’elle devait faire pour faire monter la sauce… le gland qu’elle découvrait en relevant le prépuce, les caresses sur cette partie très sensible et sur les bourses où elle sentait mes testicules rouler sous ses doigts… si bien qu’une goute de pré-sperme est apparue sur le méat.
Elle a passé un doigt et a pris ce liquide qu’elle a porté à ses lèvres pour le goûter.
• Si tu veux y goûter, il y a mieux à faire… Une fellation me ferait plaisir !
• Tu crois qu’on peut ? Je n’en ai jamais fait… Chaque fois Ludo était tellement excité que je n’avais même pas besoin de le préparer… Il se couvrait et m’enfilait la chatte !
• Pourquoi pas… Personne n’en saura rien ! Ce n’est pas moi qui irai le chanter sur les toits… Vas-y, prends ma bite dans ta bouche, humecte la avec ta salive et fait la aller et venir entre tes lèvres, joue avec ta langue, pompe avec tes joues…
• ---- ---- --- ---
• Oui… comme çà… Tu apprends vite ! Suce le gland et joue avec ta langue sur le frein pendant que tu masses mes burnes… Tu alternes ce que je viens de te dire avec des succions profondes…
• Çà m’excite… je mouille mon slip !
Comme elle était placée pratiquement à quatre pattes sur mon côté droit, je n’ai eu qu’à tendre la main pour sentir qu’elle était effectivement mouillée.
• Dis donc, çà te fait de l’effet aussi… Si tu es gênée, ôte ton bas de maillot, je vais me mettre à mon aise
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés nus tous les deux à l’ombre des pins.
Elle était bien jolie avec sa toison châtain pas très fournie et des lèvres intimes à peine dessinées mais suintantes de son excitation…
Je glissai deux doigts le long de sa fente et je les introduisis dans son sexe qui était chaud… bouillant !
• Humm… c’est bon…
• Je vais te montrer quelque chose de meilleur encore ! Viens au dessus de moi et présente ton sexe à hauteur de ma bouche… et continue de me pomper !
C’est ainsi que j’ai fait découvrir à Mélanie la position du 6 9…
Humm… que sa chatte sent bon… une odeur où je retrouve le parfum de Cologne mélangé à quelque chose de plus subtil : le parfum de son sexe qui bave de plus en plus sur ma bouche.
Je ventouse son sexe avec mes lèvres et ma langue va et vient à l’orée de sa chatte…
Mélanie s’appesantit sur moi… et soudain, la jouissance la tétanise !
Pendant que je lui faisait ce cunni’ elle avait continué de me pomper le sexe mais je me retenais… J’avais autre chose en tête…
• Waouh… tu m’as fait exploser ! Que c’est bon de jouir ainsi ! Je savais que des copines lesbiennes se donnaient du plaisir ainsi… mais là, c’est le TOP… mais je n’ai pas su te faire jouir !
• Ce n’est pas grave… c’était ta première pipe… Viens que je te câline un peu…
Mélanie s’est allongée près de moi sur la couverture et je lui ai passé un de mes écouteurs… Je ne voulais pas la brusquer aussi après avoir échangé quelques phrases, j’ai repris mon livre… C’était l’histoire d’une femme, capitaine de police travaillant à Marseille qui avait en dehors de ses fonctions une vie amoureuse assez tumultueuse…
• Dis donc… elles sont comme çà les femmes dans la Police ?
• Je ne sais pas… Tu sais, c’est un roman… une fiction… on peut mettre ce qu’on veut !
• Et bien moi, je me sens d’attaque pour mener ce genre de vie… Baiser quand j’en aurai envie, prendre un mec et le jeter ensuite !
• Quelle mentalité !
• Oh vous les hommes… vous en faites autant avec les filles ! Mais là, j’ai envie que tu me fasses l’amour… Je sais que ce sera la seule fois mais j’ai ENVIE de voir ce que cela fait : JOUIR en pleine connaissance des choses !
• Ok… moi aussi, j’ai envie de toi… ce petit en-cas de tout à l’heure m’a ouvert l’appétit ! Regarde… je suis prêt !
• Viens… baise moi fort ! Et pas besoin de capote… Je ne risque rien en ce moment !
• C’est comme tu veux… j’en ai une…
• Non… je VEUX te sentir cracher au fond de mon vagin !
Comme Mélanie était allongée sur la couverture où je me trouvais initialement, j’ai roulé le sienne pour la placer sous sa nuque en disant :
• Comme cela, tu pourras voir…
Je me plaçai au dessus d’elle, les bras en appui de part et d’autre de son buste. J’approchai mon sexe dressé au devant de son pubis puis je le fis aller et venir entre ses lèvres intimes qui étaient humides d’attente.
• Prête ?
• Oui… Baise-moi !
Lentement j’ai introduit mon sexe dans son vagin…
Mélanie regardait intensément cette intromission et son bassin venait au devant du mien… Elle n’avait pas peur… Elle attendait, impatiente de la suite…
Je la prenais lentement, attentif à faire monter son plaisir tout en retenant le mien.
• Plus fort !
Comment ne pas résister à cet appel ? J’ai relevé ses jambes le long de mon torse et je l’ai baisée comme elle le souhaitait : plus fort, plus vite… jusqu’à ce qu’elle jouisse quelques secondes avant moi…
• Oh Henri… merci… que c’était bon !
• Merci pour toi aussi… je te souhaite plein de bonheur et de jouissances !
Je restai quelques instants abouté au fond de sa chatte puis je me suis retiré en lui disant que j’allais partir en premier vers la piscine et qu’elle attende un peu pour rejoindre la maison.
• C’est plus prudent… comme cela les parents ne sauront pas que nous étions ensemble !

Au cours du reste du séjour, nous n’avons pu nous retrouver ainsi que deux fois en profitant de l’absence des parents partis à la ville…
Je ne lui certes pas tout appris mais j’ai fait découvrir à Mélanie un certain nombre de positions que nous avons mises en pratique… dont la levrette dont je suis très friand…
À cette occasion, je lui ai titillé l’entrée de son sphincter en lui expliquant que certains de ses futurs amants voudraient la prendre par « la porte arrière » et qu’elle devait s’y préparer.

Je n’aurais jamais imaginé que les vacances en famille se dérouleraient ainsi…

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