Un Réveil Surprenant...
Samedi matin, je me réveille un peu nauséeux. La tête dans le cul. Il y a de quoi
La veille, ma femme et moi, après avoir déposé les filles chez leurs grands-parents, nous avons été à une fête donnée en lhonneur du départ dun ami dorigine haïtienne qui retourne, peut-être pour toujours, dans sa famille. La soirée fut longue et lalcool a coulé à flot, notre ami nous faisant lhonneur de quelques spécialités locales.
Bref
Je suis réveillé ce matin mais pas en grande forme. Jentends une lourde respiration dans mon dos. Je me retourne et je manque de pousser un cri qui sétouffe dans ma gorge. Il y a un homme à côté de moi, et non ma femme comme je my attendais. La vision me dégrise instantanément, vous vous en doutez
Muet de stupeur, je regarde cet inconnu et constate, stupéfait, que cet homme nest autre que moi-même. Je ne comprends pas ce que je vois, mais cest moi que je vois dormir à poings fermés, ronflant, à mes côtés.
Je me redresse et manque de perdre mon équilibre. Mon corps ne réagit pas comme il le devrait. Même lalcool ne devrait pas me procurer ce genre de sensations
Je baisse les yeux et découvre, à lemplacement de ma poitrine, une paire de seins, nus. Je me retourne vers un miroir. Au lieu de voir mon reflet, je contemple celui de ma femme.
Je touche mon visage, regarde mes mains
Pas de doutes possibles, je suis dans le corps de ma femme
Je ne sais pas comment cela est possible mais jy suis bien.
Alors que je me tâte pour éprouver ce nouveau corps, mes mains passent sur mes seins. Le choc est incroyable ! Non seulement mes mains perçoivent ces seins fermes et rebondis que je connais si bien et qui mexcitent toujours
Mais en plus je perçois mes mains par lintermédiaire de mes seins. Ma femme ma toujours dit que ses seins étaient comme reliées à sa chatte. Je me constate immédiatement
Je sens comme une chaleur dans lentre-jambes. Une chaleur humide : je me pisse dessus ! Je porte la main sur mon sexe par réflexe et découvre la toison bien taillée de ma femme.
La main posée sur mon sexe, je commence dinstinct à me caresser. Je reproduis les mouvements que ma femme ma appris et je comprends pourquoi elle tenait à ce que je fasse ceux-ci et pas autre chose. Rapidement, excité par la situation, je prends mon plaisir en gémissant légèrement
Par réaction lhomme qui dort à côté de moi (ma femme ? moi-même ?) gémit lui aussi mais ne se réveille pas encore
Curieux, je retire la couette, le découvrant, nu lui aussi
Son sexe, mon sexe, nest pas raide mais déjà gonflé. Je tends la main vers lui, leffleure, le caresse doucement. Il gonfle encore, se raidit
Il bande enfin.
Excité par ce chibre, ma chatte continue de couler et de chauffer. Jai envie de cette queue, de ma queue
Sans même y penser, je me penche en avant pour lécher ce chibre bien raide
Mais je marrête. Je ne veux pas courir le risque de le réveiller. Pas comme ça. Ma priorité, à ce moment, cest de me mettre cette queue dans la chatte.
Doucement, en bougeant le moins possible, jenjambe ce corps inerte. Je prends cette bite raide dans la main, la guide jusquà ma fente et mempale dessus, submergé par des vague de plaisir.
Il se réveille. Je lis dans son regard de la stupéfaction, de la peur, de lincompréhension
Jy décèle létincelle qui se trouve habituellement dans les yeux de ma femme. Il va parler, crier peut-être. Je pose la main sur sa bouche pour len empêcher, le suppliant du regard de ce taire. « Pas maintenant ! »
Il accepte. Je le vois sabandonner au plaisir alors que je commence à aller et à venir le long de son vit. Cette sensation est si nouvelle, si puissante
Je sens le plaisir monter lentement en moi
Quand je sens dun coup un flot de sperme menvahir. Le jet chaud et puissant me remplit alors quil gémit en poussant un râle de plaisir.
Je suis furieuse. Furieux je veux dire. Je nai pas joui. Jattendais un orgasme, je nai eu quun vague petit plaisir.
Lui continue à jouir. Je reçois dautres jets de foutres qui frappent mon vagin. Je sens sa queue vibrer en moi. Rien que de penser à cela, je suis excité(e). Je profite de ces sensations et, finalement, je jouis. Doucement mais je jouis tout de même.
Je meffondre sur sa poitrine, gêné par mes nouveaux seins que je ne sais pas encore bien « placer ». Je meffondre et manque de me rendormir ainsi.
_ Quest-ce qui nous arrive ? me dit-il.
_ Je ne sais pas
Je me suis réveillé comme ça se matin. Je ne me souviens pas de ce qui a pu nous arriver hier soir
_ Moi non plus. Il faut faire quelque chose.
_ Quoi ? Tu veux expliquer au docteur quon a changé de corps ? Tu crois quil y a un médicament contre ça ?
_ Que veux-tu faire alors ? Rien ? On attend que ça passe ?
_ Oui. Et, au cas où ça passerait vraiment, on en profite !
_ Cest-à-dire ?
_ Il ny a pas durgence. On est seul pour le week-end, si ça se trouve ce sera fini ce soir ou demain
Tu nas pas envie
de tout essayer ? Tu ne tes jamais demandé ce que lautre ressentait ? Cest une chance inouïe, non ?
_ Oui
Tu as peut-être raison. Tu proposes quoi exactement ?
_ Ca.
Je me suis alors relevé. Je sentais la queue gluante de sperme et de mouille glisser entre mes lèvres. Me mettant à côté de « mon homme », je me mis à lui lécher le sexe. Je connaissais déjà le goût de mon sperme et, bien sûr, celui de la mouille de ma femme. Mais y goûter sur une bite, cest autre chose. Je la pris en bouche et commença à la sucer. Il se remit bien vite à bander. Je sentais ses mains sur ma nuque et sur ma tête pour me guider, régler le rythme de mes allers et venues le long de sa tige
Jusquà ce quil éjacule de nouveau. Encore une fois bien plus tôt que prévu. Je levais vers lui un regard plein de reproches.
_ Désolé, jarrive pas à me contrôler, cest trop bon
_ Ben va falloir apprendre, je veux jouir moi aussi.
Ne lui laissant pas le choix, je lenjambais de nouveau mais dans lautre sens cette fois, présentant ma vulve à sa bouche
_ Tu sais que je naime pas mon odeur ! protesta-t-il.
_ Ce nest plus « ton » odeur. Cest la mienne maintenant. Et si tu veux que je te suce encore, il va falloir y mettre du tiens.
Je massis sur sa figure et sentis bientôt sa langue fouiller ma chatte. Ce nétait pas mauvais mais il ny mettait pas beaucoup de bonne volonté
Du moins au début. Visiblement, la situation, la vue ou, peut-être, les hormones devaient lexciter. Il commença alors à me bouffer sauvagement la chatte.
Voyant sa queue reprendre du volume, je commençai à le sucer pour un 69 comme nous nen pratiquions plus depuis bien trop longtemps
Cette fois, enfin, je jouis en premier. Poussant un cri de plaisir, je sentis de long jets de cyprine couler de ma chatte, manquant d mon amant qui dut se redresser, surpris par labondance du jet (nous savions pourtant tous deux quelle était fontaine
)
« Baise-moi » lui dis-je en mallongeant sur le dos. Il vint alors sur moi et me pénétra immédiatement pour me besogner rapidement, avec fougue. Folle de plaisir, je hurlais des mots salaces
« Défonce-moi la chatte ! », « baise-moi de ta queue ! », « fais-moi mouiller, salaud ! » Je prenais vraiment mon pieds et jouis de nouveau en lenserrant entre mes jambe.
_ Tu as vu ? Je me suis bien retenu, hein ?
_ Facile après avoir joui deux fois
Mais ce nest pas fini, jen veux plus moi
_ Pfff
Moi je suis déjà crevé.
_ Tu veux changer de position ? Je vais me mettre en levrette
Ainsi mise à quatre pattes, il vint derrière moi, membrochant de son sexe raide brutalement et commençant à me baiser comme jen rêvais. Il me caressait les fesses, les écartait
_ Quelle vue ! Quel cul ! Je comprends pourquoi tu aimais tant cette position !
Je le sentis sortir de ma chatte et poser son gland sur mon anus. Sans rien dire, il commença à pousser pour y entrer
_ Hé ! Que fais-tu !?
_ Tu as bien dit que tu voulais tout essayer, non ? Et puis cest bien toi qui voulais sans arrêt menculer, non ?
_ Oui mais
_ Alors pas un mot !
Ne voulant pas le contredire sur ce point, jessayai de me détendre.
Il commença à menculer doucement. Ce nétait pas assez pour moi. Je hurlais alors : « Encule-moi ! Défonce-moi le cul, sodomise-moi ! Plus vite ! Plus fort ! » Il ne se fit pas prié. Je sentais maintenant son chibre aller et venir dans mes entrailles. Parfois sortir de mon cul pour mieux y replonger par la suite.
Passant une main entre mes jambes, je me branlais alors le clito, décuplant ainsi mon plaisir
Je sentais sa queue gonfler, se raidir. Il hurlait dans mon dos : « tu aimes te faire enculer, salope !? » Jamais elle navait été aussi vulgaire au lit
Cela mexcitait encore plus !
Il finit par décharger tout son foutre au fond de mon anus, provoquant chez moi une jouissance comme je nen avais jamais connu
Seffondrant sur mon dos, il murmura alors :
_ Je comprends pourquoi tu voulais menculer avant
Si nous échangeons nos corps, je te promets que tu pourras menculer bien plus souvent !
_ Si nous devons garder ces corps, je te promets que tu pourras menculer tous les jours mon amour
Et cest ainsi que nous nous rendormîmes, épuisés
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Certains éléments de ce récit sont tout à fait fictifs. Cependant, si vous connaissez une boisson Haïtienne ou tout autre moyen de provoquer ces effets, je compte sur vous pour men faire part
;)
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