Kary-26

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Il y a eu le temps des fêtes avec la famille et le mois de janvier au travail. Mon collier a suscité beaucoup d’intérêt de la part de mes proches et de mes compagnes de travail. Bien oui, ma compagne m’aimait beaucoup et voulait m’offrir un symbole de notre amour et en même temps un signe d’appartenance à ses bons sentiments. Par chance personne n’a eu l’idée de regarder sous le cadenas et y voir l’inscription. Une fois le stress passé de me montrer ainsi avec mon nouveau collier et d’avoir affronté toutes les interrogations de ceux qui m’ont interpelé sur cet objet, j’en suis venu à presque oublier que je le portais. Il faisait partie de moi et représentait mon appartenance à Madame. Tout comme moi il était kary.

Depuis plusieurs semaines je n’étais pas allé chez moi. Tous les jours après le travail je rentrais chez Madame et j’avais mon rituel que Madame avait établi. Je stationnais ma voiture dans le garage. Madame avait fait installer un placard au fond de celui-ci dans lequel il y avait mes vêtements de travail ainsi que quelques trucs au cas où nous aurions une sortie à l’extérieur. Car chez Madame, c’est complètement nue que je devais évoluer à présent et ce en tout temps, exception faite si nous avions la visite de ma famille ou tout autre personne n’ayant pas de liens avec ma situation. Donc je sortais de ma voiture, me déshabillait et plaçait mes vêtements dans la boite à linge sale près du placard. La seul chose que je pouvais garder sur moi était mes chaussettes car Madame n’aimait pas que j’ais les pieds sales. Et après avoir installé des bracelets de cuire à mes chevilles et mes poignets, c’est à quatre pattes que je me rendais à l’intérieur de la maison pour embrasser les pieds de ma déesse.

Au fil des semaines Madame à continuer à faire mon éducation pour que je puisse lui obéir au doigt et à l’œil. Bien sûr, tout cela avec la complicité de Maitresse Amanda qui est devenue une véritable amie de Madame.

Maîtresse Amanda à qui je devais obéir maintenant sans rouspéter. Bien sûr que Madame lui avait imposé des limites à ne pas franchir avec moi, mais elles étaient bien faible ces limites.

Au fil du temps les domestiques de Madame sont devenu très familier avec moi et me traitait de plus en plus comme la petite chienne que je suis. Peu importe la situation dans laquelle je me trouvais devant eux, cela ne me dérangeait plus. Je n’avais aucun sentiment de honte même lorsque j’étais au petit coin et que l’une d’elle me voyait en train de faire mes besoins. J’étais conditionné à obéir et à être la chienne docile de la maison.

De temps en temps Carole me flattait les cheveux lorsqu’elle passait près de moi, comme si elle flattait la tête d’un chien.

-Bonne petite chienne… Couchée maintenant…

-Allez ouste… Va dans la cuisine pour que je passe l’aspirateur au salon.

Lorsque je mangeais c’était toujours par terre dans mes bols de petite chienne. Le cul bien relevé et les mains sur le plancher. Madame n’avait souvent qu’à faire un signe de la tête, ou me faire un regard pour que je devine son désir, son besoin, son ordre et que je l’exécute immédiatement avec enthousiaste.

Je me plaisais bien dans cette routine. Madame était sévère avec moi pour faire mon éducation mais jamais elle ne s’autorisait à laisser des marques sur mon visage ou sur mes mains afin de rester anonyme dans le monde vanille. Quelques fois par contre ces gifles ont rougis suffisamment mes joues pour en garder des rougeurs sur plusieurs heures. J’ai déjà eu à justifier ces rougeurs auprès de certaines de mes collègues de travail. À chaque fois je leurs disais que j’avais des bouffées de chaleur et que cela passerait.

Puis un soir une terrible chaleur, un tremblement à envahit mon corps tout entier. Madame m’avait demandé de me mettre à genoux au milieu du salon, les mains derrière le dos. Elle s’est assise dans le fauteuil devant moi et m’a regardé longuement.
Lorsque Madame faisait cela c’était qu’il y avait quelque chose spécial. Les tremblements et le coup de chaleur n’étaient pas dus à la situation, mais à ce que Madame m’a annoncé ce jour-là. Je me souviens encore c’était à la fin février de cette année.

-Kary, ont va vendre ton condo.

-Mais…

Bien oui, le mais était de trop, sans que je la vois venir la main de Madame s’est abattu sur ma joue, et deux, trois de plus.

-Snifff. Snifff

-Tu oses encore discuter les ordres de ta Maitresse petite pute. Tu es relégué au rang d’objet maintenant, tu n’as plus de droit. T’as compris salope, met toi bien cela dans le crâne, tu es mon objet, tu m’appartiens et tu ne possèdes plus rien, compris…

-Oui Madame.

-Tu comprends que tu viens de mériter une bonne punition pour ça…

-Oui Madame, vous avez raison Madame, j’ai honte de moi Madame. Sniff!

Elle est retournée s’assoir et m’a regardé avec un air déçus. J’avais honte de l’avoir déçus. J’aurais dû me retenir et accepter ces propos. Mais vendre mon condo… Cela veut dire plus de retour en arrière possible pour moi. Ma vie allait encore changer radicalement. Quoique depuis maintenant plusieurs semaines je n’ai pas mise les pieds chez moi. Je devais me faire à l’idée, et pas question d’utiliser mon véto et de perdre cette relation qui me plait tant.

-Je m’excuse Madame, je vous aime et je vous appartiens, il est évident que c’est à vous de décider ce qui est bon pour moi.

-C’est mieux ça… Demain lorsque tu vas arriver du travail tu resteras habillé et tu pourras te conduire en mode vanille. L’agent d’immeuble va passer vers 17 heures, et tu signeras les papiers relatifs à la mise en vente.

-Oui Madame

-Je vais m’occuper de tout, tu auras juste à signer là où je te le dirai.

-Oui Madame

Alors le lendemain soir j’ai fait comme Madame m’avait demandé et j’ai signé les papiers autorisant la vente de mon condo.
Aussitôt l’agent d’immeuble sorti de la maison j’ai dû retourner au garage pour me foutre à poil, enfin, à peau dans mon cas, et j’ai repris ma place de petite chienne de la maison. Madame est venue me rejoindre au garage.

Tu te souviens de ta mauvaise conduite d’hier petite salope.

-Oui Madame.

-Alors je vais te donner ta punition

-Oui Madame.

Après que j’ai mis mes bracelets de cuire, Madame m’a attaché les poignets aux rails des portes du garage et elle a fixé mes chevilles à une barre d’écartèlement. Debout, presque suspendue au milieu du garage j’ai vu Madame s’approcher de moi avec une cravache. C’est là que j’ai reçus la correction la plus sévère que je n’avais jamais eu. Elle a frappé mes fesses, mes seins, ma vulve, mes cuisses et mon dos avec tant de vigueur que je ne pouvais m’empêcher de bouger dans tous les sens et de pleurer comme une madeleine. Les domestiques de Madame étaient déjà partis, si non, elles m’auraient entendu crier à tout rompre. Le lendemain matin alors que je déjeunais à quatre pattes sur le plancher les domestiques n’ont cessées de me regarder pour voir les marques laissées sur mon corps par ma punition reçus la veille. Elles étaient toutes sans voix en voyant mon corps marbré de plaques rouges.

Moi j’avais les yeux bouffis par la douleur et le manque de sommeil. Je mangeais mes céréales dans mon bol en silence. J’avais souffert de cette punition, mais j’étais heureuse que Madame m’ait remise dans le droit chemin. En même temps j’avais un peu peur de moi-même, car je repensais à cette douloureuse punition et à ma grande surprise, j’avais aimé cela. La douleur et la situation hors du commun m’excitait au plus haut point.

Les semaines ont passées, puis au mois d’avril, Madame m’a annoncé qu’elle avait un acheteur et que nous passions chez le notaire bientôt. Alors c’est mercredi le 26 avril de cette année que j’ai perdu mon condo. Je sais que tout le contenu du condo est entreposé dans le grenier d’un des garages de Madame.
Juste un peu avant Madame était venue avec moi au condo et elle a pris quelques photos et objets pour chez elle afin d’installer ces choses personnels de mon ancienne vie chez elle pour rendre vraisemblable au monde vanille le fait que nous avons aménagées ensemble.

J’ai payé ma balance d’hypothèque et déposé le restant dans mon compte. Ouin, mon compte… C’est une autre chose dont je n’ai plus vraiment accès maintenant. Depuis la vente de mon condo j’ai donné à Madame le mot de passe de mon compte et c’est elle qui gère le tout. Dans mon porte-monnaie il n’y a que $ 40, et si je dois en utiliser une partie, je dois d’abord demander la permission. J’ai toujours ma carte de crédit aussi, mais encore là, je dois toujours demander avant de faire tout achat quel qu’il soit. Bien sûr si elle doit acheter de nouveaux jouets pour moi elle le fait avec ma carte de crédit.

À partir de ce moment-là ma vie à pris un autre tournant. Mon esprit saisissait d’avantage ce que voulait dire appartenir à quelqu’un. À part mon travail je ne possédais plus rien. Pas de maison, pas d’argent, rien. Madame continue de faire mon éducation et elle s’est faite quelques amies dominatrices qu’elle côtoie régulièrement. Elle apprend d’elles et je la voie se transformer de jour en jour. Tout comme moi, elle saisit de plus en plus ce que cela implique et a comme avantage de possédée une petite salope comme moi.

Le groupe d’amie de Madame a commencé à s’élargir et de temps en temps elles font des soirées pour se rencontrer et discuter. Bien entendu il y a une portion de la soirée ou elles s’amusent avec leurs petits jouets. Je vous raconte…

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