La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1040)
soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°933) -
Walter le releva sans ménagement et le fit sortir avant que je ne mévanouisse... A mon réveil, Le Maître nétait plus là. Je me sentais engourdie et douloureuse. Je n'arrivais pas à ouvrir les yeux. Mon visage me faisait terriblement mal. Je ne comprenais pas pourquoi ! Puis d'un coup les souvenirs me sont revenus. La danse avec mes surs de soumission Phryné MDE et Laïs MDE, la danse en solitaire exigée par Le Maître Vénéré et les Invités, Marc « Le Doc » me donnant beaucoup de plaisirs puis la tentative de viol par cet homme odieux qui m'a battu et l'arrivée du Maître mayant sauvée. Je me redressais d'un coup.
- Cypris MDE, doucement, annonça une voie de femme que je ne connaissais pas.
Cette femme appuya sur mes épaules pour me rallonger mais je ne le voulais pas. J'étais effrayée de me trouver avec une personne inconnue. Qui était-elle ? Je ne l'avais jamais vu.
- Cypris MDE, ne bouge pas ! Je vais faire appeler Le Maître Vénéré et Le Docteur, dit-elle en se dirigeant vers la porte.
Elle stoppa en ouvrant la porte et regarda de chaque côté, comme si elle cherchait quelque chose ou quelqu'un. Elle tourna la tête vers moi puis elle sortit rapidement sans fermer la porte. Je paniquais cela me rappeler trop de mauvais souvenirs. Je sortis précipitamment du lit dans lequel on m'avait allongée et me rendis dans un coin de la pièce en prenant mes genoux devant moi et me balançant de l'avant vers l'arrière... Des bruits me parvenaient mais ils étaient comme étouffés. J'avais l'impression de ne plus être dans le Château de Monsieur le Marquis. J'étais tellement dans mes pensées stressantes, perdues que je n'avais pas entendu des personnes entrer dans la pièce.
- Où est-elle, esclave Aphrodite MDE ? dit une grosse voie presque en colère que j'étais sûre de connaître.
- Je ne le sais, Maître Vénéré.
- Où était l'esclave que j'avais mis devant la porte pour ne pas que cela arrive ? demanda Le Maître mécontent. Il va être sévèrement puni s'il n'a pas une bonne excuse et même s'il a une bonne excuse, j'avais donné l'ordre de ne pas bouger.
- Elle est ici, cher Ami ! Votre soumise est totalement paniquée comme je vous ai expliqué que cela se produirais sûrement après les événements quelle a vécus !, interpella Le Doc. Elle est restée inconsciente presque 3 heures donc elle doit se demander beaucoup de chose...
J'entendis des pas venir vers moi. J'osais un coup dil dans leur direction. Le Maître ne semblait pas en colère contre moi. Cela me détendis un peu mais étais-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle !
- soumise Cypris MDE, regarde-moi ! exigea Le Noble avec une douceur dans la voie et tendant la main vers mon visage.
- Non ! Criais-je en me reculant encore plus contre le mur.
- Cypris MDE, va vers ce lit, maintenant ! M'ordonna-t-il perdant un peu de sa patience.
J'obéis instantanément à l'ordre donné. Après tout, j'étais, je suis et je serai toujours une des soumises du Maître Vénéré même si j'étais salie maintenant mais je savais que Le Châtelain arriverait à me faire passer ce cap. Je me devais de satisfaire Le Maître. Il m'avait promis Protection et Sécurité. N'était-il pas arrivé à temps pour me secourir fasse à cet ignoble homme. Je m'étais rallongée dans le lit sous les draps, obéissante comme une bonne soumise devait l'être.
- C'est bien, ma petite soumise ! Rappelle-toi toujours ce que tu es ! dit-il en s'asseyant sur le bord du lit
Tu es à Moi, tu me dois obéissance en tout temps, tu es Ma propriété absolue. J'exige que tu répondes à toutes les questions posées par Marc !
- Oui Maître ! Parlais-je doucement, ne reconnaissant pas ma voix.
- Bien après l'examen du Doc, tu m'expliqueras ta réaction de tout à l'heure quand nous serons seuls ! m'annonça t-il, me faisant baisser la tête.
- Oui Maître Vénéré ! Acquiesçais-je.
Monsieur le Marquis me fit un léger sourire avant de se lever du lit pour céder sa place au Docteur. Je me détendis, j'avais toujours peur de la réaction du Maître. S'il venait à penser que tout ce qui était arrivé été de ma faute et me disait de partir, je ne m'en remettrais pas. Le Doc attrapa doucement mon visage pour regarder mes blessures.
- Ton visage est tuméfié, Cypris MDE. Il sera douloureux pendant un moment encore. Je dirais une petite semaine. Je t'ai fait des points sur la lèvre qui s'enlèveront tous seuls. J'ai informé Monsieur Le Marquis que tu ne dois pas forcer sur celle-ci pendant une semaine. A part ton visage, as-tu mal ailleurs ?
- Ma tête est douloureuse, Monsieur, ainsi que mes poignets. Et je ressens aussi un élancement dans mon flan droit.
- Cela est tout à fait normal, Cypris MDE. L'homme qui t'a fait du mal, n'y est pas allé de main morte. Tu as un hématome assez gros sur ton flan. Quand à tes poignets, il les a serré tellement fort que tu as la marque de ses doigts.
Alors que je regardais mes bras, les larmes me sont venues. On pouvait voir sur ceux-ci, la trace de ces doigts.
- Cet homme ne sera pas un mauvais souvenir avant plusieurs jours. J'espérais que cela serait plus rapide. Sache quune plainte a été déposée au commissariat envers cet énergumène pour agression et tentative de viol envers ta personne et quil sera poursuivi en justice
Cypris MDE, regarde-moi ! Je vais te donner des comprimés pour ton mal de tête ! Les bleus vont partir d'eux même. Cet homme n'a pas eu ce qu'il voulait, nous sommes arrivés à temps.
- Je vous prie d'accepter mes remerciements pour les soins que vous m'avez donnés, Monsieur.
- C'était tout à fait normal, Cypris MDE. Je vais te laisser avec Le Maître des lieux et je reviendrais dans deux jours pour jeter un il à tes blessures.
- Merci pour tout, Marc. Je t'appellerais au moindre problème et j'enverrais Walter chercher le médicament à la pharmacie, répliqua le Noble.
- Au faites, Cypris MDE ! ajouta Le Doc avant de passer la porte. Très belle droite ! Et il partit !
- Aphrodite MDE, je n'ai plus besoin de toi pour le moment. Va voir à la cuisine, Marie va avoir besoin d'aide. Et demande en passant à Walter de me trouver cet insolant d'esclave qui nest pas resté à la porte pour garder notre petite protégée et de me l'emmener dans mon bureau quand j'en aurais fini avec ma petite chienne, ici.
- Bien Maître ! Répondit Aphrodite MDE avant de sortir en position de quadrupédie.
- Maintenant, à nous ! Je veux de toi une immense franchise. Explique-toi sans détour ! M'ordonna Le Maître.
- Oui Maître. Je...... j'hésitais intérieurement. (Allée Cypris MDE, fait ce que Le Maître t'a ordonné de faire : me soufflais-je à moi-même.) J'ai peur, Maître, peur que vous ne vouliez plus de moi. Un autre que vous à toucher à ce qui vous appartient sans que j'ai pu l'en empêcher et que vous donniez votre accord. Je suis salie maintenant. Je comprendrais que vous ne vouliez plus de moi et que vous me renvoyez sans aucun préambule. Tout ce qui s'est passé est de ma faute. J'ai eu l'idée de la danse et de la soirée. Et je ne connaissais pas la personne présente avec moi dans la chambre quand je me suis réveillée. Maître, comment va mon frère de soumission ? Demandais-je inquiète pour cette personne à nouveau.
J'avais dit tout cela sans prendre une seule fois mon souffle. J'avais été plus que franche pour Le Maître Vénéré et je me sentais comme libérée d'un poids invisible sur mes épaules. Je n'osais pas regarder dans la direction du Maître.
- Je comprends que tu te poses autant de questions, ma chienne ! Relève la tête et regarde-moi !
J'obéis tout de suite à l'ordre donné. Monsieur le Marquis passa ses doigts sur mes lèvres. Ses yeux s'étaient noircis d'envie. Il continua à me caresser le visage avec douceur et tendresse. Je ne pus retenir un gémissement s'échapper. J'avais envie qu'il me prenne et me montre que je n'étais pas souillée pour Lui. Je n'osais pas le demander. J'espérais seulement que Le Noble le lise en moi comme il a toujours su le faire pour assouvir mes besoins et envies de soumission.
- Je vais répondre à ta dernière question pour commencer, Cypris MDE. Ton frère de soumission va bien, du moins aussi bien que possible. L'homme qui t'a agressée, lui a cassée le nez et assommé. C'est à ton frère Endymion MDE qu'il s'en est pris. Il a été soigné comme il se doit et maintenant il se repose dans une autre des chambres de la partie infirmerie du Château dont ta sur Aphrodite MDE et assignée. Vous êtes Mes esclaves, soumis et soumises mais avant tout vous êtes des êtres humains et sous Ma protection. Vous vous donnez tous à moi en toute confiance et je n'rais jamais de celle-ci. Je vous pousserais un peu dans vos désirs et dans la découverte du mélange de la douleur/plaisir mais toujours avec votre consentement. De même que je vous prêterais à dautres Dominants hors du Château que si vous êtes d'accord avec cela. Sache seulement que certaines et certains de tes frères et surs m'ont fait part de leur souhait d'attendre de se sentir près avant que je ne les confie à des amis Dominants. Je respecterais toujours cela.
- D'accord Maître ! Je vous prie d'accepter mes remerciements pour les bonnes nouvelles que vous venez de partager avec moi ! J'ai eu tellement peur pour mon frère de soumission.
- En ce qui concerne ton sentiment d'impureté pour Ma Noble Personne ! Il te faut savoir tout de suite que si Le Doc ne m'avait pas demandé d'attendre, tes lèvres seraient à cet instant précis sur ma verge à faire ce qu'elle sait faire de mieux. Me sucer avec cette vigueur qui est la tienne.
- Maître, gémis-je.
J'avais envie de faire tout cela. Surtout que je pouvais observer une bosse déformer le vêtement du Maître Vénéré. Il me voulait donc toujours, mon corps ne le répugnait pas, loin de là ! J'avais la preuve devant mes yeux.
- Maître, s'il vous plaît ! Suppliais-je en le regardant toujours dans les yeux. J'ai besoin de vous !
- De quoi, as-tu besoin, cher petite chienne Cypris MDE. Tu as besoin que Mes Nobles Mains te touchent ? demanda t-il en faisant glisser sa main vers ma poitrine non recouverte.
- Oui Maître ! Répondis-je sans réfléchir. Montrez-moi que ce corps qui vous appartient et toujours à Vous avec la partie que Vous désirez Maître, Vos mains ou n'importe quoi d'autre, suppliais-je encore.
- Oh oui, je vais te montrer ma petite soumise que tu es à moi. Tu l'as demandé si gentiment. Et après, nous continuerons cette conversation mais en attendant. Allonges-toi les bras au-dessus de ta tête et les jambes bien écartées. Ne me quittes pas du regard, je veux que tu sentes à quelle point je te veux encore et toujours. Je ne prendrais pas possession de ta bouche pour le moment mais quand les points se seront résorbés, je reprendrais cette partie de toi avec tous tes autres orifices. Je veux t'entendre aujourd'hui.
Monsieur le Marquis avait utilisé cette voie qui rendait mon entrejambe couverte de cyprine. Je m'installais dans la position imposée. Une fois établie dans la position demandée, je fixais Le Maître. Il tira d'un coup sur le drap et le mit en bout du lit. Le Maître se rassit à côté de moi et recommença à caresser mon visage. Le toucher du Maître était doux comme une plume sur cette partie de mon corps. Ce toucher se fit plus présent sur mon cou et après sur ma poitrine quand il commença à jouer avec mes tétons qui durcirent à vue dil, à se dresser. Les yeux du Maître étaient de plus en plus sombres.
- Déshabille-Moi, Cypris MDE et reprend ta place, exigea Le Maître en se redressant.
Je me hissais sur les genoux devant Le Châtelain. Je retirais sa veste et après je déboutonnai sa chemise pendant que celui-ci retira ses chaussures. La chemise partie, je détachais le pantalon qui tomba aux chevilles du Maître. Je me rallongeais rapidement, toujours obéissante car Le Maître Vénéré ne portait de sous vêtement. Le Maître repris ses caresses et attrapa ma main. Il plaça celle-ci sur sa Noble et Grosse Verge. Je savais les attentes du Maître. Je le masturbais doucement profitant au maximum de toucher Le Maître aussi intimement.
- Accélère Cypris MDE ! M'ordonna Le Maître.
Je me pliais à la volonté du Maître. Un soupir passa entre les lèvres de Celui-ci. Il accéléra ses caresses sur mon corps. Il gratta un de mes mamelons avec son ongle et pinça l'autre de son autre main. Je sentais ma cyprine couler abondamment. Le Châtelain changea de position et s'allongea près de moi. Ma main était toujours sur sa verge. Le Noble descendit sa main, il la glissa sur mon ventre et arriva au niveau de mon entrejambe. Il entra un doigt en moi.
- Tu es tellement humide Ma Chienne ! Je veux t'entendre mais ne crie pas, tu dois ménager ta gorge et ne pas étirer les points de suture, dit-il en enfonçant plus de doigts entre mes lèvres intimes trempées de désir.
- Maître, je vous en supplie, plus vite ! Implorais-je en murmurant.
Monsieur le Marquis accéléra ses pénétrations en moi. Je me mis à la même vitesse pendant que je branlais sa Noble Verge. Un orgasme fulgurant me prit. Le Noble retira sa main et me pénétra d'un coup de reins. Un deuxième orgasme me fit venir.
- Maîiiitre ! Oh oui, c'est tellement bon ! Je me sentais vivante. Le Maître accéléra ses pénétrations viriles.
- Entoure mon bassin de tes jambes, Cypris MDE. Je veux buter au plus profond de toi.
J'obéis tout de suite. Je sentais ses pénétrations de plus en plus fortes en moi. Après un moment, la Noble Verge du Maître grossit encore. Monsieur le Marquis était proche de la jouissance et moi aussi. Un orgasme, nous prit en même temps. Je pris le temps de calmer ma respiration, Le Noble en faisait autant. J'étais complètement décontracter et fatiguer. Comblée, aimée, je tombais sans le ressentir dans le pays des songes...
(A suivre...)
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