Vacances En Bretagne

Je vais vous raconter mes vacances en Bretagne.
Nous étions, ma copine et moi, dans un mobil-home d'un camping proche de la plage. La région ayant été ravagée par des pluies torrentielles pendant tout le mois de juillet, beaucoup de personnes avaient annulé leurs vacances début août, ce qui laissait peu de touristes présents dans le camping ce qui avait été une agréable surprise à notre arrivée. Plus agréable encore, la fin des pluies dès le 4ème jour, remplacées par un soleil timide au début puis éclatant. Nos voisins les plus proches étaient d'un côté deux campeuses anglaises à peine majeures et de l'autre un couple avec un bébé. Le reste de notre allée était désert. Les anglaises vinrent dès le premier soir quérir notre aide. Elles frappèrent à la fenêtre vitrée, les cheveux trempés et les vêtements collants au corps. –
-Bonjour, pouvons-nous vous demander quelque chose ? Dit la première avec un léger accent.
-Yes, of course you can, répondit ma copine Iris en souriant. What do you need?
-We just need a little place where we can put our clothes. Because of the rain, there is always water on them.
-Yes, we have an empty room without someone in, so put your clothes in it. - Thank you, répondit la seconde en souriant. You are saving our lifes.
-It is nothing, the room is not used, dit Iris. You can sleep in it too if you want. - Oh thank you, s'écrièrent en coeur les deux Anglaises.
Elles firent demi-tour pour aller chercher leurs affaires mais Iris les interpella :
-Hey what's your name? You forgot it!
-I'm Mary, I'm Lucy, répondirent à la suite les deux jeunes filles. Elles s'installèrent donc dans la chambre vide et ne cessèrent pas de nous remercier en souriant.
Mais un nouveau problème arriva ; elles n'avaient aucun vêtement sec et demandèrent donc, désolées, si elles pouvaient avec leurs vêtements mouillés. Iris répondit en rigolant :
-You can just wear your underwear; my husband will not open his eyes during few hours.


Elles rigolèrent, mais un silence gêné s'installa ensuite. Elles se regardèrent et la blonde, nommée Lucy, dit :
-Can we ... ? - Yes we are opened mind, répondit Iris en me prenant le bras et en m'adressant un immense sourire.
Que tout soit bien clair ; je vivais avec elle une sexualité normale ; c'est à dire quelque relations sexuelles par semaines mais rien d'extravagant ou de spécial, bien que pendant les vacances le nombre de relations sexuelles augmentait fortement. Elle avait plusieurs fois tenté de me proposer un plan à trois de préférence avec une troisième fille, mais j'avais refusé tout net, considérant cela comme la tromper. Sa proposition aux anglaises de se promener en sous-vêtements me fit donc lever un sourcil de surprise. Son sourire et un léger baiser sur mes lèvres l'emportèrent donc sur son malice et me fit céder à cette dispute silencieuse. Les Anglaises retirèrent donc leurs vêtements, rougissantes, et les mirent proches du radiateur. Puis elles allèrent se coucher non sans nous avoir remerciés un fois encore. Iris m'emmena dans notre chambre puis me poussa sur le lit avant de m'embrasser passionnément. Je la repoussai et dit :
-C'est quoi cette idée de les laisser se promener en soutif et en string ?
-Bah ça durera le temps de la pluie, dit elle en haussant les épaules. D'ici demain soir elles auront regagnées leur tente.
-Et si la pluie tombe toute la semaine ?
-Eh bien tu verras leur soutif toute la semaine, faut savoir être gentil avec son prochain. Tiens en parlant de soutif, voila le mien, dit elle en retirant son haut d'un geste et en me mettant son soutien gorge sur les yeux.
Ses deux seins apparurent alors. Ma main se promena sur celui de droite, pinçant gentiment le téton durci ou caressant simplement sa peau douce. Elle retira aussi mon short tandis que je jetais à l'autre bout de la pièce mon tee-shirt et son haut. Elle prit mon sexe d'une main et le massa doucement au début puis le branla franchement lorsqu'il fut dur.
La peau coulissait le long de la colonne de chair tandis que dans ses yeux brillait une lueur presque sauvage. Elle se pencha, m'embrassa sans cesser son massage. Mes mains allèrent vers sa ceinture où je défis les boutons et baissa son short. Elle se leva sur le lit et acheva de le retirer puis enleva ce que lui restait. Elle s'allongea sur moi et m'embrassa langoureusement, sa langue s'aventurant franchement dans ma bouche. Elle plaça ses cuisses de chaque côté de mon sexe, ses lèvres trempées le frottant dangereusement. Quand elle en eut assez de m'embrasser, elle ramena ses genoux le long de mon corps, fit glisser ses lèvres le long de mon sexe jusqu'à arriver à son sommet. Je pris mon sexe et en frotta longuement le sommet entre ses lèvres, lui tirant un gémissement. Puis elle redressa et se laissa progressivement tomber en arrière, s'enfonçant lentement sur mon sexe. Son geste lui valu un long gémissement et un léger cri lorsque ses fesses touchèrent mes cuisses.
-Chuuut, lui souffla-je. Tes amies anglaises vont t'entendre.
-Qu'elles écoutent bien alors, répondit-elle. Elles vont en avoir pour leur argent à vouloir dormir chez nous.
Elle commença alors à bouger ses hanches, la faisant encore gémir. Ses va-et-vient lui tirèrent de longs soupirs.
Elle resta assise là en bougeant ses hanches au rythme de son plaisir jusqu'à ce qu'une vague l'emporte et achève de transformer ses gémissements en cris. Redevenue silencieuse, elle s'allongea à côté de moi en soupirant. Son souffle frais dans mon cou me fit frissonner.
-Ça fait deux ans qu'on est ensemble mais ça me surprendra toujours de voir qu'après qu'on ait fait l'amour tu bandes encore, me murmura-t-elle à l'oreille.
-Tu devrais avoir l'habitude que je reste longtemps en érection.
-Oui, et comme à chaque fois, deuxième round !
Elle se redressa et se mit à quatre pattes devant moi, offrant son fessier à ma vue. Je me redressé à mon tour et j'ai guidé mon sexe gonflé vers sa fente encore trempée.
Je commençais à la pénétrer doucement quand elle me dit :
-Non pas là. L'autre. Elle écarta ses fesses, dévoilant un second trou bien plus serré.
-Tu veux que je...
-Oui, me coupa-t-elle. Elle me tendit une petite bouteille transparente. Du lubrifiant. Je pris la bouteille, l'ouvris et mis une dose généreuse sur son trou offert et une autre sur mon sexe. Je jetai la bouteille, étala le lubrifiant sur mon sexe d'une main et de l'autre j'enfonçais doucement mon doigt dans son anus. Elle gémit tandis que mon doigt faisait de lents allers-retours. Le retirant, j’appuyai mon sexe sur sa fleur offerte et m'enfonça lentement. Elle poussa un léger cri mais cette fois-ci de douleur. J'avais beau y aller lentement mon sexe restait gros. Je me retirai tout aussi lentement, puis pénétra à nouveau. Mes va-et-vient la firent haleter bruyamment. Mes mains se promenaient entre ses fesses douces et ses seins durcis. Soudain son dos jusque là arqué s'arrondit et elle poussa un long râle de plaisir tandis que je me retirais, mon sexe toujours en érection.
Elle reposa son bassin sur le lit soupirant de plaisir et se tourna vers moi. Moi encore à genoux mon sexe en main et elle, allongée sur le ventre, son regard noyé devant mon sexe encore au garde-à-vous. Elle se mit à sa hauteur, en lécha le bout, puis l'engloutit dans sa bouche. Je gémis tellement c'était bon. Elle le lécha, le suça, le caressa, le branla pendant de longues minutes jusqu'à ce que je n'en pusse plus. Je lui fis un signe et elle comprit ; j'allais éjaculer. Elle redoubla d'ardeur et quelques secondes plus tard, je jouis dans sa bouche, y déversant mon nectar qu'elle avala avec un plaisir non dissimulé.

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