Une Gentille Infirmière
Je vais vous raconter une aventure que jai vécue il y a quelques années, javais 19 ans.
Je mappelle Patrick et à cette époque mon grand-père, la personne qui comptait le plus pour moi dans ma famille, était malade, il avait le cancer des poumons et était en phase terminale. Il est donc dans laile des soins palliatif de lhôpital de Waremme. Cest un service où les patients sont particulièrement dorlotés et le temps de visite est adapté pour leur permettre davoir le plus de soutiens possible de leur famille.
Je décide un soir que le lendemain jirai lui rendre visite. Il faut savoir que je navais pas de véhicule et que je devrai prendre le train pour y aller. Jorganise donc ma journée en conséquence et je dois prendre le train à 8h00 pour arriver vers 10h30.
Le jeudi matin je monte donc dans le train et mon voyage se déroule sans souci, même pas de retard. A 10h30 je suis devant sa chambre, jentre et je le vois avec un grand sourire, il est heureux de ma que je sois là. Je minstalle à côté de lui et on commencent à discuter de choses et dautres. Il ma lair en peine forme compte tenu de sa maladie, ce qui me permet de demander pour rester la journée à ses côtés. Jobtiens laccord de linfirmière en chef et elle me présente linfirmière qui soccupe de mon grand-père au cas où je devrai avoir besoin daide pour quelque raison que ce soit. Elle sappelle Brigitte, elle est très jolie, environ 1,70m, les cheveux châtain mi-long. Limage même de linfirmière.
La journée se passe bien, Brigitte vient même demander si nous voulons aller un peu au salon de lecture. Mon grand-père se sentant assez bien, accepte et nous voilà parti. Elle nous accompagne car elle doit sur place lui brancher quelques appareils de surveillance. Dans la discussion que nous avons, mon grand-père lui parle de moi, quil est heureux de me voir car jhabite assez loin et que jai du prendre le train pour venir.
Mais voilà, il est maintenant 17h00 et jappelle Brigitte pour nous reconduire à sa chambre puisque je dois bientôt partir.
Pendant quelle installe confortablement mon grand-père, elle me fait me fait remarquer que les visites se terminent à 19h00 et que je peux encore rester. Je lui explique que se serrai avec plaisir mais que je dois partir au plus tard à 17h45 si je ne veux pas rater ma dernière correspondance.
« On peux toujours trouver une solution si vous voulez ? ». Me dit-elle !
« Ce serai vraiment avec plaisir, mais je dépend de lhoraire des trains »
A quoi elle me répond :
« Je peux vous faire une proposition ? Je termine mon service à 18h00, le temps de me changer et je viens vous chercher vers 18h30. Jhabite pas loin de chez vous, je vous raccompagne avec ma voiture. ».
« Cest bien gentil, mais ça vous fait un détour ! »
« Ce nest pas pour 10min, alors quen dites vous ? ».
« Et bien daccord, je vous remercie ! »
Je profite bien de cette petite heure qui mest offerte, mais je fais attention dêtre prêt pour quand elle arrive me chercher . Quand elle entre, cest une toute autre femme. Elle est maintenant vêtue dune jupe qui lui arrive 10 cm au dessus des genoux, dun chemisier blanc semi transparent et dun petit blazer qui cache se seins.Javoue que je la trouve très sexy.
Après avoir dis au revoir à mon grand-père, nous quittons lhôpital et tout en prenant la direction du parking, Brigitte propose de mieux se présenter vu que lon a un bonne heure de route à faire ensemble. Japprends quelle a 25 ans et quen fait elle habite seule un petit village pas loin de chez moi prêt de Namur. Elle aime bien mon grand-père car malgré sa maladie il ne baisse jamais les bras, et cela facilite grandement son travail qui est souvent émotionnellement difficile. Je me présente de la même façon, jai 19 ans et jhabite seul dans un appartement. Je nai pas mon permis ni de véhicule. Je viens de terminer mes étude et je suis à la recherche dun emploi.
On arrive devant sa voiture, un jolie petite, très petite Mini Cooper 1986, Brigitte retire son blazer pour le plier et le poser sur la banquette arrière.
Après avoir garé la voiture dans le parking de limmeuble, elle minvite à venir avec elle. Elle doit réunir les affaires et elle en à pour un petit quart dheure. Elle me propose de boire un café en lattendant, je minstalle dans le canapé et elle disparaît dans sa chambre. Tout à coup, elle appelle à laide, je vais vite voir ce qui ce passe et je la trouve en équilibre, debout sur une chaise avec une énorme valise quelle veux descendre du dessus de sa garde robe. Je vais vers elle, je la saisi par les cuisses pour la stabiliser. Cest vrai que jaurai pu la retenir par la taille, mais maintenant, jai mes mains sur sa peau et jen profite. Mais peut-être surprise par ma façon de faire, elle glisse de la chaise et la retenant, ce son mes mains qui glissent le long de son corps remontant sa jupe jusque sous sa poitrine.
« Tu as bien calculé ton coup petit profiteur ! »
« Heu non, je suis désolé »
Je ressemble à un vrai asticot tellement je suis confus et je tortille mes bras dans tous les sens pour essayer de les dégager. Ce qui en fait, a pour effet que je lui malaxe les seins.
« Tu vois, tu en profite encore ! »
A quoi je bredouille :
« Oh pardon, je ne sais pas comment me dégager »
Lisant sûrement de la panique dans mes yeux, elle met ses mains sur mon visage et le tire vers elle pour poser ses lèvres sur les miennes en un long baiser. Ça a pour effet de me calmer instantanément, jarrête de gigoter, de malaxer ses seins, je profite juste de ce langoureux baiser.
« Jai remarqué que je ne te laissais pas indifférent et javoue que jen ai joué. Il est donc normal que tu en profites un peu. »
Sur ces mots, elle pose ses mains sur les miennes pour les faire glisser le vers les bas et redescendre ainsi sa jupe. Arrivé au niveau de ces hanches, elle continue de presser mes mains contre elle et vers le bas, si bien que je ne sais faire autrement que de me mettre à genoux tout en emmenant sa culotte en dentelles jusquà ses chevilles. Pour finir, je me retrouve le visage face à sa chatte. Elle me saisi la tête et doucement me la presse contre son sexe épilé et humide. Jen profite pour sortir ma langue et commencer à lui lécher la vulve à la recherche de son clito.
« Je vois que tu sais quoi faire, je ne suis pas le première je suppose » me dit-elle !
Je ne peux pas lui répondre, je trop occupé, je cherche et trouve son bouton damour pour le saisir entre mes lèvres et jouer avec lui. Je sens quelle est excitée à la pression quelle exerce sur ma tête et au liquide qui sécoule de sa chatte.
Elle minterrompt pour ôter son chemisier et sasseoir sur le lit. Elle pose les pieds sur le bord et écarte les jambes. Jai une vue et un passage direct sur son sexe ouvert et ruisselant de son jus. Je mavance pour me remettre à louvrage quand elle dit :
« Attends !!! Jaimerai que tu te déshabille aussi, je veux voir si je te fais de leffet ! »
« Pour cela il ny a aucun doute »
Jenlève mes vêtements et par la même, je libère mon sexe de sa prison de tissu. Il bondit hors de mon slip comme un ressort. Il est en pleine érection et se dresse maintenant droit comme un I. A cette vue, elle échange nos positions pour se retrouver à genoux, entre mes jambes, avec mon sexe qui lui tapote les lèvres comme pour demander la permission dentrer. Elle me fixe du regard et tous en ouvrant la bouche, glisse entièrement ma bite jusquau fond de sa gorge. Je ressens une excitation de plus en plus forte, je sens sa langue jouer avec mon gland. Elle imprime un vas-et-viens de plus en plus rapide. Je nen peu plus, je la saisi par les cheveux et lui baise littéralement la bouche. Je lentends râler, et je la vois baver tellement jenfonce profond dans sa gorge mon sexe en pleine turgescence. Me sentant sur le point de lui éjaculer dans la bouche, elle matt les couilles et les presse assez pour stopper mon excitation.
Jen suis tellement surpris que je lui demande pourquoi ?
«Tu va me remplir de ton sperme, mais pas tout de suite, je vais te faire monter et descendre en excitation tant de fois que quand tu jouiras, tu me fera décoller par la violence de ton éjaculation ! »
Entre temps Brigitte sétait retournée pour me présenter ses fesses, elle les écarte pour minviter à venir en elle. Je prends ma bite en main et la pose sur sa raie pour la faire doucement glisser jusquà sa chatte et là je commence doucement à lenfoncer. Mais sans rien dire, elle me saisi le sexe pour se le coller sur la rosette et me faire comprendre que jallai me tromper de trou. Je mexécute donc et lui pénètre le cul doucement, car il est étroit et ma queue se courbe avant que ses défenses ne cèdent et la laisse entrer. Elle a tellement mouillé que son cul est lubrifier et jy glisse maintenant avec facilité. Je la sens se raidir et se cambrer sous mes assauts. Je sens aussi une main attr mes couilles pour les malaxer. Je ne sais pas si cest la peur dune pression subite, mais je parvient à maîtriser mon excitation. Après sêtre fait défoncer le cul et en avoir jouis plusieurs fois, elle mouvre la voie à sa chatte. Et cest là je lui enfonce dune coup ma queue jusquau fond du vagin, je la saisi par les cheveux et je la baise si violemment que sen est presque un viol. Mais elle jouis encore plusieurs fois sous mes coups de buttoir avant que je je ne me vide les couilles en elle. Les jets sont si violents que je la sent sursauter à chaque fois que lun deux percute son intimité.
Je me retire et elle se retourne pour me nettoyer et me vider la bite du sperme qui y reste. Elle me propose daller prendre une douche, jaccepte mais à condition quelle vienne avec moi. Il est déjà tard quand nous sortons de la salle de bain et elle me propose de dormir chez elle. Elle me déposera demain quand elle ira chez sa sur. Nous allons commencer une nuit remplie de tendresse et puis je la baisserai encore avant que nous nous endormions.
Nous sommes devenu bons amis, elle me donnais souvent des nouvelles de mon grand-père et ce jusquà sa mort. Mais même après, nous avons continué à nous voir et quand lun dentre nous est en manque de sexe on lui vient en aide.
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